Ok.
Et grillé par Cuicui, qui m'a "arraché" à son tour, les mots ...du clavier... ^^
Christophe a écrit :Obamot a écrit :L'auteur de ce fil, n'a-t-il pas osé mettre sur la table le vrai débat actuel:
Créationnisme vs Évolutionnisme ?
Et pourquoi n'y aurait-il pas un peu des deux?
Aie aie aie ! Non non pas ce mot ici !
Par contre, il y a une question fondamentale qui me traine dans la tête depuis des années:
quand est apparue la conscience de soi chez l'homme? C'est un point sur lequel l'évolutionnisme aura bien du mal à répondre !
Peut-on être partiellement conscient d'exister? Peut-il avoir une progressivité dans le processus de prise de conscience?
Il y a surement des réponses dans l'étude du développement du cerveau chez les enfants...à priori avant 1 ou 2 ans (voir bien au delà?) on a pas conscience d'exister...
Voire dans l'étude de certains accidentés mais plus délicat...
Le créationnisme peut bien plus facilement répondre à la question bien évidement...

Que l'on soit «partiellement conscient», s'agissant déjà d'un individu à l'autre, c'est certain! Mais c'est forcément du point de vue d'un regard extérieur. Car sémantiquement parlant, si on est «partiellement» conscient, ça veut dire qu'on ne l'est pas!
«La conscience est conscience de part en part.»Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales a écrit :il est impossible d'assigner à une conscience une autre motivation qu'elle-même. Sinon il faudrait concevoir que la conscience, dans la mesure où elle est un effet, est non consciente (de) soi. Il faudrait que, par quelque côté, elle fût sans être conscience (d') être. Nous tomberions dans cette illusion trop fréquente qui fait de la conscience un demi-inconscient ou une passivité. Mais la conscience est conscience de part en part. Elle ne saurait donc être limitée que par elle-même.
Regardez le matin, combien risquent leur peau en roulant comme des dingues pour aller au taf ! C'est bien que leur notion de "conscience d'eux-même" peut être relèguée volontairement à l'arrière plan... En fonction des circonstances ! (Ou non, d'ailleurs...)
Mais au fond, si on admet des «
défaillances de conscience », la «
conscience » de l'homme devient alors toute relative. Car elle correspond à son statut d'être humain... Chaque forme de vie, doit avoir des «
trucs » qui lui sont propres, et dont on n'a même pas idée en tant qu'être humain, puisqu'ils correspondent à son propre univers et la perception qu'elle a de la "globalité qui l'entoure"... (Si tant est que ces formes de vies l'appelleraient ainsi à notre place...).
On connaît tous ces travaux, qui ont réuissi à nous convaincre en partie, que l'homme aurait une forme de supériorité par rapport au règne animal, mais est-ce bien exact? Ou est-ce un leurre, comme il y en a tant en science (de façon volontaire ou non)
Il faut quand même rappeler que pour l'univers matériel, nous ne sommes capable que d'en apréhender que 4% malheureux pourcent, selon le dernier livre d'une chercheuse du CERN: la masse manquante est considérable, et même sidérante !
Enfin, si on en revient à notre pauvre condition d'être humain pitoyable (mais qui possède toute sa grande valeur intrinsèque), oui pitoyable parce qu'il se croit grand... Car le développement de sa conscience est quelque chose qu'il doit constamment remettre sur le tapis, et chaque nouvelle génération doit tout réapprendre et se réapproprier... Alors que dans le modèle animal, ceux qui ont privilégié d'autre stratégies de survie, ont développé d'autres capacités que nous ignorons et qui dépasse éventuellement de loin, ce qu'on appelle nous pomeusement: «
consicence», par vanité, et surtout pour nous différencier du règne animal, en nous érigeant de facto en êtres supérieurs...
Le fait est, que nous n'en savons rien, il y a des espaces vibratoires qui nous échappent, et si on considère l'existance potentielle d'un monde parallèle au notre, constitué d'anti-matière et nous servant «d'équilibrage», selon certaines théories... Alors si ce monde existe... qui peut dire si il n'y a pas des animaux qui en ont « conscience », alors que nous pas... et de nous regarder en se disant:
— mais quand cette forme primitive passera-t-elle donc «le cap», de la « xxxxx universelle » ? (J'ai mis des croix, puisque chaque espèce aura son propre concept pour l'exprimer)...
Bien, bien... faisons un pronostique, ce fil dépassera-t-il les 100 pages?
