C'est étonnant : tu critique chaque proposition car elle te parait insuffisante, mais tu proposes rarement des solutions pour l'améliorer.
Ce n’est pas vraiment ça. Si tu relis l’ensemble de mes interventions tu y liras que QUELLE QUE SOIT LA SITUATION DU MALADE, il ne lui sera proposé qu’une seule alternative, puisque le corps médical ignore ou veut ignorer toute autre possibilité.
Donc, dans le cadre rassurant (sic) de la médecine « officielle », le patient n’a pas de choix : C’est le premier point !
Alors soit ce que je dis est la réalité, et donc comment une personne atteinte de cette pathologie pourrait-elle dire : « je veux être soignée par….le corossol ou le jus de betterave ou 6.000 jus de fruits comme évoqués. »? Les toubibs concernés n’avoueront pas leur ignorance, mais diront que cet insuffisant, que le cancer ne peut pas se soigner par des moyens aussi simples, sinon pourquoi tant de chercheurs s’escriment-ils dans la recherche et si c’était vrai, ça se saurait, etc… C’est, entre autres, ce discours qui est tenu vis-à-vis de l’homéopathie considérée comme incompétente pour ce genre de pathologie (ce qui souligne leur ignorance ou leur non vouloir savoir une fois de plus).
Ca c’est pour le coté médical.
L’autre aspect, c’est l’ignorance de toutes les autres formes d’action par le malade lui-même qui ne peut dire : « tiens je vais prendre telle poudre de perlinpinpin et , hop, disparu le cancer ! » (c’est un peu le cas des cures genre betterave, alors que ce produit comme le corossol ont des vertus guérissantes pour des tas de pathologies mais qui pour autant ne suffisent généralement pas seules)
Donc là encore, mais aussi et surtout, le malade se retrouve seul face à sa maladie, sans certitude (puisque de l’autre coté il y a une intense pression dissuasive) de l’efficacité de cette poudre de perlinpinpin : C’est le second point !
Enfin, ce que j’ai abondamment souligné, le cancer n’est pas une maladie au sens habituel de microbes ou virus, mais le résultat d’un ensemble de facteurs qui se cumulent et qui déséquilibrent le fameux terrain de Claude Bernard, et des homéopathes, et qui favorise alors l’éclosion et le développement de cette pathologie.
Or aucun des moyens proposés par l’oncologie actuelle n’en tient compte. La chimio est fortement alcalinisante et oxydante et donc favorise au contraire le développement de cette pathologie d’où les multiples rechutes et décès. On ne retient pas quelqu’un qui tombe en le poussant !
Donc pour résumer : ignorance des toubibs, plus ignorance des patients, ne peuvent que rendre plus crédible le système actuel et donc le non choix des uns comme des autres.
Question : en cas d'invasion brutale de métastases du cancer du colon, critiquer la chimio suffit-il pour résoudre le problème ?
Dans le système actuel : non ! Mais ils n'ont rien d'autre à proposer!
Il faut sortir du système, comme l’a fait cette ostéopathe (et il faut un sacré courage pour oser le faire ou se dire que mort pour mort, étant donné le niveau atteint, il n’y a guère de risque supplémentaire à essayer autre chose : ce qui est généralement le cas !) Les gens ne commencent donc pas par une médecine alternative, mais terminent par celle-ci en désespoir de cause. (re exemple caractéristique de DSS et d’autres témoignages quasiment inconnus du grand public)
Alors que c’est l’inverse qu’il faudrait faire : commencer par une médecine douce comme les mesures que préconise DSS par exemple ou Gernez entre autres qui ont la particularité d’être des facteurs défavorables non seulement pour un hypothétique futur cancer, mais sont aussi actifs pour un cancer existant, mais qui ne suffissent pas seules car étant généralement considérés comme une thérapeutique ponctuelle, ciblée, sur une maladie, ce qui permettra de l’abandonner dès que la pathologie aura été réduite . (c’est ce qui arrive la plupart du temps à quelques exceptions près)
Donc pour revenir à ta question : quand la voiture s’est écrasée contre l’arbre, critiquer les pompiers avec leur écarteur de tôle suffit-il pour résoudre le problême. Non, c’est un moyen choisi pour sauver l’accidenté et c’est ainsi que raisonne la médecine actuelle. (je rappelle que tu parles de métastases, qui se développent souvent après une intervention, donc avec un véhicule, humain, déjà en mauvais état de conduite, ce qui n’a rien à voir avec les premiers signes d’apparition d’un cancer où la pathologie peut être réduite facilement en naturopathie.)
De même qu’on attend pas que la tôle d'une voiture soit rouillée et percée pour intervenir et la protéger.
Alors, les méthodes alternatives, auraient-elles quelques chances de succès ? Impossible à dire puisque cela dépend de nombreux paramètres dont la vitalité du malade (qui compte plus que la gravité apparente de la pathologie) ou pour reprendre une comparaison: même avec un véhicule en bon état si la batterie est déchargée la voiture restera « morte » au bord du trottoir.
Inspires toi de cet exemple que je cite, toujours, dans mon livre et qui est du vécu, pas de la théorie:
Voici en deux mots et demi son histoire, celle d'un père que j'ai rencontré:
Sa petite fille était atteinte d'une leucémie. Après maints traitements, elle leur fut rendue afin de passer ses derniers instants au sein de sa famille ; c'est dire la gravité de son état. Comme tous les parents ceux-ci ne se résolurent pas à accepter l'inéluctable et battirent du tambour pour éviter cette issue fatale. On leur donna le nom d'une naturopathe (vous savez les charlatans !) qui, vu l'état de l'enfant, ne promit pas de résultat, mais seulement de faire de son mieux. Et contre toute attente, la santé de l'enfant s'améliora doucement. Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Les services sociaux vinrent visiter la famille pour s'enquérir de la santé de l'enfant (ou pour présenter leurs condoléances ?). Constatant l'amélioration de son état, ils voulurent recommencer le traitement et les parents durent laisser leur enfant à ceux qui, précédemment, s'en étaient débarrassés. Retraitement, rechute, re-retour vers le foyer familial. Retour vers la naturopathe qui réitère ses réserves: Re-amélioration de l'état de l'enfant. L'histoire aurait pu s'arrêter là, mais il est des coupes qu'il faut boire jusqu'à la lie. De nouveau revisite des services sociaux qui constatant l'amélioration de l'enfant reprirent leurs oeuvres, là où ils les avaient interrompues, malgré les protestations des parents. L’enfant n’a pas pu supporter cette troisième agression et en est morte
Je pourrais citer d’autres cas de ce genre, mais à quoi bon !
Si, celui-là est intéressant aussi
L’AZT fut donné aux « sidéens » parce que des stocks inutilisés de ce produit ne trouvaient pas usage et il fut donc « essayé » sur cette pathologie, ne connaissant pas quels moyens autres à utiliser. Difficile de dire à des malades « On n’a rien pour vous ! »Le 30 novembre 2004, la BBC Two, a diffusé un documentaire appelé « Guinéa Pig Kids » (Enfants cobayes) sur le SIDA
Jamie Doran, reporter à BBC Two, a interviewé de nombreux parents et proches et a réussi à obtenir quelques dossiers médicaux qui prouvent sans équivoque la participation active des enfants à ces essais.
Un peu plus tôt l’article disait p.24
Fondé en 1987 pour recueillir des enfants pauvres issus de mères toxicomanes, il (l’ICC) est devenu, en 1992, un centre d’expériences sur des orphelins séropositifs au VIH. Il est indirectement sponsorisé par l’Institut National de la Santé et par des compagnies pharmaceutiques…
Jusque là rien d’anormal, ne s’agit-il pas d’aider des enfants atteints de cette sale maladie à s’en sortir. Sauf que l’enquête à débouché sur quelque chose de moins noble.
Cette infirmière (Jacklyn Hoerger) a travaillé pour l’ICC au début des années 90. En 1996, elle s’est engagée dans un processus d’adoption de deux enfants séropositifs…elle leur administra les posologies prescrites « à la lettre » pendant environ un an et fut amenée à constater la dégradation de l’état de santé des deux fillettes. C’est alors qu’elle décida d’effectuer des recherches sur les drogues anti-rétrovirales et de consulter de nombreux spécialistes, puis forte de ces renseignements, elle a commis le crime impardonnable de retirer les drogues aux enfants, ce qui a immédiatement amélioré leur santé et a transformer leur angoisse en joie de vivre…Le centre d’aide à l’enfance retira les enfants à leur mère adoptive et les renvoya dans un home d’accueil.
Et plus loin
Mona Newberg, enseignante dans les écoles publiques de New York, titulaire d’une maîtrise d’éducation …a réussi de soustraire Sean à l’ICC. Il avait trois ans et prenait de l’AZT depuis l’age de 5 mois. Depuis 2 ans il était nourri grâce à un tube relié à son estomac…l’enfant était toujours fiévreux, souvent comateux et ne pouvait rester debout plus de 10 minutes. C’est alors que Mona décida de supprimer toutes les drogues. En deux mois, Sean récupéra des forces, put jouer avec d’autres enfants et reprit de l’appétit. Mona le faisait suivre par un naturopathe. Des représentants de l’ACC l’obligèrent à consulter le Dr Howard à l’hôpital Beth Israël. Ce dernier ordonna alors que l’enfant soit soigné par un nouveau « médicament miracle » La Nevirapine. La santé de Sean se détériora rapidement …au point qu’il fut hospitalisé 6 mois plus tard. Lorsque Mona put enfin le ramener à la maison, elle arrêta toute prise médicament. A nouveau le santé de l’enfant s’améliora…
Alors que Mona venait de récupérer Sean, les médecins ont décidé de mettre sa fille Dana sous drogues, bien qu’elle ne manifestât aucun signe de maladie…Depuis son adoption, elle ne prenait pas de médicaments, n’était jamais malade…deux mois plus tard l’enfant avait mal au dos et à la tête, au point qu’il fallut l’emmener au service d’urgence de Beth Israel…L’ACS retira Dana de la garde de sa mère et la confia à l’ICC. En novembre 2004, Dana, alors âgée de 16 ans est toujours cloîtrée au centre. Depuis son enfance Sean est sous drogues anti-sida. Il a 13 ans pèse 22 kg et mesure à peine plus d’un mètre vingt. Le film a permis de découvrir que ce centre n’est pas le seul qui fonctionne de cette manière.
Les journaux anglais ont largement couvert l’information, mais en France les médias ne se sont pas attardés sur ces horreurs…
C'est la même chose pour la chimio: que faire d'autre (pour cette médecine) malgré les mises en garde de certains médecins de renom? C'est le dilemme où, pour améliorer 2% de pathologies (et donc tant mieux pour ces 2%), on détruit 98% de celles-ci.