janic a écrit :obamot bonjourC’est justement là qu’est la difficulté et qui n’est pas prête d’être résolue (y a-t-il d’ailleurs ce besoin ?) En effet ce que certains appellent bon grain est ivraie pour d’autres ou l’inverse.obamot a écrit :C'est pas faux, mais à la fin dans ce cas ça nécessiterait un niveau de débat plus élevé, donc collaboratif et non pas dont le but régulier serait de provoquer des antagonismes, puisque le but principal est de séparer le bon grain de l'ivraie.janic a écrit :Malheureusement, cette cacophonie est nécessaire pour sortir de l’omerta faite sur le sujet.
Si au moins on en était là, on pourrait discuter. Quand je parle d'antagonisme, c'est précisément de ne pas voir les choses de façon binaire, c'est là où la position du curseur entre la "dose de fibre admissible" VS le "bon grain" et difficile à trouver (et moins il y a de fibre plus les antagonismes sont sévères, plus le produit est raffiné et moins bonne est la santé du patient!...)
janic a écrit :Si tu lis la parabole de Matthieu 13-24 sur l’ivraie : « (….) et les serviteurs lui dirent : Veux-tu que nous allions arracher l’ivraie ? Non, dit-il, de peur qu’en arrachant l’ivraie, vous ne déraciniez en même temps le blé. Laissez croitre l’un et l’autre jusqu’à la moisson (…)» la sagesse s’y trouve ou, pour reprendre un autre parallèle : « on reconnait un arbre à ses fruits…. et non ses prétentions »
Attendre la moisson de suffit pas, il faut attendre la digestion, et là pour le moment avec certains, il y a pas encore eu la moisson et c'est déjà l'indigestion
janic a écrit :Or, et nous sommes d’accord sur ce point, donner un traitement (chimique ou pas) sans l’accompagner d’un cadre favorable à une modification de mauvaises habitudes étant la cause de ces dérèglements, c’est comme mettre un emplâtre sur une jambe de bois.
Oui, mais si tu prends certains sujets que je ne nommerai pas dans ce fil, point de salut sans chimio, ils choisissent le remède de cheval (dans certains cas éventuellement nécessaire, surtout lorsque l'on ne veut voir qu'une seule approche). Légères fissures dans le barrage, on ne cherche pas à trouver la cause, ni tenter de vidanger, on fait tout péter et on verra bien ensuite...
janic a écrit :Or, là encore, parce que la culture est devenue telle, les individus ont été progressivement déresponsabilisés de leur comportement délétère et comptant de ce fait sur un miracle venant de gri gris prétendument scientifiques, mais surtout économiques, et donc, dans une passivité complète en croyant à ce que le gourou du moment leur impose.
Dès lors comment (à de très rares exceptions près) déconditionner ces esprits de leur soumission à des dogmes médicaux qui méprisent tout ce qui n’est pas conforme à ce dogme (d’où ce parallélisme avec les religions dominantes) sauf à « protester » justement.
Précisément c'est ce qui est impossible dans ce type de débat focalisé: Pour VS Contre... Si les gens connaissaient un minimum de biochimie, ils ne focaliseraient pas comme dans ce fil.
On peut faire "mieux" que la chimio, on supprime l'oxygène et il n'y a plus aucune chance de prolifération des cellules cancéreuses ^^
janic a écrit :C’est inévitable et c’est le risque que représente le fait de marcher hors des sentiers battus.obamot a écrit :C'est un débat sérieux et une erreur peut conditionner les esprits dans un mauvais sens. Voir vers une issue défavorable pour quelqu'un qui serait atteint par la maladie et qui lirait ces colonnes...
Tout dépend de ce que tu appelles les sentiers battus, pour les uns ce sera ceci, pour les autres cela, alors que la solution est plus sûrement dans les chemins de traverse, et ce dans >80% des cas (et il est facile de prouver ce chiffre).
janic a écrit :On ne peut (à l’exemple de David Servan Schreiber) avoir deux roues sur l’autoroute et deux roues sur ces sentiers cahotants.
Toujours une vision binaire, dans un cas comme celui là, on est pas obligé de monter à bord d'un tel véhicule... Il vaut donc mieux en descendre avant l'enlisement et faire attention à la marche...!
janic a écrit :Mais aucune des solutions ne garanti l’impossibilité d’un accident et c’est là que la difficulté se trouve car après avoir subi (volontairement) tous ces traumatismes habituels (chimio, rayons, chirurgie) certains voudraient que les autres médecines fassent, elles, des miracles et qui, en cas d’échecs, vont être considérées comme du charlatanisme et ces « charlatans » poursuivis pour exercice illégal de la médecine (même diplômés de cette même médecine) et voir leur vie professionnelle, familiale, sociale fichue par terre
Forcément, c'est pourtant ce que paradoxalement Izentop suggère: 1) il n'y a que la chimio qui vaille (puisque c'est scientifique => paralogisme) 2) elle ne fait que prolonger le calvaire (c'est lui qui le dit => 5ans avant récidive) 3) tout le reste n'est pas recevable (même si c'est scientifique, mais pas de la science que lui il a décidé que s'en était, et pas toi, na, car seul lui décide de ce qui en est de ce qui n'en est pas: re-na ! ) 4) aveu total d'échec au final, dans 100% des cas où l'on a dû préparer les obsèques pour le sujet.
Alors qu'à la base tout ça est très nul, puisqu'il s'agit de ne pas en arriver au point ou la chimio est nécessaire (et si on en est là, de supprimer les causes en tant que priorité absolue). La chimio c'est la caserne de pompier qui met un coffrage circulaire autour de l'immeuble en feu et qui remplit ensuite d'eau presque à raz bord. Une fois l'enceinte vidée car le feu momentanément éteint, l'été venu, avec le pompier pyromane, le feu pourra repartir de plus belle... (Tu connais le schéma...)
janic a écrit :pour avoir tenté d’appliquer cette maxime d’Hippocrate : « premièrement ne pas nuire »
C'est con, mais y'en a ici qui pensent que ce n'est pas scientifique (y'en a même un qui devait avoir raison puisqu'il n'est plus là pour en parler...)
janic a écrit :C’était l’exemple de Cui cui qui était complètement désemparé, ne sachant plus de quel coté se tourner pour s’en tirer par n’importe quel moyen… officiel comme la majorité des cas de ce genre.
Quand t'as un cerveau malade OU/ET en permanence à cultiver les ambiguïtés et le pessimisme: ça n'aide pas.
janic a écrit :Pour l’exemple : une dame très proche atteinte d’un cancer, après son mari, son nouvel ami, son frère, qui considérait que notre démarche n’était pas mauvaise en soit mais que « c’est bon pour vous » et donc a choisi la voie officielle et son inéluctable finalité…à 5 ans.
Oui c'est la roulette russe, un cas sur deux est un échec statistiquement et à un moment "T"
Tôt ou tard la statistique est à revoir et les chances sont de moins en moins bonnes. Mais même avec le compromis idéal, il n'est guère possible de garantir une guérison complète, du moment qu'il n'est pas possible de soigner/traiter les gens contre leur volonté...