Le plus affligeant, c'est que les outsider "un peu plus créatifs", n'ont pas les grâces de la majorité des intentions de vote! Le changement fait-il si peur?!
«Le peuple ne doit pas savoir certaines choses, il n'est pas assez mature pour cela», diraient la plupart en cœur (je les ais assez fréquentés pour comprendre l'hypocrisie qui peut y régner, même si une partie de ce paradigme n'est pas faux, et ce, même jusque dans les instances dirigeantes).
D'une certaine manière, personne ne peut nier que bon nombre de personnalités politiques «jouent des rôles» face à leur public, et le font bien souvent consciemment. Mais je peux citer des exceptions, elles existent heureusement, et en général la personne est très remarquable par ses qualités! comme celui-lui ...> et tant d'autres qui ne vont jamais bien haut, ni bien loin.... Je serais curieux de savoir quel bouquin existe sur ce thème? Il doit y en avoir des tas...
Ou alors du côté des dirigeants: dites-moi quel leader politique en vue, a le courage de dire la vérité au bas peuple. Même et surtout les vérités qui ne sont pas bonnes à dire...
Et du côté des peuples, lequel est parvenu par ses efforts à une maturité politique telle, au point que la masse soit capable de s'autogérer sereinement, de façon transparente et pérenne?
Tant qu'il y aura des inégalités, que ce sera «le système totalitaire marchand» qui dirigera un peu tout "par la ...force des choses", les «gens de bien» ne verront guère le bout du tunnel.
Il y a des pays qui réuississent plus ou moins bien, mais je crois hélas que la faiblesse des hommes pour le pouvoir et aussi face au fait qu'un «fraîchement élu» est face à des problèmes quasi insurmontables à l'échelle humaine — dont il prend mieux la mesure une fois aux manettes du bateau — fait que les bonnes actions ont beaucoup de mal à progresser et à s'imposer. Tout ça parce que la vie est courte et la compétition est vive! A chaque génération de remettre l'ouvrage sur le tapis, et de tirer — ou non — les enseignements des générations précédentes!
C'est là où le bât blesse. Le temps manque. Certains systèmes l'ont bien compris en pronant la «stabilité politique» en tant que primauté absolue. Le revers de la médaille, est que ça ne profite pas forcément à tous... Et ils y arrivent tant bien que mal, sauf lorsque des dinosaures moins scrupuleux s'en prennent à leur économie pour n'en faire qu'une bouchée...
Raison pour laquelle les philosophes ont tant de peine à se faire entendre. Alors oui, dans un certain sens je comprend le but poursuivit par ce fil, même si il faut souvent attendre qu'un «malade» soit atteint par le «mal» qu'il discerne pour qu'il commence à s'intéresser à sa «maladie». Ainsi, ce qui fait avancer le monde, c'est surtout «l'état de nécessité».
Pour "les causes des problèmes", repassez à la Saint-Glinglin ...on verra!
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En ce sens, il n'y a pas de quoi être d'un optimisme forcené
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