eclectronvolt a écrit :Ce qui semble se dessiner est que la simplicité a crée la complexité.
C'est ce que nous constatons en effet.Et c'est la que réside la différence entre une approche créationniste,qui repousse la question de la complexité vers une complexité encore plus grande, et la position scientifique qui part de la simplicité vers la complexité.
De même, il semble se dessiner que Dieu est tout simplement ce qui sous-tend la vie.
La complexité a la liberté de se croire individu mais d’après mes dernières infos, il semblerait plutôt que la vie est une et indivisible, commune à tout l’univers, en chaque chose, même dans un caillou.
Les cailloux ne sont pas vivants.Je pense que tu confonds ici la conscience et la vie,ce qui n'est tout à fait la même chose.
Selon une approche fondée sur la TII (théorie de l'information intégré),il existerait des éléments de conscience dans chaque chose.Il convient toutefois de comprendre que le terme conscience doit être saisi ici selon une approche scientifique et non new age.
En physique la conscience est une boucle de retro-action entre un système et un champ d'information.
On pourrait donc mesurer des niveaux de conscience allant de 1(un thermomètre par exemple) à plusieurs milliards pour des formes de vie comme les mammifères.
La vie,quant à elle se caractérise par 4 propriétés:
1) Phénomènes auto-catalytique.
2)Structure dissipatives d'énergie.
3)Capacité de mémorisation de l'information.
4)Capacité de reproduction.Je n'ai encore jamais vu de cailloux réaliser une telle prouesse!
A noter que les étoiles cochent 3 cases sur 4.Il est d'ailleurs possible qu'elles puissent accueillir des formes de vie nucléaire...
Dieu omnipotent aurait crée la complexité pour s’occuper…car c’est long l’éternité, surtout vers la fin.
et quelque chose, c'est mieux que rien.
Dessolé par avance pour les puritains mais la création est peut-être une gigantesque masturbation divine. :
C'est de l’anthropomorphisme...C'est le problème de l'usage du terme dieu,qui reste quoi qu'on puisse bien dire à sont sujet un concept aux traits masculiniste.
"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.