janic a écrit:
Relis plusieurs fois de suite si tu n’as pas compris la formulation.
L’érosion ne dégrade pas un squelette enfouis suffisamment profondément. Il faut pour cela être hors sédiment dans l’eau ou sur terre.
Il faudrait m'expliquer ce qu'est "être hors sédiment dans l'eau ou sur terre"???
Eh bien pour quelqu’un qui se targue d’être un spécialiste du sujet, ça fait un peu ignorant.
«
Un sédiment est un ensemble de particules en suspension dans l'eau, l'atmosphère ou la glace et qui a fini par se déposer sous l'effet de la gravité, souvent en couches ou strates successives. Un sédiment est caractérisé par sa nature (composition physicochimique), son origine, sa granulométrie, les espèces qu'il contient et son éventuelle toxicité... La consolidation des sédiments est à l'origine de la formation des couches sédimentaires rocheuses. » wikipedia toujours
Donc toute partie non recouverte par ce qui est indiqué ci-dessus est : hors de !
Citation:
Les points de vue de Gould sont purement théoriques et en ce sens valent autant que d’autres plus ou moins fantaisistes que celles-ci. Reste à le prouver ce qui est une autre histoire (comme l’évolution lente d’ailleurs qui n’est aussi qu’une théorie uniquement).
Les travaux de I.Prirogine,Per bak et F.Roddier sur la thermodynamique de l'évolution vont clairement dans se sens!
Des phases d’accélérations suivie de phases de ralentissement sont constatable dans tout les domaines:biologie,technologie,mécanique des fluides et même trafic autoroutiers!
Mais personne, en dehors d’une vision théorique ne l’a prouvé. C’est d ‘ailleurs pourquoi elle reste théorie comme la théorie synthétique. Maintenant qu’il y ait des phases d’accélération comme des phases de ralentissement, pourquoi pas ! Rien ne s’y oppose même en créationnisme dans le domaine de l’adaptation, pas dans l’évolution selon la théorie. Relis le pouce du panda sur le passage cité au dessus et ci dessous:
« Anatomiquement, le « pouce » du panda n’est pas un doigt. Il est construit à partir d’un os appelé le sésamoïde radial (du radius), normalement un des petits os formant le poignet. Chez le panda, le sésamoïde radial est très développé et si allongé que sa taille atteint presque celle des os des phalanges des vrais doigts. (…)L’allongement du sésamoïde radial a pu être provoqué par une transformation génétique, peut-être une seule mutation affectant le rythme et la vitesse de la croissance »
Le sémanoïde s’est très développé, ce qui indique qu’il existait en dimension moindre, pas qu’il est apparu brutalement sans avoir existé auparavant. C’est bel et bien une adaptation, pas une évolution au sens de la théorie. Darwin avait fait la même constatation concernant les becs des oiseaux des iles et dont la fonctionnalité particulière avait fait disparaitre à la reproduction les moins adaptés, exemple que prend encore Darwin pour la sélection des plantes et des animaux d’élevage qui lui servent pour étayer sa « théorie ».
« L’évolution en biologie est la modification, au cours du temps, des groupe d'individus vivants définis, selon leurs différences, comme des espèces. Cette modification est expliquée par la théorie synthétique de l'évolution. Si cette dernière est une approche théorique, en revanche l’« évolution » elle-même est un phénomène concret : c'est la différence morphologique et génétique que l’on observe d’une génération à l’autre entre ascendants et descendants » W
« L’adaptation peut se définir d’une manière générale comme l’ajustement fonctionnel de l’être vivant au milieu ambiant, et en particulier comme l’appropriation de l’organe à sa fonction. L’adaptation correspond à la mise en accord de l’organisme avec les conditions qui lui sont extérieures. Elle perfectionne l’organe, le rend plus apte au rôle qu’il semble jouer dans la vie de l’individu. Elle met l’organisme tout entier en cohérence avec le milieu (…)En biologie évolutive, l’adaptation est définie comme étant la modification d’un caractère anatomique, d’un processus physiologique ou d’un trait comportemental dans une population d’individus sous l’effet de la sélection naturelle, le nouvel état de ce caractère améliorant la survie et le succès reproductif des individus qui en sont porteurs1. Le terme d’adaptation semble donc pouvoir désigner indifféremment le processus ou le résultat du processus ; il est donc parfois utilisé comme synonyme de « sélection ». La notion d’adaptation est au cœur de la théorie de l’évolution par sélection naturelle inventée par Charles Darwin (sous le terme anglais fitness, ou plus tard adaption).
Cette dernière définition est parfois critiquée pour être tautologique ou circulaire. D'une part elle ne nous dit pas ce qu'est l'adaptation, mais seulement comment elle se fait et ce qu'elle produit, l'adaptation étant à la fois ce qui conditionne la sélection des individus dans leur milieu et le résultat de cette sélection; d'autre part, cette définition pose un petit problème, car Charles Darwin à élaboré le mécanisme de la sélection naturelle précisément dans le but d'expliquer l'adaptation des êtres vivants à leurs conditions d'existence. Dans L'Origine des espèces (1859), il n'avance aucune définition de l'adaptation, car il la considère comme une réalité évidente. DE FAIT, CETTE NOTION RESTE FLOUE ET MAL DEFINIE, alors même qu'elle est centrale pour la biologie évolutionniste. »
On peut voir la limite imprécise entre les deux, ce qui relève plus d’une interprétation de nuance que de véritable distinction. Elle est cependant impérative pour se distinguer de la théorie synthétique qui, comme indiqué ci-dessus : « est purement théorique » et l’article ne semble pas être créationniste pour autant. Mais même cette formule : « c'est la différence morphologique et génétique que l’on observe d’une génération à l’autre entre ascendants et descendants » manque de la précision nécessaire car si l’on voit des différences physiologiques très importantes chez les chiens par exemple, aucun ne sort de la famille des canidés. Donc en créationnisme cela est désigné sous le terme d’adaptation afin de se distinguer du discours de la théorie synthétique qui veut que d’une cellule unique (apparue on ne sait comment), toutes les formes de vies animales ou végétales en soient sorties par le processus de l’évolution. Mais ce n’est évidemment qu’une théorie.
Citation:
La survivance des animaux, en écologie actuelle, n’est pas spécifiquement lié à la taille des animaux, mais à leurs ressources alimentaires. Gros ou petit quand il n’y a rien à croquer, la finalité est la même pour tous.
Qu'est ce que l'écologie actuelle???
La phase d'extinction KT peut être comparer à celle ne notre époque(Holocène),les animaux de grands tailles disparaissent aux profits des plus petits.
Cela ne veut nullement dire que les plus petits survivent tous,mais que beaucoup survivent mieux que les grands organismes!
Mieux vaut être rat qu'un rhinocéros à notre époque!
Sauf qu’il ne vaut mieux être rat, que rhinocéros, qu’à cause des humains qui détruisent tout sur leur passage, mieux qu’une comête s’abattant sur la terre. Mais comme tous ne sont pas à mettre dans le même panier marchand, il reste des protecteurs humains de ces rhinocèros, alors que la dératisation continue de se répandre jusqu’à ce qu’il se dresse des défenseurs des rats, etc… mais comme il y a moins de rhinocéros, les rats survivront plus longtemps jusqu’à disparaitre eux-mêmes malgré leur petite taille.
ce n’est plus la dame nature créatrice (comme dit fréquemment Roddier) qui est à l’œuvre avec sa sélection naturelle, mais nous et c’est loin d’être une référence écologique!
Citation:
Sauf qu’en biologie animale, les formes à sang « froid » sont celles qui auraient le moins résisté aux baisses de température (il s’agit de glaciation, dans la théorie, pas d’un hiver froid réchauffé le printemps suivant) et les animaux à sang froid ne passent pas deux hivers de suite sans nourriture (les autres aussi d’ailleurs).
On ne peut certifier que la période de refroidissement est été de type "hiver mondiale",il est fort possible que des régions du monde est présenté des conditions de vie permettant la survivance des animaux à sang froid(zone anticyclonique par exemple).
Dixit encore une fois les vulgarisations ! Les glaciers actuels abritent des animaux à sang chaud de façon permanente s’étant (possiblement) adaptés aux conditions qui sont les leurs et n’ayant donc pas disparus. Il est donc tout à fait possible que de multiples animaux à sang chaud (en zone anticyclonique par exemple. Tiens mais c’est de la zonation !) proches des animaux actuels de toutes tailles y aient échappés aussi. Il suffit au minimum d’un male et d’une femelle comme partout !
http://www.savoirs.essonne.fr/sections/ ... -en-avant/
« Disparitions des dinosaures : la piste de la météorite mise en avant
L'hypothèse d'un énorme aérolithe qui a heurté la Terre il y a 65 millions d'années, entraînant, du même coup, la disparition des dinosaures semblerait se confirmer.(…)L’étude a rassemblé tous les articles publiés ces 20 dernières années (une méta analyse) sur la disparition des dinosaures pour arriver à ses conclusions. Mais ce scénario qui détaille l’hypothèse de la météorite NE FAIT PAS L’UNANIMITE PARMI LES SCIENTIFIQUES, LOIN DE LA. Certains chercheurs pensent par exemple qu’à la même époque, une intense activité volcanique a pu modifier le climat de la Terre pour provoquer l’extinction des dinosaures. La question reste donc ouverte. »
Comme tu le vois, ce n’est pas un article créationniste et le manque d’unanimité des scientifiques n’est pas une simple vue de l’esprit et l’on y retrouve le même débat ayant divisé les scientifiques sur la panspermie et de la soupe originelle.
« L’atmosphère aussi se modifie. Une grosse quantité de soufre est rejetée par la météorite. D'énormes volumes de poussières se volatilisent, suffisamment pour obscurcir le sol pendant des mois. Une longue nuit qui réduit la pénétration de la lumière, affectant par la même la photosynthèse des plantes.
Et la Terre ENTIERE commence à se refroidir... (…)Extinction massive
Que se passe-t-il alors pour la vie sur notre planète après le choc ?
70% des espèces animales et végétales disparaissent immédiatement. Pour tous les animaux qui ont réussi à survivre à ce cataclysme, commence alors une longue période de disette. Les dinosaures, animaux géants, ont besoin d'une grosse quantité de nourriture. Très vite ils meurent de faim puisque tout a été brûlé ou détruit. Les animaux qui résistent le mieux sont ceux qui n'ont pas besoin de beaucoup pour se nourrir, comme les tortues, ou chez les petits mammifères, les rongeurs. Les crocodiles, animaux charognards, c’est-à-dire qui se nourrissent de cadavres, arriveront à subsister pendant un an ou deux, avant que la vie ne reprenne. »
C’est la supposition que les choses se sont passées ainsi, pas des preuves indiscutables
http://fr.wikipedia.org/wiki/Portail:Di ... dinosaures
« Cependant l'hypothèse d'une chute de météorite provoquant la disparition des dinosaures SEMBLE AUJOURD'HUI ETRE REMISE EN QUESTION. Il semblerait que 300 000 ans sépareraient l'extinction des dinosaures de la chute de cette météorite gigantesque »
Alors d’un coté ceux qui tiennent cette extinction des dinosaures pour un fait acquis par météorite et de l’autre les contestataires qui tiennent cette théorie pour improbable étant donné l’immense différence de temps entre les deux.
On trouve aussi ça :
http://www.metronews.fr/info/la-fin-des ... rhf2NpFlo/
« Un scénario apocalyptique. C'était il y a de cela 65 millions d'années, quand la vie sur terre a VRAISEMBLABLEMENT été violemment bouleversée par le crash d'une météorite géante provoquant la disparition soudaine des dinosaures. Suite à cette collision dévastatrice, de 60% à 80% des espèces existantes alors AURAIENT disparu, estiment les scientifiques. Mais le film de cette catastrophe planétaire continue de s'écrire, à en croire les récentes conclusions d'une équipe d'experts japonais.
Ces derniers, qui ont publié leurs recherches, dimanche, dans la revue Nature Geoscience, accréditent en effet la thèse déjà évoquée d'une pluie acide qui se serait abattue sur terre suite à l'impact de la météorite de Chicxulubn, au niveau de l'actuelle péninsule du Yucatan, au Mexique. Outre les feux géants et une tempête de poussière qui SE SERAIENT répandus sur la surface du globe, la collision provoquée par l'immense bloc rocheux venu de l'espace AURAIT vaporisé des roches chargées de soufre, produisant un épais nuage de trioxyde de soufre (SO3). Mélangées à la vapeur d'eau de l'atmosphère, ces particules AURAIENT entraîné des pluies d'acide sulfurique rendant invivable la surface des océans. Dans ces conditions extrêmes, seules les espèces marines résistantes à cette eau acide ou capable de se réfugier plus en profondeur auraient survécu et colonisé les mers vidées des autres espèces. »
Des théories il y en a en pagaille, avec de fortes contradictions entre elles, ce qui est normal comme pour toutes théories. C’est d’ailleurs pourquoi, il est important de ne pas considérer comme acquis ce qui chez les spécialistes n’est qu’hypothèses et probabilités.
Tout ça pour dire qu’on trouve des tas de théories sur le marché, il suffit juste de choisir la sienne !
Citation:
Ne dis pas ça à un zoologiste, il va te rire au nez ! Il en faut de la foi pour croire cela malgré l’augmentation importante de la connaissance en zoologie ces dernières années.
Il ne va pas me rire au nez car cela est purement factuel:quant il y a restriction alimentaire mieux vos être une souris de quelques grammes qu'un mastodonte de quarante tonnes,c'est encore une fois vérifiable!
Sauf que ce n’est que supposition qu’il ne survécu que des animaux de petites tailles si l’on prend en compte tous les mammifères de la taille de la souris à la baleine bleue (juste un peu plus grosse qu’une souris) actuels.
Le monde sous terrain regorge de racine...
Et les « souris » sous la baguette magique de l’évolution seraient devenues des éléphants, des rhinocéros, des girafes, des singes, etc… Même la grenouille n’a pas réussi à se faire aussi grosse que le bœuf !Ca ne marche que dans les contes de fée pour enfants, il faut grandir !
Citation:
C’est ce que moi , je dis depuis le début, le scientisme ne va que dans le sens qu’il s’est donné ou qu’on lui a imposé.
Tes remarques précédentes mentionnaient que la science (et non le scientisme) était orienté,ce qui change du tout au tout!
Je n’ai repris ce terme que par rapport à la définition donnée sur le site. De façon plus péjorative, le scientiste est surtout décrit comme quelqu’un qui n’est pas spécialiste d’un sujet scientifique, mais qui se prend pour tel à grand renfort de citations (c’est ce que je fais et toi aussi), ce que l’on reproche d’ailleurs (à tort ou raison) aux religions qui s’appuient sur des déclarations de scientifiques sans l’être elles mêmes . Mais je suis preneur pour n’importe quelle autre désignation qui recouvre ce comportement !
Citation:
Cites moi un seul biologiste QUI SOIT AFFIRMATIF ET CATEGORIQUE sur un tel postulat. Les vrais scientifiques intègres savent très bien que quelles que soient les hypothèses proposées elles ne sont que des suppositions d’où leur emploi « massif » de conditionnels. Donc tu confonds on croit, on espère que l’hypothèse puise un jour se trouvée confirmée et le fait qu’elle le soit.
http://www.dailymotion.com/video/xb5l3h ... h?start=72
A partir du moment ou l'on ne constate pas visuellement un phénomène on ne peut que parler au conditionnel.
Effectivement comme cela on ne se mouille pas trop et l’on peut reculer à l’aise en prétextant tous les conditionnels possibles et imaginables. « Vous comprenez, je n’ai pas affirmé que… étant donné que j’ai largement utilisé des conditionnels partout »
Même dans plusieurs siècles (si nous sommes encore là!) l’emploi du conditionnel sera toujours usité, même avec des expérience en laboratoire concluante.
Lorsque Miller a reproduit des acides aminés en laboratoire de façon concluante, personne n’a dit SI, alors que la formation des acides aminés en questions remontent à l’origine du monde.
Les labos reproduisent des tas de composés comme les vitamines (de synthèse et donc mortes) ils ne disent pas SI même si les vitamines sont aussi anciennes que le reste des discours de la théorie en question.
Donc « si les vitamines se sont formées un jour, on est capable de les reproduire en laboratoire » ! Elémentaire mon cher watson, si elles peuvent être reproduites, c’est qu’elles ont bien existé un jour sinon ce n’est pas une reproduction, mais une innovation, une création et donc plus besoin de conditionnel !
Pour autant l'emploi du conditionnel ne signifie pas qu'il s'agisse de croyance, mais d'explications rationnelles basé sur un ensemble d'investigations théorique comme de terrain.
Cela s’appelle se ménager une porte de sortie au cas où !
Je précisais donc bien AFFIRMATIF ET CATEGORIQUE, ce qui n’est pas le cas ici non plus. Donc, c’est à chaque fois la même chose, on suppose, on suppute, mais rien de prouvable sans contestation possible.(c’est toi qui demande en permanence des preuves) Pourtant la langue française est suffisamment riche pour ne pas donner lieu à des confusions. Si le conditionnel est utilisé cela signifie (comme disaient mes prof’s) que les conditions supposées ne sont pas réunies sinon le temps employé n’est plus justifié. (certains n’hésitent pas à supprimer ces conditionnels d’ailleurs, eux ils savent ou plutôt ils croient savoir) Pour reprendre l’expression populaire « avec des SI on mettrait Paris en bouteille ». donc SI elles sont rationnelles et vérifiées sur le terrain, le conditionnel n’est plus à utiliser puisque vérification en a été faite comme tu le soulignes après.
Mais il ne s’agit que d’investigations théoriques! Ouf !
De ce point de vu là, la théorie de l'évolution est la seul option crédible à la multiplicité du vivant.
C’est ça ! A force de te le répéter tu vas finir par y croire. Pourtant malgré tous les efforts déployés, c’est l’échec total des multiples tentatives est là pour le prouver.
Le créationnisme(et pas le déisme!) est anti-scientifique par nature,car il revient a affirmer que la diversité des espèces ne peut être expliquer qu'a travers l'action d'un démiurge...sur lequel on ne peut rien dire!
on n'a donc pas vu le même film. Le créationnisme prétend à une création, par existence visible de celle-ci. L'évolutionnisme en fait autant tout en ignorant aussi pour les mêmes raisons: les faits. l
Le reste c'est du discours philosophique quelle que soit celle adoptée.
Ce qui renvois le croyant à des textes religieux qui ne traite pas de science, laissant le sujet sans réponse,réduit a toutes les formes de fondamentalisme pouvant en découler..
Encore une question de définition des termes: qu'est-ce que la science en question: le matérialisme athée? qui n'en est qu'aux balbutiemment de LA science absolue et qui avec ses bricoles de connaissance croit pouvoir tout dire, tout décrire à partir des bribes comme le fait l'évolution. Quel orgueil, quelle vanité!
Encore ce discours appris par cœur, façon témoins de Jéhovah, mais à la sauce athée et qui mélange tout, façon Dedelecco précédemment. Sa haine du religieux obscurcissant son raisonnement intéressant par ailleurs. Ta propre haine en fait autant, te faisant perde aussi de vue, la différence qu’il y a entre religion et science.
Que cela te plaise ou non, La science n’appartient pas à une catégorie spéciale d’individus. Or, pour l’instant, je ne parle pas religions (qui ne sont pas mon centre d’intérêt), mais bien LES sciences et les comparaisons des spécialistes concernés et uniquement elles.
Si tu veux parler de « religion » et uniquement de cela, il y a des tas de sites consacrés au sujet et à la foire d’empoigne.
Citation:
out dépend de ce que chacun appelle dieu et déjà nous n’en avons pas la même conception, alors multiplie cela par autant de croyants de toutes confessions de par le monde, plus tous ceux qui nient mais qui ont tout de même leur avis sur la question et l’on n’est pas sortis de l’auberge !
Sauf que le terme "Dieu" possède une origine culturelle qui renvoi a des concept religieux,eux même issus de cultes dont ont connais pour la plupart l'origine..
Et pourtant Guillemant, par exemple puisque tu aimes le citer, reprend cette formulation bien qu’indépendante de quelque système culturel religieux nominatif, il y a tant de sujets dont des individus en ont fait leur divinité et pas seulement l’argent ou le matérialisme.
Il faut cesser cette vision trop restrictive ! en fait est appelé dieu ce qui domine et dépasse la nature humaine que ce soit chez les croyants comme les incroyants. Lorsque Guillemant, toujours, parle de l’information au delà de l’espace temps, il ne fait que dire la même chose avec d’autres mots. C’est simplement de la linguistique adaptée à la culture des uns ou des autres.
Ce n'est donc pas la vision de chacun qui importe, mais l'origine du concept en tant que telle! Sacré nuance!
Parce que encore une fois tu te réfères à des systèmes pour pouvoir coller des étiquettes afin d’enfermer les individus dans des petites boites qui t’arrangent en termes de tes propres croyances et rejet de celles des autres. C’est un peu comme considérer que les fleuves sont à l’origine des cours d’eau alors qu’ils n’en sont qu’une forme finale avant les mers.
Ensuite le concept, comme tu dis, est si divers selon les civilisations qu’il est difficile de les réduire à un seul.
Mais, en cela tu as raison malgré tout sous un certain angle, un concept ne peut se passer d’être défini par un langage (qui seul permet la communication) et donc une désignation quelconque même si chacun ne l’interprète pas de la même façon selon sa culture, son éducation, ses émotions, ses expériences renvoie à tort ou a raison à certains concepts non fixés dans le temps, ni dans les esprits d’ailleurs.
Tu as, toi aussi, choisi au milieu de ces cultures celle qui te convenait le mieux et c’est tant mieux ou tant pis pour toi. Ce qui cloche c’est que tu voudrais la considérer comme référence unique comme l’on fait les religions (que tu détestes) pour te rassurer dans tes choix, c’est ce totalitarisme de la pensée, en l’occurrence, auquel je faisais allusion précédemment et auquel bien peu échappent.
Un psychanalyste, sur un autre sujet s’exprimait ainsi et c’est valable pour tout : « Peut-on distinguer la rationalité scientifique d’un savoir ou d’une méthode et l’idéologie qu’elle favorise comme les discours politiques qui s’en emparent ? »
Le nouveau totalitarisme culturel de la pensée simplificatrice Par Roland Gori, Professeur émérite de Psychopathologie clinique à l’Université d’Aix-Marseille –
http://www.humanite.fr/tribunes/le-nouv ... tzobr.dpuf
Citation:
Des millions d’expériences « communicantes » restent incompréhensibles à ceux qui ne sont pas branchés et qui ne souhaitent d’ailleurs pas de l’être. C’est leur choix, mais ne leur donne pas le droit de prendre les autres pour des attardés mentaux culturels.
Les expériences extrasensoriels tel que les NDE,SHC,précognition,clair audience et télépathie se retrouve dans toute les cultures du monde...y compris dans des cultures qui n'admettent pas l'existence de Dieu,comme le Boudhisme par exemple.
Il faudrait plutôt dire qui n’admettent plus l’existence des divinités le bouddha appartenait à une classe princière soumise aux traditions et castes. Sa prise de conscience de la vanité de cette situation lui fait rejeter en bloc tout ce qui s’y rattache y compris, probablement, les multiples divinités orientales qui en faisaient partie ; considérant probablement aussi(comme tous ses prédécesseurs étant passés par de mêmes expériences) qu’il vaut mieux pas de maitre ( métaphysique)du tout que de mauvais maitres. D’où ce rejet qui ne lui est pas spécifique (c’est ce que l’on appelle jeter l’eau du bain et le bébé avec)
C’est à peu près l’expérience abrahamique sauf que ce dernier ne jeta pas le bébé avec l’eau.
Lorsque j’évoquais de la communication, il s’agissait de « ligne directe » qui nécessite une relation sans intermédiaire entre deux communicants, même avec des formes diverses. Et sans vécu personnel ou proche, il est difficile de faire le tri. Mais ces NDE et autres peuvent effectivement en faire partie. Combien les contestent sans y avoir été confrontés comme de nombreux sceptiques de principe ?
« Les textes du canon mélangent métaphysique et détails biographiques dont certains semblent fantastiques. Ainsi, si l'épisode où Gautama apaise un éléphant furieux que son cousin Devadatta aurait lâché sur lui peut être acceptable pour le lecteur matérialiste, d'autres, TELLES SES CONVERSATIONS AVEC LES DIEUX ou sa téléportation instantanée au Śrī Laṅkā, ne le sont pas ».
Pour les matérialistes uniquement qui ne sont référence que pour eux-mêmes! Mais vrai ou pas, l’idée de communication avec cette « réalité pure » ne semble pas impossible à ses contemporains et successeurs. La vérité (pour autant qu’il y en ait une de crédible) reste du domaine de la foi ou de l’ignorance.
Ce qui est vraiment universel tant en science qu'en religion c'est l'idée de connexion avec une "autre Réalité"
et l’ »autre réalité » pas plus visible qu’une quelconque divinité serait plus crédible lors même qu’il s’agirait de la même chose (question de terminologie encore !)
Dieu est une conceptualisation anthropomorphique de cette "autre Réalité",sa finalité est purement politique et elle a été systématiquement mystifié a travers les âges...
Tout est conception anthropologique d’abord et donc consécutivement anthropomorphique lorsqu’il s’agit de concrétiser (avec les formes que chacun veut ou peut y donner) à partir uniquement des acquis …humains.et qui bien entendu est d’ordre culturel, laquelle culture influence les orientations scientifiques, elles mêmes dépendantes des moyens techniques imaginés par des humains et de son financement, etc… tout est lié.
Maintenant que ces réalités subissent des « déformations », « s’usent » au fil du temps, c’est normal tout passe par ce canal et ce qui se croit être exempt aujourd’hui de ces scories, subira le même sort demain. Surtout en en ayant adopté le même schéma (on ne fait pas des chiens avec des chats)
Hors revenir en permanence, de façon obsessionnelle même, sur les défauts des systèmes (ce qui est bien entendu souhaitable) en oubliant, voire rejetant, tout ce qui ne l’est pas, c’est dommage. Cela rappelle trop le discours actuel sur l’islam terroriste qui est tellement mis en avant par les médias que ceux-ci oublient que cela ne représente qu’une infime partie de ceux qui ne sont pas des terroristes (dont un certain nombre de scientifiques de toutes disciplines ne t’en déplaise) mais qui ne font pas la une des journaux qui doivent faire du titre accrocheur.
PS: Un documentaire sur France 5. Gang de dinos: la nouvelle théorie.
intéressant pour les arguments pro et anti comme d 'habitude.