Les négationnistes de la réalité, une longue tradition

Débats scientifiques généraux. Présentations de nouvelles technologies (hors directement liées aux énergies renouvelables ou biocarburants ou autres thématiques développées dans les autres sous forums).
dedeleco
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par dedeleco » 29/09/12, 21:37

joli, magnifique travail de bien plus que
3 feuilles de tole des pop rivet avex


l'aérodynamique et la légèreté sont d'autant plus essentiels que le moteur manque de puissance.
Très visible sur l'avion à pédales, de haute technologie, réalisé 74 ans après le premier avion, très léger, très fin, pour un pédaleur qui développe à fond 400W max et 200 à 250W continu, avec un poids de 62Kg, double du poids de l'avion de 30m d'envergure .

Historiquement, l'avion a été réalisé quasiment au même moment que la voiture, tous deux, apparus peu après les moteurs plus légers que ceux à vapeur, que les romains auraient pu réaliser, avec une volonté plus forte d'essayer, contre la légende d"Icare, qui les décourageait, avec aussi tout un système social d'esclaves et intellectuel.

Mais l'aérodynamique et le pilotage a été moins difficile à découvrir, en temps, avec la volonté d'essayer, motivée par le moteur devenu possible, que toute la technologie derrière le moindre moteur léger, qui a pris plus de deux siècles à inventer, par un long chemin depuis Léonard de Vinci.
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janic
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par janic » 11/03/15, 13:14

Quand elle est mise à l'épreuve, la théorie classique du VIH sida contredît l'évidence clinique.
Le «VIH purifie» n'est-il rien de plus qu'un fouillis de débris cellulaires?

C 1999 par Valendar F. Turner Department of Emergency Medecine Royal Perth Hospital Perth, Western Australia et Andrew Melntyre Freelance Journalist Melbourne, Victoria, Australia

Traduit par Claude Dhorbais

L’objet réel de la méthode scientifique est de s'assurer que la nature ne vous a pas induit en erreur en vous amenant à penser quelque chose qu'en réalité vous ne savez pas... Un faux pas logique et tout un édifice scientifique s'écroule. Une fausse déduction concernant la machine et vous vous plantez indéfiniment.

Robert Pirsig, Le Zen et l'art d'entretenir les motocyclettes.

QUELQUES PROBLÈMES SCIENTIFIQUES LIÉS À LA THÉORIE DU VIH

La théorie contre la définition
La prémisse centrale de la théorie VIH du sida est qu'il existe un rétrovirus unique, transmissible par le sang et les sécrétions sexuelles, qui induit des anticorps spécifiques et tue les cellules T4, dont l'absence relative provoque ensuite l'apparition d'une trentaine de maladies qui constituent le syndrome clinique. Cependant, la définition officielle du sida utilisée cliniquement contredit complètement la théorie.
En Australie, un individu est diagnostiqué comme ayant le sida s'il remplit les critéres fixés par la dernière révision (1993) de la définition américaine «CDC» [Centers for Disease Control] du sida . (D'autres définitions en usage dans le monde rendent toute comparaison quasiment impossible. En Afrique, le sida est diagnostiqué sur la base de symptômes et sans tests sanguins.) Etant donné que, depuis 1985, les CDC « acceptent » le VIH comme cause du sida, il ne devrait pas être possible de diagnostiquer le sida par tout moyen incompatible avec la théorie du VIH. Cependant, même une lecture superficielle de la définition de 1993 révèle que le sida peut 'être diagnostiqué avec la caution des CDC sur la base du sarcome de Kaposi (dont même Gallo dit qu'il n'est pas causé par le VIH), en l'absence de déficience immunitaire, « sans preuve de laboratoire d'une infection par le VIH» et, de façon surprenante, « en présence de résultats négatifs d'une infection par le VIH » (c'est nous qui soulignons).

La transmission sexuelle
On affirme que le VIH/sida est transmissible sexuellement dans les deux sens. Les données qui appuient cette affirmation sont fondées non pas sur l'isolement de l'agent et le tracé du contact selon la pratique orthodoxe visant à prouver que les maladies sont infectieuses et transmises sexuellement , mais sur des études en majorité rétrospectives concernant des groupes d'individus hautement sélectionnés comportant des hommes homosexuels et bisexuels ainsi que des hommes et des femmes hétérosexuels, y compris des prostitué(e)s et recherchant dans le sang des anticorps qui réagissent avec certaines protéines jugées « spécifiques du VIH ». Ces études incluent une estimation des facteurs de risque liés à des pratiques sexuelles spécifiques (rapport pénien avec pénétration; vaginal; anal passif; oral passif).

Les hommes homosexuels

En 1984, Gallo et alii ont montré que, « sur huit pratiques, sexuelles différentes, le test anticorps VIH positif est en corrélation uniquement avec le rapport anal passif». Ils ont également trouvé que, plus un homme homosexuel a des rapports anaux actifs fréquents, moins il a de chances de devenir séropositif. Cela est incompatible avec une cause infectieuse. En 1986, Gallo et alii ont rapporté «n'avoir trouvé aucune preuve que d'autres formes d'activité sexuelle contribuent au risque» de séro conversion VIH chez les hommes homosexuels
Dans un article regroupant 25 études d'hommes homosexuels publié en 1994 par Caceres et van Griensven, les auteurs concluent que « aucun risque, ou aucun risque notable, d'acquisition de l'infection par le VIH-1 n'a été relevé en ce qui concerne le rapport actif».
En Occident, les études épidémiologiques prospectives les plus importantes et les mieux conduites comme l'étude de cohorte « Multicentre » sur le sida (1~MCS), portant sur 4 954 hommes homosexuels ont prouvé de façon péremptoire que, chez les hommes homosexuels, la seule pratique sexuelle significative qui soit liée à la séropositivité est le rapport anal passif. Ainsi, chez les hommes homosexuels, le sida peut être assimilé à un état non infectieux. Il est acquis par le partenaire passif mais il n'est pas transmis au partenaire actif.

Il est significatif que la MACS ait montré que, une fois qu'un homme homosexuel est devenu séropositif, la progression du sida est ultérieurement déterminée par la quantité de rapports anaux passifs subis après « l'infection ». Cela est contraire à tout ce que l'on sait des maladies infectieuses. C'est l'infection, et non les infections répétées, qui cause la maladie. En fait, le Royal Australasian College of Surgeons (RACS) considère les chirurgiens séropositifs comme « infectieux » et leur « interdit de procéder à des opérations et examens invasifs », mais les « autorise à fournir ces services à des patients ayant la même infection».

Les hétérosexuels

Les études les plus importantes et les mieux conduites sur les hétérosexuels, y compris celle du Groupe d'Etude Européen , ont montré que, chez les femmes, la seule pratique sexuelle conduisant à un risque accru de séropositivité est le rapport anal. La transmission unidirectionnelle du «VIH» observée dans les pays de l'OCDE est confortée par l'étude de Nancy Padian portant sur 10 ans et intéressant les couples hétérosexuels (1986 1996). Il y avait deux parties dans cette enquête : l'une transversale, l'autre prospective.
Dans l' étude transversale, « la contagion constante par contact, pour la transmission homme femme, a été estimée à 0,0009 [1 pour 1 111 ]. Les facteurs de risque, pour les femmes, étaient: (1°) le rapport anal; (2°) des partenaires qui avaient acquis cette infection par la toxicomanie (Padian dit que cela signifie que les femmes peuvent aussi faire usage de drogues intraveineuses); (3°) la présence de maladies sexuellement transmissibles (dans un teste « HIV », des anticorps peuvent réagir à leurs agents causatifs). Parmi les partenaires masculins séronégatifs de 82 femmes séropositives, deux seulement sont devenus séropositifs, mais dans des circonstances que Padian considère comme ambiguës.
Dans l'étude prospective, qui a démarré en 1990, l7 couples séro discordants ont été suivis pendant approximativement 282 couples années. Au début de l'étude, un tiers utilisaient des préservatifs de façon fiable et, dans les six mois qui ont précédé leur dernière visite de suivi, 26 % des couples n'utilisaient pas de préservatifs. Il n'y eut aucune séro conversion après le début de l'étude, y compris chez les 47 couples qui n'utilisaient pas de préservatifs. Deux hommes étant devenus séropositifs sur les 86 dans la première étude,. on a pu calculer que le risque, pour un homme non infecté, de devenir séropositif du fait de sa partenaire féminine séropositive était de l'ordre de 1 pour 9 000 contacts. Sur la base de cette. statistique, on peut calculer que, en moyenne, un homme aurait besoin de 6 000 contacts sexuels avec une femme infectée pour avoir 50 chances sur 100 de devenir séropositif. Si les rapports sexuels commençaient à l'âge de 20 ans et se poursuivaient au rythme de trois fois par semaine, cela prendrait toute une vie .

Les prostituées femmes

La notion selon laquelle le VIH est un virus « qui ne fait pas de discrimination » est également incompatible avec les données obtenues dans les études sur les prostituées femmes. Même si, par quelque moyen inconnu, un agent infectieux transmis sexuellement s'était frayé un chemin dans la population mâle homosexuelle de certaines grandes villes américaines à la fin des années 70 (comme on l'admet généralement), et eu égard au fait que les prostituées sont fréquentées par des hommes bisexuels et que les pratiques sexuelles « protégées » ne datent au plus tôt que de 1985, on se serait attendu à ce que le VIH/sida se soit répandu rapidement chez les prostituées et par voie de conséquence dans la population générale. Cependant, la prévalence des anticorps VIH chez les prostituées est presque exclusivement circonscrite à celles qui sont toxicomanes. Pratiquement, toutes les autres prostituées n'ont pas été, et ne deviennent pas, séropositives.

En septembre 1985, 56 prostituées n'utilisant pas de drogues intraveineuses (NDIV) ont été testées « ... dans la rue Saint Denis, la rue de Paris la plus connue pour la prostitution. Plus de mille prostituées travaillent dans ce secteur... Ces femmes, âgées de 18 à 60 ans, ont des rapports 15 à 25 fois par jour et n'utilisent pas systématiquement de protection.» Aucune n'était séropositive.
A Copenhague, 101 prostituées NDIV, dont un quart étaient « soupçonnées d'avoir jusqu'à un cinquième de leur clientèle chez les homosexuels et les bisexuels », ont été testées entre août et octobre 1985. Le nombre moyen de rapports sexuels était de vingt par semaine. Aucune n'était séropositive. .
En 1985, 132 prostituées (et 55 non prostituées) qui fréquentaient une clinique de Sydney spécialisée dans les MST ont été testées pour les anticorps VIH. Le nombre moyen de partenaires sexuels (clients et amants) au cours du mois précédent avait été de 24,5. Quand on procéda à une estimation pour séparer les clients des amants, le nombre moyen de rapports sexuels par année monta de 175 à 450. Les partenaires de seulement 14 prostituées (1,1 %) utilisaient des préservatifs à toutes les rencontres, et 49 % de leurs partenaires n'utilisaient des préservatifs que dans moins de 20 % des rencontres. Aucune femme n'était séropositive.
La même clinique australienne testa un autre lot de 491 prostituées qui la fréquentaient entre 1986 et 1988. Chez 231 prostituées (sur les 491 faisant l'objet de l'enquête), 19 % «avaient des partenaires bisexuels non payants et 21 % avaient des partenaires qui s'injectaient des drogues; 69 % utilisaient toujours des préservatifs pour les rapports vaginaux avec les clients payants, mais n'en utilisaient que rarement avec les partenaires non payants. Les préservatifs étaient rarement utilisés par ceux des clients et/ou partenaires qui pratiquaient le rapport anal avec 18 % des prostituées.» Aucune femme n'était séropositive.
A la date de cette enquête, dix ans après l'apparition du sida, les auteurs faisaient le commentaire suivant : « En Australie, il n'y a eu aucun cas documenté de prostituée femme infectée par le VIH par le fait d'un rapport sexuel » (c'est nous qui soulignons). Cependant, ces enquêteurs du Sydney Sexual Health Centre concluaient que « il y a encore beaucoup de femmes travaillant comme prostituées à Sydney qui restent sérieusement à risque face à l'infection du VIH » .
En Espagne, sur 519 prostituées NDIV testées entre mai 1989 et décembre 1990, seulement 12 (2,3 %) avaient un test positif, ce qui n'était «que légèrement supérieur au taux enregistré cinq ans auparavant dans des enquêtes similaires ». Certaines prostituées avaient jusqu'à 600 partenaires par mois et l'apparition de la séropositivité était directement liée à la pratique des rapports anaux. Les auteurs notèrent aussi que « une découverte plus frappante et très décevante était la faible proportion des prostituées qui utilisaient constamment des préservatifs, en dépit de plusieurs campagnes de prévention des mass media espagnols contre le sida».
Des données semblables proviennent de deux études écossaises, de l'étude du Groupe de Travail européen 1993 sur l'infection des prostituées femmes par le VIH et du rapport rédigé en 1994 sur 53 903 prostituées travaillant aux Philippines et testées entre 1985 et 1992: toutes ces études confirment que les prostituées non restent pratiquement à l'abri de l'infection par le VIH. Par exemple, dans cette dernière étude, 72 femmes seulement (soit 0,01 %) ont été trouvées séropositives.
Dans les études faisant ressortir une incidence élevée du VIH chez les prostituées, il y a des incertitudes qui défient toute explication. Par exemple, bien que «le VIH ait été présent dans les réseaux du sexe commercial aux Philippines et en Indonésie pendant presque aussi longtemps qu'il l'a été en Thaïlande et au Cambodge », la prévalence du VIH dans les premières a été respectivement de 0, 13 % et de 0,02 % et, dans les seconds, de 18,8 % et de 40 %.
Si ces données sont exactes, l'écart défie toute explication épidémiologique et a déconcerté les experts, même si ces derniers postulent des «facteurs comportementaux» comme des différences considérables dans le degré d'activité sexuelle chez les prostituées et les clients des différents pays. Cependant, on pourrait poser encore une autre ,question. Qu'est ce que les tests anticorps «VIH» mesurent exactement? Quoi qu'il en soit, puisque 5 674 (44 %) et 4 360 (34 %) des 12785 « cas VIH et sida » cambodgiens rapportés jusqu'au 31 décembre 1997 sont enregistrés respectivement comme de sexe et d'âge «inconnus», cet ensemble de données doit être considéré comme problématique, au moins par l'OMS au Cambodge.

Contradictions

Pourquoi le VIH épargnerait il les prostituées non toxicomanes ? Si les prostituées femmes qui n'utilisent pas de drogues ne deviennent pas infectées par le VIH, en dépit du fait qu'elles « sont sérieusement à risque en face de l'infection par le VIH», quel est le risque d'infection de la majorité des femmes australiennes qui ne sont ni toxicomanes ni prostituées? Selon des données émanant du National Centre in HIV Epidemiology and Clinical Research, ce risque est voisin de zéro. Une étude de 1989 testant 10 217 échantillons de sang de bébés nouveau nés (preuves évidentes de rapports hétérosexuels non protégés) n'a trouvé aucun bébé séropositif et donc, on peut le supposer, aucune mère séropositive. Si de telles femmes demeurent non infectées, comment leurs partenaires hétérosexuels mâles non toxicomanes s'infectent ils par le VIH?
Selon Simon Wain Hobson, un éminent expert VIH de l'Institut Pasteur, « le travail d'un virus » est de se répandre. « Si vous ne vous répandez pas, vous êtes mort. » Les études tant des hommes homosexuels que des hétéro sexuels prouvent « surabondamment » que le VIH/sida n'est pas transmissible sexuellement dans les deux sens.
Dans toute l'histoire de la médecine, il n'y a jamais eu un tel phénomène. Puisque les microbes s'en remettent à leur propagation de personne à personne pour leur survie, il est impossible d'affirmer, sur la base des données épidémiologiques, que le VIH/sida est une maladie infectieuse sexuellement transmissible. Le Pr Stuart Brody, de l'université de Tübingen, a d'ailleurs montré que les médecins ignorent les données hétérosexuelles effectives et que, pour combler cette lacune, ils promeuvent l'idée politiquement correcte que tout le monde est à risque. « La connaissance idéologique sur le sida est beaucoup plus encline à filtrer dans la société que la connaissance scientifique. »

LE DIAGNOSTIC DE L’INFECTION «VIH»

Les tests anticorps VIH

Il existe deux tests anticorps « VIH » d'usage courant : le test Elisa et le western blot ). Elisa provoque un changement de couleur quand un mélange de protéines « VIH » réagit avec des anticorps dans le sérum d'un patient. Dans le WB, les protéines « VIH » sont d'abord séparées sur toute la longueur d'un ruban de nitrocellulose. Cela permet de visualiser les réactions individuelles à la dizaine de protéines « VIH » sous forme d'une série de « bandes » assombries. Le test WB est utilisé pour « confirmer » des tests Elisa plusieurs fois positifs,. parce que les experts sont d'accord pour dire que le test Elisa « surréagit »; en d'autres termes, il est insuffisamment spécifique*.
Avant 1987, une bande WB «spécifique du VIH» était considérée comme preuve de l'infection par le VIH. Cependant, comme 15 à 25 %'d'individus non à risque et en bonne santé présentent des bandes WB « spécifiques du VIH », il devint nécessaire de redéfinir un VIH positif en ajoutant des bandes supplémentaires de sélection,


* : NDIV(n'utilisant pas de drogues intraveineuses).
faute de quoi une personne au moins sur sept eût été diagnostiquée comme étant infectée par le VIH. (Néanmoins, dans la MACS, une seule bande fut maintenue comme preuve de l'infection VIH chez les hommes homosexuels jusqu'à 1990) Par ailleurs, bien que le sida eût commencé à décliner en Europe et aux Etats Unis en 1987, cette tendance fut contrecarrée par l'adjonction d'un nombre de plus en plus grand de maladies et, tout récemment, suite à de simples anomalies de laboratoire par les révisions successives (1985, 1987, 1993) de la première définition CDC, celle de 1982.
Ces changements eurent pour effet de maintenir une corrélation entre les anticorps « VIH » et le « sida » dans les groupes «à risque», tandis que le risque d'un diagnostic VIH/sida en dehors de ces groupes restait faible. Cela fut encore accentué ultérieurement du fait que l'on évita de tester en dehors des groupes à risque. Cependant, quand de telles études furent faites avec 89, 547 spécimens sanguins anonymement testés, provenant de patients méticuleusement choisis pour n'être pas à risque face au sida dans 26 hôpitaux américains, 0,7 à 21,7 % des hommes et 0,0 à 7,8 % des femmes âgés de 25 à 44 ans se révélèrent séropositifs avec le test WB. (On estime qu'environ 1 % des hommes sont homosexuels. Egalement, dans les cinq hôpitaux où furent trouvés les taux d'anticorps VIH les plus élevés, le tiers des tests positifs appartenaient à des femmes. Et pourtant, les hommes dépassent de beaucoup les femmes parmi les patients sidéens.)
En outre, FUS Consortium for Retrovirus Serology Standardization rapporta que 127 (10 %) des 1306 individus à «faible risque» face au sida, incluant des «spécimens venant des centres de donneurs de sang», avaient un test anticorps VIH positif selon les critères américains WB «Ies plus sévères».
Ainsi, la corrélation entre anticorps « VIH » et sida que les experts considèrent comme la seule preuve in vivo que le VIH cause le sida n'est pas une statistique reliée à l'activité naturelle et débridée d'un virus, mais un artifice créé par l'homme. Non seulement la corrélation ne prouve jamais la causalité, mais le caractère artificiel de cette « corrélation » particulière compromet sévèrement son analyse scientifique.
L'un des aspects les plus bizarres de la théorie du VIH/sida est que les différents laboratoires, institutions et pays définissent différemment les jeux de bandes WB comme constituant un test positif. Les variations mondiales dans les critères interprétatifs signifient qu'en Australie, par exemple, un test positif requiert des jeux particuliers de quatre bandes. Aux Etats Unis,différents, jeux de deux ou trois bandes suffisent, qui peuvent inclure ou ne pas inclure les bandes requises en Australie. En Afrique, un seul jeu désigné de deux bandes est requis. En un mot, cela signifie qu'une même personne testée le même jour dans trois villes différentes peut être ou ne pas être infectée par le VIH.
Si le diagnostic de l'infection par le VIH était une partie de poker, un flush exigerait cinq cartes de la même couleur dans un pays, mais seulement une ou deux ailleurs. Un virus ne peut pas se comporter de cette manière mais, selon le test VIH, dont on affirme qu'il a une spécificité de 99,999%, il se comporte bien ainsi. Aussi incompréhensible que cela puisse paraître, d'autres difficultés demeurent. Par exemple, un Australien testé en Australie avec une ou deux bandes « spécifiques du VIH » ne serait pas classé comme infecté par le VIH. Il est clair, cependant, qu'il doit bien y avoir une raison pour expliquer qu'un individu non infecté, tel qu'un donneur de sang en bonne santé ou une recrue militaire, peut posséder plusieurs ou même une seule bandes « spécifiques du VIH ». Selon les experts, ces bandes sont causées par des anticorps « non VIH » réagissant de façon croisée, c'est-à dire par de « faux » anticorps, qui réagissent avec les protéines « VIH ». Ainsi, on postule qu'un anticorps qui réagit avec une protéine particulière n'est pas nécessairement un anticorps que le système immunitaire a généré spécifiquement en réponse à cette protéine.
L'Australian National HIV Reference Laboratory (NRL) concède que « la fausse réactivité peut être d'une ou de plusieurs bandes de protéine [VIH] et elle est habituelle (20 à 25 % des donneurs de sang séronégatifs présenteront une ou plusieurs bandes au test. WB)». Cependant, argumente Eleopulos, si des anticorps « non VIH » provoquent « une ou plusieurs bandes de protéine », pourquoi ne sont ils pas capables d'en provoquer quatre ou cinq? Ou toutes les dix? Sur quelle base les experts affirment-ils que certains anticorps sont « faux » et d'autres « vrais »? Ou encore, comment les trois mêmes bandes, provoquées par de « faux » anti¬corps (non « VIH »), deviennent elles « vraies » quand elles sont accompagnées par une quatrième? Sur quelles bases les experts affirment ils qu'il existe de « vrais » anticorps VIH? Si le voyageur australien se faisait tester aux Etats¬Unis, où deux ou trois bandes suffisent pour poser le diagnostic de l'infection par le VIH, ses anticorps seraient ils « faux » en Australie mais « vrais » dès que son avion atterrirait à Los Angeles?
En 1994, l'un d'entre nous (VFT) a écrit au Medical Journal of Australia à la recherche de justifications à la fois pour les critères australiens d'un test positif et pour sa variabilité mondiale. La lettre du Dr Elizabeth Dax, du NRL135 ne répondait à aucune de ces questions, et la correspondance ultérieure ne fut pas transmise à l'équipe éditoriale de cette même revue. Lorsque les mêmes questions furent reposées plus tard par l'intermédiaire de secrétariat du sénateur Chris Ellison, la première question resta encore sans réponse, et les critères largement différents entre l'Australie et l'Afrique furent justifiés par l'argument selon lequel, en Afrique, « la fausse réactivité est bien moins répandue qu'en Australie, de sorte que les critères d'interprétation pour définir. la [vraie] positivité peuvent être moins stricts». Cependant, aucun scientifique ne peut faire une telle affirmation sans données.
Tous les tests anticorps sont sujets aux caprices des réactions croisées, et la seule manière de calculer les incidences des «vrais» et des « faux » anticorps est d'examiner minutieusement les réactions contre ce que le test est censé mesurer, c'est à dire contre le VIH lui même.
L'isolement du VIH est la seule « norme d'or » permettant de déterminer la spécificité des anticorps, et cela doit être évalué avant l'introduction du test en pratique clinique.
Cependant, en dépit du fait que le test WB est largement répandu et est un «poids lourd» de la recherche du VIH, ces données n'ont jamais été fournies par le NRL, ni par aucun autre laboratoire. Même en l'absence d'une telle preuve puisque (a) le NRL admet que des anticorps réagissant de façon croisée provoquent des réactions trompeuses dans le WB chez un quart des Australiens en bonne santé et que (b), contrairement aux Australiens, les Africains (tout comme les groupes à risque face au sida) sont exposés à une multitude d'agents infectieux produisant des myriades d'anti¬corps, chacun étant susceptible de réactions croisées , la « fausse réactivité » sera beaucoup plus élevée en Afrique, où les critères du WB devraient être les plus rigoureux. Si les anticorps «VIH» prouvent effectivement qu'un tiers des adultes hétérosexuels, dans certains pays du centre et de l'est de l'Afrique, sont infectés par le VIH, « la vie dans ces pays doit être une orgie permanente».
Si les protéines utilisées dans les tests VIH Elisa et WB sont des constituants uniques d'un rétrovirus exogène, et si un tel virus induit des anticorps spécifiques, on ne s'attendrait jamais à trouver de tels anticorps en l'absence de VIH. Cependant, en plus des circonstances mentionnées plus haut, il en existe de nombreuses autres où des anti¬corps qui réagissent avec des protéines « spécifiques du VIH » apparaissent là où les experts admettent qu'il n'y a pas de VIH. C'est le cas notamment des souris en bonne santé ayant reçu des injections de lymphocytes de souris semblables ou d'extraits bactériens (V. Colizzi et alii, communication personnelle); des suites de transfusions, de sang exempt de VIH137 ou de sang irradié en autotransfusion; et de 72 chiens sur 144 testés à la clinique vétérinaire de Davis (Californie, Etats Unis). En outre, des anticorps aux microbes qui causent les maladies fongiques et mycobactériennes affectant 90 % des sidéens réagissent avec les protéines «spécifiques du VIH»
Cette année, il a été rapporté que 35 % des patients souffrant de cirrhose biliaire primaire, 39 % des patients souffrant d'autres désordres biliaires, 29 % des patients souffrant de lupus, 60 % des patients souffrant d'hépatite B, »135 % des patients souffrant d'hépatite C toutes maladies non VIH non sida ont des anticorps à la protéine « core » p24 du VIH. Jusqu'à 1990, un nombre inconnu des 4 954 hommes homosexuels testés dans la NIACS ont été diagnostiqués comme infectés par le VIH sur la base d'un anticorps à la protéine « spécifique du VIH », c'est à dire sur la base d'une seule bande WB. Pourquoi tous les autres tests semblables ne prouvent ils pas l'infection par le VIH?
Pourquoi les hommes homosexuels sont ils infectés par un virus mortel avec la seule bande p24, alors que les patients atteints de maladies biliaires et hépatiques, avec la même bande, ne le sont pas? Pourquoi les critères de l'infection par le VIH ont ils été fixés moins rigoureusement pour les homosexuels et les Africains? Et, si les anticorps VIH sont spécifiques et que l'infection par le VIH est « à vie », pourquoi les toxicomanes repentis, menant une vie saine, perdent ils leurs anticorps VIH .
Bien que tous les experts en matière de VIH acceptent la réactivité croisée dans les tests anticorps VIH, le ministère de la Santé de Nouvelle Galles du Sud interpréta en 1993 la découverte d'anticorps VIH chez quatre femmes comme une «preuve absolue» de la transmission du VIH par un homme homosexuel au cours d'une intervention chirurgicale mineure en 1989. Cependant, il n'y avait aucune preuve que l'homme était infecté par le VIH à l'époque des interventions, ni qu'aucune des femmes ait été opérée après la contamination de l'homme.
Ce rapport reste le seul de sa sorte dans le monde, et il conduisit immédiatement à la constitution d'une commission spéciale du Royal Australasian College of Surgeons, qui écrivit à tous ses membres pour les inviter à faire des soumissions en la matière. Mais, plutôt que de se saisir de la rareté de l'événement et de diligenter une enquête scientifique formelle pour savoir si les anticorps «VIH» sont causés par l'infection due à un rétrovirus, le Collège accepta ces données comme preuve d'une infection croisée mais conclut que «le mode de transmission est inconnu».
A la différence des experts en matière de VIH/sida, qui affirment la spécificité à 99,999 % du test anticorps VIH, un fabricant de tests anticorps VIH constate dans sa notice d'accompagnement: «A ce jour, il n'existe pas de norme reconnue pour établir la présence ou l'absence d'anticorps IUV 1 dans le sang humain. C'est pourquoi la sensibilité a été calculée d'après le diagnostic clinique du sida, et la spécificité fondée sur les donneurs de sang en bonne santé.. » Ces derniers ont été choisis comme non infectés defacto par le VIH dans le dessein de déterminer combien de tests sont faussement positifs. Avec ce « raisonnement », cependant, puisque la majorité des individus séro-positifs sont en bonne santé, ils ne peuvent pas être infectés. Ainsi, les prédictions d'une pandémie mondiale faite par l'OMS sont manifestement fausses.
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Re: Les négationnistes de la réalité, une longue tradition




par Hic » 11/03/15, 15:05

dedeleco a écrit :Je soulève le problème fondamental, de la négation des réalités bien établies par la science, que je vois affirmée, par certains, quasiment obsédés, par cette addiction, sans fin, et qui se voit sans cesse tout au long de l'histoire de l'humanité et qui remplit des pages de econologie.


Salut dedeleco
pour mettre ça à plat!

Le négationniste est un discours de petit chef réactionnaire,
qui n'a pas lieu d'être dans une démocratie.

pour faire simple , on like ou on ignore,

malheureusement ,
l'attaque morale ou physique des personnes en est la signature.


le négationnisme des camps de la mort est un délit :cry:

l'interdiction d'utiliser des préservatifs est un crime contre l'humanité pour 2 milliards d'humains les plus pauvres :evil:
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Christophe
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Re: Les négationnistes de la réalité, une longue tradition




par Christophe » 20/09/17, 23:33

Un bel exemple qui grandit sur internet: les défenseurs de la Terre plate...

sciences-et-technologies/tim-berners-lee-contre-les-deviances-de-l-internet-2-0-t14783-20.html#p325642

Leur arguments sont ridicules mais ils pourraient convaincre les plus faibles (intellectuellement et culturellement parlant...)...C'est le retour de l'Inquisition mais inversé! :cheesy:
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Re: Les négationnistes de la réalité, une longue tradition




par izentrop » 21/09/17, 08:31

Bonjour,
C'est de cette vidéo dont tu parles https://www.youtube.com/watch?v=s-2-YsEYEgo&t=108s
A mon avis le commentateur n'y croit pas du tout, c'est juste pour alimenter sa chaine qui s'intitule "Information Très Vraie" https://www.youtube.com/c/ITV_John_Doe
J'ai l'impression qu'il s'amuse bien avec son recueil de canulars. Techniquement c'est bien foutu.
Christophe a écrit : les défenseurs de la Terre plate...
Chez les créationnistes américains, ça ne m'étonne pas, mais en France, tu crois qu'il y a encore des adeptes ? :frown: :|

Même stopmensonge arrive à démontrer qu'elle ne l'est pas (plate) enfin presque ... http://stopmensonges.com/le-mensonge-de ... -demontre/
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Christophe
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Re: Les négationnistes de la réalité, une longue tradition




par Christophe » 21/09/17, 11:51

Pour passer tu temps à traduire et sous titrer une vidéo je ne sais pas de quel coté il est...j'ai pas dépassé les 2 minutes...faut-il que je me force à la regarder intégralement? :mrgreen:
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Christophe
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Re: Les négationnistes de la réalité, une longue tradition




par Christophe » 21/09/17, 11:54

Tiens une autre de ses vidéos débiles qui nie le principe fondamental en mécanique de l'action-réaction... :evil:

https://www.youtube.com/watch?v=0NTX83YQ4cw

Je pense qu'il faut y croire pour passer du temps à diffuser de telles conneries...
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Christophe
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Re: Les négationnistes de la réalité, une longue tradition




par Christophe » 25/09/17, 01:43

Et voici un nouveau lourd...et 1M de vues sur youtube...désespèrant...

http://www.begeek.fr/complot-arme-dun-n ... ate-250196
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Re: Les négationnistes de la réalité, une longue tradition




par izentrop » 25/09/17, 08:17

Tu t'en remettra Christophe, il y a des choses bien plus désespérantes, comme le négationnisme d'état. :wink:
Comme par exemple la réglementation bois - énergie qui laisse carte blanche à l'accélération du réchauffement climatique https://www.actu-environnement.com/ae/d ... ation.php4

Ce n'est pas toi qui écrivait qu'on commence à gagner des sous avec une vidéo à partir d'1 million de vues.
J'ai vérifié sans visionner, il n'en est pas loin. J'espère ne pas avoir donné la mienne, rien qu'en ouvrant la page ?
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Re: Les négationnistes de la réalité, une longue tradition




par sen-no-sen » 25/09/17, 10:41

Christophe a écrit :Et voici un nouveau lourd...et 1M de vues sur youtube...désespèrant...

http://www.begeek.fr/complot-arme-dun-n ... ate-250196


Affligeant...
Mais la liste ne s’arrête pas là,on peut citer aussi l'inexistence de l'arme atomique(!),et le pétrole non fossile et donc inépuisable(!)...

La plupart de ses thèses sont développées outre-atlantique via des mouvements conspi-créationniste de droite,mélangeant à peu tout et n'importe quoi dans le but de récupérer quelque brebis(souvent des adolescents paumés) vers leurs officines...la ou cela devient plus grave c'est lorsque ce genre de thèses se dissipent au travers du net,l'aspect sensationnel de telles affirmations génèrent alors facilement un nombre de vu importante.
Le principe est simple,moins il faut réfléchir et plus c'est gros et plus cela se dissipe...
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"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.

 


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