Tout à fait d'accord, la diffusion thermique lente limite les Sterlings en rendement, ce qui explique l'helium ou l'hydrogène (dangereux, mais 3,3 fois plus en distance D=160 à 190 mm2/s) et l'emploi de stacks finement divisés, car l'air diffuse de 4mm en 1s (D=19mm2/s) et donc si rapide, il faut des dimensions comme racine carrée du temps, 10 fois plus petit pour 1/100 seconde, 0,4mm en fait 300 Hertz, car il y a le facteur Pi=3,14 dans la formule de période sur Pi, dans racine de D ).
http://en.wikipedia.org/wiki/Thermal_diffusivity
http://fr.wikipedia.org/wiki/Diffusivit%C3%A9_thermique
http://fr.wikipedia.org/wiki/Conduction_thermique
Donc il est essentiel de diviser finement, sans obligatoirement mettre une multitude de pistons, les échangeurs finement divisés, stacks, peuvent suffire, comme les thermoacoustiques, qui par ondes, impédances accordées, compensent les volumes morts, si bien conçus. (similaire aux microondes, mais pas simple en compréhension)
On doit pouvoir combiner thermoacoustiques, et Stirling pour avoir les avantages de chacun et diminuer les inconvénients, avec piston déplaceur et de travail rapides, en restant simple.
En cryogénie très basse température, cela existe commercialement cher, même à la NASA.