La chimiothérapie du cancer est elle utile?

Débats scientifiques généraux. Présentations de nouvelles technologies (hors directement liées aux énergies renouvelables ou biocarburants ou autres thématiques développées dans les autres sous forums).
Obamot
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par Obamot » 06/01/16, 09:40

janic a écrit :obamot bonjour
obamot a écrit :
janic a écrit :Malheureusement, cette cacophonie est nécessaire pour sortir de l’omerta faite sur le sujet.
C'est pas faux, mais à la fin dans ce cas ça nécessiterait un niveau de débat plus élevé, donc collaboratif et non pas dont le but régulier serait de provoquer des antagonismes, puisque le but principal est de séparer le bon grain de l'ivraie.
C’est justement là qu’est la difficulté et qui n’est pas prête d’être résolue (y a-t-il d’ailleurs ce besoin ?) En effet ce que certains appellent bon grain est ivraie pour d’autres ou l’inverse.

Si au moins on en était là, on pourrait discuter. Quand je parle d'antagonisme, c'est précisément de ne pas voir les choses de façon binaire, c'est là où la position du curseur entre la "dose de fibre admissible" VS le "bon grain" et difficile à trouver (et moins il y a de fibre plus les antagonismes sont sévères, plus le produit est raffiné et moins bonne est la santé du patient!...)

janic a écrit :Si tu lis la parabole de Matthieu 13-24 sur l’ivraie : « (….) et les serviteurs lui dirent : Veux-tu que nous allions arracher l’ivraie ? Non, dit-il, de peur qu’en arrachant l’ivraie, vous ne déraciniez en même temps le blé. Laissez croitre l’un et l’autre jusqu’à la moisson (…)» la sagesse s’y trouve ou, pour reprendre un autre parallèle : « on reconnait un arbre à ses fruits…. et non ses prétentions »

Attendre la moisson de suffit pas, il faut attendre la digestion, et là pour le moment avec certains, il y a pas encore eu la moisson et c'est déjà l'indigestion :mrgreen:

janic a écrit :Or, et nous sommes d’accord sur ce point, donner un traitement (chimique ou pas) sans l’accompagner d’un cadre favorable à une modification de mauvaises habitudes étant la cause de ces dérèglements, c’est comme mettre un emplâtre sur une jambe de bois.

Oui, mais si tu prends certains sujets que je ne nommerai pas dans ce fil, point de salut sans chimio, ils choisissent le remède de cheval (dans certains cas éventuellement nécessaire, surtout lorsque l'on ne veut voir qu'une seule approche). Légères fissures dans le barrage, on ne cherche pas à trouver la cause, ni tenter de vidanger, on fait tout péter et on verra bien ensuite...

janic a écrit :Or, là encore, parce que la culture est devenue telle, les individus ont été progressivement déresponsabilisés de leur comportement délétère et comptant de ce fait sur un miracle venant de gri gris prétendument scientifiques, mais surtout économiques, et donc, dans une passivité complète en croyant à ce que le gourou du moment leur impose.
Dès lors comment (à de très rares exceptions près) déconditionner ces esprits de leur soumission à des dogmes médicaux qui méprisent tout ce qui n’est pas conforme à ce dogme (d’où ce parallélisme avec les religions dominantes) sauf à « protester » justement.

Précisément c'est ce qui est impossible dans ce type de débat focalisé: Pour VS Contre... Si les gens connaissaient un minimum de biochimie, ils ne focaliseraient pas comme dans ce fil.

On peut faire "mieux" que la chimio, on supprime l'oxygène et il n'y a plus aucune chance de prolifération des cellules cancéreuses ^^

janic a écrit :
obamot a écrit :C'est un débat sérieux et une erreur peut conditionner les esprits dans un mauvais sens. Voir vers une issue défavorable pour quelqu'un qui serait atteint par la maladie et qui lirait ces colonnes...
C’est inévitable et c’est le risque que représente le fait de marcher hors des sentiers battus.

Tout dépend de ce que tu appelles les sentiers battus, pour les uns ce sera ceci, pour les autres cela, alors que la solution est plus sûrement dans les chemins de traverse, et ce dans >80% des cas (et il est facile de prouver ce chiffre).

janic a écrit :On ne peut (à l’exemple de David Servan Schreiber) avoir deux roues sur l’autoroute et deux roues sur ces sentiers cahotants.

Toujours une vision binaire, dans un cas comme celui là, on est pas obligé de monter à bord d'un tel véhicule... Il vaut donc mieux en descendre avant l'enlisement et faire attention à la marche...!

janic a écrit :Mais aucune des solutions ne garanti l’impossibilité d’un accident et c’est là que la difficulté se trouve car après avoir subi (volontairement) tous ces traumatismes habituels (chimio, rayons, chirurgie) certains voudraient que les autres médecines fassent, elles, des miracles et qui, en cas d’échecs, vont être considérées comme du charlatanisme et ces « charlatans » poursuivis pour exercice illégal de la médecine (même diplômés de cette même médecine) et voir leur vie professionnelle, familiale, sociale fichue par terre

Forcément, c'est pourtant ce que paradoxalement Izentop suggère: 1) il n'y a que la chimio qui vaille (puisque c'est scientifique => paralogisme) 2) elle ne fait que prolonger le calvaire (c'est lui qui le dit => 5ans avant récidive) 3) tout le reste n'est pas recevable (même si c'est scientifique, mais pas de la science que lui il a décidé que s'en était, et pas toi, na, car seul lui décide de ce qui en est de ce qui n'en est pas: re-na ! ) 4) aveu total d'échec au final, dans 100% des cas où l'on a dû préparer les obsèques pour le sujet.

Alors qu'à la base tout ça est très nul, puisqu'il s'agit de ne pas en arriver au point ou la chimio est nécessaire (et si on en est là, de supprimer les causes en tant que priorité absolue). La chimio c'est la caserne de pompier qui met un coffrage circulaire autour de l'immeuble en feu et qui remplit ensuite d'eau presque à raz bord. Une fois l'enceinte vidée car le feu momentanément éteint, l'été venu, avec le pompier pyromane, le feu pourra repartir de plus belle... (Tu connais le schéma...)

janic a écrit :pour avoir tenté d’appliquer cette maxime d’Hippocrate : « premièrement ne pas nuire »

C'est con, mais y'en a ici qui pensent que ce n'est pas scientifique (y'en a même un qui devait avoir raison puisqu'il n'est plus là pour en parler...)

janic a écrit :C’était l’exemple de Cui cui qui était complètement désemparé, ne sachant plus de quel coté se tourner pour s’en tirer par n’importe quel moyen… officiel comme la majorité des cas de ce genre.

Quand t'as un cerveau malade OU/ET en permanence à cultiver les ambiguïtés et le pessimisme: ça n'aide pas.

janic a écrit :Pour l’exemple : une dame très proche atteinte d’un cancer, après son mari, son nouvel ami, son frère, qui considérait que notre démarche n’était pas mauvaise en soit mais que « c’est bon pour vous » et donc a choisi la voie officielle et son inéluctable finalité…à 5 ans.

Oui c'est la roulette russe, un cas sur deux est un échec statistiquement et à un moment "T"

Tôt ou tard la statistique est à revoir et les chances sont de moins en moins bonnes. Mais même avec le compromis idéal, il n'est guère possible de garantir une guérison complète, du moment qu'il n'est pas possible de soigner/traiter les gens contre leur volonté...
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par janic » 06/01/16, 10:22

Attendre la moisson de suffit pas, il faut attendre la digestion, et là pour le moment avec certains, il y a pas encore eu la moisson et c'est déjà l'indigestion

En même temps on ne peut digérer un produit que l’on aime pas sans l’avoir ingurgité. Il faut, au départ, avoir envie de…. !d’autre chose !
Tout dépend de ce que tu appelles les sentiers battus, pour les uns ce sera ceci, pour les autres cela, alors que la solution est plus sûrement dans les chemins de traverse, et ce dans >80% des cas (et il est facile de prouver ce chiffre).

A contre courant si tu préfères !
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par izentrop » 06/01/16, 10:59

Obamot a écrit :
izentrop a écrit :
simplino a écrit : l'affirmation que la chimiothérapie guérit du cancer
Qui affirme ça ?
Pas la médecine en tout cas. Ou alors pour des cas pris à temps, ou la guérison est survenue avant la prolifération des métastases.

"L’intérêt de la chimiothérapie, en traitement adjuvant est actuellement démontré en retardant la récidive et augmentant le taux de malades en vie à 5 ans.
L'utilité de la chimiothérapie lorsque la chirurgie n'est pas possible est prouvée en termes de survie ainsi que pour soulager les symptômes.

Ceci démontre bien que c'est un échec , alors que la médecine orthomoléculaire ....

Donc c'est un joli bla-bla façon Pedrodelavega ...
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Crois-tu que ton pig-pong assénant toujours les mêmes certitudes soit vraiment utile aux autres ?
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par simplino » 06/01/16, 12:04

izentrop a écrit :
Crois-tu que ton ping-pong assénant toujours les mêmes certitudes soit vraiment utile aux autres ?


Pour sortir de vos bla blaa vaseux , lisez ces faits précis, récents et nombreux statistiquement qui correspondent à nos impressions personnelles basés sur les morts autour de nous inefficacité trop souvent :

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21249649

http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1 ... 5/abstract
L'article complet :

http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1 ... f/standard

'Résumé scientifique

Dépistage du cancer du sein par mammographie
Contexte

Différentes estimations des effets bénéfiques et délétères du dépistage du cancer du sein par mammographie ont été publiées et les politiques varient d'un pays à l'autre.
Objectifs

Évaluer les effets du dépistage du cancer du sein par mammographie sur la mortalité et la morbidité.
Stratégie de recherche documentaire

Nous avons consulté PubMed (22 novembre 2012) et le système d'enregistrement international des essais cliniques de l'Organisation mondiale de la santé (22 novembre 2012).
Critères de sélection

Les essais randomisés comparant un dépistage par mammographie à une absence de mammographie.
Recueil et analyse des données

Deux auteurs ont extrait les données de façon indépendante. Les auteurs de l'étude ont été contactés pour des informations supplémentaires.
Résultats principaux

Huit essais éligibles ont été identifiés. Nous avons exclu un essai car la randomisation ne produisait pas de groupes comparables. Les essais éligibles analysaient les données de 600 000 femmes âgées de 39 à 74 ans. Trois essais présentant une randomisation adéquate ne rapportaient pas de réduction statistiquement significative de la mortalité par cancer du sein à 13 ans (risque relatif (RR) de 0,90, intervalle de confiance (IC) à 95 %, entre 0,79 et 1,02) ; quatre essais présentant une randomisation sous-optimale rapportaient une réduction significative de la mortalité par cancer du sein avec un RR de 0,75 (IC à 95 %, entre 0,67 et 0,83). Le RR combiné des sept essais était de 0,81 (IC à 95 %, entre 0,74 et 0,87).

Nous avons observé que la mortalité par cancer du sein était un critère de jugement peu fiable et source de biais en faveur du dépistage, notamment en raison d'erreurs de classification différentielle des causes de décès. Les essais qui présentaient une randomisation adéquate ne rapportaient aucun effet associé au dépistage sur la mortalité totale par cancer, y compris par cancer du sein, au bout de 10 ans (RR de 1,02, IC à 95 %, entre 0,95 et 1,10) ou sur la mortalité toutes causes confondues au bout de 13 ans (RR de 0,99, IC à 95 %, entre 0,95 et 1,03).

Le nombre total de tumorectomies et mastectomies était significativement supérieur dans les groupes du dépistage (RR 1,31, IC à 95 %, entre 1,22 et 1,42), de même que le nombre de mastectomies (RR de 1,20, IC à 95 %, entre 1,08 et 1,32). Le recours à la radiothérapie augmentait également, tandis qu'aucune différence n'était rapportée concernant le recours à la chimiothérapie (données disponibles dans deux essais seulement).
Conclusions des auteurs

Si l'on considère que le dépistage réduit la mortalité par cancer du sein de 15 % et que le surdiagnostic et le surtraitement s'élèvent à 30 %, cela signifie que, pour 2 000 femmes invitées à participer à un dépistage au cours d'une période de 10 ans, un décès par cancer du sein sera évité et 10 femmes en bonne santé qui n'auraient pas été diagnostiquées si elles n'avaient pas participé au dépistage seront traitées inutilement. En outre, plus de 200 femmes se trouveront dans une situation de détresse psychologique, d'anxiété et d'incertitude importantes pendant des années en raison de résultats faussement positifs. Afin que les femmes puissent être pleinement informées avant de décider de participer à un programme de dépistage, nous avons rédigé une brochure factuelle destinée au grand public et disponible dans sept langues à l'adresse www.cochrane.dk. En raison des importants progrès réalisés en matière de traitement et d'une plus grande sensibilisation au cancer du sein depuis la réalisation de ces essais, il est probable que l'effet absolu du dépistage soit aujourd'hui plus limité. De récentes études observationnelles suggèrent que le dépistage entraîne davantage de surdiagnostics que dans ces essais et une réduction limitée ou inexistante de l'incidence des cancers avancés.

Résumé simplifié
Dépistage du cancer du sein par mammographie

Le dépistage par mammographie utilise la radiographie pour détecter un cancer du sein avant qu'une grosseur ne soit palpable. L'objectif est de traiter le cancer de manière plus précoce afin d'accroître les chances de guérison. Cette revue inclut sept essais portant sur 600 000 femmes âgées de 39 à 74 ans randomisées pour des mammographies de dépistage ou une absence de mammographie. Les études rapportant les informations les plus fiables montraient que le dépistage ne réduisait pas la mortalité par cancer du sein. Les études qui étaient potentiellement les plus biaisées (les moins rigoureuses) indiquaient que le dépistage réduisait la mortalité par cancer du sein. Néanmoins, suite au dépistage, certaines femmes se voient diagnostiquer un cancer qui n'aurait pas entraîné de maladie ou de décès. À l'heure actuelle, il est impossible d'identifier les femmes concernées, qui risquent donc de subir une ablation du sein ou de la grosseur et de recevoir une radiothérapie inutilement. Si l'on considère que le dépistage réduit la mortalité par cancer du sein de 15 % au bout de 13 ans de suivi et que le surdiagnostic et le surtraitement s'élèvent à 30 %, cela signifie que, pour 2 000 femmes invitées à participer à un dépistage au cours d'une période de 10 ans, un décès par cancer du sein sera évité et 10 femmes en bonne santé qui n'auraient pas été diagnostiquées si elles n'avaient pas participé au dépistage seront traitées inutilement. En outre, plus de 200 femmes se trouveront dans une situation de détresse psychologique, d'anxiété et d'incertitude importantes pendant des années en raison de résultats faussement positifs.

Les femmes invitées à participer à un dépistage devraient être pleinement informées des effets bénéfiques et délétères. Pour garantir le respect du choix éclairé des femmes envisageant de participer à un programme de dépistage, nous avons rédigé une brochure factuelle destinée au grand public et disponible dans sept langues à l'adresse www.cochrane.dk. En raison des importants progrès réalisés en matière de traitement et d'une plus grande sensibilisation au cancer du sein depuis la réalisation de ces essais, il est probable que l'effet absolu du dépistage soit aujourd'hui plus limité. De récentes études observationnelles suggèrent que le dépistage entraîne davantage de surdiagnostics que dans ces essais et une réduction limitée ou inexistante de l'incidence des cancers avancés.

Enfin, un traitement efficace n'a pas besoin d'essais sur un grand nombre, juste quelques uns sauvés de la mort suffisent pour convaincre, comme pour l'asepsie, mise en évidence par Semmelweiss en 1840, avant 30% de morts à l'hôpital , après autour du % , et malgré cette évidence qui crevait les yeux on a continué à nier la réalité pendant une à deux générations jusqu'en 1880 à 1890 !!

Plus il est nécessaire d'étudier sur un très grand nombre de cas, plus il est certain que le traitement est quasi inefficace !!
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par Obamot » 06/01/16, 13:11

Tout à fait Simplino, la marge n'est que de 9%. Donc autant traiter les causes, les résultats seront bien plus probants! Ce qui ne veut pas dire qu'il ne faut pas faire de dépistage bien sûr, mais d'une autre façon. On sait par exemple très bien faire une prise de sang et voir combien de cellules sont borderline/cancéreuses (chez un sujet avec une santé encore "en équilibre" relatif), par rapport à un sujet sain! Pas besoin de malmener/irradier le corps humain pour ça.

JOKER: pourquoi ce type de moyen n'est-il pas utilisé? Je sens qu'Izentrop, qui n'a pas du tout étudié ces questions, va nous fournir la réponse!
A moins que grâce à un coup de baguette magique, "l'autre courageux" Zorro ne sorte du bois à cet instant précis :mrgreen:

Les progrès seraient sans doute fulgurants si on y mettait les moyens, comme si on s'occupait un peu mieux des profils cognitivo-comportementaux >>> et des syndromes d'auto-destruction!

izentrop a écrit :
Obamot a écrit :
izentrop a écrit :
simplino a écrit : l'affirmation que la chimiothérapie guérit du cancer
Qui affirme ça ?
Pas la médecine en tout cas. Ou alors pour des cas pris à temps, ou la guérison est survenue avant la prolifération des métastases.

"L’intérêt de la chimiothérapie, en traitement adjuvant est actuellement démontré en retardant la récidive et augmentant le taux de malades en vie à 5 ans.
L'utilité de la chimiothérapie lorsque la chirurgie n'est pas possible est prouvée en termes de survie ainsi que pour soulager les symptômes.

Ceci démontre bien que c'est un échec , alors que la médecine orthomoléculaire ....

Donc c'est un joli bla-bla façon Pedrodelavega ...
Blabla pour blabla

Tu as bu? le texte en bleu c'est TON propos (re-blah-blah) tes copiers/collés non argumentés: re-blah-blah-blah...

izentrop a écrit :Crois-tu

Si tu veux être dans la croyance libre à toi, à mon humble niveau j'essaye un minimum de compétence avant de donner un avis (après 30 ans...).

Simplino a écrit :
izentrop a écrit :ton pig-pong assénant toujours les mêmes certitudes soit vraiment utile aux autres ?

Pour sortir de vos bla blaa vaseux , lisez ces faits précis, récents et nombreux statistiquement qui correspondent à nos impressions personnelles basés sur les morts autour de nous inefficacité trop souvent

Tout à fait Simplino.

Pour le moment au ping-pong, Izentop joue tout seul. Absolument rien dans ce qu'il a dit n'apporte quoi que ce soit au débat. Lorsqu'on lui pose une question précise, il ne répond pas pour ensuite — virtuosité de l'esquive — prétendre qu'il y aurait répondu...

=========================

@ Izentop: 1) sais-tu au moins pourquoi le corps humain produit un cancer?

(Et évite les copiers/collés c'est un sujet que je connais à fond tout comme Janic, Ce que je eux, c'est une réponse objective de ta part et nous dire comment tu vois ça et pourquoi. Et je te répondrai, merci).

2) S'agissant de tes critiques à mon égard, donne-moi un argument de ce que j'aurais pu dire dans ce forum sur ces sujets et qui ne serait pas fondé, sans faire d'insultes, simplement en te basant sur des faits et en y opposant l'argumentation structurée que tu voudras et que tu pourras puiser là où tu veux...
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Re: La chimiothérapie du cancer est elle utile?




par janic » 29/07/17, 19:57

a voir absolument
https://www.youtube.com/watch?v=sLA0kUS5g4g
le depistage systématique du cancer : une escroquerie ?
et
https://www.youtube.com/watch?v=QyRIZ87mjQ4
cancer, gernez, le scandale de la chimiothérapie
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Re: La chimiothérapie du cancer est elle utile?




par janic » 12/10/19, 14:10



Octobre rose, des mammographies inutiles et dangereuses !

Par ici les gros sous! 8)
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Re: La chimiothérapie du cancer est elle utile?




par Adrien (ex-nico239) » 12/10/19, 15:58

Beau sujet médical sans aucun doute..

Mais surtout philosophique.

Et si ne pas savoir nous permettait de vivre plus longtemps.

Vous avez 4 heures...
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Re: La chimiothérapie du cancer est elle utile?




par janic » 12/10/19, 16:17

Beau sujet médical sans aucun doute..
plutôt sujet vital!
Mais surtout philosophique.
je ne pense pas que les personnes touchées par ces dérèglements de la machine se posent des questions philosophiques. Elles veulent toutes se débarrasser de cette merde par tous les moyens, même les pires, c'est humain!
Et si ne pas savoir nous permettait de vivre plus longtemps.
Cà c'est philosophique! savoir ou ne pas savoir telle est la question! :idea:
Vous avez 4 heures...
Ca à pris 5 mn et dans les 3h55 qui restent, on peut glander? :cheesy:
et comme dirait Léo guetz dans l'arme fatale: "ok, ok, on nous encule!" :shock:
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Re: La chimiothérapie du cancer est elle utile?




par Adrien (ex-nico239) » 12/10/19, 16:29

janic a écrit :
Nico239 a écrit :Et si ne pas savoir nous permettait de vivre plus longtemps.
Cà c'est philosophique! savoir ou ne pas savoir telle est la question! :idea:


Et alors?

Vaste sujet non?
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