obamot bonjour
Malheureusement, cette cacophonie est nécessaire pour sortir de l’omerta faite sur le sujet.
C'est pas faux, mais à la fin dans ce cas ça nécessiterait un niveau de débat plus élevé, donc collaboratif et non pas dont le but régulier serait de provoquer des antagonismes, puisque le but principal est de séparer le bon grain de l'ivraie.
C’est justement là qu’est la difficulté et qui n’est pas prête d’être résolue (y a-t-il d’ailleurs ce besoin ?) En effet ce que certains appellent bon grain est ivraie pour d’autres ou l’inverse.
Si tu lis la parabole de Matthieu 13-24 sur l’ivraie : « (….)
et les serviteurs lui dirent : Veux-tu que nous allions arracher l’ivraie ? Non, dit-il, de peur qu’en arrachant l’ivraie, vous ne déraciniez en même temps le blé. Laissez croitre l’un et l’autre jusqu’à la moisson (…)» la sagesse s’y trouve ou, pour reprendre un autre parallèle : «
on reconnait un arbre à ses fruits…. et non ses prétentions »
Or, et nous sommes d’accord sur ce point, donner un traitement (chimique ou pas) sans l’accompagner d’un cadre favorable à une modification de mauvaises habitudes étant la cause de ces dérèglements, c’est comme mettre un emplâtre sur une jambe de bois. Or, là encore, parce que la culture est devenue telle, les individus ont été progressivement déresponsabilisés de leur comportement délétère et comptant de ce fait sur un miracle venant de gri gris prétendument scientifiques, mais surtout économiques, et donc, dans une passivité complète en croyant à ce que le gourou du moment leur impose.
Dès lors comment (à de très rares exceptions près) déconditionner ces esprits de leur soumission à des dogmes médicaux qui méprisent tout ce qui n’est pas conforme à ce dogme (d’où ce parallélisme avec les religions dominantes) sauf à « protester » justement.
C'est un débat sérieux et une erreur peut conditionner les esprits dans un mauvais sens. Voir vers une issue défavorable pour quelqu'un qui serait atteint par la maladie et qui lirait ces colonnes...
C’est inévitable et c’est le risque que représente le fait de marcher hors des sentiers battus. On ne peut (à l’exemple de David Servan Schreiber) avoir deux roues sur l’autoroute et deux roues sur ces sentiers cahotants. Mais aucune des solutions ne garanti l’impossibilité d’un accident et c’est là que la difficulté se trouve car après avoir subi (volontairement) tous ces traumatismes habituels (chimio, rayons, chirurgie) certains voudraient que les autres médecines fassent, elles, des miracles et qui, en cas d’échecs, vont être considérées comme du charlatanisme et ces « charlatans » poursuivis pour exercice illégal de la médecine (même diplômés de cette même médecine) et voir leur vie professionnelle, familiale, sociale fichue par terre pour avoir tenté d’appliquer cette maxime d’Hippocrate : «
premièrement ne pas nuire »
C’était l’exemple de Cui cui qui était complètement désemparé, ne sachant plus de quel coté se tourner pour s’en tirer par n’importe quel moyen… officiel comme la majorité des cas de ce genre.
Pour l’exemple : une dame très proche atteinte d’un cancer, après son mari, son nouvel ami, son frère, qui considérait que notre démarche n’était pas mauvaise en soit mais que « c’est bon pour vous » et donc a choisi la voie officielle et son inéluctable finalité…à 5 ans.
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré