Pierre-Yves, Pascal, bravo pour cet accord qui ne pourra que contribuer à propulser le trilobique en avant ...
Je me pose une question, à savoir pourquoi le contrat comporte la mention " à l'exclusion de machines Stirling " en ce qui concerne la construction de protos ???
Ca m'embête un peu, parce que sinon, j'aurais été le deuxième sur la liste après Pascal ... Mon but aurait été justement l'exploration du potentiel ( que je soupçonne élevé ) du trilobique dans ce domaine ....
En tous cas, une chose est sure, plus on serait nombreux sur cette liste, moins la construction de prototype serait onéreuse ... D'autre part, ça multiplierait les possibilités d'expérimentation d'autant . Du coup on pourrait voir apparaitre une communauté comparable à celle du Pantone ... euh, pardon : du Gillier-Pantone ...
Machine Rotative à Piston Annulaire Tri Lobique
- louphil
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C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son,
Que certains ont l'air brillants, avant d'avoir l'air cons ....
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louphil a écrit :Je me pose une question, à savoir pourquoi le contrat comporte la mention " à l'exclusion de machines Stirling " en ce qui concerne la construction de protos ???
Pas de problème, Louphil ! L'accord avec Pascal veut dire que Kevin et moi n'allons pas explorer le concept de "trilobique + Stirling", mais nous consacrer aux applications potentielles du trilobique pour des économies d'énergie. Tu pourras, quant à toi, mener tes propres expérimentations.
Je vais avoir bientôt un devis pour la fabrication du piston (la pièce la plus complexe à réaliser), en inox, en alu fortal ou en PEEK, pour des pré-séries de 5, 10 pièces ou plus. Je mettrai ce devis sur le forum, pour voir si quelqu'un peut trouver un fabriquant moins cher et s'il y a des personnes intéressées pour profiter de la pré-série en alu fortal à prix coûtant.
Il s'agit d'un piston d'un rayon intérieur de 50 mm et de 3 mm d'épaisseur. J'ai pris l'atelier de mécanique le plus proche de chez moi !! C'est un critère comme un autre, sachant que le plus coûteux est le temps passé à régler les machines pour avoir la précision voulue. La méthode de Jam est astucieuse et idéale pour une application perso, mais les 2 ou 3 machines que nous allons réaliser dans un premier temps vont être testées dans des conditions proches de leur utilisation réelle où la robustesse sera un critère important.
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- Remundo
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Salut Pierre-Yves,
Si tu as des devis, demande leur de faire des "scénarios" selon le nombre de pièces. Faut voir aussi la qualité/précision, car si ça bloque de partout, on en sera pour nos sous...
Je pense que cela pourrait interesser Pascal, et moi aussi si le prix est raisonnable.
Merci et bon vent (en Bretagne, vous êtes bien servis ;-)
@+
Si tu as des devis, demande leur de faire des "scénarios" selon le nombre de pièces. Faut voir aussi la qualité/précision, car si ça bloque de partout, on en sera pour nos sous...
Je pense que cela pourrait interesser Pascal, et moi aussi si le prix est raisonnable.
Merci et bon vent (en Bretagne, vous êtes bien servis ;-)
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le temps du retrait est venu
- louphil
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En effet, je suis moi aussi interessé pour au moins 2 unités, si bien sur les tarifs restent abordables comme le souligne Remundo ...
De mon coté je suis en train de cogiter sur un scénario de fabrication (du moins pour la chambre et pour le noyau ; pour le piston je n'ai pas encore d'idées ) ; ayant par moments accès à un petit tour et une petite fraiseuse ... Donc si j'ai un peu de temps concordant avec ces accès machines, j'essaierais de les mettre en pratique ... Sinon, je vous ferais part de mes élucubrations, ça pourrait peut-être servir à d'autres ...
De mon coté je suis en train de cogiter sur un scénario de fabrication (du moins pour la chambre et pour le noyau ; pour le piston je n'ai pas encore d'idées ) ; ayant par moments accès à un petit tour et une petite fraiseuse ... Donc si j'ai un peu de temps concordant avec ces accès machines, j'essaierais de les mettre en pratique ... Sinon, je vous ferais part de mes élucubrations, ça pourrait peut-être servir à d'autres ...
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- pascal HA PHAM
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piston annulaire tri lobique
LA VOILA LA TURBINE ROBIPLAN :
Un récré en faveur d'une des petites soeur du TRILO :
texte du descriptif du brevet :
DOMAINE TECHNIQUE DE L’INVENTION :
La présente invention est une évolution notable du concept de l’éolienne.
Une éolienne exploite l’énergie du vent au travers d’un ensemble mobile actionné par les courants d’air naturels, cet ensemble est constitué d’au moins deux pales identiques et équilibrées montées sur un axe de rotation situé « bout au vent », c’est l’incidence de ces pales en forme d’hélice qui provoque la rotation. L’axe de rotation est en général fixe et situé dans une position horizontale par rapport au sol et il est perpendiculaire au plan de rotation de l’hélice. La puissance optimale est obtenue en ajustant les réglages de 2 paramètres majeurs : l’incidence des pales et l’orientation de l’ensemble mobile vis-à-vis de la direction du vent.
DESCRIPTIF GENERAL DE L’INVENTION :
A la différence de l’éolienne et de l’ensemble des autres machines existantes alimentées en flux naturels, le mobile à flux élémentaires à double plan de rotations imbriqués s’anime selon deux rotations simultanées : la rotation d’un bipales -couple de pales- (BPA) dans un premier plan générique perpendiculaire à son axe de rotation (AXR), et la rotation de l’axe de rotation du bipales dans un deuxième plan générique perpendiculaire au premier (fig 1 et 2). La rotation de l’axe du bipales (BPA) s’effectue autour de son point d’intersection avec le plan générique de rotation du couple de pales (fig 2 et 3). Lors de sa révolution, l’axe du bipales tourne sur lui-même porté et guidé par une potence (POT). Les 2 pales constituant le bipales sont orthogonales l’une par rapport à l’autre et fixées symétriquement de chaque côté sur leur axe de rotation. Ces pales ne sont pas en forme d’hélice mais taillées selon un profil à section de préférence constante avec deux bords d’attaque symétriques, les pales peuvent d’ailleurs être parfaitement planes. Ainsi, les rotations du bipales s’effectuent selon un axe dont la position varie constamment au cours du cycle rotatif de la potence, présentant alternativement au vent une des faces et un des bord d’attaque, puis l’autre face et l’autre bord d’attaque, ce pour l’une puis l’autre des pales dont les plans sont toujours en décalage angulaire de 90° (l’un par rapport à l’autre). Les deux rotations imbriquées sont réalisées par une cascade de pièces, pignons, chaîne et couple conique (CAS) assurant la cinématique des déplacements relatifs requis en simultané. C’est la rotation des pales qui pilote la rotation de l’axe du bipales - sur lui-même - via la potence et la cascade de pièces cinématiques. Un des pignons du couple conique est fixé/solidaire au support de l’ensemble. Cette arrangement nouveau permet un fonctionnement assurant un cycle de passages alternatifs de chaque pale du bipales bout au vent, puis travers au vent, tous les quarts de cycle, et inversement. Chaque pale passent régulièrement d’une incidence nulle à une incidence maxi (orthogonale au flux) dans sa phase d’engagement au vent, puis d’une incidence maxi à une incidence zéro dans sa phase de dégagement du vent (fig 1).
DEFINITION DES PIECES CONSTITUANTES :
Définition du bipales (BPA) :
C’est un ensemble monolithique de deux pales identiques fixées de façon équilibrée de part et d’autre d’un axe de rotation, les surfaces des 2 pales constituant le bipales (BPA) sont orthogonales l’une par rapport à l’autre et fixées symétriquement de chaque côté sur leur axe de rotation (AXR) Définition de l’axe de rotation du bipales (AXR) :
C’est l’axe qui supporte et guide en rotation le bipales, il reçoit aussi le premier pignon de commande de la cascade cinématique et il est supporté par une potence.
Définition de la potence (POT) :
C’est le support tournant assurant la deuxième rotation imbriquée de la machine.
Elle est pilotée par la rotation du bipales via la cascade cinématique pignon/chaîne/couple conique. Elle peut prendre une forme simplifiée mono bras en « L » inversé, ou plus solide en « U » inversé si la puissance à transmettre est importante. Elle doit être à la fois résistante et suffisamment ajourée/profilée pour ne pas opposer trop de résistance à la veine du flux élémentaire qui alimente la machine (fig 2 et 3).
Définition de la cascade cinématique (CAS) :
Elle assure la rotation par quart de tour de la potence pour chaque quart de cycle moteur du bipales. Les axes de ces deux éléments étant perpendiculaire, il y a lieu d’utiliser au moins un premier pignon monté sur l’axe du bipales, un deuxième pignon avec le même nombre de dent sur un axe intermédiaire supérieur (AIN), une chaîne pour relier les deux pignons (rapport 1/1) et un couple conique final (rapport 1/1) avec renvoi à 90°. L’un des éléments du couple conique final est solidaire de l’axe intermédiaire, l’autre est fixé sur le support de la machine, lequel est matérialisé par un axe de sortie qui guide en rotation la potence.
Définition du support de la machine (SUP) :
C’est la pièce qui assure le guidage en rotation de la potence et sur lequel est fixé le deuxième/dernier élément du couple conique de la cascade cinématique.
Cette pièce assure le support de l’ensemble et permet entre autres de fixer la machine sur un socle.
RESUME DU FONCTIONNEMENT :
Un schéma scinde le cycle en 4 phases et permet de visualiser les positions successives des pièces constituantes. Ce dessin illustre l’exécution complète d’une rotation et permet de comprendre que le mouvement de cette nouvelle machine soumis à un flux éolien est assuré et bien pérenne : la cascade cinématique (CAS) assure la rotation par quart de tour de la potence pour chaque quart de cycle moteur du bipales (fig 2).
En résumé, le mobile à flux élémentaires à deux plans de rotation imbriqués fonctionne en pleine veine de flux en délivrant un fort couple moyen, le bipales évolue cycliquement dans les 3 dimensions. Les plages d’utilisations sont très étendues au regard des vitesses de fluide acceptées et des implantations offertes par la nature. Il n’y a aucun point mort de motricité au cours du cycle.
La machine peut aussi fonctionner face à un flux hydraulique, ou encore de façon réversible en compresseur/ventilateur lorsque sa potence est entraînée en rotation par un moteur externe.
Dans chaque cas, les surfaces, dimensions et matériaux des pièces constituantes doivent être re- étudiées, dimensionnées, et adaptés à l’utilisation requise.
Sur un cycle (un tour de potence), la moyenne de surface motrice du bipale exposé au flux (en équivalence orthogonale) est identique à la surface d’une pale.
Sur un cycle, la Surface maxi balayée par un bipales asymétrique type « une pale carrée et une pale demi lune » est inférieure à 2 fois les maîtres couple ajoutés des 2 pales.
C’est donc plus de la moitié de la surface balayée par le bipales qui peut être constamment active, (équivalence orthogonale au flux).
En cas d’utilisation de pales asymétriques, un équilibrage dynamique est nécessaire.
Le taux de compacité maxi de cette machine éolienne peut donc être supérieur à 50 % (ratio entre la surface active équivalence orthogonale et la surface balayée par le bipale sur un cycle).
Deux prototypes/démonstrateurs fonctionnels ont été construits fin 2007 début 2008.
voila.....je ne sais pas si quelqu'un avait déja pu faire tourner la partie motrice d'une quelconque machine tournante autour d'un seul point fictif...avec un minimum de couple quasi constant à la cléf.....
maintenat c'est fait...! voila
le cycle du déplacement des pales du ROBIPLAN se deroule efficacement dans les 3 dimentions....
les dessins :
https://www.econologie.info/share/partag ... uTkLrh.jpg
https://www.econologie.info/share/partag ... UcUfMn.jpg
https://www.econologie.info/share/partag ... fNt56q.jpg
https://www.econologie.info/share/partag ... DEy1Xg.jpg
il n'y a pu qu'à calculer...caractériser la chose....ingé-aérodynamiciens, spécialistes du vent et des machine à vent.... j'en appelle à vos compétences.
A+
bien cordialement.
TOURNESOL
Un récré en faveur d'une des petites soeur du TRILO :
texte du descriptif du brevet :
DOMAINE TECHNIQUE DE L’INVENTION :
La présente invention est une évolution notable du concept de l’éolienne.
Une éolienne exploite l’énergie du vent au travers d’un ensemble mobile actionné par les courants d’air naturels, cet ensemble est constitué d’au moins deux pales identiques et équilibrées montées sur un axe de rotation situé « bout au vent », c’est l’incidence de ces pales en forme d’hélice qui provoque la rotation. L’axe de rotation est en général fixe et situé dans une position horizontale par rapport au sol et il est perpendiculaire au plan de rotation de l’hélice. La puissance optimale est obtenue en ajustant les réglages de 2 paramètres majeurs : l’incidence des pales et l’orientation de l’ensemble mobile vis-à-vis de la direction du vent.
DESCRIPTIF GENERAL DE L’INVENTION :
A la différence de l’éolienne et de l’ensemble des autres machines existantes alimentées en flux naturels, le mobile à flux élémentaires à double plan de rotations imbriqués s’anime selon deux rotations simultanées : la rotation d’un bipales -couple de pales- (BPA) dans un premier plan générique perpendiculaire à son axe de rotation (AXR), et la rotation de l’axe de rotation du bipales dans un deuxième plan générique perpendiculaire au premier (fig 1 et 2). La rotation de l’axe du bipales (BPA) s’effectue autour de son point d’intersection avec le plan générique de rotation du couple de pales (fig 2 et 3). Lors de sa révolution, l’axe du bipales tourne sur lui-même porté et guidé par une potence (POT). Les 2 pales constituant le bipales sont orthogonales l’une par rapport à l’autre et fixées symétriquement de chaque côté sur leur axe de rotation. Ces pales ne sont pas en forme d’hélice mais taillées selon un profil à section de préférence constante avec deux bords d’attaque symétriques, les pales peuvent d’ailleurs être parfaitement planes. Ainsi, les rotations du bipales s’effectuent selon un axe dont la position varie constamment au cours du cycle rotatif de la potence, présentant alternativement au vent une des faces et un des bord d’attaque, puis l’autre face et l’autre bord d’attaque, ce pour l’une puis l’autre des pales dont les plans sont toujours en décalage angulaire de 90° (l’un par rapport à l’autre). Les deux rotations imbriquées sont réalisées par une cascade de pièces, pignons, chaîne et couple conique (CAS) assurant la cinématique des déplacements relatifs requis en simultané. C’est la rotation des pales qui pilote la rotation de l’axe du bipales - sur lui-même - via la potence et la cascade de pièces cinématiques. Un des pignons du couple conique est fixé/solidaire au support de l’ensemble. Cette arrangement nouveau permet un fonctionnement assurant un cycle de passages alternatifs de chaque pale du bipales bout au vent, puis travers au vent, tous les quarts de cycle, et inversement. Chaque pale passent régulièrement d’une incidence nulle à une incidence maxi (orthogonale au flux) dans sa phase d’engagement au vent, puis d’une incidence maxi à une incidence zéro dans sa phase de dégagement du vent (fig 1).
DEFINITION DES PIECES CONSTITUANTES :
Définition du bipales (BPA) :
C’est un ensemble monolithique de deux pales identiques fixées de façon équilibrée de part et d’autre d’un axe de rotation, les surfaces des 2 pales constituant le bipales (BPA) sont orthogonales l’une par rapport à l’autre et fixées symétriquement de chaque côté sur leur axe de rotation (AXR) Définition de l’axe de rotation du bipales (AXR) :
C’est l’axe qui supporte et guide en rotation le bipales, il reçoit aussi le premier pignon de commande de la cascade cinématique et il est supporté par une potence.
Définition de la potence (POT) :
C’est le support tournant assurant la deuxième rotation imbriquée de la machine.
Elle est pilotée par la rotation du bipales via la cascade cinématique pignon/chaîne/couple conique. Elle peut prendre une forme simplifiée mono bras en « L » inversé, ou plus solide en « U » inversé si la puissance à transmettre est importante. Elle doit être à la fois résistante et suffisamment ajourée/profilée pour ne pas opposer trop de résistance à la veine du flux élémentaire qui alimente la machine (fig 2 et 3).
Définition de la cascade cinématique (CAS) :
Elle assure la rotation par quart de tour de la potence pour chaque quart de cycle moteur du bipales. Les axes de ces deux éléments étant perpendiculaire, il y a lieu d’utiliser au moins un premier pignon monté sur l’axe du bipales, un deuxième pignon avec le même nombre de dent sur un axe intermédiaire supérieur (AIN), une chaîne pour relier les deux pignons (rapport 1/1) et un couple conique final (rapport 1/1) avec renvoi à 90°. L’un des éléments du couple conique final est solidaire de l’axe intermédiaire, l’autre est fixé sur le support de la machine, lequel est matérialisé par un axe de sortie qui guide en rotation la potence.
Définition du support de la machine (SUP) :
C’est la pièce qui assure le guidage en rotation de la potence et sur lequel est fixé le deuxième/dernier élément du couple conique de la cascade cinématique.
Cette pièce assure le support de l’ensemble et permet entre autres de fixer la machine sur un socle.
RESUME DU FONCTIONNEMENT :
Un schéma scinde le cycle en 4 phases et permet de visualiser les positions successives des pièces constituantes. Ce dessin illustre l’exécution complète d’une rotation et permet de comprendre que le mouvement de cette nouvelle machine soumis à un flux éolien est assuré et bien pérenne : la cascade cinématique (CAS) assure la rotation par quart de tour de la potence pour chaque quart de cycle moteur du bipales (fig 2).
En résumé, le mobile à flux élémentaires à deux plans de rotation imbriqués fonctionne en pleine veine de flux en délivrant un fort couple moyen, le bipales évolue cycliquement dans les 3 dimensions. Les plages d’utilisations sont très étendues au regard des vitesses de fluide acceptées et des implantations offertes par la nature. Il n’y a aucun point mort de motricité au cours du cycle.
La machine peut aussi fonctionner face à un flux hydraulique, ou encore de façon réversible en compresseur/ventilateur lorsque sa potence est entraînée en rotation par un moteur externe.
Dans chaque cas, les surfaces, dimensions et matériaux des pièces constituantes doivent être re- étudiées, dimensionnées, et adaptés à l’utilisation requise.
Sur un cycle (un tour de potence), la moyenne de surface motrice du bipale exposé au flux (en équivalence orthogonale) est identique à la surface d’une pale.
Sur un cycle, la Surface maxi balayée par un bipales asymétrique type « une pale carrée et une pale demi lune » est inférieure à 2 fois les maîtres couple ajoutés des 2 pales.
C’est donc plus de la moitié de la surface balayée par le bipales qui peut être constamment active, (équivalence orthogonale au flux).
En cas d’utilisation de pales asymétriques, un équilibrage dynamique est nécessaire.
Le taux de compacité maxi de cette machine éolienne peut donc être supérieur à 50 % (ratio entre la surface active équivalence orthogonale et la surface balayée par le bipale sur un cycle).
Deux prototypes/démonstrateurs fonctionnels ont été construits fin 2007 début 2008.
voila.....je ne sais pas si quelqu'un avait déja pu faire tourner la partie motrice d'une quelconque machine tournante autour d'un seul point fictif...avec un minimum de couple quasi constant à la cléf.....
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bien cordialement.
TOURNESOL
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All around my work, full vidéos on the web :
https://www.google.fr/webhp?source=sear ... 80&bih=672
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Salut à tous.
J'ai vu les animations de kevin (je crois) avec des pignons de transmission. Un autre a suggéré la disparition du noyau et on a justement répondu que le pignon ne suffisait pas , à lui tout, seul à caler le rotor trilo. (Pascal parle d'appuis de deuxième ordre, un truc dans ce genre).
Or , il me semble percevoir une manière de caler la rotation du piston en utilisant les deux axes de pignons. J'ai du boulot dans 5 minutes et pas le temps de dessiner et certains font ça mieux !!!
Voilà :
On supprime tout le noyau.
Au centre du piston, on ne creuse pas une chambre trilobique interne mais une sorte de triangle au côtés arrondis (une forme de piston wankel).
On remplace les pignons à dents par des triangles de même genre (pas le temps de faire des calculs de courbure mais c'est pas compliqué à faire).
Ainsi lorsqu'un pignon se cale dans un coin, l'autre est en contact à l'opposé avec la paroi (du creux en forme wankel) et on retrouve les deux appuis nécessaires à stabiliser et guider le mouvement du piston trilo.
Il y a donc un pignon qui glisse d'un coin à l'autre pendant qu'un autre est fixé dans l'angle opposé. IL y a donc un frottement non négligeable. Il suffit alors de laisser du jeu sur les pignons et de glisser sur les deux arbres des roulements au diamètre du pignon (je simplifie) qui roulera et se calera comme les pignons mais librement (les pignons, fixes sur l'arbre, ne calent plus le rotor ici, ils servent juste à la transmission). IL faut peut-être alors mieux définir les lignes de ce coeur de guidage pour le passage des roulements.
Si Kevin a pigé, il peut dessiner. Sinon, j'essaierai de m'y coller, mais ça prendra des plombes!
bon courage, et n'hésitez pas à me pourrir si j'ai faux.
J'ai vu les animations de kevin (je crois) avec des pignons de transmission. Un autre a suggéré la disparition du noyau et on a justement répondu que le pignon ne suffisait pas , à lui tout, seul à caler le rotor trilo. (Pascal parle d'appuis de deuxième ordre, un truc dans ce genre).
Or , il me semble percevoir une manière de caler la rotation du piston en utilisant les deux axes de pignons. J'ai du boulot dans 5 minutes et pas le temps de dessiner et certains font ça mieux !!!
Voilà :
On supprime tout le noyau.
Au centre du piston, on ne creuse pas une chambre trilobique interne mais une sorte de triangle au côtés arrondis (une forme de piston wankel).
On remplace les pignons à dents par des triangles de même genre (pas le temps de faire des calculs de courbure mais c'est pas compliqué à faire).
Ainsi lorsqu'un pignon se cale dans un coin, l'autre est en contact à l'opposé avec la paroi (du creux en forme wankel) et on retrouve les deux appuis nécessaires à stabiliser et guider le mouvement du piston trilo.
Il y a donc un pignon qui glisse d'un coin à l'autre pendant qu'un autre est fixé dans l'angle opposé. IL y a donc un frottement non négligeable. Il suffit alors de laisser du jeu sur les pignons et de glisser sur les deux arbres des roulements au diamètre du pignon (je simplifie) qui roulera et se calera comme les pignons mais librement (les pignons, fixes sur l'arbre, ne calent plus le rotor ici, ils servent juste à la transmission). IL faut peut-être alors mieux définir les lignes de ce coeur de guidage pour le passage des roulements.
Si Kevin a pigé, il peut dessiner. Sinon, j'essaierai de m'y coller, mais ça prendra des plombes!
bon courage, et n'hésitez pas à me pourrir si j'ai faux.
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une ébauche très rapide (a améliorer) de ton idée.
C'est super que le trilo commence sa vie.
Pour la réalisation du piston monobloc le meilleur c'est l'extrusion, mais il en faudrait des milliers. Sinon pour quelques pièces c'est la fonderie en cire perdu qui apporterait les meilleures résultats.
Pour ceux qui ne connaissent pas voici ce que l'on peut réaliser:
C'est super que le trilo commence sa vie.
Pour la réalisation du piston monobloc le meilleur c'est l'extrusion, mais il en faudrait des milliers. Sinon pour quelques pièces c'est la fonderie en cire perdu qui apporterait les meilleures résultats.
Pour ceux qui ne connaissent pas voici ce que l'on peut réaliser:
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Merci de dessin rapide toto65. Oui ça peut marcher comme cela... sauf pour le passage des roulements.
En fait, dans mon idée, la courbure était exterieure (comme si le triangle avait "gonflé". Pareil pour les pignons qui suivraient la même courbure. Cette forme accepte alors un roulement dont le diamètre serait inscrit dans ce "triangle gonflé" du pignon. (Il pourrait y avoir une découpe pour les pignons et une autre à une hauteur différente pour les roulements).
Je mets une image qui donne une forme voisine, sauf qu'il n'y a pas deux axes mais un excentrique avec un piston autour ... il faudrait seulement imaginer que c'est le carter qui tourne et pas le piston en forme d'olive) ... excusez pour les raccourcis géométriques. Les trois protubérances (avec un trou) correspondraient aux lobes.
Pour info voila la forme du piston wankel, qui serait dans mon système , la forme creusée dans le rotor trilo. Les pignons seraient pareils.
A+ pour votre avis.
En fait, dans mon idée, la courbure était exterieure (comme si le triangle avait "gonflé". Pareil pour les pignons qui suivraient la même courbure. Cette forme accepte alors un roulement dont le diamètre serait inscrit dans ce "triangle gonflé" du pignon. (Il pourrait y avoir une découpe pour les pignons et une autre à une hauteur différente pour les roulements).
Je mets une image qui donne une forme voisine, sauf qu'il n'y a pas deux axes mais un excentrique avec un piston autour ... il faudrait seulement imaginer que c'est le carter qui tourne et pas le piston en forme d'olive) ... excusez pour les raccourcis géométriques. Les trois protubérances (avec un trou) correspondraient aux lobes.
Pour info voila la forme du piston wankel, qui serait dans mon système , la forme creusée dans le rotor trilo. Les pignons seraient pareils.
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