janic a écrit :Ca c’est le bla bla habituel qui n’est guère conforme aux données de la biologie, de l’écologie actuelles.
a) Projection de poussière : a-t-elle couvert la totalité de la terre ou seulement une partie limitée aux projections ? Les volcans actuels qui rejettent des poussières ne couvrent que des zones très limitées, même avec des courants aériens divers.
Ce que tu dis n'a guère de sens,de très nombreuses études(sur les tir nucléaire atmosphérique par ex) ont démontré qu'un essai dans le pacifique sud pouvait entrainé des retombées radioactives à l'autre bout du monde...idem avec les poussière volcanique...
"Je ne vais pas faire ici un cours de météorologie. Mais nous allons faire l'inverse. Faisons exploser quelques milliers de têtes nucléaires dans l'hémisphère nord (ce qui se serait produit en cas de conflagration entre l'Est et l'Ouest, avant l'effondrement de l'URSS). Emport dans la haute atmosphère d'un milliard de tonnes de poussières d'un diamètre moyen d'un micron. Tout cela a été calculé, étudié au début des années 80 par mon ami Vladimir Alexandrov, qui perdit la vie à Madrid pour avoir révélé ce que l'on ne voulait pas qu'un vain peuple sache : les dangers de ce qu'il appela l'hiver nucléaire et qui mit dix ans à venir aux oreilles du public. "Un article passionnant sur la question de
Jean Pierre Petit:
http://www.jp-petit.org/Divers/Arme_meteorologique/Arme_climatique2.htmL'éruption du mont
Pinatubo en 1991 a entrainé une baisse moyenne de la température du globe:
Le 07/11/1991 en Philippines, le Pinatubo est entré en éruption alors qu'il était en sommeil depuis plus six siècles. En tout, 20 millions de tonnes de dioxyde de soufre à une hauteur de 20 km. Ils ont été dispersées dans l'atmosphère. Tout ce gaz a provoqué la diminution de 1 à 5 % du rayonnement solaire reçu par la Terre, soit -3,50 W/m2, d'où une baisse de la température de 0,10 à 0,50°C et 1,50°C aux latitudes élevées pendant environs 3 ans. Dans la stratosphère, la présence d’un nuage composé de fines particules volcaniques accentuait la tonalité rouge du ciel le soir ce qui donnait un véritable flamboiement du ciel. Des chercheurs supposent que l'effet atmosphérique de cette éruption pourrait être les conséquences des ouragans Andrew et Iniki à l'automne 1992, de même que les pluies abondantes dans le Midwest américain à l'été 1993.
Cette éruption était bien peu de chose en comparaison de la chute d'un astéroïde de plusieurs km de diamètre...
Plus de synthèse chlorophyllienne, plus de diatomées, plus de vie marine et plus de vie terrestre non plus.
Donc la survivance d’organismes plus petits pendant des mois de disette (voire plus longtemps), sous une pluie acide détruisant toutes formes de vie et de végétation, il faut vraiment y croire !
Tout est une question de seuil,la vie à des capacité de résistance extraordinaire.
Dans la mesure ou la chute d'un astéroïde c'est produite il y a 65MA et que le cratère d'impact mesure 260km de diamètres et que formes de vie ont continué a existé ,les faits ne peuvent être remise en cause...
Le calcul des masses de roches projeté dans l'atmosphère permet alors d'avoir une idée relativement précise des événements:
http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/dossiers/d/astronomie-asteroides-apocalypse-demain-1621/page/5/Sauf si ce n’a été que local et donc tout le reste des formes de vie existantes a donc pu perdurer de la grosse bébête à la plus petite
Techniquement impossible au vue de la taille de l'astroblème.
Bien sûr cela indique des points communs entre oiseaux terrestres et oiseaux volants, point c’est tout. Le reste c’est de l’imaginaire ne connaissant pas l’ensemble de la physiologie d’un fossile sédimentarisé.
ta capacité de déni est extraordinaire...
Il ne s’agit que d’un dessin qui ne reproduit que des formes fossilisées, pas des fonctions.
Des "formes",pas des fonctions,tu te surpasse dans la mauvaise foi!
Et re-bla bla . Il y a une différence FONDAMENTALE entre « se seraient » et « se sont » ! Le premier n’est qu’une vue de l’esprit, une hypothèse (c’est son droit comme pour tous les autres d’ailleurs) le second sort de la théorie pour entrer dans les faits, même si ces derniers peuvent faire l’objet d’interprétations diverses.
Comme je l'ai déjà expliqué,la science ne peut avancé qu'a travers les hypothèses qui une fois étayer accèdent au titre de théorie.
Sans ses dernières point de science.Il est donc totalement illusoire de répéter sans cesse que telle ou telle théorie n'est pas vérifiable à 100%,ce type d'argument est totalement antiscientifique!
Si l'on avait raisonner ainsi depuis le début,nous serions toujours sous le joug des totalitarismes empiriques...
En clair, ils posent des hypothèses qui ne trouvent pas confirmation dans le macro, quand bien même ce ne serait que passager. Or nous ne sommes pas dans cette configuration actuellement et il est tout aussi possible qu’ils ne parviennent jamais à franchir cette barrière ; ça ne serait pas la première, ni la dernière fois car un bon nombre de théories, séduisantes à priori, ont fini à la poubelle.
Je commence a être fatigué de tes affirmations péremptoire...
La supraconductivité : Un effet quantique macroscopique
"La supraconductivité est une transition de phase électronique d’origine quantique qui a été découverte en 1911 par Kammerlingh Onnes à Leyde aux Pays bas (voir Fig 1). Cette découverte a été possible grâce à la liquéfaction de l’hélium (dont la température de liquéfaction est de 4.2K) que K. Onnes a réussi à réaliser dès 1908 et grâce à laquelle il a pu atteindre la plus basse jamais atteinte par l’homme à cette époque, proche de 1,65 K (-271,5 °C)".http://www.insp.jussieu.fr/La-supraconductivite-Un-effet.htmlPrend au moins la peine de lire des publications sur la question au lieu de t'en tenir a des connaissances extrêmement parcellaires qui te serve d'acte de foi.
http://culturesciencesphysique.ens-lyon.fr/par_type_de_ressource/documents/balian2.pdfUn premier exemple d’intervention de la constante de Planck à notre échelle est fourni par la valeur des chaleurs de réactions
chimiques. C’est sous forme de réaction chimique que se manifeste à
nous une transformation de molécules. À ce niveau microscopique, il
s’agit d’un changement de l’état quantique d’objets formés par des
noyaux entourés de nuages électroniques, éléments qui se réarrangent
différemment par transfert de noyaux et d’électrons d’une molécule à
l’autre.
http://culturesciencesphysique.ens-lyon.fr/par_type_de_ressource/documents/balian2.pdfEt dieu (le champ de force initial-quoique philosophiquement , dans une vision créationniste, ce champ de force n’est aussi qu’un produit) est impossible à constater visuellement aussi ! Effectivement tout est dans la nuance. « tout dépend du point de vue où l’on se place, de l’importance que l’on y attache, par rapport à l’idée que l’on s’en fait »
l'incursion du religieux dans le scientifique est une chose peu aisé,dire que dieu est le vide quantique pourquoi pas...mais le vide quantique n'ordonne pas a un peuple de faire tel ou tel chose...
Ludwig Boltzmann à notamment énoncé l'idée de
Cerveau de Boltzmann, à savoir:
Un cerveau de Boltzmann serait une entité consciente née d’une fluctuation aléatoire provenant d’un état fondamental de chaos thermique. Boltzmann ne connaissait évidemment pas la physique quantique. Mais il avait cherché à comprendre pourquoi nous observons un haut degré d’organisation dans l’univers (ou bas niveau d’entropie) alors que la seconde loi de la thermodynamique professe que l’entropie devrait augmenter sans cesse. Dans ce cas, l’état le plus probable de l’univers devrait être proche de l’uniformité, dépourvu d’ordre et présentant par conséquent une entropie élevée.(...)
On comprendrait mieux les pouvoirs générateurs de cette observation si, à la place d’une particule unique, c’eut été un cerveau de Boltzmann tout armé, c’est-à-dire un observateur disposant déjà d’une organisation matérielle complexe, avec ses règles émergentes, qui aurait observé le monde quantique. Ce cerveau-observateur aurait généré de ce fait notre univers actuel, régulé par les lois que nous connaissons. Ces lois elles-mêmes ne seraient autres que celles selon lequel aurait été organisé (de façon évidemment totalement aléatoire) le cerveau-observateur de Boltzmann originaire du tout premier instant de notre temps et de la toute première particule de notre espace.
Cette approche est totalement hypothétique,mais elle a pour vertu de marquer que la science n'élude pas la possibilité de l'existence d'entité consciente autre qu'humaine.
A noter tout de même que si "Dieu" était un
cerveau de Boltzmann cela ne collerait guère avec les notions développé par l'idée d'un Absolu,cela reléguerais Dieu en tant qu'émanation du vide quantique...
Bien sur que si, tu es dans les effets, pas dans les causes. C’est comme considérer qu’un arbre déraciné par un tractopelle l’est par auto-organisation lorsque l’on ne perçoit que la physique mécanique.
(au sujet des tornades).
Sauf que les tornades se formes dans des conditions bien particulière et qu'elles ont même une saisons a elles,qu'elle frappes tout les ans dans les mêmes zones:
Près de 75% des tornades dans le monde se produisent aux Etats-Unis, notamment dans les grandes plaines du centre du pays, comme l'Oklahoma, mais peu de personnes vivant dans ce "couloir des tornades" choisissent de s'équiper d'un abri fortifié.
https://fr.news.yahoo.com/couloir-tornades-peu-personnes-%C3%A9quip%C3%A9es-dabris-fortifi%C3%A9s-221010245.htmlOn est donc bien dans un phénomène strictement thermodynamique dont le déclenchement relève de la météorologie particulière rencontré dans cette partie du monde et non pas dans la volonté d'un démiurge travaillant pour les sociétés d'assurance...
Or je n’ai pas fait mention d’anthropomorphisme, mais d’anthropologie. Nous utilisons de termes, des formules héritées d’une multitude de cultures avec des perceptions différentes des termes utilisés, voire contradictoires. Cet auteur n’y échappe pas non plus. Ce qu’il appelle essence transcendantale, c’est ce qui dans une autre culture, avec d’autres termes est formulée sous le terme unique de dieu.
Je m'évertue à expliquer depuis des dizaines de post que le mot Dieu recouvre une notion difficile a saisir.
L'être humain étant doté d'un cortex associatif il ne peut pas s’empêcher d'associer une intuition a une comparaison matérialiste.
Cette dernière revêt un caractère le plus souvent anthropomorphique.
Les Rabbins explique par exemple que
l'Ein Sof est le créateur,pourtant aucun textes ne fait référence à la notion de créateur en tant que telle mais a celui de potentiel en puissance.
Ce glissement est caractéristique, car les Rabbins se revendiquant du Judaïsme ne pourrait admettre l'idée d'un terme neutre, ce qui serait en contradiction avec leurs croyances monothéiste.
Sauf encore une fois que l’utilisation du mot nature en remplacement du mot dieu (leur fonction et leur action se confondant étrangement dans les discours humains) souligne bien les à priori sur les mots utilisés. Le tout est de savoir si la nature est créatrice ou pas !" la nature a bien fait les choses" pour d'autres "le hasard a bien fait les choses" et bien entendu "dieu a bien fait les choses"
La nature est sous nos yeux,dieu quant à lui est concept crée par les humains.
Personne ne peut faire dire des chose à la nature...par contre dieu --que personne ne peut voir étant un concept-- peut très bien servir de marionnette pour développer des idées que
les hommes ...ventriloque veulent faire entendre:
Un petit exemple:
Car l'Eternel permit que ces peuples s'obstinassent à faire la guerre contre Israël, afin qu'Israël les dévouât par interdit, sans qu'il y eût pour eux de miséricorde, et qu'il les détruisît, comme l'Eternel l'avait ordonné à Moïse.
(Josué 11:20).
"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.