L'évolution des espèces biologiques et...le hasard

Débats scientifiques généraux. Présentations de nouvelles technologies (hors directement liées aux énergies renouvelables ou biocarburants ou autres thématiques développées dans les autres sous forums).
janic
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par janic » 06/07/14, 11:26

janic a écrit:
Vivre en même temps ne signifie pas vivre au même endroit. Nous avons, à l’heure actuelle, de nombreux animaux de même taille avec de biotopes complètement différents avec des nourritures spécifiques
.
Ton raisonnement est complétement flou, j'ai répondu avec des exemples précis,a savoir deux espèces de même gabarit et doté des même tendance alimentaire ayant vécu dans les mêmes zones géographiques mais que l'on ne retrouve pas dans les mêmes strates géologique,réponds clairement stp...
La stratigraphie se présente comme un mille feuilles avec des couches de compositions différentes qui peuvent, effectivement, être le résultat de lents dépôts comme les calcaires ou de changements chimiques appelés transmutations comme par pression ou température. Il serait donc étonnant que sur des millions d’années des couches pures (comme par exemple le silicate de magnésium ou talc) se soient accumulées sans mélange avec toutes les poussières dues à l’érosion des terres voisines ou des poussières volcaniques aux compositions différentes .
Dans l’hypothèse de la zonation (qui est plus qu’une hypothèse puisque reconnue, mais pas appliquée à la théorie de l’évolution) le recouvrement catastrophique permet de concevoir (et de le vérifier géologiquement) que des masses énormes de terres se déplacent sous l’effet des eaux sur des milliers de km et quasiment sans mélange. Donc, ces déplacements ont pu (avec toutes les précautions de langage nécessaires comme le font les vrais scientifiques honnêtes), par couches successives avec inclusions de formes de vie existant sur des zones écologiques différentes, être stratifiés à un endroit éloigné de leur origine. (c’est ce que l’on constate avec les dinosaures herbivores fossilisés en vrac avec une absence totale de végétation au même endroit) ou au contraire de la végétation en masse sans traces de vie animale incluse (le charbon).
Citation:
le réchauffement climatique montre que la faune suit facilement la température, mais pas le végétation spécifique à certaines espèces et cela suffit pour engendrer leur disparition partielle ou totale en seulement quelques années
.
Sauf que les dits bouleversements laissent des traces notamment dans les calottes glaciaires et les strates géologique,hors après recoupement il apparait que les phénomènes en question colle très bien avec la théorie.
Je n’ai pas dit (enfin les spécialistes concernés) que la théorie en cours n’avait pas des arguments pour la crédibiliser, mais qu’il y avait autant d’arguments pour d’autres théories basées sur les mêmes faits mais avec des interprétations différentes. L’hypothèse de la zonation en cours rend compte (avec ses propres faiblesses comme toutes choses) aussi de la géologie qui est la même pour tous. Mais évidemment elle se heurte au dogme en place et comme pout tout dogme (dont tant d’individus, de carrières et d’intérêts dépendent)

NB : Comme par hasard, « qui fait si bien les choses » vient de passer un documentaire sur la mémoire de l’eau et comme par hasard, toujours, les personnes interviewées tiennent le même langage que moi juste avant : dogme, conservatisme, oppositions d’intérêts (en cas » d’industrialisation » de médicaments basés sur cette hypothèse (qui est aussi vieille que l’homéopathie qui expérimente cette réalité depuis longtemps) ce serait la fin des médicaments actuels et la fin de toute l’industrie juteuse de la pharmacie et des industries pharmaceutiques et du déficit de la SS. Il ne faut donc pas rêver, cette industrie n’aucun intérêt à se suicider comme le montre depuis longtemps son opposition à l’homéopathie)
Citation:
Ces résidus ne sont pas chiffrables, pour leur inclusion, après des centaines de millions d’années soumis aux rigueurs des climats, des radiations cosmiques, des champs magnétiques, des bactéries anaérobies, etc…. On trouvera des quantités, pas des durées
.
Les rigueur du climat comme les radiations cosmique ne peuvent être invoqué en ce qui concerne les ossements ensevelis. au contraire, les radiations pénètrent à de grandes profondeurs;
Les mesure faits sur les fossiles retrouvés n'attestent pas d'une dégradation des radioéléments par des bactéries.
Ni le contraire tout dépend du genre de radioactivité concerné ! Et pourtant de nombreux espoirs sont fondés sur les bactéries en milieu radioactif dangereux pour les formes organiques.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Deinococcus_radiodurans
Pour autant que je sache, les résidus minéraux organiques ne sont pas radioactifs, je n’ai rien trouvé sur le sujet en tout cas. (indépendamment du C14)
Citation:
Forces étant apparues par hasard et s’ordonnant en des lois rigoureuses qui permettent aux astro- physiciens comme aux physiciens, chimistes et mathématiciens de travailler avec rigueur. On est loin de l’information hors de l’espace temps de Roddier qui n’est qu’une formulation technique de ce que le rabbin désignait sous le terme dieu en tant que créateur. Ah, la sémantique
!
L’invocation d'un démiurge ne résous nullement le problème de l'apparition de l'Univers,elle le reporte, nuance.
Car se même demiurge dois alors lui même être apparu par hasard....ou alors il aurait fallut qu'il soit éternel...mais dans ce cas pourquoi ne pas invoquer les mêmes caractéristiques aux lois de la nature?
Cela fait l'économie d'un démiurge...

Tu mets le doigt là où c’est sensible ! La réponse est effectivement d’ordre philosophique et psychologique plutôt que scientifique puisqu’elle dépasse ce cadre là , mais c’est un autre sujet à ne pas mélanger avec le premier.
Je redonne donc un avis « entre parenthèses ». Un choix philosophique est toujours lié à la société dans laquelle l’individu évolue (on n’adhère ou ne réfute pas quelque chose d’ignoré). La forme actuelle de l’athéisme est liée à la forme civilo-religieuse qui a dominé pendant des millénaires et est donc plus un phénomène de rejet global (les révolutions françaises ou soviétiques par exemple) où les systèmes dominants sont contestés puis déboulonnés de leur piédestal, laissant un vide à combler. Notre culture « catholicisée » et obscurantiste moyenâgeuse ne pouvait être comparée à la culture musulmane ou plus orientale où les sciences faisaient partie de la culture et de l’assimilation des connaissances quelles qu’elles soient, y compris celles qui font peur aux rationalistes actuels. De ce fait la crise anti religieuse n’a et n’avait pas d’objet dans ces cultures ouvertes aux savoirs. Science et foi se confortant mutuellement.
C’est ce qu’en psychanalyse on appelle le rejet du père (et plus globalement des autorités) ou complexe d’Œdipe. Or on ne rejette pas un père aimé mais seulement un père détesté, allant jusqu’au rejet de la filiation qu’elle soit génétique ou culturelle.
D’où ta réflexion légitime sous cet angle de détestation « je n’ai pas besoin du père » ou « faire l’économie d’un démiurge » en lui attribuant la responsabilité, que tu as plusieurs fois évoqué, des déviances des systèmes religieux. Il est vrai que dans des situations pareilles entre avoir un père violent, injuste et rien,( ce qui présuppose effectivement un tel état dans le cas d'un créateur non humain) le rien est toujours mieux ! Ce qui, malgré tout ne change rien à la réalité biologique que sans géniteur, le fruit de la reproduction n’aurait même pas la possibilité de contester cette paternité.
Sans tenir compte de ce cadre historico- socio-théologico, etc… la position actuelle de l’athéisme ne peut se comprendre.
C'est là toute la différence entre le matérialisme et le spiritualisme, dans ce dernier cas,un étage supplémentaire a été rajouté(Dieu).
Ou simplement reconnaitre que cet étage n’a pas été rajouté, mais retranché par la philosophie athée.
En réalité aucun de ses deux modes de pensée ne permet de répondre clairement à la question ultime des origines,elle finissent toute deux par une aporie.
C’est en partie exact, en partie seulement, car cela ne tient pas compte de l’expérience vécue des milliers (millions, milliards ?) de situations vécues qui ne collent pas au modèle du hasard, de l’indéterminisme.
Mais il va de soi que sans passer par cette expérience, elle peut être contestée par principe.
Ps: c'est Philippe Guillemant et non François Roddier qui postule l'existence d'une information hors espace temps.
mille excuses pour la confusion !
Citation:
Et rebelotte, c’est reparti pour une référence théologique, c’est du dédelecco pur ! Pour l’instant on en est aux sciences pas aux religions. D’où les formulations que j’ai utilisée rapidement dès que cela a dévié en chasse aux sorcières. Pour éviter ces mélanges , j’ai reformulé en: « d’intervention extérieure »

J'ai surtout l'impression que tu ne veut surtout pas en venir aux faits théologique(qui est une science!).
Fausse impression ! En effet la théologie ne se résume pas à celle du monothéisme, mais recouvre toutes les formes de pensée se référant à n’importe quelle divinité, or je ne « maitrise « qu’un petit peu le monothéisme biblique qui n’a de valeur que pour ceux qui s’y référencent.
Ta position est simple et c'est la stratégie de nombreux créationniste: ne pas abordé la question religieuse(qui serait vite invalidé)
Ouarf, ouarf !:cheesy:
et mettre en avant un soi disant discours scientifique(en éludant bien entendu tout les principes et théories dérangeantes!)en se cachant derrière les imprécisions et doutes qui découle de l'étude des faits, pour introduire un discours pouvant facilement tromper le non spécialiste.
Joli mantra ! A force de te le répéter tu vas finir par y croire!
Tu ne me fera jamais croire que l'hypothèse que tu défends à une finalité scientifique,elle est purement idéologique et la moindre des chose serait de l'avouer!
Non seulement j’avoue, mais je me recommande même non pas d’une idéologie, mais d’un postulat comme n’importe quelle philosophie. Or même si science matérielle et philosophie ne s’harmonisent pas toujours, elles n’en sont pas nécessairement incompatibles pour autant comme le montrent tous les scientifiques et philosophes croyants en un dieu créateur.
Citation:
C’est sans importance que l’érosion soit supérieure ou inférieure à la sédimentation
.
Au contraire cela est fondamentale!
Une couche de plusieurs centaines de mètres permet une protection des dits fossiles pendant une période très longue
.
Seulement si cette couche est consécutive à un recouvrement massif et brutal, (ce que je souligne depuis le commencement) mais pas dans le cas d’une sédimentation et/ou d’un érosion lente comme le veut la théorie elle-même.
Dans le cas du GC, certaines strates ont été érodées,laissant derrière elles des strates plus anciennes qui furent recouverte par de "nouveaux" dépôts, accroissant de faits la protection des restes fossilisés.
Cela ne change rien au fait que toute érosion aurait supprimé les fossiles témoignages de l’évolution progressive de la vie, lesquels sont encore présents quels que soient les sites répandus sur cette terre.
Le calcaire de Kaibab situé au sommet du grand Canyon atteste d'une période de plus de 200 millions d’années,ou sont les périodes plus récentes?
200 millions d’après la théorie uniquement, (encore cette quantification qui veut s'imposer) ce qui ne signifie pas pour autant la réalité elle-même. Il ne suffit pas de dogmatiser, il faut aussi démontrer. Or que démontre la réalité du terrain : des couches minérales indiquant uniquement une période de dépôt ou de formation, pas leur âge (sauf dans le dogme évolutionniste)
Simple: non formé car situé a une époque ne permettant pas des conditions de sédimentation suffisante ou érodé.
Ce serait contraire à la géologie qui soutient que l’érosion est liée à des agents érodeurs comme l’eau, le vent qui étaient bien plus accentués qu’actuellement. Supposer des périodes de millions d’années sans érosion, n’est qu’un phantasme.
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par sen-no-sen » 06/07/14, 14:36

janic a écrit :Dans l’hypothèse de la zonation (qui est plus qu’une hypothèse puisque reconnue, mais pas appliquée à la théorie de l’évolution) le recouvrement catastrophique permet de concevoir (et de le vérifier géologiquement) que des masses énormes de terres se déplacent sous l’effet des eaux sur des milliers de km et quasiment sans mélange.


Il faudrait que tu explique comment une couche situé a 500 m de profondeur pourrait être altéré par un phénomène en surface!


Pour autant que je sache, les résidus minéraux organiques ne sont pas radioactifs, je n’ai rien trouvé sur le sujet en tout cas. (indépendamment du C14)


Tout est radioactif,mais à des doses plus ou moins importante en fonction des régions.
Les organismes vivant intègrent dans leurs structures osseuses des composants issus de la dégradation de ses radioéléments(isotopes).
La désintégration de ses derniers est régulière,on peut donc la mesurer pour avoir des données précises (géologiquement parlant!)sur l'age d'un fossiles ou d'un objet(exemple avec les vestiges pharaonique).




Seulement si cette couche est consécutive à un recouvrement massif et brutal, (ce que je souligne depuis le commencement) mais pas dans le cas d’une sédimentation et/ou d’un érosion lente comme le veut la théorie elle-même.


Le problème c'est qu'il s'agit d'une affirmation totalement péremptoire!
Les exemple ne manque pas et il peuvent être constatés de nos jours:par exemple lorsqu'un étang s’assèche il laisse derrière lui une couche de sédiments.
Il s'ensuit généralement un recouvrement végétale de la zone asséché,qui lors d'un nouvel épisode de cru va disparaitre au profit d'un nouveau dépôt sédimentaire.
Un carottage de la zone permet alors de visualisé les différentes période d'asséchement puis d'inondation.

Cela ne change rien au fait que toute érosion aurait supprimé les fossiles témoignages de l’évolution progressive de la vie, lesquels sont encore présents quels que soient les sites répandus sur cette terre.

Je me répète,si un grand nombre de fossiles ont disparut c'est justement parce que l'érosion les a effacés.
On ne retrouve des fossiles que dans les zones protégés des phénomènes d'érosion,généralement suite à un émergement de la zone par un lac ou un océan primitif.
Sur le site du grand Canyon,"l'age des Dinosaure"(Trias,Jurassique,Crétacé) à été entièrement effacé.


Il ne suffit pas de dogmatiser, il faut aussi démontrer. Or que démontre la réalité du terrain : des couches minérales indiquant uniquement une période de dépôt ou de formation, pas leur âge (sauf dans le dogme évolutionniste)


Et bien démontre mon cher!
Démontre comment un ensemble de strate de près de 2500m d'origine sédimentaire, a pu se déposer en un temps relativement court!

Ce serait contraire à la géologie qui soutient que l’érosion est liée à des agents érodeurs comme l’eau, le vent qui étaient bien plus accentués qu’actuellement. Supposer des périodes de millions d’années sans érosion, n’est qu’un phantasme.


Comme mentionné, l'érosion dépend d'un facteur d'équilibrage entre accrétion vs érosion.
Les Alpes culmines à plus de 2000m malgré des millions d'années d'érosion,comment tu explique cela? :lol:
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par sen-no-sen » 06/07/14, 15:37

Janic a écrit:

C’est ce qu’en psychanalyse on appelle le rejet du père (et plus globalement des autorités) ou complexe d’Œdipe. Or on ne rejette pas un père aimé mais seulement un père détesté, allant jusqu’au rejet de la filiation qu’elle soit génétique ou culturelle.
D’où ta réflexion légitime sous cet angle de détestation « je n’ai pas besoin du père » ou « faire l’économie d’un démiurge » en lui attribuant la responsabilité, que tu as plusieurs fois évoqué, des déviances des systèmes religieux.


Il s'agit d'une lecture Freudienne...
Un point intéressant,tu parle du rejet du "père".
Hors et c'est là que se trouve la clé de la solution,l'on a, à travers les âges attribué arbitrairement un caractère masculin à l'origine des origines.

Cela s'explique par le fait que la société ou à été popularisé l'idée d'un Dieu unique, était clairement patriarcale: "le seigneur",le père éternel" puis finalement Dieu (pourquoi pas Déesse, puisque c'est la femme qui met au monde!!!).

La notion de Dieu est à mettre en rapport avec la notion de l'égo masculin:si fiers de ses créations l'homme ne peut accepter l'idée qu'il soit le fruit d'un processus aléatoire parmi une myriade d'autre,il c'est donc inventé une origine glorieuse ET masculine,sorte de surhomme:Dieu.

Hors, à la lumière de l'exégèse historico-critique,aucune, je dis bien aucune référence à un tel être n'existe.
La notion de Dieu est une conceptualisation antropomorphique construite à posteriori par des hommes qui voulaient crée par le biais du slogan une nouvelle société.

A l'origine des grands courants spirituels tels que le judaïsme et l'Hindouisme se trouve l'idée de monisme, qui se caractérise par ce que la Kabbale appel l'Ein Sof et les Hindous L'Atman,concept qui renvoi a l'idée d'un Absolu inconcevable et inintelligible, totalement dépourvu de caractère humain tel que l'intelligence,le dessein ou le finalisme...

Tout les attributs donné à Dieu, ainsi que le terme lui même,n'est qu'une construction à finalité sociétale et politique.
Il n'est donc pas illogique d'avoir vu apparaitre à travers la notion de matérialisme dialectique un système contre culturelle a finalité identique mais affirmant l'inverse...

Pourtant,à la lumière des textes de la Traditions,les deux concepts apparaissent comme manifestement réducteurs et erronés....
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par janic » 06/07/14, 16:43

janic a écrit:
Dans l’hypothèse de la zonation (qui est plus qu’une hypothèse puisque reconnue, mais pas appliquée à la théorie de l’évolution) le recouvrement catastrophique permet de concevoir (et de le vérifier géologiquement) que des masses énormes de terres se déplacent sous l’effet des eaux sur des milliers de km et quasiment sans mélange
.
Il faudrait que tu explique comment une couche situé a 500 m de profondeur pourrait être altéré par un phénomène en surface!
Avant d’être en profondeur, il faut d’abord qu’elle ait été en surface, c’est le propre de tout mille feuilles. Et si elle se trouve en surface (sauf enfouissement qui de fait bouleverserait les couches géologiques et donc les fossiles inclus qui, toujours selon la théorie, sont les témoins de l’évolution biologique par leur ordre successif visible sur n’importe quelle planche décrite concernant l’évolution.) elle s’érode jusqu’au prochain recouvrement brutal et du coup élimine, pendant des centaines de millions d’années, ces fossiles témoins de l’évolution classique :
les bactéries et algues jusqu’au cambrien ; les mousses, radiolaires, éponges,méduses,etc.. au cambrien ; les prêles fougères, lycopodes, conifères,etc . au carbonifère ; et les amphibiens, les oiseaux, mammifères, insectes et humains entre le carbonifère et le quaternaire, etc… tout chamboulement dans cet ordre dit d’apparition ficherait par terre la théorie.
Citation:
Pour autant que je sache, les résidus minéraux organiques ne sont pas radioactifs, je n’ai rien trouvé sur le sujet en tout cas. (indépendamment du C14
)
Tout est radioactif,mais a des doses plus ou moins importante en fonction des régions
Les organismes vivant intégrent dans leurs structure osseuse des composants issus de la dégradation de ses radioéléments(isotopes).
La réintégration de ses derniers est régulière.
On peut donc la mesurer pour avoir des données précises (géologiquement parlant!)sur l'age d'un fossiles ou d'un objet(exemple avec les vestiges pharaonique).
.
Cela ne fonctionnerait que SI ces radioélements avaient des durées de vie dépassant des millions, voire de milliards pour les fossiles les plus anciens , or pour le calcium (il serait plus juste de dire les calciums) les durées de vie sont estimées de quelques ns à quelques ms et jusqu’à des milliards d’années pour le calcium 48 et rien sur le calcium organique qui est souvent un composé d'ailleurs;.
Si tu trouves quelque chose de précis !
Citation:
Seulement si cette couche est consécutive à un recouvrement massif et brutal, (ce que je souligne depuis le commencement) mais pas dans le cas d’une sédimentation et/ou d’un érosion lente comme le veut la théorie elle-même
.
Le problème c'est qu'il s'agit d'une affirmation totalement péremptoire!
Les exemple ne maque pas et il peuvent être constaté de nos jours:par exemple lorsqu'un étang s’assèche il laisse derrière lui une couche de sédiments.
Il s'ensuit généralement un recouvrement végétale de la zone asséché,qui lors d'un nouvel épisode de cru va disparaitre au profit d'un nouveau dépôt sédimentaire.
Un carottage de la zone permet alors de visualisé les différentes période d'asséchement puis d'inondation
.
C’est exact et c'est aussi un argument des scientifiques créationniste. Ces périodes sédimentaires piègent des formes de vie adaptées au milieu et, selon l’évolutionnisme, il faudrait des millions de ces sédimentations pour établir une échelle progressive de l’évolution du vivant. Or ce n’est pas le cas !Ces sédimentations de tourbe devraient se transformer en charbon sous la pression des tonnes de roches les recouvrant ensuite, mais on n’en trouve pas dans ou entre les roches en question. Donc où elles n’ont pas existé ; ou elles ont été érodées avant un recouvrement sédimentaire et donc plus de témoignages fossiles.
Enfin pour être recouvert de végétaux, il faut…de la végétation qui n’est supposée apparaitre qu’au dévonien/carbonifère donc avec des sols nus entre temps, soit quelques centaines de millions d’années (toujours selon la théorie) après le cambrien et il n’y aurait eut aucune érosion entre temps, juste de la sédimentation ?
Citation:
Cela ne change rien au fait que toute érosion aurait supprimé les fossiles témoignages de l’évolution progressive de la vie, lesquels sont encore présents quels que soient les sites répandus sur cette terre.

Je me répète,si un grand nombre de fossiles ont disparut c'est justement parce que l'érosion les effacés.
De ce fait sans témoignages fossiles comment prétendre une évolution progressive du simple vers le complexe ? il serait bizarre que seuls les tenants et aboutissants biologiques aient été préservés et que tous les chainons intermédiaires aient de ce fait disparus.
On ne retrouve des fossiles que dans les zones protégé par le phénomènes d'érosion,généralement suite à un émergement de la zone par un lac ou un océan primitif.
Et nous voilà revenus au cheval de bataille des créationnistes : les catastrophes pouvant seules induire des strates protégées. Mais en même temps si l’on comptabilise l’ensemble des roches fossilisées comme consécutives aux catastrophes qui doivent recouvrir les fossiles d’un manteau minéral suffisamment épais (des dizaines ou centaines de m comme tu l’as si bien signalé précédemment), cela bouleverse le comput de la colonne géologique. Chaque mètre correspondant à 0.003 mm/an quelques centaines de mètres représenteraient quelques millions d’années à soustraire à chaque fois de la colonne géologique progressive de la théorie incluant des fossiles.
Sur le site du grand Canyon,"l'age des Dinosaure"(Trias,Jurassique,Crétacé) à été entièrement effacé.
Ou bien il n’y avait pas de dinosaures dans ces régions là. La terre n’est pas Jurassic park réduit à quelques hectares. La surface actuelle des terres émergées est des 149.400.000 km2 c'est-à-dire qu’a raison d’un dinosaure par km2 (tous confondus), on pourrait en caser 149 millions et il est probable qu’ils fussent plus nombreux par km2 (mais pas pour autant couvrant la terre entière : les zonations en question.)
Citation:
Il ne suffit pas de dogmatiser, il faut aussi démontrer. Or que démontre la réalité du terrain : des couches minérales indiquant uniquement une période de dépôt ou de formation, pas leur âge (sauf dans le dogme évolutionniste
)
Et bien démontre mon cher!
Démontre comment un ensemble de strate de près de 2500m d'origine sédimentaire, a pu se déposer en un temps relativement court!

C’est possible avec des catastrophismes importants et successifs comme on peut le constater à petite échelle avec nos petits déluges de quelques heures charriant des masses importantes sur de longues distances sur des terres protégées par la végétation en plus. Multiplie ces « déluges » par mille ou plus et cela te donnera une idée des forces de la planète.
Et ce n’est pas une vue de l’esprit d’immenses déplacements ont été constatés, sur des milliers de km de surface et de distance, pour nos petites catastrophes n’ayant pas une ampleur mondiale.
Citation:
Ce serait contraire à la géologie qui soutient que l’érosion est liée à des agents érodeurs comme l’eau, le vent qui étaient bien plus accentués qu’actuellement. Supposer des périodes de millions d’années sans érosion, n’est qu’un phantasme
.
Comme mentionné l'érosion dépend de l'équilibrage entre accrétion vs érosion.
Les Alpes culmines à plus de 2000m malgré des millions d'années d'érosion,comment tu explique cela?

Sauf si les millions d’années n’en sont pas ! L’on retrouve des sédiments marins à quelques milliers de m sur la plupart des montagnes, ce qui peut signifier autant un soulèvement que d’un niveau des eaux élevé (ou d’un conjugaison des deux) Or, en montagne, la sédimentation ne peut être évoquée pour les parties hautes (ce que soulignait le doctorant cité) seule l’érosion peut être évoquée et elle ne se limite pas à 1 mm en parties hautes. La présence de sédiments marin montrerait une surrection plus récente que proposé par la théorie puisqu’à raison de 1 mm /an en 4.000.000 d’années la montagne aurait disparu ou bien que 2000 m ont déjà été érodés,etc… bien des cas de figures peuvent être évoqués et malgré nos moyens (ainsi que le disait encore le doctorant pour l’Himalaya) il subsiste encore de nombreuses suppositions, faute de maitriser tous les paramètres d’une époque passée dont les conditions ont été très probablement différentes d’actuellement et donc l’actualisme, n’y est pas forcément applicable.
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par sen-no-sen » 06/07/14, 21:32

janic a écrit :
Avant d’être en profondeur, il faut d’abord qu’elle ait été en surface, c’est le propre de tout mille feuilles. Et si elle se trouve en surface (...)elle s’érode jusqu’au prochain recouvrement brutal et du coup élimine, pendant des centaines de millions d’années, ces fossiles témoins de l’évolution classique




Tu note: si elle se trouve en surface (...)elle s’érode jusqu’au prochain recouvrement brutal et du coup élimine(...).
Si l'on reprends l'exemple du Grand Canyon il apparait que les strates qui le compose se sont déposé à une période ou la dite formation était situé sous les eaux.
Hors ce qui va permettre la sédimentation dans un tel cas, c'est la quantité d'alluvions en suspension,et dans ce cas présent, un taux de sédimentation supérieur au taux d'érosion marine d’où les dépôt sédimentaire.
Si tu ne me crois pas va jeter un coup d’œil dans la baie du mont St Michel...

Cela ne fonctionnerait que SI ces radioélements avaient des durées de vie dépassant des millions, voire de milliards pour les fossiles les plus anciens , or pour le calcium (il serait plus juste de dire les calciums) les durées de vie sont estimées de quelques ns à quelques ms et jusqu’à des milliards d’années pour le calcium 48 et rien sur le calcium organique qui est souvent un composé d'ailleurs;.
Si tu trouves quelque chose de précis !


Tu oublie la conversion des radioéléments en isotopes...le C14 en N14 par exemple au bout d'une période de 10 000 ans ou le le Rubidium en Strontium au bout de plusieurs milliards d'années...
http://fr.wikipedia.org/wiki/Datation_par_le_couple_rubidium-strontium



C’est exact et c'est aussi un argument des scientifiques créationniste. Ces périodes sédimentaires piègent des formes de vie adaptées au milieu et, selon l’évolutionnisme, il faudrait des millions de ces sédimentations pour établir une échelle progressive de l’évolution du vivant. Or ce n’est pas le cas !Ces sédimentations de tourbe devraient se transformer en charbon sous la pression des tonnes de roches les recouvrant ensuite, mais on n’en trouve pas dans ou entre les roches en question.


Je t'invite dans se cas a visiter une mine...



Enfin pour être recouvert de végétaux, il faut…de la végétation qui n’est supposée apparaitre qu’au dévonien/carbonifère donc avec des sols nus entre temps, soit quelques centaines de millions d’années (toujours selon la théorie) après le cambrien et il n’y aurait eut aucune érosion entre temps, juste de la sédimentation ?


Je le répète(X5) affirmer comme tu le dit " il n’y aurait eut aucune érosion entre temps, juste de la sédimentation? " et un raisonnement complétement borné,c'est l'équilibrage entre les deux qui fait pencher la balance entre accrétion et dépôt,il y a donc affrontement permanent entre ses deux phénomènes.
Dans le cas de la baie du Mont St Michel c'est actuellement l'accrétion qui gagne, dans le grand canyon c'est l'érosion...

Et pour rappel, l'actuel site du Grand Canyon était autrefois sous les eaux,comme une partie des Alpes de haute Provence par ailleurs!


""Le précambrien antérieur (2 milliards d'années) : à cette époque, une mer recouvrait la région(grand Canyon ndlr). Le sable et la vase se sont déposés au fond en couches horizontales, qui furent recouvertes par la lave des volcans".


http://www.mineraux-du-monde.com/sites-g%C3%A9ologiques-remarquables/grand-canyon-arizona-usa/



Et nous voilà revenus au cheval de bataille des créationnistes : les catastrophes pouvant seules induire des strates protégées.


Quelles catastrophes,précises!
De telles catastrophes auraient du laissé des traces au niveau mondial et notamment être répertorié dans les cernes des arbres les plus anciens,cela n'est pas le cas...


Chaque mètre correspondant à 0.003 mm/an quelques centaines de mètres représenteraient quelques millions d’années à soustraire à chaque fois de la colonne géologique progressive de la théorie incluant des fossiles.


D’où tire tu ses 0,003mm par an?


Ou bien il n’y avait pas de dinosaures dans ces régions là. La terre n’est pas Jurassic park réduit à quelques hectares. La surface actuelle des terres émergées est des 149.400.000 km2 c'est-à-dire qu’a raison d’un dinosaure par km2 (tous confondus), on pourrait en caser 149 millions et il est probable qu’ils fussent plus nombreux par km2 (mais pas pour autant couvrant la terre entière : les zonations en question.)


Et si!
Sur le site de GC les strates datant de l'époque des Dinosauriens ont été effacé,mais cela n'est pas le cas au Parc national de la Forêt pétrifiés situé a 200km de là ou l'on retrouce des fossiles de Coelophysis ...

"Les milliers de troncs fossilisés de la forêt pétrifiée datent du trias (environ 200 millions d'années2). a région était alors occupée par le delta d'un fleuve sur les rives duquel poussaient des arbres géants. LAprès leur mort, ils furent enfouis sous des dépôts sédimentaires riches en silice, ce qui favorisa la conservation de leur structure. La silice remplaça lentement la matière végétale et fossilisa les troncs. Progressivement, la région s'enfonça et fut ensevelie sous des strates sédimentaires. Son soulèvement récent, conjugué à l'érosion permit la mise au jour des troncs fossilisés".


C’est possible avec des catastrophismes importants et successifs comme on peut le constater à petite échelle avec nos petits déluges de quelques heures charriant des masses importantes sur de longues distances sur des terres protégées par la végétation en plus. Multiplie ces « déluges » par mille ou plus et cela te donnera une idée des forces de la planète.


Oui on appelle cela un cyclone et cela ne soulève pas les montagnes...
Seul des épisodes volcanique aurait pu engendre des modifications en rapport avec tes dires,et coup de bol on les a très bien identité via la stratigraphie.
L'hypothèse que tu défends(catastrophisme ultra-rapide) n'est pas possible pour deux raisons:
1) Aucune trace d'un tel phénomènes,les formation rocheuses actuelle résulte de phénomène puissant mais lent,en atteste les simulations en laboratoire.
2)La géophysique terrestre n'est pas en mesure de déployé une telle puissance tectonique en si peu de temps.

Sauf si les millions d’années n’en sont pas ! L’on retrouve des sédiments marins à quelques milliers de m sur la plupart des montagnes, ce qui peut signifier autant un soulèvement que d’un niveau des eaux élevé (...)


faux, déjà exposé(X3!), la quantité d'eau sur terre ne permettrais pas une augmentation du niveau des océans au delà des 85m...quant à une modification de la géographie du globe en peu de temps c'est impossible en raison du point n°2 énuméré ci dessus...



L Or, en montagne, la sédimentation ne peut être évoquée pour les parties hautes (ce que soulignait le doctorant cité) seule l’érosion peut être évoquée et elle ne se limite pas à 1 mm en parties hautes.


Sauf que les dites montagnes en question (ex Alpes)...étaient autrefois sous les océans primitifs...


La présence de sédiments marin montrerait une surrection plus récente que proposé par la théorie puisqu’à raison de 1 mm /an en 4.000.000 d’années la montagne aurait disparu ou bien que 2000 m ont déjà été érodés,etc…


Encore faux,puisque un taux d'érosion de l'ordre de 1mm/par an ne s'observe que dans les massifs a fort dénivelé,il n'est donc pas possible de tenir un tel raisonnement dès la "pousse" de la montagne.

Il y a deux paramètres antagonistes à considérer: l'érosion qui abaisse la chaîne et le rééquilibrage isostatique qui la soulève. On considère que l'érection de la chaîne ne dure que quelques millions d'années à peine, soit de 2 à 5 Ma. Dans la dernière phase de l'érection de la chaîne, on peut dire que le taux d'érosion est égal au taux de soulèvement. On estime qu'à la fin de cette phase, pour une surrection absolue de 6000 m, il y a eu l'équivalent de 1000 m d'érosion; la surface de la chaîne se trouve donc à 5000 m d'altitude. L'érosion sera plus efficace sur des reliefs jeunes et accentués que sur des reliefs plus vieux aplanis. Il s'ensuit que le taux d'abaissement sera plus élevé au départ et qu'il décroîtra progresssivement avec le temps. Le rééquilibrage isostatique par rapport à l'érosion se fait dans une proportion de 4:5 (c'est-à-dire que pour 5 m d'érosion, il y a une remontée de 4 m). Le taux initial d'érosion de la chaîne est évalué à 1 mètre par 1000 ans (= 1000 m/Ma), ce qui donne un taux net d'abaissement de la chaîne de 200 m/Ma (soit une érosion de 1000 m et une remontée de 800 m pour respecter le rapport de 4:5). Mais le rythme de l'érosion diminue avec l'aplanissement progressif des reliefs. La courbe montre qu'après 15 Ma, la surface est abaissée à la moitié de sa hauteur initiale et que le taux net d'abaissement de la surface y est de 100 m/Ma. Après 30 Ma, la surface est abaissée au quart de sa hauteur initiale, avec un taux d'abaissement net de 50 m/Ma. En 60 Ma, la chaîne de montagnes est réduite à un nouveau segment de bouclier qui progressivement tend vers le profil de base (niveau zéro) qui serait atteint théoriquement après 90 Ma.

http://www2.ggl.ulaval.ca/personnel/bourque/s3/erosion.isostasie.html
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par janic » 07/07/14, 17:59

Sen no sen bonjour
janic a écrit:

Avant d’être en profondeur, il faut d’abord qu’elle ait été en surface, c’est le propre de tout mille feuilles. Et si elle se trouve en surface (...)elle s’érode jusqu’au prochain recouvrement brutal et du coup élimine, pendant des centaines de millions d’années, ces fossiles témoins de l’évolution classique

Tu note: si elle se trouve en surface (...)elle s’érode jusqu’au prochain recouvrement brutal et du coup élimine(...).
Si l'on reprends l'exemple du Grand Canyon il apparait que les strates qui le compose se sont déposé à une période ou la dite formation était situé sous les eaux
.
L’érosion comme la sédimentation sous l’eau peuvent-être équivalents à ceux de la surface. Ce sont les courants de turbidité qui se déplacent sous l’eau à des vitesses importantes (100km heure , voire plus) par exemple on retrouve en Espagne des mégaturbidités allant jusqu’à 200m de hauteur et un volume de 200 km3.
Seguret M, Labaume P, Madariaga R : Marine geology
Il a été calculé que la capacité de transport d’un courant d’eau est proportionnelle à la puissance 3 ou 4 de sa vitesse. Donc si une vitesse naturelle est multipliée par 10, l’eau peut donc transporter de 100 à 1000 fois plus de sédiments en des temps très courts.
Holmes A: Principles of physical geology.
Après avoir été longtemps niés, ces turbidités on été reconnues au milieu du 20° siècle « des dizaines de milliers de strates a granuloclassement entassées les unes sur les autres ont été reconnues comme des dépots de courants de turbidité » Walker Rg Mopping up the turbidite mess.
"Ceux-ci sont considérés maintenant comme l’un des types les plus communs de roches sédimentaires » middleton GV Sediment deposition from turbidity current. Annual review of earth and planetary science.
Or ce qui va permettre la sédimentation dans un tel cas, c'est la quantité d'alluvions en suspension,et dans ce cas présent, un taux de sédimentation supérieur au taux d'érosion marine d’où les dépôt sédimentaire.
Si tu ne me crois pas va jeter un coup d’œil dans la baie du mont St Michel...

Le Mont ST Michel n’est pas représentatif d’un catastrophisme mais d’un lent déplacement d’alluvions, lesquelles n’enfouissent aucun animal marin, ceux-ci étant dévorés avant une hypothétique fossilisation future. Or si les coquilles minérales se retrouvent en quantité, on ne retrouve aucun corps mou, ni arêtes et encore moins d’os de mammifères, contrairement aux fossiles des strates.
Citation:
Cela ne fonctionnerait que SI ces radioélements avaient des durées de vie dépassant des millions, voire de milliards pour les fossiles les plus anciens , or pour le calcium (il serait plus juste de dire les calciums) les durées de vie sont estimées de quelques ns à quelques ms et jusqu’à des milliards d’années pour le calcium 48 et rien sur le calcium organique qui est souvent un composé d'ailleurs;.
Si tu trouves quelque chose de précis
!
Tu oublie la conversion des radioéléments en isotopes...le C14 en N14 par exemple au bout d'une période de 10 000 ans ou le le Rubidium en Strontium au bout de plusieurs milliards d'années...
http://fr.wikipedia.org/wiki/Datation_p ... -strontium

Justement, cela confirme que le matériau initial à un âge particulier, mais les radio éléments se transmutent avec des périodes de vie complètement différentes sans possibilité indiscutable de déterminer à quel moment précis ou sous quelle influence particulière ces transmutations ont eut lieu (concernant tous les éléments présents sur cette terre), tant les multiples composés sont divers, comme souligné pour les calciums aux demi-vies si différentes, et aux influences externes et internes du manteau.
par ailleurs en agronomie et sur les animaux, les transmutations biologiques montrent que si un produit radioactif, naturellement, est absorbé (donc indiquant un âge particulier) les transmutations biologiques les transforment en d’autres composés (comme la silice en calcium) avec une durée radioactive de vie différente. Or avec la perte de radio éléments, et pour permettre une mesure efficace, on doit connaitre avec certitude la composition d’un corps fossilisé. Or nous ne possédons en référence que les organismes actuels et donc nous ignorons quand, comment, sous quelles influences ces radio éléments ont permutés. C’est pourquoi la paléontologie comme la géologie s’appuient sur les analyses minérales des strates elles mêmes (en quantités significatives) et donc présupposent que les fossiles ont le même âge historique (puisqu’inclus dans ces roches) que la roche elle-même d’où ces millions d’années que donnent les mesures radioactives.
Citation:
C’est exact et c'est aussi un argument des scientifiques créationniste. Ces périodes sédimentaires piègent des formes de vie adaptées au milieu et, selon l’évolutionnisme, il faudrait des millions de ces sédimentations pour établir une échelle progressive de l’évolution du vivant. Or ce n’est pas le cas !Ces sédimentations de tourbe devraient se transformer en charbon sous la pression des tonnes de roches les recouvrant ensuite, mais on n’en trouve pas dans ou entre les roches en question
.
Je t'invite dans se cas a visiter une mine...
Le charbon en quantité importante vient de la transformation des forêts, pas des marécages, ce qui là encore signale un catastrophisme important. Les forêts actuelles, y compris les plus humides, quels que soient les pays concernés, ne se transforment pas en charbon, mais en « compost » réalimentant la végétation par son cycle de décomposition. Même les incendies ne fournissent pas du charbon naturellement. Or pour transformer de la tourbe en charbon par compression et élimination de son eau résiduelle, il faudrait non seulement d’immenses pressions mais des hauteurs de tourbe énormes et des recouvrements extrêmement importants. Or aucun lac ou océan naturel ne montre des hauteurs de sédiments organiques en quantité suffisantes pour y parvenir (on retrouve de la tourbe dans les mares sous oxygénées permettant une putréfaction des végétaux présents, encore faut-il de la végétation, qui n’existait pas du cambrien au carbonifère et donc pendant des centaines de millions d’années.)

Je le répète(X5) affirmer comme tu le dit " il n’y aurait eut aucune érosion entre temps, juste de la sédimentation? " et un raisonnement complétement borné,c'est l'équilibrage entre les deux qui fait pencher la balance entre accrétion et dépôt,il y a donc affrontement permanent entre ses deux phénomènes.
Evidemment qu’érosion et sédimentation se confrontent en permanence, mais nous raisonnons par rapport à un sol sans bouleversements majeurs, généralement couvert de végétation qui retient les sédiments (il suffit de voir les dégâts occasionnés en sol nus avec de tous petits déluges actuels). Or pour la xieme fois aussi, les sols hors eau sont soumis à une érosion permanente et les courants marins ne sont pas moindres.

Dans le cas de la baie du Mont St Michel c'est actuellement l'accrétion qui gagne, dans le grand canyon c'est l'érosion..
On ne peut comparer un effet lent comme le M St Michel actuellement visible et mesurable avec des roches fixées dans le temps où leur formation est supposée être telle que la théorie la propose en rejetant tout ce qui s’oppose au dogme, ce qui est intellectuellement et éthiquement douteux.
Et pour rappel, l'actuel site du Grand Canyon était autrefois sous les eaux,comme une partie des Alpes de haute Provence par ailleurs!
Déjà vu ci dessus

Citation:
""Le précambrien antérieur (2 milliards d'années) : à cette époque, une mer recouvrait la région(grand Canyon ndlr). Le sable et la vase se sont déposés au fond en couches horizontales, qui furent recouvertes par la lave des volcans".
http://www.mineraux-du-monde.com/sites- ... izona-usa/

Et nous voilà revenus aux volcans déjà examinés. En supposant des éruptions volcaniques identiques, il y a 2 milliards d’années, à celles- d’aujourd’hui (ce qui s’oppose à la vulgarisation qui est faite d’une intense activité volcanique) la terre serait recouverte DANS SA TOTALITE (donc y compris le fonds marins) d’un manteau de 4 km de hauteur. Ce qui comme le reste ne se constate nulle part. Donc :
ou l’activité volcanique fut moindre pendant ces milliards d’années et la tectonique des plaques comme la théorie elle-même rend ce schéma peu crédible
ou la durée historique proposée est encore une fois largement surestimée puisque s’appuyant non pas sur la réalité physique, mais sur une seule datation des roches.
Citation:
Et nous voilà revenus au cheval de bataille des créationnistes : les catastrophes pouvant seules induire des strates protégées
.
Quelles catastrophes,précises!
Pas besoin puisqu’une sédimentation lente ne permettrait pas de conserver intactes des formes organiques. Pourtant le cambrien donne une image de conservation étonnante.
De telles catastrophes auraient du laissé des traces au niveau mondial et notamment être répertorié dans les cernes des arbres les plus anciens,cela n'est pas le cas...
Pour autant il faudrait des arbres qui n’apparaitront (selon la théorie) que des centaines de millions d’années plus tard.
Pour les cernes : Les arbres ne répertorient que des petites « catastrophes » suffisamment faibles pour ne pas les déraciner. On se trouve donc dans des situations actuelles où les eaux ne restent que quelques jours avant d’être absorbées par le sol et les rivières et fleuves. En cas de véritables trombes d’eau pendant des semaines, voire des mois aucun sol ne peut absorber des quantités inhabituelles et le sol se ravine rapidement et encore plus en sols nus, dépourvus de végétation comme le cambrien.

Harlen Bretz, professeur de géologie à l’université de Chicago reçut en 1979 la Penrose Medal, la distinction la plus prestigieuse pour un géologue aux états unis. Pourtant lorsqu’il émit l’idée, en 1923, de catastrophisme, la communauté scientifique en totalité s’opposa à ce discours qui s’opposait lui même à l’uniformitarisme en cours avec de lents changements sur de longues périodes de temps, car ses idées (basées sur l’observation du terrain pourtant) se rapprochaient trop de l’idée, rejetée, du déluge biblique (il faut se rappeler des polémiques en cours entre évolutionnistes darwiniens et créationnistes conservateurs). En fait, « sur 40.000 km2, il avait observé d’immenses chenaux secs, parfois larges de plusieurs km, formant un dédale de buttes et de canyons creusés dans une roche volcanique dure. Contrairement, aux vallées fluviales qui ont une forme en V évasé en coupe transversale, ces chenaux montrent souvent des versants escarpés et un fond plat. De plus d’énormes amas de graviers fluviatiles pouvant se trouver à diverses altitudes. Des traces de centaines d’anciennes chutes d’eau, certaines atteignant jusqu’à 100m de hauteur ayant à leur pied de grandes marmites de géant. Comment ce paysage avait-il pu être formé ?
Bretz et ses collaborateurs trouvèrent l’origine des eaux de cette inondation. L’ancien Lac Missoula, plus à l’est avait accueillit 2.100 km3 d’eau. Certains indices indiquaient qu’un barrage de glace avait contenu le lac et une rupture brutale aurait libéré l’eau nécessaire pour produire les traces d’érosion visibles à l’ouest,….les rides du fond du lac Missoula avaient des rides inhabituelles de plus de 15 m de hauteur parfois et espacées de 150m . Certains géologues ont estimé que des km3 d’eau se sont écoulés à 108 km/h creusant dans la roche dure des chenaux en quelques heures ou quelques jours»

Citation:
Chaque mètre correspondant à 0.003 mm/an quelques centaines de mètres représenteraient quelques millions d’années à soustraire à chaque fois de la colonne géologique progressive de la théorie incluant des fossiles.
D’où tire tu ses 0,003mm par an?
Voir les calculs précédents !
Citation:
Ou bien il n’y avait pas de dinosaures dans ces régions là. La terre n’est pas Jurassic park réduit à quelques hectares. La surface actuelle des terres émergées est des 149.400.000 km2 c'est-à-dire qu’a raison d’un dinosaure par km2 (tous confondus), on pourrait en caser 149 millions et il est probable qu’ils fussent plus nombreux par km2 (mais pas pour autant couvrant la terre entière : les zonations en question.)



Et si!
Sur le site de GC les strates datant de l'époque des Dinosauriens ont été effacé,mais cela n'est pas le cas au Parc national de la Forêt pétrifiés situé a 200km de là ou l'on retrouce des fossiles de Coelophysis ...

Et alors ! 200 km de distance suffisent pour de zones écologiques différentes. Et comment les arbres se pétrifient-ils ? par recouvrement brutal anaérobie qui permet la fossilisation (la matière organique étant remplacé par la matière minérale du milieu ou elle se trouve)
Citation:
"Les milliers de troncs fossilisés de la forêt pétrifiée datent du trias (environ 200 millions d'années2). a région était alors occupée par le delta d'un fleuve sur les rives duquel poussaient des arbres géants. LAprès leur mort, ils furent enfouis sous des dépôts sédimentaires riches en silice, ce qui favorisa la conservation de leur structure. La silice remplaça lentement la matière végétale et fossilisa les troncs. Progressivement, la région s'enfonça et fut ensevelie sous des strates sédimentaires. Son soulèvement récent, conjugué à l'érosion permit la mise au jour des troncs fossilisés"
.
Lorsqu’un arbre meure ou est emporté par les eaux, il ne tombe pas au fond de l‘eau mais flotte jusqu’au prochain rivage. Pour se retrouver au fond de l’eau il faut qu’il soit (et pire pour des milliers en même temps) recouvert rapidement par une épaisse sédimentation qui l’empêche de remonter à la surface. Donc globalement (en dehors du facteur temps) les deux théories se recoupent plus ou moins. Et l’on retombe donc dans le facteur temps habituel.
"Le bois pétrifié est composé de bois fossilisé où toutes les traces de matière organique ont été remplacées par des minéraux (le plus souvent des silicates, comme le quartz), tout en gardant la structure originale du bois.
Le processus de pétrification se produit quand le bois est enterré sous une couche de sédiments, où il se conserve d'abord en raison d'un manque d'oxygène, avant qu'une eau riche en minéraux ne circule dans le sédiments et remplace peu à peu les cellules du bois par des minéraux. MOINS DE CENT ANS SONT PROBABLEMENT NECESSAIRES POUR QUE CERTAINS MORCEAUX DE BOIS PUISSENT ETRE PETRIFIES.
wikipedia
Pas besoin de millions d’années, ni même de milliers d'ailleurs !

Citation:
C’est possible avec des catastrophismes importants et successifs comme on peut le constater à petite échelle avec nos petits déluges de quelques heures charriant des masses importantes sur de longues distances sur des terres protégées par la végétation en plus. Multiplie ces « déluges » par mille ou plus et cela te donnera une idée des forces de la planète
.
Seul des épisodes volcanique aurait pu engendre des modifications en rapport avec tes dires,et coup de bol on les a très bien identité via la stratigraphie.
Je n’ai pas cité cela ! Le volcanisme actuel, malgré les km3 de poussière chaque année ne serait pas suffisant pour engendrer des montagnes, c’est évident (sauf quelques cas qui vont jusqu’à quelques milliers de m.,mais par ruissellement du magma) mais sur quelques milliards d’années les chiffres exploseraient au delà du visible actuellement. Toujours une question de temps !
L'hypothèse que tu défends(catastrophisme ultra-rapide) n'est pas possible pour deux raisons:
1) Aucune trace d'un tel phénomènes,les formation rocheuses actuelle résulte de phénomène puissant mais lent,en atteste les simulations en laboratoire
.
Absolument pas ! de nombreux exemples montrent le contraire comme par exemple l’ile de Surtsey au sud de l’Islande formée en quelques mois en 1963 et dont un chercheur disait : « ce qui ailleurs peut prendre des milliers d’années…. Peut se produire ici en quelques semaines ou même quelques jours. Sur l’ile de Surtsey, seuls quelques mois ont suffit pour créer un paysage si varié et si évolué que cela semble incroyable »Thorarinsson S. the new island in the north atlantic.

2)La géophysique terrestre n'est pas en mesure de déployé une telle puissance tectonique en si peu de temps.
Et vu plus tôt des poussées de 30 cm en 60 ans ?
"la plaque indienne qui se dirigeait vers le nord à la vitesse de 15 centimètres par année, a heurté la plaque eurasienne. Cette portion de l'océan Téthys, qui les séparait, a totalement disparu il y a environ 50 millions d'années. La plaque indienne continue à se déplacer à la vitesse constante d'environ 5 centimètres par année, s'enfonçant sous la plaque eurasienne et provoquant ainsi l'élévation de l'Himalaya et du plateau tibétain." wikipedia
Citation:
Sauf si les millions d’années n’en sont pas ! L’on retrouve des sédiments marins à quelques milliers de m sur la plupart des montagnes, ce qui peut signifier autant un soulèvement que d’un niveau des eaux élevé (...)

faux, déjà exposé(X3!), la quantité d'eau sur terre ne permettrais pas une augmentation du niveau des océans au delà des 85m...
sauf, encore une fois si les profondeurs des océans étaient moindres à une certaine époque
quant à une modification de la géographie du globe en peu de temps c'est impossible en raison du point n°2 énuméré ci dessus...
en partant des mouvements actuels uniquement. Tout le problème de l’actualisme. tu pourra remarquer qu' à part les scientistes pleins de certitudes, les spécialistes utilisent la plupart du temps un passé composé ou un conditionnel pour se laisser une porte de sortie come moi ci dessous.
Citation:
La présence de sédiments marin montrerait une surrection plus récente que proposé par la théorie puisqu’à raison de 1 mm /an en 4.000.000 d’années la montagne aurait disparu ou bien que 2000 m ont déjà été érodés,etc

Encore faux,puisque un taux d'érosion de l'ordre de 1mm/par an ne s'observe que dans les massifs a fort dénivelé,il n'est donc pas possible de tenir un tel raisonnement dès la "pousse" de la montagne.
Tout dépend de la valeur de la pousse en question et du milieu environnant. Personne n'était présent pour savoir les conditions sous lesquels ces montagnes se sont développées d'où ces fameux conditionnels de précaution.
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par moinsdewatt » 07/07/14, 20:25

et Janic qui continue d' essayer de démontrer l' indémontrable .....

sen-no-sen, vous ne devriez pas rester la.
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par sen-no-sen » 07/07/14, 20:34

janic a écrit :L’érosion comme la sédimentation sous l’eau peuvent-être équivalents à ceux de la surface.


Personne n'a mentionné le contraire!
Ma réponse faisait suite ta réaction concernant l'absence de végétation sur le sol terrestre au Pré-cambrien,alors que les dit dépôts se sont former sous les eaux...


Le Mont ST Michel n’est pas représentatif d’un catastrophisme mais d’un lent déplacement d’alluvions, lesquelles n’enfouissent aucun animal marin, ceux-ci étant dévorés avant une hypothétique fossilisation future.


Selon tes dire on ne devrait donc jamais retrouvé de fossiles dans les fonds marins...ce qui est faux...
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/7c1ae544-e589-11e2-99fe-9d7442c3ec89


par ailleurs en agronomie et sur les animaux, les transmutations biologiques montrent que si un produit radioactif, naturellement, est absorbé (donc indiquant un âge particulier) les transmutations biologiques les transforment en d’autres composés (comme la silice en calcium) avec une durée radioactive de vie différente.


C'est juste et c'est de cette façon que les datations sont réalisés!
Par exemple dans le cas du C14,on sais qu'au bout d'une période de 5000 ans la moitié de celui ci sera remplacé par du N14...même chose avec le Rubidium et le Strontium...


C’est pourquoi la paléontologie comme la géologie s’appuient sur les analyses minérales des strates elles mêmes (en quantités significatives) et donc présupposent que les fossiles ont le même âge historique (puisqu’inclus dans ces roches) que la roche elle-même d’où ces millions d’années que donnent les mesures radioactives.


Inexact:
1) La plupart des roches sédimentaires sont dites "métamorphiques" car résultant d'un long processus de transformation à travers les âges.
Ce type de transformation ne peut être imputé à un phénomène bref.

2)Les ossements contenus dans les fossiles contiennent leurs propre radio-éléments.
Si l'on suis ta logique d'un recouvrement brutale,on devrait mesurer des radioactivité différentes:une appartenant à l'organisme vivant...et l'autre à la roche qui l'entoure...et figure toi que ça n'est pas le cas!


Le charbon en quantité importante vient de la transformation des forêts, pas des marécages, ce qui là encore signale un catastrophisme important(...)


:arrow:
"La formation du charbon dans le sous-sol remonte à l'ère primaire dite "carbonifère", il y a 200 à 300 millions d'années. Recouverte de marécages, la terre connaît alors un climat chaud et humide. Des débris végétaux fermentent sous des sédiments, se superposent dans une atmosphère riche en gaz carbonique et se transforment en substances solides combustibles à haute teneur en carbone : la houille, le lignite et la tourbe. On appelle charbon ces roches sédimentaires contenant au moins 50 % de carbone."
http://www.ifpenergiesnouvelles.fr/espace-decouverte/les-cles-pour-comprendre/les-sources-d-energie/le-charbon

Tu mentionnais je cite:

Ces sédimentations de tourbe devraient se transformer en charbon sous la pression des tonnes de roches les recouvrant ensuite, mais on n’en trouve pas dans ou entre les roches en question.


Tu te contredis très bien,ce point invalide ENCORE une fois ta pseudo-hypothèse,car dans le cas d'un catastrophisme on devrait retrouvé partout sur terre des couches de charbon et des fossiles,compte tenu du fait qu'un recouvrement massif aurait étouffé toute une faune et une flore en même temps.

Hors les zones fossilifère réponde à des caractéristiques bien particulières(bassin sédimentaire),c'est pourquoi l'on ne retrouve pas des fossiles.



Lorsqu’un arbre meure ou est emporté par les eaux, il ne tombe pas au fond de l‘eau mais flotte jusqu’au prochain rivage. Pour se retrouver au fond de l’eau il faut qu’il soit (et pire pour des milliers en même temps) recouvert rapidement par une épaisse sédimentation qui l’empêche de remonter à la surface. Donc globalement (en dehors du facteur temps) les deux théories se recoupent plus ou moins. Et l’on retombe donc dans le facteur temps habituel.


Encore une belle balle que tu te tire dans le pieds...explique moi pourquoi on ne retrouve pas sur l’ensemble du globe des paysages remplis de forêts pétrifiés?
Et pour quelles raisons nous ne pouvons trouver des espèces d'arbres récents pétrifiés?
Les arbres n'avaient pas de jambe pour échapper au Déluge! :lol:

Absolument pas ! de nombreux exemples montrent le contraire comme par exemple l’ile de Surtsey au sud de l’Islande formée en quelques mois en 1963 et dont un chercheur disait : « ce qui ailleurs peut prendre des milliers d’années…. Peut se produire ici en quelques semaines ou même quelques jours. Sur l’ile de Surtsey, seuls quelques mois ont suffit pour créer un paysage si varié et si évolué que cela semble incroyable »Thorarinsson S. the new island in the north atlantic.


Sauf que figure toi,sur le site de Surtsey on ne retrouve que des traces de roche volcanique et pas sédimentaire.
Aucune,je dis bien aucune formation de type calcaire ne peut se former à la vitesse d'un site comme en Islande...tu peut chercher longtemps!


Et vu plus tôt des poussées de 30 cm en 60 ans ?


Ses poussées sont soit extrêmement localisées soit particulièrement courtes.
Il n'est pas possible en terme de thermodynamique du globe d'avoir des modifications violentes de ce type partout sur terre et en même temps.

j'ai mentionné:

quant à une modification de la géographie du globe en peu de temps c'est impossible en raison du point n°2 énuméré ci dessus...

Auquel tu réponds:
en partant des mouvements actuels uniquement.


Ce qui ne veut strictement rien dire...
Quel que soit les mouvements actuels ou passés, les force tectoniques sont d'ordre thermodynamique.
Ainsi, plus les phénomènes géophysiques sont violents,plus ils demande de l'énergie et donc plus de chaleur...
Pour disposer de déplacements tectoniques très violents sur des période géologiquement ultra-courte,il serait nécessaire d'avoir un noyau terrestre beaucoup plus actif,ce qui se traduirait par des formations géologiques particulières attestant de cette super-activité.

Autre point,un regain d'activité géophysique ne peut s'expliquer sans raison,à toi de répondre donc?
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par janic » 08/07/14, 12:45

Sen no sen bonjour
janic a écrit:
L’érosion comme la sédimentation sous l’eau peuvent-être équivalents à ceux de la surface
.
Personne n'a mentionné le contraire!
Ma réponse faisait suite ta réaction concernant l'absence de végétation sur le sol terrestre au Pré-cambrien,alors que les dit dépôts se sont former sous les eaux...

Pas exactement, j’ai signalé (selon les tableaux de la géologie classique) que jusqu’au carbonifère, il n’y avait pas encore de végétation ce qui fait un paquet de centaines de millions d’années en sols nus.
Maintenant les deux peuvent être indépendants sur le plan géologique. Lorsque les formes de vie marine se sont trouvées enfouies et sédimentées, cela n’implique pas pour autant un mélange des formes terrestres et marines, mais seulement marines justement, chose que l’on peut constater encore de nos jours.
Citation:
Le Mont ST Michel n’est pas représentatif d’un catastrophisme mais d’un lent déplacement d’alluvions, lesquelles n’enfouissent aucun animal marin, ceux-ci étant dévorés avant une hypothétique fossilisation future
.
Selon tes dire on ne devrait donc jamais retrouvé de fossiles dans les fonds marins...ce qui est faux...
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/7c1ae54 ... 7442c3ec89

Où es-tu allé cherché ça ? Au contraire une fossilisation est non seulement possible, mais évidente par enfouissement rapide et dans un milieu anaérobie uniquement. Pour le reste le nettoyage de toutes les formes organiques se fait rapidement par les charognards de mers jusqu’aux micro-organismes de dégradation. Trouves, actuellement, des dépôts organiques marins sur les fonds d’océans.
Citation:
par ailleurs en agronomie et sur les animaux, les transmutations biologiques montrent que si un produit radioactif, naturellement, est absorbé (donc indiquant un âge particulier) les transmutations biologiques les transforment en d’autres composés (comme la silice en calcium) avec une durée radioactive de vie différente
.
C'est juste et c'est de cette façon que les datations sont réalisés!
Par exemple dans le cas du C14,on sais qu'au bout d'une période de 5000 ans la moitié de celui ci sera remplacé par du N14...même chose avec le Rubidium et le Strontium...

Ce qui encore une fois indique une dégradation radioactive, pas l’époque de la transmutation et donc son âge HISTORIQUE.
Citation:
C’est pourquoi la paléontologie comme la géologie s’appuient sur les analyses minérales des strates elles mêmes (en quantités significatives) et donc présupposent que les fossiles ont le même âge historique (puisqu’inclus dans ces roches) que la roche elle-même d’où ces millions d’années que donnent les mesures radioactives
.
Inexact:
1) La plupart des roches sédimentaires sont dites "métamorphiques" car résultant d'un long processus de transformation à travers les âges.
Ce type de transformation ne peut être imputé à un phénomène bref
.
le métamorphisme demanderait à lui seul tout un sujet, on pourra y revenir plus tard si nécessaire
2)Les ossements contenus dans les fossiles contiennent leurs propre radio-éléments.
Si l'on suis ta logique d'un recouvrement brutale,on devrait mesurer des radioactivité différentes:une appartenant à l'organisme vivant...et l'autre à la roche qui l'entoure...et figure toi que ça n'est pas le cas
!
J'ai simplement dit que la fossilisation remplaçait les éléments organiques et les seules parties minérales résiduelles peuvent appartenir à moult variétés de composés aux radiométries qui vont de la ns au milliard d'années. Or, déjà vu, les changements magnétiques, les rayonnements cosmiques, l'activité biologique des sols, les transmutations créent un brouillard d'informations contradictoires qui ne sont pas toutes examinées lors de mesures (bonnes ou mauvaises). Donc, en général, seules sont retenues celles qui collent au dogme (ce qui n'est pas particulier à ce sujet d'ailleurs).
Citation:
Le charbon en quantité importante vient de la transformation des forêts, pas des marécages, ce qui là encore signale un catastrophisme important(...)

"La formation du charbon dans le sous-sol remonte à l'ère primaire dite "carbonifère", il y a 200 à 300 millions d'années. Recouverte de marécages, la terre connaît alors un climat chaud et humide. Des débris végétaux fermentent sous des sédiments, se superposent dans une atmosphère riche en gaz carbonique et se transforment en substances solides combustibles à haute teneur en carbone : la houille, le lignite et la tourbe. On appelle charbon ces roches sédimentaires contenant au moins 50 % de carbone."
http://www.ifpenergiesnouvelles.fr/espa ... le-charbon

l’IFP ne fait que reprendre un discours officiel évolutionniste.
La tourbe se forme effectivement avec un mélange d’eau et de débris végétaux (tous sont d’accord sur ce point), mais les avis divergent sur la formation en charbon de celle-ci tant ses caractéristiques (hormis sa teneur en carbone 50-58%) ne s’accordent pas avec la réalité de la formation des tourbes actuelles. En effet, les conditions de pression, de température n’auraient pas été présentes pour former du charbon, la présence importante de bactéries paraissant plus crédibles pour la transformation de tous les végétaux.
L’étude du charbon montre que c’est une roche riche en carbone et en débris végétaux. On peut déduire de ces indices, que le charbon est une roche qui se forme à partir de végétaux transformés et fossilisés.
La formation du charbon nécessite plusieurs conditions :
•L’accumulation d’une grande quantité de végétaux dans une couche d’eau à l’abri des décomposeurs
•L’enfouissement de ces végétaux sous une couche de sédiments
•Une lente transformation grâce à l’action de bactéries et de la température (liée à l’augmentation de la profondeur)
Ces conditions ne peuvent être remplies que si une importante quantité de végétaux se déposent dans une zone qui s’enfonce (subsidence).
http://www.pierron.fr/ressources/fiches ... harbon.pdf

a) A l’abri des décomposeurs ! sauf à recouvrement rapide et important, les mélange eau et végétaux fermentent et décomposent ces derniers
b) Effectivement sans sédimentation suffisamment importante la tourbe reste tourbe (ou compost actuellement)
c) La présence résiduelle de feuilles fossilisées et intactes ne crédite pas la notion de température pourtant nécessaire à la formation du charbon.
d) Effectivement sans une concentration importante et localisée (une autre zonation) il ne peut se former des veines de charbon.
Il a été calculé que pour certaines veines de charbon d’origine tourbière supposée, il aurait fallut des hauteurs de tourbe allant jusqu’à 1200 m (rapport de compression de 1/10.) soit 40 fois les plus profondes tourbières actuelles dans ce monde.
Par ailleurs les alternances houille/ sédiment se trouvent jusqu’à 400 fois de suite (Wesphalie) avec donc reforestation entre chaque ce qui suppose alternance de recouvrement et dégagement des eaux déposant des sediments, ce qui est plus que douteux, surtout lorsque l’on peut constater des troncs implantés verticalement dans les couches inférieures et successivement et partiellement recouverts de végétaux, puis de sédiments et de nouveaux de végétaux, ce qui sur les périodes évolutionnistes est impossible, la partie hors des sédiments se dégradant par l’action bactérienne aérobie et des macrophages.
R Freys et Ch, greber : le charbon dans la géologie.
Se demandaient aussi "pourquoi, (si les dépots ont été lentement déposés au cours de millénaires), ce matériel végétal n’a pas été détruit, comme il l’est habituellement, mais a été conservé dans les sols jusqu’à nos jours. »
Ce qui fait dire à Moret : Précis de géologie : « ce qui est surprenant c’est que de telles successions de phénomènes se soient répétés indéfiniment dans chaque bassin et de façon si adéquate que, chaque fois, les conditions nécessaires à la formations du charbon étaient réalisées »
et non seulement cette formation de charbon, mais aussi les repousses végétales successives sources nouvelles de charbon qui sous la température nécessaire au charbonnage aurait été carbonées, or on les constate seulement fossilisées!
Tu mentionnais je cite:
Citation:
Ces sédimentations de tourbe devraient se transformer en charbon sous la pression des tonnes de roches les recouvrant ensuite, mais on n’en trouve pas dans ou entre les roches en question
.
Tu te contredis très bien,ce point invalide ENCORE une fois ta pseudo-hypothèse,car dans le cas d'un catastrophisme on devrait retrouvé partout sur terre des couches de charbon et des fossiles,compte tenu du fait qu'un recouvrement massif aurait étouffé toute une faune et une flore en même temps
Hors les zones fossilifère réponde à des caractéristiques bien particulières(bassin sédimentaire),c'est pourquoi l'on ne retrouve pas des fossiles.
.
Pas de contradiction ! Un catastrophisme, hormis l’impact d’une comête peut être, n’est pas pour autant instantané. Un déluge d’eau, puisque c’est le plus fréquemment la circonstance qui permet une sédimentation de recouvrement, permet un déplacement des faunes vers des parties plus hautes indépendamment de la flottabilité végétale qui va se concentrer en partie basse lors du retrait des eaux. C’est d’ailleurs pourquoi l’on retrouve fréquemment dans les houillères des arbres fossilisés dans toutes les positions, racines en l’air ou inclinées avec sédimentation dans des troncs creux.
Citation:
Lorsqu’un arbre meure ou est emporté par les eaux, il ne tombe pas au fond de l‘eau mais flotte jusqu’au prochain rivage. Pour se retrouver au fond de l’eau il faut qu’il soit (et pire pour des milliers en même temps) recouvert rapidement par une épaisse sédimentation qui l’empêche de remonter à la surface. Donc globalement (en dehors du facteur temps) les deux théories se recoupent plus ou moins. Et l’on retombe donc dans le facteur temps habituel
.
explique moi pourquoi on ne retrouve pas sur l’ensemble du globe des paysages remplis de forêts pétrifiés ?
déjà vu ci-dessus !
Et pour quelles raisons nous ne pouvons trouver des espèces d'arbres récents pétrifiés?
Pour cela il faudrait se trouver dans les mêmes conditions. Cependant tu continues de raisonner en périodes extrêmement longues, alors que nous raisonnons en périodes bien plus courtes.
Les arbres n'avaient pas de jambe pour échapper au Déluge!
C’est reparti, c’est vraiment obsessionnel ! Je m’exprime (ou plutôt je cite) en catastrophes incluant des grandes quantités d’eau , pas AU déluge.
Citation:
Absolument pas ! de nombreux exemples montrent le contraire comme par exemple l’ile de Surtsey au sud de l’Islande formée en quelques mois en 1963 et dont un chercheur disait : « ce qui ailleurs peut prendre des milliers d’années…. Peut se produire ici en quelques semaines ou même quelques jours. Sur l’ile de Surtsey, seuls quelques mois ont suffit pour créer un paysage si varié et si évolué que cela semble incroyable »Thorarinsson S. the new island in the north atlantic
.
Sauf que figure toi,sur le site de Surtsey on ne retrouve que des traces de roche volcanique et pas sédimentaire.
Aucune,je dis bien aucune formation de type calcaire ne peut se former à la vitesse d'un site comme en Islande...tu peut chercher longtemps!

La citation avait pour but de monter des formations rapides donnant (le but de la citation) l’impression d’une ancienneté inexistante. Sinon effectivement, toute la croute terrestre est d’origine volcanique.
Pour le calcaire
• La craie est une roche calcaire formée par une accumulation de squelettes calcaires des microalgues (exemple : les Coccosphaerales) et animaux marins (exemple : les foraminifères) dans la zone de suintement pélagique (voir lysocline pour des informations sur la dissolution de la calcite).
• Le tuffeau est de la craie micacée ou sableuse à grain fin, de couleur blanche ou crème parfois jaunâtre, contenant quelques paillettes de mica blanc (muscovite).
• La calcite est le polymorphe d'origine secondairement géologique du carbonate de calcium. Le polymorphe d'origine primairement biogénique est l'aragonite (exemple d'aragonite : le squelette des coraux hermatypiques).
wikipedia
Ce qui ne s’oppose en rien à une origine plus récente que les durées supposées de la théorie de l’évolution. L’étude des coraux allant plus dans le sens de temps cours que de longues durées.
Par exemple on a mesuré des coraux se développant du plus de 56 km en seulement 10 ans donc des croissances ultrarapides dans des conditions idéales. Ou sur des coraux allant jusqu'à 1450m de profondeur sachant qu'actuellement, ils se forment à environ 7m sous la surface des eaux.
Citation:
Et vu plus tôt des poussées de 30 cm en 60 ans ?

Ses poussées sont soit extrêmement localisées soit particulièrement courtes.
Il n'est pas possible en terme de thermodynamique du globe d'avoir des modifications violentes de ce type partout sur terre et en même temps.
localisée ou pas, cela s'opposerait à ton principe de thermodynamique évoqué, mais on ne va pas refaire ici toute la géologie.
j'ai mentionné:
Citation:
quant à une modification de la géographie du globe en peu de temps c'est impossible en raison du point n°2 énuméré ci dessus...
Auquel tu réponds
:
Citation:
en partant des mouvements actuels uniquement
.
Autre point,un regain d'activité géophysique ne peut s'expliquer sans raison,à toi de répondre donc?
Sauf si l’on considère qu’il ne s’agit pas d’un accroissement, mais au contraire que l’activité géophysique c’est réduite progressivement pour ne donner que de faibles surrections actuelles par exemple. Ce qui semble plus conforme à la vulgarisation de la théorie qui montre une terre en effervescence qui se calme au fil du temps qui passe.
Pour reprendre la citation, un manteau se déplaçant à 15cm/an cela poussait sérieusement !

Moinsdewatt bonjour
s'il existait un sujet de plus de 100 pages sur le foot, je n'aurais même pas l'impudence de donner un avis ou un commentaire quelconque tant le sujet m'indiffère. Fais de même! Personne ne t'oblige à mêler ton grain de sel au sujet et si sen no sen continue c'est librement et parce que cela l'intéresse de comparer ce qu'il croit à d'autres points de vue.
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par sen-no-sen » 08/07/14, 14:30

janic a écrit :as exactement, j’ai signalé (selon les tableaux de la géologie classique) que jusqu’au carbonifère, il n’y avait pas encore de végétation ce qui fait un paquet de centaines de millions d’années en sols nus.


Les première forme de végétation apparaissent au Silurien soit il y a 440 millions d'années,les première forêt au Dévonien (400 millions d'années).

Or, déjà vu, les changements magnétiques, les rayonnements cosmiques, l'activité biologique des sols, les transmutations créent un brouillard d'informations contradictoires qui ne sont pas toutes examinées lors de mesures (bonnes ou mauvaises).


Il faudrait que tu puisse le démontrer...
L'age des roches se recoupent très bien avec les périodes nécessaires à la formation des roches métamorphiques.


Pas de contradiction ! Un catastrophisme, hormis l’impact d’une comête peut être, n’est pas pour autant instantané. Un déluge d’eau, puisque c’est le plus fréquemment la circonstance qui permet une sédimentation de recouvrement, permet un déplacement des faunes vers des parties plus hautes indépendamment de la flottabilité végétale qui va se concentrer en partie basse lors du retrait des eaux.


Cette argument ne tiens absolument pas la route!
1) Le niveau des eaux(comme déjà mentionné) ne peut avoir atteint un niveau suffisant pour noyer les continents.
De plus la période ou vivait les grand sauriens était plus chaude qu'a l'heure d'aujourd'hui ,ce qui signifie au contraire de ce que tu suppose un niveau des océans proche des maximas.

2)Un recouvrement par un déluge d'eaux serait caractérisé par UN et un seul dépôt sédimentaire caractéristique qui aurait recouvert toutes les formes de vie disparut.
Aucune mesure de se genre n'est rencontré sur le terrain...
Ton hypothèse ne permet absolument pas d'expliquer le véritable mille feuille du site du Grand Canyon par exemple.

3)Tu omet un point fondamentale dans ton discours,celui de l’existence des grands sauriens marins tel que Elasmosaure ou ichtyosaure,mosasaure,kronosaure et j'en passe!
Ses reptiles étant marins il n'est guère possible qu'ils est été noyés dans un déluge d'eau!
Plus ennuyant encore le cas de Shonisaure ayant disparut bien avant la période crétacé (Triassique) et donc découvert dans des strates plus profonde que celle d'un grand nombre de Dinosaure connus.
Hors dans un scénarios type Déluge, ses animaux auraient du nécessairement survivre plus longtemps que leurs congénère terrestre.
Qui plus est cela n'explique pas non plus la survivance des Cétacés, Requin et autres que l'on retrouve encore de nos jours...ton hypothèse prend vraiment l'eau! :lol:

4) Déluge d'eau=modification du climat=modification chimique de l'atmosphère et/ou regain de l'activité solaire...et donc des traces d'une telle activité...
Pourrait tu m'indiquer ou se trouve la trace d'un tel super-cataclysme(relevé radiométrique,stratigraphique,géochimique etc...)???


localisée ou pas, cela s'opposerait à ton principe de thermodynamique évoqué, mais on ne va pas refaire ici toute la géologie


Il ne s'agit pas de "Mon" principe thermodynamique mais de la simple application des lois géophysique.
A l'époque ou l'activité terrestre était très forte(pour permettre un des tes scénarios),les conditions nécessaire à l'apparition de la vie n'était tout simplement pas réuni...


Sauf si l’on considère qu’il ne s’agit pas d’un accroissement, mais au contraire que l’activité géophysique c’est réduite progressivement pour ne donner que de faibles surrections actuelles par exemple. Ce qui semble plus conforme à la vulgarisation de la théorie qui montre une terre en effervescence qui se calme au fil du temps qui passe.


Comme mentionné plus haut,il faudrait remonter aux origines de la formation de la terre pour constater des phénomènes aussi violents que sous entendu par ta croyance.
De plus, et c'est la que ton hypothèse perd tout crédit,pour que le globe puisse changer de forme sur une période très courte,la violence des phénomènes auraient éradiqué la plupart des formes de vies complexes (tel que l'on observe actuellement avec les très grandes éruption volcanique par exemple).
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"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.

 


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