Les négationnistes de la réalité, une longue tradition

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Christophe
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Re: Les négationnistes de la réalité, une longue tradition




par Christophe » 01/05/18, 10:46

janic a écrit :considérer que certains se trompent, sur tel ou tel sujet, sous entend que celui qui juge ainsi est lui même exempt d'erreur et on y voit, en haut de tableau, les plus susceptibles de fausses croyances supposées: les vaccins et le sida, et la voix y va de son propre conditionnement sur son discours complotiste avec ce mélange habituel entre vérité et mensonge, dont il s'estime être bon juge.


Il y a quand même des sujets "théorie du complot" qui méritent plus d'avoir un esprit critique que d'autres...croire et surtout défendre (de manière plus ou moins virulente) l'idée de la Terre plate, bon Dieu, plus de 60 ans après le lancement du 1er satellite artificiel...comment dire: faut être sacrément abrutis (comme le dit justement la vidéo que tu as postée)! :shock:

Je crois que je vais réfléchir à sérieusement me lancer dans une carrière de Youtuber...puisqu'aujourd'hui apparemment mieux vaut, pour diffuser des idées, faire des vidéos "passionnelles" que débattre de manière posée et intelligemment sur un forum ou un site... :?
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Christophe
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Re: Les négationnistes de la réalité, une longue tradition




par Christophe » 01/05/18, 10:53

janic si tu ne crois pas au "pseudo virus du sida" je te conseille d'aller prendre du bon temps avec quelques professionnelles dans certains coins d'Afrique... :cheesy:
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Re: Les négationnistes de la réalité, une longue tradition




par thibr » 01/05/18, 11:59

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janic
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Re: Les négationnistes de la réalité, une longue tradition




par janic » 01/05/18, 13:40

Il y a quand même des sujets "théorie du complot" qui méritent plus d'avoir un esprit critique que d'autres...

Entièrement d’accord ! Ce que je reproche c’est ce mélange entre des aspects de certains sujets qui peuvent être mis en doute, et pourquoi pas?! (mais je doute que le fait que la terre soit plate ou non change quelque chose de fondamental quant à la vie sur terre !) Les esprits faibles, convaincus par certains sujets (sans connaissance personnelle), mettront tous les œufs dans le même panier sans considérations qu’ils soient bons ou pourris, comme le fait l’auteur de cette vidéo.
janic si tu ne crois pas au "pseudo virus du sida" je te conseille d'aller prendre du bon temps avec quelques professionnelles dans certains coins d'Afrique

d’une part je ne prends pas de bon temps avec des professionnelles du sexe ! D’autre part, et en ce cas, il serait possible que j’hérite de quelque MST, ce que n’est pas le cas du fameux VIH et c’est scientifiquement prouvable.
Ainsi que je le répète, il ne faut pas tomber de la superstition religieuse à la superstition "scientifique"

Ci-dessous un extrait sur la prostitution :
Quand elle est mise à l'épreuve, la théorie classique du VIH sida contredît l'évidence clinique.
Le «VIH purifie» n'est-il rien de plus qu'un fouillis de débris cellulaires?

C 1999 par Valendar F. Turner Department of Emergency Medecine Royal Perth Hospital Perth, Western Australia et Andrew Melntyre Freelance Journalist Melbourne, Victoria, Australia

Les prostituées femmes

La notion selon laquelle le VIH est un virus « qui ne fait pas de discrimination » est également incompatible avec les données obtenues dans les études sur les prostituées femmes. Même si, par quelque moyen inconnu, un agent infectieux transmis sexuellement s'était frayé un chemin dans la population mâle homosexuelle de certaines grandes villes américaines à la fin des années 70 (comme on l'admet généralement), et eu égard au fait que les prostituées sont fréquentées par des hommes bisexuels et que les pratiques sexuelles « protégées » ne datent au plus tôt que de 1985, on se serait attendu à ce que le VIH/sida se soit répandu rapidement chez les prostituées et par voie de conséquence dans la population générale. Cependant, la prévalence des anticorps VIH chez les prostituées est presque exclusivement circonscrite à celles qui sont toxicomanes. Pratiquement, toutes les autres prostituées n'ont pas été, et ne deviennent pas, séropositives.

En septembre 1985, 56 prostituées n'utilisant pas de drogues intraveineuses (NDIV) ont été testées « ... dans la rue Saint Denis, la rue de Paris la plus connue pour la prostitution. Plus de mille prostituées travaillent dans ce secteur... Ces femmes, âgées de 18 à 60 ans, ont des rapports 15 à 25 fois par jour et n'utilisent pas systématiquement de protection.» Aucune n'était séropositive.
A Copenhague, 101 prostituées NDIV, dont un quart étaient « soupçonnées d'avoir jusqu'à un cinquième de leur clientèle chez les homosexuels et les bisexuels », ont été testées entre août et octobre 1985. Le nombre moyen de rapports sexuels était de vingt par semaine. Aucune n'était séropositive. .
En 1985, 132 prostituées (et 55 non prostituées) qui fréquentaient une clinique de Sydney spécialisée dans les MST ont été testées pour les anticorps VIH. Le nombre moyen de partenaires sexuels (clients et amants) au cours du mois précédent avait été de 24,5. Quand on procéda à une estimation pour séparer les clients des amants, le nombre moyen de rapports sexuels par année monta de 175 à 450. Les partenaires de seulement 14 prostituées (1,1 %) utilisaient des préservatifs à toutes les rencontres, et 49 % de leurs partenaires n'utilisaient des préservatifs que dans moins de 20 % des rencontres. Aucune femme n'était séropositive.
La même clinique australienne testa un autre lot de 491 prostituées qui la fréquentaient entre 1986 et 1988. Chez 231 prostituées (sur les 491 faisant l'objet de l'enquête), 19 % «avaient des partenaires bisexuels non payants et 21 % avaient des partenaires qui s'injectaient des drogues; 69 % utilisaient toujours des préservatifs pour les rapports vaginaux avec les clients payants, mais n'en utilisaient que rarement avec les partenaires non payants. Les préservatifs étaient rarement utilisés par ceux des clients et/ou partenaires qui pratiquaient le rapport anal avec 18 % des prostituées.» Aucune femme n'était séropositive.
A la date de cette enquête, dix ans après l'apparition du sida, les auteurs faisaient le commentaire suivant : « En Australie, il n'y a eu aucun cas documenté de prostituée femme infectée par le VIH par le fait d'un rapport sexuel » (c'est nous qui soulignons). Cependant, ces enquêteurs du Sydney Sexual Health Centre concluaient que « il y a encore beaucoup de femmes travaillant comme prostituées à Sydney qui restent sérieusement à risque face à l'infection du VIH » .
En Espagne, sur 519 prostituées NDIV testées entre mai 1989 et décembre 1990, seulement 12 (2,3 %) avaient un test positif, ce qui n'était «que légèrement supérieur au taux enregistré cinq ans auparavant dans des enquêtes similaires ». Certaines prostituées avaient jusqu'à 600 partenaires par mois et l'apparition de la séropositivité était directement liée à la pratique des rapports anaux. Les auteurs notèrent aussi que « une découverte plus frappante et très décevante était la faible proportion des prostituées qui utilisaient constamment des préservatifs, en dépit de plusieurs campagnes de prévention des mass media espagnols contre le sida».
Des données semblables proviennent de deux études écossaises, de l'étude du Groupe de Travail européen 1993 sur l'infection des prostituées femmes par le VIH et du rapport rédigé en 1994 sur 53 903 prostituées travaillant aux Philippines et testées entre 1985 et 1992: toutes ces études confirment que les prostituées non restent pratiquement à l'abri de l'infection par le VIH. Par exemple, dans cette dernière étude, 72 femmes seulement (soit 0,01 %) ont été trouvées séropositives.
Dans les études faisant ressortir une incidence élevée du VIH chez les prostituées, il y a des incertitudes qui défient toute explication. Par exemple, bien que «le VIH ait été présent dans les réseaux du sexe commercial aux Philippines et en Indonésie pendant presque aussi longtemps qu'il l'a été en Thaïlande et au Cambodge », la prévalence du VIH dans les premières a été respectivement de 0, 13 % et de 0,02 % et, dans les seconds, de 18,8 % et de 40 %.
Si ces données sont exactes, l'écart défie toute explication épidémiologique et a déconcerté les experts, même si ces derniers postulent des «facteurs comportementaux» comme des différences considérables dans le degré d'activité sexuelle chez les prostituées et les clients des différents pays. Cependant, on pourrait poser encore une autre ,question. Qu'est ce que les tests anticorps «VIH» mesurent exactement? Quoi qu'il en soit, puisque 5 674 (44 %) et 4 360 (34 %) des 12785 « cas VIH et sida » cambodgiens rapportés jusqu'au 31 décembre 1997 sont enregistrés respectivement comme de sexe et d'âge «inconnus», cet ensemble de données doit être considéré comme problématique, au moins par l'OMS au Cambodge.
[*]
[*]attention! cet article ainsi rédigé semble créditer l'existence du VIH ou plutôt du présupposé VIH cause du SIDA alors que les travaux de l'équipe de Perth ne trouvent pas de preuve de cette existence, preuves non apportées autant par Gallo que Montagnier car n'ayant, ni l'un ni l'autre, respecté la totalité du protocole de détermination d'un quelconque rétrovirus. (ce qu'ils reconnaissent dans les vidéos sur ce sujet).

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Re: Les négationnistes de la réalité, une longue tradition




par izentrop » 01/05/18, 19:51

Bonjour,
Janic, tu fait partie de quel groupe ?
Des négationnistes du sida, il y en a des tas sur Internet. En gros, on peut les classer en trois catégories, comme le fait L’Obs.
  • les adeptes des théories du complot en tous genres, des illuminati à ceux qui pensent que la CIA est derrière tous les événements majeurs de la planète ;
  • les partisans de l’ésotérisme, qui croient aux vertus de trucs bizarres comme le venin de serpent, la corne de rhinocéros, les ovnis… et que le sida n’existe pas vraiment, ou qu’il a d’autres causes que le Vih ;
  • ceux qui servent objectivement une cause – la défense de l’Afrique, l’attaque de l’impérialisme états-unien, le racisme ou l’homophobie, la promotion des médecines alternatives ou des tradithérapies, les mouvements antivaccin, etc.
http://what-the-fake.com/2017/04/19/the ... gine-sida/


Pour toi, Luc Montagnier a découvert la mémoire de l'eau mais pas le virus du sida... Dans ce dernier cas, ce n'est pas lui mais les chercheurs qui étaient sous ses ordres.
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Re: Les négationnistes de la réalité, une longue tradition




par janic » 01/05/18, 21:01

Bonjour,
Janic, tu fait partie de quel groupe ?

Et toi ?
Des négationnistes du sida, il y en a des tas sur Internet. En gros, on peut les classer en trois catégories, comme le fait L’Obs.
• les adeptes des théories du complot en tous genres, des illuminati à ceux qui pensent que la CIA est derrière tous les événements majeurs de la planète ;
• les partisans de l’ésotérisme, qui croient aux vertus de trucs bizarres comme le venin de serpent, la corne de rhinocéros, les ovnis… et que le sida n’existe pas vraiment, ou qu’il a d’autres causes que le Vih ;
• ceux qui servent objectivement une cause – la défense de l’Afrique, l’attaque de l’impérialisme états-unien, le racisme ou l’homophobie, la promotion des médecines alternatives ou des tradithérapies, les mouvements antivaccin, etc.
http://what-the-fake.com/2017/04/19/the ... gine-sida/

Comme d’habitude un mélange de trucs et bidules sans rapports ni liens les uns avec les autres. Mais ça fait partie de tes sites et références sectaires.
Si tu étudiais toi-même les sujets au lieu de répéter, de ânonner des discours absurdes, tu aurais peut-être une vision plus saine de tous ces sujets, mais peut être cela te fait-il peur de voir tes idoles se casser la figure.

Ceci dit et sur les quelques points que je connais et étudie de près :
Les mouvements anti vaccins en question, ne sont justement pas anti vaccins, mais militent pour le respect des lois d’éthiques non respectées lors des obligations et non du choix libre que chaque responsable de santé doit faire et respecter. Dans la communauté européenne, 14 pays sont opposés aux obligations (pas opposés aux vaccins) et sauf à considérer que ces Etats et donc leurs comités d’éthique et responsables de la santé des populations soient des négationnistes, il te faudra réviser sérieusement ton discours négationniste, lui!
Pour toi, Luc Montagnier a découvert la mémoire de l'eau
Autre ânerie supplémentaire, mais tu les collectionne.
Luc Montagnier n’a pas découvert la mémoire de l’eau. Fait un tout petit peu l’effort de te renseigner avant d’avancer ce genre de bêtise.
mais pas le virus du sida.

Même chose renseigne-toi, informe toi avant de répéter cette autre bêtise.
Montagnier et son équipe ont pensé avoir découvert la cause des ID constatées auprès de la communauté homosexuelle en majorité. D’où la communication faite au Pr gallo en Amérique qui dira qu’il pensait avoir découvert le virus du SIDA et non qu’il l’avait découvert alors qu’il ne faisait que s’attribuer le mérite de cette « découverte ». Le procès qui s’ensuivra, pour revendiquer la paternité du bébé, se fera au détriment de Gallo qui sera condamné pour cela.
Comme par hasard, Montagnier a « égaré » les produits et documents afférant à cette découverte et Gallo aussi : bizarre !
Et oui, il y a un historique à toutes choses et des documents officiels qu’il suffit de consulter, mais c’est beaucoup te demander, il vaut mieux, tellement c’est plus facile, répandre des mensonges venant de tes sites de rigolos. De fait tes zigotos qui se prétendent dénoncer des négationnistes, le deviennent eux-mêmes… c’est la loi du genre.
... Dans ce dernier cas, ce n'est pas lui mais les chercheurs qui étaient sous ses ordres.

Et une de plus, il va falloir les compter !
Un travail d’équipe se fait sous la direction et la responsabilité d’un « chef d’orchestre » et elle est donc co-auteur de cette découverte en question, tout comme Wakefield l’était d’une équipe de chercheurs co-auteurs de la mise en question du ROR pour les cas d’autisme constatés par l’équipe et d’autres chercheurs non liés à celle-ci.(Wakefield étant favorable aux vaccins, mais séparés, pas en bloc!)
Renseigne-toi, là encore, avant de diffamer comme tes petits copains de ce genre de vomissure, alors que la question a été jugée par un tribunal et a donné tort au labo, au journal diffamant et au journaliste diffamateur.
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Re: Les négationnistes de la réalité, une longue tradition




par Forhorse » 01/05/18, 22:03

Je propose que tu ailles exposer ta théorie de "pseudo virus du sida" a ceux et celles qui l'on contracté après un rapport non protégé, ou à la famille de ceux qui en sont mort. Je suis sur que ça serait intéressant comme discussion...

Ne pas croire au virus du sida (ou pseudo virus, ou quoi que soit le sida en fait...) en 2018 c'est du même niveau que de croire que la terre est plate.

Mais en fait je pense que tu es juste un gros mauvais troll
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par janic » 02/05/18, 09:44

Je propose que tu ailles exposer ta théorie de "pseudo virus du sida" a ceux et celles qui l'on contracté après un rapport non protégé, ou à la famille de ceux qui en sont mort. Je suis sur que ça serait intéressant comme discussion...
Ca c’est le trollisme de quelques uns comme Izentrop trop soucieux de s’enfermer dans leurs peurs et superstitions, plus quelques mensonges à la clé, plutôt que de se renseigner avec précision sur la réalité d’une situation scientifiquement démontrable.
Ainsi pour prouver la présence d’un virus quelconque (et le VIH n’est pas un virus mais un rétrovirus, mais tu ignores probablement ce que c’est, ils se différencient comme un mâle l’est d’une femelle) le scientifique doit suivre un protocole précis pour le déterminer, ce qui n’a pas été respecté et Gallo comme Montagnier reconnaissent qu’ils n’ont pas respecté ce protocole : vérifie-le !
Ensuite la plupart des morts l'ont été à cause de l'AZT dont la toxicité était scientifiquement reconnue. Renseignes-toi!
Ne pas croire au virus du sida (ou pseudo virus, ou quoi que soit le sida en fait...)

Effectivement « quoi que ce soit » et c’est le plus important dans ta formulation.
Le "syndrome" de déficience immunitaire est un fait largement établi, mais sans relation établie avec ce pseudo virus. C'est juste une confusion volontairement faite et ces déficiences il y en a en pagaille, et de plus en plus, avec les maladies auto immunes. Mais là aussi la formulation est ambiguë.

SYNDROME, subst. masc.
A. −
1. MÉD., PATHOL. Ensemble de signes, de symptômes, de modifications morphologiques, fonctionnelles ou biochimiques de l'organisme, d'apparence parfois disparate mais formant une entité reconnaissable qui, sans présager obligatoirement des causes de ces manifestations, permettent d'orienter le diagnostic.
Ce syndrome était effectif chez une catégorie particulière d'individus, mais non universel c'est à dire que le reste de la population, hors de ces cas là, n'était pas touchée. Il y a donc bien un syndrome d'immunodéficience, mais en plus acquis! Et oui! Acquis, mais par quel processus? Par un virus? Par malnutrition comme en Afrique et ailleurs? Par intoxication par des drogues? Par n'importe quoi d'autre?

Donc ci-dessous une infime partie de l’interview d’un spécialiste, suivi de Duesberg qui sont des pointures reconnues dans leur pays.
http://www.sidasante.com/journal/scheff1.htm
Liam Scheff: Comment avez-vous été impliqué dans la recherche sur le SIDA ?
David Rasnick: Je suis chimiste spécialisé dans la recherche sur les enzymes protéases. Je conçois et je synthétise des inhibiteurs destinés à stopper la prolifération de virus et de cancers qui détruisent les tissus. Lorsque Robert Gallo a annoncé que le VIH causait le SIDA, j'ai voulu travailler sur des inhibiteurs qui pourraient agir sur ce virus. En 1985, j'étais à une rencontre scientifique lorsque le sujet du VIH a été abordé. On a demandé à un spécialiste du SIDA quelle quantité de VIH on pouvait trouver chez une personne souffrant de SIDA. On lui a demandé « Quel est le titre du VIH » ?
LS: Qu'est-ce que le titre ?
Rasnick: Le titre est le nombre de particules virales infectieuses dans un échantillon de tissu ou de sang. Il est facile d'obtenir un titre pour les virus vivants à partir d'un tissu spécifiquement infecté par un virus. Un échantillon d'un tel tissu contient des millions de particules virales infectieuses. Si vous avez l'herpès, l'échantillon sera prélevé au niveau d' une lésion. Si c'est la polio, il sera prélevé au niveau de l'intestin. Si c 'est la variole, ce sera une pustule. En cas de rhume, ce sera au niveau de la gorge. Lorsque vous êtes infecté par un virus, il infecte et tue environ 30% du tissu qui est sa cible spécifique avant que la personne présente le moindre symptôme. Vous pouvez déterminer le titre de n'importe quelle zone infectée, en mettre un fragment sous un microscope, et voir des millions de virus vivants. Donc, on a demandé au virologiste « Quel est le titre ? » Il a répondu : « Indétectable, zéro. » Je me suis demandé comment cela était possible ? Comment pouvez-vous être malade à cause de quelque chose qui n'est pas là ? Avec la polio, les chercheurs ont trié une centaine de virus avant de trouver le bon. Je me suis dit que Gallo avait tout simplement trouvé un virus qui n'était pas le bon, et que nous allions devoir tout recommencer. En 1987, il y avait au total 30.000 cas de SIDA. Le nombre de cas n' augmentait pas autant qu'on nous l'avait prédit. Et le SIDA était resté cantonné aux groupes à risque définis au départ. 6 ans après le premier cas de SIDA, 95% des infections étaient constatées chez des hommes, dont les 2/3 étaient homosexuels, et 1/3 des toxicomanes. De plus chacun de ces groupes à risque de SIDA avait des maladies qui lui étaient spécifiques. Les virus n'induisent pas des maladies différentes suivant le sexe masculin ou féminin, les préférences sexuelles, ou le style de vie. Les virus ont une structure génétique spécifique mais limitée, et ils induisent des symptômes limités et similaires chez toutes les personnes qu'ils contaminent. Le virus de l'herpès provoque des lésions d'herpès, mais pas une angine. Le virus de la variole induit aussi des lésions cutanées, mais jamais une paralysie. Les épidémies virales se diffusent de façon exponentielle pendant les premiers mois ou années, et tuent toutes les personnes qui ne vivent pas assez longtemps pour développer une réponse immunitaire vis-à-vis du virus causal. LE VIH NE SE DIFFUSAIT PAS ; IL RESTAIT DANS SA POPULATION A RISQUE DU DEPART, et il causait des maladies différentes suivant les personnes. Il était clair qu'il ne se comportait pas comme un virus contagieux.En 1988, je suis tombé sur un article de Peter Duesberg dans la revue scientifique « Cancer Research ». Cet article était sur les rétrovirus en général, et sur le VIH en particulier. DUESBERG ETAIT L'UN DES RETROVIROLOGISTES LES PLUS EMINENTS DE LA PLANETE. Il avait étudié et séquencé le génome des rétrovirus dans les années 70. Les connaissances de Duesberg en matière de rétrovirus étaient inégalées. Dans cet article, il exposait, point par point, ce que sont les rétrovirus, et ce qu'ils peuvent et ne peuvent pas faire.
Liam Scheff: Le VIH est un rétrovirus. Qu'est-ce qu'un rétrovirus ?
Rasnick: Les rétrovirus sont un groupe de virus QUI SONT DEPOURVUS DE TOXICITE POUR LES CELLULES. Ils ont été découverts au début du 20ème siècle. Ils ont été l'une des premières particules cellulaires identifiées. Il existe environ 3000 rétrovirus catalogués. Ils existent chez tous les animaux : chiens, chats, baleines, oiseaux, rats, hamsters et humains. Les rétrovirologistes estiment que 1 à 2% de notre ADN est constitué de rétrovirus. Les rétrovirus sont constitués d'ARN qui se copie lui-même en ADN grâce à une enzyme appelée transcriptase inverse. Les rétrovirus sont transmis de façon matrilinéaire (de la mère à l'enfant). ILS NE SONT PAS TRANSMISSIBLES SEXUELLEMENT. Les animaux de laboratoire ne se transmettent pas l'un à l' autre leurs rétrovirus, quelle que soit l'étroitesse de leurs rapports. Mais les bébés ont toujours les mêmes rétrovirus que leurs mères. Les recherches actuelles indiquent qu'ils font tout simplement partie de nous. EN 50 ANS DE RECHERCHES DANS LES LABORATOIRES MODERNES, IL N'A JAMAIS ETE CONSTATE QU'UN RETROVIRUS POUVAIT TUER DES CELLULES OU PROVOQUER UNE MALADIE, SAUF DANS CERTAINES CONDITIONS BIEN SPECIALES CREEES EN LABORATOIRE.
»

Suivi de :

« Peter Duesberg: En 1987, j'ai été invité par « Cancer Research » à discuter de si les rétrovirus, incluant le VIH, pouvaient induire des maladies ou une déficience immunitaire. Je l'ai été en raison de mon expérience en matière de rétrovirus. En 1970, je travaillais au laboratoire de virologie de l'UC de Berkeley. Le gros programme de recherche à cette époque, auquel j'ai participé, était de trouver un virus qui causait le cancer. Il y avait aussi un gros programme gouvernemental de recherche de virus induisant le cancer au National Institute of Health. Gallo était l'un des chercheurs travaillant sur ce programme. Nous avons commencé à chercher du côté des rétrovirus à cause de leurs qualités spécifiques. Les virus typiques tuent les cellules. Leur stratégie est d'entrer dans une cellule, de la tuer, et de passer à la suivante. Toutefois, dans le cancer, les cellules ne sont pas tuées ; en fait, elles se multiplient très rapidement. Donc, un virus ne pouvait pas causer un cancer. LES RETROVIRUS, TOUTEFOIS, NE TUENT PAS LES CELLULES. Cette particularité en faisait de bons candidats en tant d'agents causals pour les cancers. En 1970, j'ai fait une découverte qui a reçu beaucoup d'attention. J'ai isolé un gène rétroviral à partir d'une cellule cancéreuse, et j'ai infecté une autre cellule avec ce gène. Les cancérologues-virologistes étaient très intéressés. Ils pensaient que c'était ce qu'ils cherchaient : un rétrovirus qui pouvait infecter d'autres cellules et causer le cancer. Je suis soudainement devenu célèbre. On m'a offert des postes, on m'a offert une chaire à Berkeley, et on m'a admis à l'Académie des Sciences. Bien sûr, si un virus, ou un unique rétrovirus, provoquait le cancer dans le monde réel, alors le cancer serait contagieux. Mais personne « n'attrape » le cancer. Le cancer ne fait pas le tour du bureau. Cependant, ces considérations fondamentales n'étaient pas venues à l'esprit des chasseurs de virus. LES CHERCHEURS AIMENT LES PREUVES QUI SEMBLENT SPECTACULAIRES, QUEL QUE SOIT CE QUI SE PASSE DANS LE MONDE REEL.[*] Le gène cancérigène de rétrovirus était juste un artéfact de laboratoire. Il n'existait pas dans la nature, ni chez les humains, ni chez les animaux. Nous l'avions créé dans le laboratoire, et c'est là qu'il est resté. C'était juste académique. Parmi les divers travaux sur les gènes cancéreux, mes associés et moi avons séquencé le génome rétroviral. Nous avons fait les cartes qui sont utilisées aujourd'hui comme documentation de base pour tous les rétrovirus, VIH inclus.
LS: Que font les rétrovirus ?
Duesberg: En terme de maladie, ils ne font rien. Ils sont transcrits dans l 'ADN de quelques cellules, et ils y restent en tant que partie de notre génome pendant le reste de notre vie. Cela n'a pas empêché les chasseurs de virus cancérigènes de continuer à chercher des gènes cancéreux en utilisant la technologie que nous avions créée, et les cartes de rétrovirus que nous avions dressées.
» etc…
Mais tu t’y connais mieux que ces scientifiques, c'est évident!
en 2018 c'est du même niveau que de croire que la terre est plate.
Alors c’est que ce qui est cité ci dessus est du même niveau que la terre plate ?!
Mais en fait je pense que tu es juste un gros mauvais troll
Ou bien c’est toi ! Va savoir ! Qui répand ces fake news, ici?
[*] le spécialiste en microscopie cellulaire électronique qui fut consulté par Montagnier pour analyse, dit aussi avec un certain humour, que chacun y découvre ce qu'il a envie d'y voir!

et un bonus supplémentaire:
https://www.sciencesetavenir.fr/sante/d ... mique_6023
« La bataille faisait alors rage entre Français et Américains pour savoir qui avait isolé en premier le désormais fameux VIH et qui pouvait toucher les royalties des brevets. »
Serait ce tout simplement une affaire de gros sous ?
« De fait, aux Etats-Unis, des enquêtes mettent en cause l’honnêteté de Robert Gallo »etc..
Quelle pudeur linguistique puisque Gallo a été condamné par les autorités américaines
et tout à l'avenant! :cry:
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Re: Les négationnistes de la réalité, une longue tradition




par izentrop » 02/05/18, 15:55

janic a écrit : le VIH n’est pas un virus mais un rétrovirus
Tu pars déjà du mauvais pieds 8) , pas la peine de lire le reste qui est du même acabit :mrgreen: :mrgreen:

Je mets un lien au cas ou ça na serait pas clair https://www.futura-sciences.com/sante/d ... virus-249/ :wink:
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Re: Les négationnistes de la réalité, une longue tradition




par janic » 02/05/18, 17:52

janic a écrit : le VIH n’est pas un virus mais un rétrovirus

Tu pars déjà du mauvais pieds , pas la peine de lire le reste qui est du même acabit

Il te faudrait déjà savoir vraiment lire et non seulement parcourir vite fait quelques articles de ce genre. Finalement tu as effectivement peur de voir la réalité en face
Je mets un lien au cas où ça na serait pas clair https://www.futura-sciences.com/sante/d ... virus-249/

J’ai plutôt l’impression que tu préfères te réfugier dans ton ignorance. Le fait d’être non signé, alors que de vrais articles scientifiques portent la griffe de leur auteur, c’est déjà douteux car quelle qualification à « l’équipe » en question et d’après quelles références scientifiques écrivent-ils ? Aucune n’est indiquée !
« le VIH, un rétrovirus qui infecte les lymphocytes T CD4+ «

il a été dénombré quelques dizaines de cas où les lymphocytes TCD4 sont « infectés » comme lors la grossesse qui n’est pas une maladie pour autant, ni une infection par un VIH non démontré, ni prouvé, et encore moins à partir d’un dessin quelconque. Par ailleurs la transcriptase inverse n’est pas spécifique au retro virus, mais tu n’as aucune envie d’en savoir plus, c’est ton droit !

Pour Saluzzo, on y retrouve ce discours devenu classique depuis que l’OMS est entre les mains des labos qui les subventionnent et son discours tient plus du markéting que d’une véritable information, mais où tout n’est pas faux, plutôt pas entièrement faux. Ainsi les virus de la grippe changent chaque année en s’adaptant aux conditions de production des vaccins, plus que de celui de la grippe elle-même, puisque chaque année le vaccin a un métro de retard.
Chaque pathologie, soumise à une action extérieure, s’adapte aux conditions qui l’environnent et cela se remarque pour l’antibiothérapie où les antibiotiques deviennent de moins en moins efficaces car le système immunitaire développe une stratégie de parade à ces produits et l’on retrouve le même phénomène pour les plantes.
Maintenant il se garde bien de parler des rétrovirus et s’il est fait mention de la disparition de la variole « la variole a été totalement éradiquée le 26 octobre 1977 [*]» l’auteur néglige de signaler que c’est dû à l’isolement des malades, pas au vaccin (rapport de l’OMS ) et que c’est en 1972 que les Etats Unis ont cessé de vacciner, alors qu'aucun cas de variole n'ait été signalé depuis 1949, et que le virus était encore circulant dans le monde entier. Pourquoi?
https://www.nouvelobs.com/societe/20160 ... riole.html
Henderson n'a pas découvert de remède ni mis au point de vaccin contre la maladie. C'est son travail lors de la campagne de l'OMS qui est salué. Il a pris la tête de cette campagne après avoir dirigé aux Etats-Unis le CDC et été à l'origine avec Usaid d'une nouvelle méthode de lutte contre l'épidémie.

Dans les années 50, la maladie tuait 2 millions de personnes par an. Les grands pays, Etats-Unis et URSS en tête, avaient lancé de vastes campagnes de vaccination. Le problème, c'est qu'elles ne faisaient pas toujours reculer le virus. Tout en poursuivant les campagnes de vaccination massives de la population, Henderson a mis en œuvre la stratégie de surveillance et de confinement, qui consiste à rapporter précisément les cas de contamination et à vacciner toutes les personnes dans leur environnement. Et ce dans des dizaines de pays en même temps.

[*]quelle précision!
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« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré

 


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