Negationnisme scientifique: du dogmatisme?

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janic
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Negationnisme scientifique: du dogmatisme?




par janic » 30/11/15, 08:19

Ajout modération, suite de https://www.econologie.com/forums/attentats- ... 7-300.html

2 exemples de négationnisme scientifique qu'on a pu lire sur ces forums :( :
a) Le CO2 n'est pas à l'origine du réchauffement,
b) Le SIDA n'existe pas


ex
Attention, je ne nie pas tout l'intérêt du GIEC : c'est un formidable tremplin pour les carrières des arrivistes (du moment qu'ils prêchent dans le bon sens et en rajoutent dans le catastrophisme, histoire d'en améliorer le subventionnement)


on ne peut rejeter qu'il puisse en être ainsi puisque c'est bien ce qui se passe avec le SIDA tous ceux qui pompent le fric des subventions pour quelque chose qui n'existe pas.
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« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré
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par Christophe » 30/11/15, 09:16

N'importe quoi les gars!! Nier la réalité du changement climatique et du SIDA c'est comme nier la Shoah !

Redescendez sur Terre!!! :shock:
Et faites gaffe à vos propos sur ce forum !!

Exnihiloest a écrit :Ce serait plutôt le contraire.
Et puis le CO2 fait reverdir la planète. Dans les zones difficiles pour la végétation, un peu plus ou un peu moins de CO2 fait la différence.


N'importe quoi!!!
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janic
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par janic » 30/11/15, 09:58

christophe bonjour
N'importe quoi les gars!! Nier la réalité du changement climatique et du SIDA c'est comme nier la Shoah !
Dans la mesure où des scientifiques de très haut niveau, reconnus par leur profession et honoré par les autorités, affirment haut et fort que le coup du VIH c'est un mensonge, une escroquerie intellectuelle, leur avis est à mettre en parallèle avec le dogme qui fait encore tant de victimes sans pathologie réelle.


Débat sur le SIDA
L'histoire la plus controversée que vous aurez jamais entendu
Par Liam Scheff. 1ère partie
http://www.sidasante.com/journal/scheff2.htm
House of Numbers (VOSTFR) 1|9 dailymotion


Prologue
En 1984, Robert Gallo, un cancérologue-virologiste gouvernemental, a convoqué une conférence de presse pour annoncer qu'il avait trouvé la cause probable du SIDA. Il affirma qu'un rétrovirus appelé VIH détruisait le système immunitaire de jeunes homosexuels et de toxicomanes, ce qui les rendait sujets à diverses sortes de maladies virales et de cancers.
D'après le Center for Disease Control and Prevention (CDC), le SIDA n'est pas une unique maladie, mais plutôt un ensemble de 29 maladies, qui étaient déjà connues auparavant et qui n'ont aucun rapport entre elles, incluant l' herpès, les infections fongiques, les salmonelloses, la diarrhée, la fièvre, les rhumes, la tuberculose, les cancers pelviens chez les femmes, les pneumonies et les infections bactériennes. Le CDC désigne aussi comme souffrant de SIDA les personnes séropositives pour le VIH qui ne sont pas malades mais qui ont un taux de cellules T inférieur à 200 (les cellules T sont un sous-groupe des globules blancs du sang). La seule chose qui différencie une personne qui a le SIDA d'une personne qui a juste l'une des maladies citées ci-dessus est un test de dépistage du VIH positif, test lui-même fondé sur les recherches de Gallo.
Toutefois, la théorie de Gallo sur le VIH n'était pas la seule théorie, et d 'après un nombre croissant de scientifiques, de chercheurs et d'activistes, ce n'était pas la meilleure théorie. Depuis 70 ans avant Gallo, les rétrovirus étaient connus comme étant inoffensifs et faisant partie de nos cellules. De plus, aucun virus ne peut, à lui seul, induire simultanément des maladies aussi diverses que la pneumonie, dans lesquelles des cellules sont détruites, et des cancers tels que le sarcome de Kaposi, dans lequel les cellules se multiplient rapidement.
Ces scientifiques estiment que la théorie de Gallo sur le VIH/SIDA présente de nombreux défauts, et que le fait de traiter 29 maladies sans aucun rapport entre elles avec des médicaments contre le SIDA aussi toxiques que l 'AZT et les inhibiteurs de protéases est au mieux irresponsable, et au pire un génocide médical.
Ils pourraient avoir raison. 94% de tous les décès reliés au SIDA aux USA sont survenus après l'introduction de l'AZT, d'après les statistiques du CDC depuis l'année 2000. Et d'après l'Université de Pittsburgh, la principale cause de décès chez les patients américains souffrant de SIDA est l' insuffisance hépatique, un effet secondaire des nouveaux inhibiteurs de protéases.
La question se pose : Est-ce que Gallo a réellement résolu l'énigme du SIDA, et est-ce que nous traitons efficacement et humainement les personnes atteintes de SIDA ? Pour répondre à ces questions, j'ai parlé avec 3 éminents chercheurs travaillant sur le SIDA.
Le Dr Peter Duesberg est un chimiste et un expert en rétrovirologie. Duesberg a découvert les oncogènes (gènes du cancer) et isolé le génome des rétrovirus (le VIH en est un) en 1970. Il est professeur de biologie moléculaire à l'UC de Berkeley.
Le Dr David Rasnick est un spécialiste des inhibiteurs de protéases, et travaille dans la recherche sur le SIDA depuis 20 ans. Il mène des recherches sur le cancer et le SIDA en collaboration avec Duesberg. Rasnick et Duesberg sont tous les deux conseillers au sein du comité sur le SIDA créé par le président d'Afrique du Sud, Mbeki.
Le Dr Rodney Richards est un chimiste qui a travaillé pour les laboratoires Amgen et Abbott, qui ont mis au point les premiers tests de dépistage du VIH à partir de la lignée cellulaire contaminée par le VIH fournie par Gallo.
Ces interviews ont été conduites séparément, et réunies ici pour créer un dialogue. Les points de vue exprimés sont ceux de leurs auteurs.
________________________________________
Liam Scheff: Comment avez-vous été impliqué dans la recherche sur le SIDA ?
David Rasnick: Je suis chimiste spécialisé dans la recherche sur les enzymes protéases. Je conçois et je synthétise des inhibiteurs destinés à stopper la prolifération de virus et de cancers qui détruisent les tissus. Lorsque Robert Gallo a annoncé que le VIH causait le SIDA, j'ai voulu travailler sur des inhibiteurs qui pourraient agir sur ce virus. En 1985, j'étais à une rencontre scientifique lorsque le sujet du VIH a été abordé. On a demandé à un spécialiste du SIDA quelle quantité de VIH on pouvait trouver chez une personne souffrant de SIDA. On lui a demandé « Quel est le titre du VIH » ?
LS: Qu'est-ce que le titre ?
Rasnick: Le titre est le nombre de particules virales infectieuses dans un échantillon de tissu ou de sang. Il est facile d'obtenir un titre pour les virus vivants à partir d'un tissu spécifiquement infecté par un virus. Un échantillon d'un tel tissu contient des millions de particules virales infectieuses. Si vous avez l'herpès, l'échantillon sera prélevé au niveau d' une lésion. Si c'est la polio, il sera prélevé au niveau de l'intestin. Si c 'est la variole, ce sera une pustule. En cas de rhume, ce sera au niveau de la gorge. Lorsque vous êtes infecté par un virus, il infecte et tue environ 30% du tissu qui est sa cible spécifique avant que la personne présente le moindre symptôme. Vous pouvez déterminer le titre de n'importe quelle zone infectée, en mettre un fragment sous un microscope, et voir des millions de virus vivants. Donc, on a demandé au virologiste « Quel est le titre ? » Il a répondu : « Indétectable, zéro. » Je me suis demandé comment cela était possible ? Comment pouvez-vous être malade à cause de quelque chose qui n'est pas là ? Avec la polio, les chercheurs ont trié une centaine de virus avant de trouver le bon. Je me suis dit que Gallo avait tout simplement trouvé un virus qui n'était pas le bon, et que nous allions devoir tout recommencer. En 1987, il y avait au total 30.000 cas de SIDA. Le nombre de cas n' augmentait pas autant qu'on nous l'avait prédit. Et le SIDA était resté cantonné aux groupes à risque définis au départ. 6 ans après le premier cas de SIDA, 95% des infections étaient constatées chez des hommes, dont les 2/3 étaient homosexuels, et 1/3 des toxicomanes. De plus chacun de ces groupes à risque de SIDA avait des maladies qui lui étaient spécifiques. Les virus n'induisent pas des maladies différentes suivant le sexe masculin ou féminin, les préférences sexuelles, ou le style de vie. Les virus ont une structure génétique spécifique mais limitée, et ils induisent des symptômes limités et similaires chez toutes les personnes qu'ils contaminent. Le virus de l'herpès provoque des lésions d'herpès, mais pas une angine. Le virus de la variole induit aussi des lésions cutanées, mais jamais une paralysie. Les épidémies virales se diffusent de façon exponentielle pendant les premiers mois ou années, et tuent toutes les personnes qui ne vivent pas assez longtemps pour développer une réponse immunitaire vis-à-vis du virus causal. Le VIH ne se diffusait pas ; il restait dans sa population à risque du départ, et il causait des maladies différentes suivant les personnes. Il était clair qu'il ne se comportait pas comme un virus contagieux.
En 1988, je suis tombé sur un article de Peter Duesberg dans la revue scientifique « Cancer Research ». Cet article était sur les rétrovirus en général, et sur le VIH en particulier. Duesberg était l'un des rétrovirologistes les plus éminents de la planète. Il avait étudié et séquencé le génome des rétrovirus dans les années 70. Les connaissances de Duesberg en matière de rétrovirus étaient inégalées. Dans cet article, il exposait, point par point, ce que sont les rétrovirus, et ce qu'ils peuvent et ne peuvent pas faire.
Liam Scheff: Le VIH est un rétrovirus. Qu'est-ce qu'un rétrovirus ?
Rasnick: Les rétrovirus sont un groupe de virus qui sont dépourvus de toxicité pour les cellules. Ils ont été découverts au début du 20ème siècle. Ils ont été l'une des premières particules cellulaires identifiées. Il existe environ 3000 rétrovirus catalogués. Ils existent chez tous les animaux : chiens, chats, baleines, oiseaux, rats, hamsters et humains. Les rétrovirologistes estiment que 1 à 2% de notre ADN est constitué de rétrovirus. Les rétrovirus sont constitués d'ARN qui se copie lui-même en ADN grâce à une enzyme appelée transcriptase inverse. Les rétrovirus sont transmis de façon matrilinéaire (de la mère à l'enfant). Ils ne sont pas transmissibles sexuellement. Les animaux de laboratoire ne se transmettent pas l'un à l' autre leurs rétrovirus, quelle que soit l'étroitesse de leurs rapports. Mais les bébés ont toujours les mêmes rétrovirus que leurs mères. Les recherches actuelles indiquent qu'ils font tout simplement partie de nous. En 50 ans de recherches dans les laboratoires modernes, il n'a jamais été constaté qu'un rétrovirus pouvait tuer des cellules ou provoquer une maladie, sauf dans certaines conditions bien spéciales créées en laboratoire.
Peter Duesberg: En 1987, j'ai été invité par « Cancer Research » à discuter de si les rétrovirus, incluant le VIH, pouvaient induire des maladies ou une déficience immunitaire. Je l'ai été en raison de mon expérience en matière de rétrovirus. En 1970, je travaillais au laboratoire de virologie de l'UC de Berkeley. Le gros programme de recherche à cette époque, auquel j'ai participé, était de trouver un virus qui causait le cancer. Il y avait aussi un gros programme gouvernemental de recherche de virus induisant le cancer au National Institute of Health. Gallo était l'un des chercheurs travaillant sur ce programme. Nous avons commencé à chercher du côté des rétrovirus à cause de leurs qualités spécifiques. Les virus typiques tuent les cellules. Leur stratégie est d'entrer dans une cellule, de la tuer, et de passer à la suivante. Toutefois, dans le cancer, les cellules ne sont pas tuées ; en fait, elles se multiplient très rapidement. Donc, un virus ne pouvait pas causer un cancer. Les rétrovirus, toutefois, ne tuent pas les cellules. Cette particularité en faisait de bons candidats en tant d'agents causals pour les cancers. En 1970, j'ai fait une découverte qui a reçu beaucoup d'attention. J'ai isolé un gène rétroviral à partir d'une cellule cancéreuse, et j'ai infecté une autre cellule avec ce gène. Les cancérologues-virologistes étaient très intéressés. Ils pensaient que c'était ce qu'ils cherchaient : un rétrovirus qui pouvait infecter d'autres cellules et causer le cancer. Je suis soudainement devenu célèbre. On m'a offert des postes, on m'a offert une chaire à Berkeley, et on m'a admis à l'Académie des Sciences. Bien sûr, si un virus, ou un unique rétrovirus, provoquait le cancer dans le monde réel, alors le cancer serait contagieux. Mais personne « n'attrape » le cancer. Le cancer ne fait pas le tour du bureau. Cependant, ces considérations fondamentales n'étaient pas venues à l'esprit des chasseurs de virus. Les chercheurs aiment les preuves qui semblent spectaculaires, quel que soit ce qui se passe dans le monde réel. Le gène cancérigène de rétrovirus était juste un artéfact de laboratoire. Il n'existait pas dans la nature, ni chez les humains, ni chez les animaux. Nous l'avions créé dans le laboratoire, et c'est là qu'il est resté. C'était juste académique. Parmi les divers travaux sur les gènes cancéreux, mes associés et moi avons séquencé le génome rétroviral. Nous avons fait les cartes qui sont utilisées aujourd'hui comme documentation de base pour tous les rétrovirus, VIH inclus.
LS: Que font les rétrovirus ?
Duesberg: En terme de maladie, ils ne font rien. Ils sont transcrits dans l 'ADN de quelques cellules, et ils y restent en tant que partie de notre génome pendant le reste de notre vie. Cela n'a pas empêché les chasseurs de virus cancérigènes de continuer à chercher des gènes cancéreux en utilisant la technologie que nous avions créée, et les cartes de rétrovirus que nous avions dressées.
Rasnick: Au milieu des années 70, Robert Gallo a affirmé qu'il avait trouvé un rétrovirus cancérigène dans les cellules d'un patient leucémique. Il l' avait appelé HL23V. Il l'a découvert de la même façon qu'il a par la suite découvert le VIH, pas en trouvant le virus dans le sang, mais en recherchant des anticorps et une activité enzymatique qu'il clamait être spécifique des rétrovirus actuels. En 1980, cette affirmation a été réfutée à la fois par le Sloan-Kettering Cancer Research Center et le National Cancer Institute. Les anticorps que Gallo supposait être spécifiques du HL23V n'étaient pas induits par un virus cancérigène, mais plutôt le résultat de « l'exposition à trop de substances naturelles », qui avait induit la formation d'anticorps chez les humains. Aujourd'hui, plus personne, pas même Gallo, ne dit encore que le HL23V a jamais existé. En 1980, il a essayé de nouveau. Il a affirmé qu'il avait trouvé un nouveau rétrovirus cancérigène, appelé HTLV-1, qui induisait une sorte particulière de leucémie, dans laquelle les cellules T se multipliaient dans les fluides tumoraux. Les cellules T sont un sous-groupe de globules blancs présents dans le sang. A nouveau, les preuves étaient bien peu convaincantes. Moins de 1% des personnes qui étaient séropositives pour le HTLV-1 présentaient un jour ce type de leucémie. Ce n'était vraiment pas une bonne validation pour sa théorie.
LS: Comment Gallo est-il passé de la recherche sur le cancer à la recherche sur le VIH ?
Rasnick: Au début des années 80, de jeunes hommes homosexuels ont commencé à consulter dans les services d'urgence pour la présence simultanée de diverses maladies et infections. A cette époque, les revues médicales supposaient que ces maladies étaient corrélées à la toxicomanie. Pendant la plus grande partie des années 70, les homosexuels ont usé et abusé de produits toxiques, immunosuppresseurs voire cancérigènes, tels que les poppers, la cocaïne, les amphétamines. En 1983, Luc Montagnier, un scientifique français travaillant à l'Institut Pasteur clamait avoir trouvé un nouveau rétrovirus chez les patients souffrant de SIDA. Mais personne n'y a fait attention, parce qu'il n'avait pas isolé de virus, et parce qu'il n'avait trouvé aucun virus dans le sang - rappelez-vous, le titre était zéro, indétectable. Cherchant un soutien académique, Montagnier a envoyé un échantillon de sa culture à Robert Gallo, au NIH. Gallo a pris cette culture cellulaire que Montagnier lui avait envoyée, et l'a légèrement modifié. Ensuite, il a fait quelque chose d' étrange. Il l'a perdue. Et en 1984, Gallo affirmait à une conférence internationale avec Margaret Heckler, cher du Département de la Santé et des Services Humains, qu'il avait découvert la « cause probable » du SIDA. C'était un nouveau rétrovirus appelé HTLV-III (renommé par la suite VIH). Plus tard ce même jour, il déposait un brevet sur cette culture cellulaire modifiée à partir de la lignée originale envoyée par Montagnier. Il n'avait pas publié un seul mot sur ses recherches. Robert Gallo, un scientifique employé par l'état, annonçait tout simplement qu'une épidémie à rétrovirus était en train de naître. Il a vendu la culture cellulaire au laboratoire pharmaceutique Abbott, qui l 'a utilisée pour créer les tests de dépistage du VIH. Le gouvernement français a demandé à ce que les droits liés au brevet soient rendus à Montagnier. Gallo a refusé, et affirmé que c'était sa découverte à lui seul. En 1987, Gallo et Montagnier ont été forcés par le Président Reagan et le Premier Ministre Chirac à se rencontrer dans un hôtel pour résoudre ce problème de droits sur le brevet du VIH. En 1992, Gallo a été officiellement déclaré coupable de fraude par un comité fédéral d'éthique scientifique.
Rodney Richard: Au départ, Gallo a affirmé qu'il avait inventé tout le procédé. Aujourd'hui, il affirme que son échantillon a pu être « contaminé » par celui de Montagnier.
Duesberg: Le NIH lui-même a mené une enquête de 2 ans sur l'affirmation de Gallo au sujet du VIH, et ils n'ont pas pu trouver la moindre preuve qu'il avait bien fait lui-même cette découverte.
LS: Qu'a fait Abbott avec la lignée cellulaire de Gallo ?
Rasnick: Les laboratoires Abbott ont créé les tests basés sur la recherche des anticorps anti-VIH. Abbott a encaissé des milliards grâce à la vente de ces tests, et Gallo a encaissé des millions grâce à son brevet.
LS: Donc, quand on fait un test de dépistage du VIH, c'est sur la base de ce que Gallo et Montagnier affirment avoir découvert. Comment Montagnier a-t-il découvert le VIH ?
Richard : D'abord, il a cherché dans le sang des patients, mais il n'a pas réussi à l'y trouver. En fait, personne n'a jamais trouvé de VIH dans le sang humain.
LS: C'est exact, le titre était zéro - alors où a-t-il cherché ?
Richard: Montagnier a pris du tissu provenant de ganglions enflammés provenant d'un homosexuel chez qui on suspectait un SIDA. Chez une personne infectée, on pouvait supposer que le tissu lymphatique grouillait littéralement de cellules infectées. Montagnier a essayé d'effectuer une culture cellulaire à partir de ce tissu. C'est une technique de laboratoire utilisée pour isoler des virus tels que celui de l'herpès ou de la mononucléose. Dans une culture cellulaire, des cellules infectées sont mélangées à des cellules non infectées dans une boite de Pétri. Comme le système immunitaire du corps n'agit plus, les virus qui étaient auparavant inhibés peuvent se réactiver. Ils passent des cellules infectées aux cellules non infectées par le biais du milieu de culture (le liquide dans la boite de Pétri). Les chercheurs collectent ce liquide, le concentrent, et le centrifugent dans un gradient de densité de sucrose afin d'isoler le virus. Un gradient de densité de sucrose est un tube rempli avec une solution de sucrose dont la densité varie entre le bas et le haut du tube. La solution devient de plus en plus concentrée au fur et à mesure qu'on se rapproche du bas du tube. Le milieu de culture est déposé délicatement à la surface de la solution sucrée. Le tube est ensuite placé dans une centrifugeuse pendant des heures, afin d'obliger les particules virales à descendre dans le tube. Les particules virales ont une densité bien connue. Elles descendront dans le tube jusqu'au moment où elles arriveront au niveau dont la densité est égale à la leur. Ce qu'on trouve à ce niveau sera ensuite examiné au microscope électronique. Lorsqu'on a utilisé une culture faite à partir de patients contaminés par un virus, la photo prise au microscope électronique grouille de millions de virus identiques. Ensuite, une nouvelle culture est effectuée avec les virus qui ont été isolées dans le gradient de sucrose, afin de vérifier qu'ils sont bien infectieux. A nouveau, le milieu de culture est concentré, centrifugé dans un gradient de densité, et photographié, afin de vérifier qu'on a bien affaire au même virus. C'est ce qu'on appelle l'isolation d'un virus.
LS: C'est ce que Montagnier a fait ?
Richards: Il a essayé de le faire, mais ça n'a pas marché. Montagnier a pris du tissu lymphatique d'un patient présumé atteint de SIDA, il l'a mélangé à des cellules sanguines provenant d'un donneur en bonne santé, et a fait une culture cellulaire. Il a prélevé le liquide, l'a centrifugé, mais n 'a trouvé aucun virus. Mais ça ne l'a pas arrêté. Montagnier a refait l' expérience, mais il a ajouté une nouvelle étape cruciale. Il a pris le tissu suspecté de contenir le virus du SIDA, et l'a mélangé dans une culture avec diverses cellules, dont des cellules de cordon ombilical. Ensuite, il a ajouté divers produits chimiques appelés mitogènes, qui obligent artificiellement les cellules à se diviser. Après 2 ou 3 semaines, il a trouvé dans le milieu une enzyme appelée transcriptase inverse, ce qui était le signe d'une possible activité rétrovirale.
LS: Mais il n'a pas trouvé de virus ?
Richards: Non. Il a trouvé une enzyme utilisée par les rétrovirus. Mais la transcriptase inverse existe aussi chez de nombreux microbes, et participe à l'activité de nombreuses cellules, dont les cellules ombilicales, et est impliquée dans de nombreux processus, incluant la réplication forcée. Montagnier a ensuite séparée le liquide obtenu après toutes ces manipulation, l'a mis dans une nouvelle boite avec des cellules en bonne santé, et a de nouveau retrouvé une activité de transcriptase inverse dans le milieu.
Il a mis ce nouveau liquide dans un gradient de densité de sucrose, et a trouvé une activité de transcriptase inverse à la densité à laquelle on sait que les virus sont purifiés. Ce qu'il n'a pas trouvé, c'est un virus. Quand il a regardé ce qu'il avait à cette densité au microscope électronique, il n 'a rien trouvé. Mais cela, il ne l'a reconnu que des années plus tard. C'est ce qu'on connaît sous le nom d'isolation du VIH.
LS: Comment cela prouve-t-il qu'un virus infectieux rendait les gens malades ?
Richard : Ca ne le prouve pas. Ce n'est pas une preuve suffisante du fait que le VIH, ou que n'importe quel autre virus, existe, sans parler du fait qu'il peut induire une maladie.
LS: Comment Gallo a-t-il utilisé les cellules de Montagnier pour prouver que le VIH existait et causait le SIDA ?
Richards: Gallo a cultivé les cellules, mais il n'a même pas trouvé suffisamment d'activité de la transcriptase inverse pour le convaincre que Montagnier avait trouvé un rétrovirus. Alors Gallo a ajouté une autre étape. Il a mélangé des cellules provenant de 10 personnes atteintes de SIDA. Ensuite il leur a rajouté des cellules T leucémiques provenant d'une de ses expériences sur le rétrovirus HTLV-1. Après tout ça, Gallo a trouvé suffisamment d'activité de transcriptase inverse pour le convaincre qu'il y avait vraiment un rétrovirus. C'est comme ça qu'il a affirmé avoir trouvé le VIH.
LS: Mais Gallo avait déjà trouvé une activité de transcriptase inverse dans les cellules leucémiques. Comment pouvait-il prouver qu'il y avait un nouveau rétrovirus, le VIH ?
Richards: Beaucoup de scientifiques ne pensent pas qu'il l'a prouvé.
LS: Vous dites que Gallo a utilisé une lignée de cellules T pour cultiver le VIH. Est-ce que le VIH n'est pas supposé tuer les cellules T ?
Richards: C'est ce que Gallo a affirmé au départ, mais les laboratoires Abbott cultivent le VIH sur des cellules T leucémiques humaines. On appelle même cette lignée une lignée immortelle, parce que les cellules leucémiques ne meurent pas. A l'heure actuelle, aucun chercheur n'a montré comment le VIH tuait les cellules T. C'est juste une théorie qui permet à l'argent de continuer à couler à flots pour soutenir l'approche pharmaceutique du traitement du VIH.
Rasnick: Gallo a déposé un brevet sur sa mixture de cellules T leucémique le même jour où il a annoncé qu'il avait découvert la « cause probable » du SIDA.
LS: Que font les tests de dépistage du VIH ?
Rasnick: Ils recherchent dans le sang les anticorps dirigés contre des protéines provenant de cette mixture. Votre corps produit des anticorps dirigés contre tous les éléments étrangers : les microbes, les levures, les virus, et même ce que vous mangez. Les virus sont fait d'ADN ou d'ARN enveloppé dans une capsule faite de protéines. Les anticorps s'accrochent sur ces protéines, immobilisent et détruisent le virus. Lorsque ces anticorps rencontreront par la suite d'autres protéines virales, très souvent ils vont aussi aller s'y fixer. C'est ce qu'on appelle la réactivité croisée.
Duesberg: Les virus sont dangereux seulement la première fois que nous les rencontrons. Lorsque nous avons fabriqué des anticorps contre un virus, nous sommes immunisés pour le restant de notre vie, et ce virus ne peut plus nous rendre malades. C'est exactement le contraire de la théorie du SIDA qui dit : Vous êtes contaminés, vous ne devenez pas malade ; vous fabriquez des anticorps, et 10 ans plus tard vous devenez malade et vous mourez.
Rasnick: Il existe 2 principaux tests de dépistage du VIH. Le premier, le test ELISA, dans lequel un lot de protéines provenant de la mixture de cellules T sont collées sur de petites membranes de plastiques sur un plaque. L'autre est le Western Blot. Pour ce test, les protéines sont séparées sur des bandes individuelles. On ajoute votre sang, et si certains anticorps de votre sang se fixent sur les protéines de la mixture, on dit que vous êtes séropositif pour le VIH.
LS: Ils pensent que les protéines proviennent du VIH ; mais s'ils n'ont jamais isolé le VIH, comment peuvent-il dire que ces tests peuvent dépister une infection par le VIH ?
Rasnick: Ils ne peuvent pas et ils ne le font pas. Il n'a jamais été démontré qu'une quelconque des protéines de l'ELISA ou du Western Blot était spécifique du VIH ou d'un autre rétrovirus. Pour cette raison, la FDA n'a pas approuvé un seul des tests de dépistage du VIH.
Richards: Il existe au moins 30 tests commercialisés pour le dépistage du VIH. Aucun d'entre eux n'a été approuvé par la FDA pour affirmer la présence ou l'absence du VIH. Ni le test ELISA, ni le Western Blot, ni le test de recherche de l'antigène P24. La FDA et les fabricants disent clairement que la signification d'un résultat positif pour les tests ELISA ou Western Blot est inconnue.
Les chercheurs du SIDA admettent que les tests contiennent au moins 80% de matériel cellulaire non spécifique, ce qui signifie qu'au mieux 20% du matériel est spécifique. Mais de mon point de vue de scientifique, ils ne contiennent pas du tout de VIH. La littérature médicale fait état d'au moins 60 causes qui peuvent induire un test faussement positif pour le VIH. Ces conditions incluent la candidose, l'arthrite, les parasitoses, la malaria, les pathologies hépatiques, l'alcoolisme, la toxicomanie, le rhume, l’herpès, la syphilis, d'autres maladies sexuellement transmissibles, et la grossesse.
Rasnick: Il est très facile de savoir comment vous pouvez avoir un faux positif. Il y a des réactions croisées. Plus vous êtes exposé à un nombre important de microbes et de virus, plus vous fabriquerez d'anticorps, et plus vous avez de risques d'avoir un résultat positif à un test non spécifique de recherche d'anticorps. Si vous vivez dans un pays où il n'y a pas d'eau potable ni de bonnes conditions d'hygiène, vous souffrirez de fréquentes infections microbiennes et parasitaires qui induiront la fabrication d'anticorps. Votre sang contient des anticorps contre tous les rhumes, microbes, virus et vaccins que vous avez jamais eus. Si une femme est enceinte, elle fabrique des anticorps qui pourront réagir avec le test ELISA d'Abbott. La grossesse est une cause connue de résultat faussement positif au test de dépistage du VIH. Les différentes races ont naturellement des taux différents d'anticorps. C' est pour cela que les noirs ont un risque 9 fois plus élevé que les blancs d 'avoir un test positif, et un risque 33 fois plus élevé que les asiatiques. Cela n'a rien à voir avec une infection ou avec la santé. Dans une tribu d' indiens d'Amérique du Sud, on a effectué un test ELISA. 13% d'entre eux étaient séropositifs pour le VIH, mais aucun n'était malade. Ils avaient juste des anticorps qui réagissaient avec le test.
LS: Si les tests ne sont pas spécifiques et si on ne peut pas trouver le VIH dans le sang, alors c'est quoi le SIDA ?
Richards: D'après le CDC, le SIDA est juste une définition. Si vous avez une maladie considérée comme un indicateur du SIDA, comme la salmonellose, la tuberculose, une pneumonie, de l'herpès ou une infection fongique, et que vous avez un test positif pour le VIH, alors on dit que vous avez le SIDA et on vous traite avec des médicaments toxiques contre le SIDA. Si le test est négatif ou que vous ne connaissez pas votre statut pour le VIH, vous échappez aux médicaments toxiques et vous êtes simplement traité pour la maladie que vous avez. En 1993, le CDC a étendu sa définition du SIDA pour inclure les gens qui ne sont pas malades, mais qui ont un test positif et qui on eu une fois un taux de cellules T inférieur à 200. Sur la base de ce nouveau critère, en 1997, les 2/3 de tous les cas de SIDA étaient rencontrés chez des personnes en parfaite santé. 1997 a aussi été la première année pour laquelle le CDC a cessé de dire combien de personnes étaient en bonne santé et combien étaient malades. Maintenant, ils comptent toutes les personnes qui sont séropositives pour le VIH comme des personnes ayant le SIDA, qu'elles soient malades ou pas.
LS: Laissez-moi mettre les choses au clair. Lorsqu'une personne meurt du SIDA, elle meurt en fait d'une maladie connue. Mais si son sang réagit à l'un des tests de recherche des anticorps contre le SIDA, on ne dit plus qu'elle a cette maladie, on dit qu'elle a le SIDA ?
Rasnick: C'est comme ça que ça fonctionne. Et les personnes malades qui sont séropositives pour le VIH reçoivent les médicaments les plus toxiques jamais fabriqués et vendus.
LS: Que dire au sujet du SIDA en Afrique ?
Rasnick: C'est la même histoire, en pire. 50% des africains n'ont pas de système d'égouts. Leur eau de boisson est polluée par les excréments animaux et humains. Ils souffrent plus ou moins en permanence de malaria et de tuberculose, qui provoquent entre autres des symptômes tels que la diarrhée et une perte de poids, qui sont exactement les critères sur lesquels l' UNAIDS et l'OMS diagnostiquent le SIDA en Afrique. Ces gens ont besoin d'eau potable et de matériel insectifuge contre les moustiques (qui transportent le parasite responsable de la malaria), pas de préservatifs et de médicaments potentiellement mortels donnés de force aux femmes enceintes. Nous avons investi 20 ans et 118 milliards de dollars dans le VIH. Nous n'avons ni traitement, ni vaccin, et aucun progrès. A la place, nous avons des milliers de personnes qui sont devenues malades, voire ont été tuées par les médicaments toxiques contre le SIDA. Mais nous ne pouvons pas les soigner tout simplement pour les maladies dont ils souffrent, parce que si nous le faisons nous sommes traités « d'hérétiques du SIDA ». Traiter ces personnes pour les maladies dont elles souffrent serait plus humain et plus efficace que de les forcer à prendre des médicaments toxiques, et ça permettrait d’économiser des milliards de dollars. Le SIDA est une industrie multimilliardaire. Il y a 100.000 chercheurs spécialisés dans le SIDA dans ce pays (les USA). C'est une industrie aussi difficile à combattre que celle du tabac à l'heure actuelle.
LS: Que dit Luc Montagnier de tout cela ?
Rasnick: A la conférence sur le SIDA de San Francisco en 1990, Montagnier a annoncé que le VIH, après tout, ne tuait pas les cellules T, et ne pouvait pas être la cause du SIDA. Dans les heures qui ont suivi cette annonce, il a été attaqué par cette même industrie qu'il avait contribué à créer. Montagnier n'est pas un menteur. C'est juste un scientifique moyen qui est dépassé.
Pour conclure
Dans une interview donnée en 1997, Montagnier a parlé de l'isolation du VIH. Il a dit : « Nous n'avons pas purifié (isolé). Nous avons vu quelques particules, mais elles n'avaient pas les caractéristiques morphologiques (la taille) typique des rétrovirus. Elles étaient très différentes. Ce que nous n'avions pas, et je l'ai toujours reconnu, était la preuve que c'était vraiment la cause du SIDA. »
Robert Gallo n'a pas fait de telles concessions. Il a toutefois atténué la sentence de mort qu'il avait posé pour les personnes atteintes de SIDA. Il estime maintenant qu'il est possible de vivre avec le SIDA « pendant 30 ans jusqu'à ce que vous mouriez de vieillesse », tant que vous avez un mode de vie sain et que vous évitez les produits qui ont un impact négatif sur le système immunitaire.
En 1994, Gallo a annoncé tranquillement que la principale maladie donnée dans la définition du SIDA chez les homosexuels masculins - le sarcome de Kaposi - ne pouvait pas être expliqué par le VIH, mais que les poppers d' amylnitrate, une drogue qui avait été très populaire dans les milieux homosexuels, « pourrait être la cause principale ». Toutefois, cette déclaration n'a pas fait la une des journaux.
Gallo a aussi dit que les recherches de Peter Duesberg sur un modèle de SIDA causé par les drogues devraient être financées. Mais les fonds accordés à Duesberg se sont totalement évaporés depuis qu'il a publiquement remis en cause le modèle actuel du VIH / SIDA.
Traduction F.R. 2004
Seconde partie
Les médicaments SIDA - l'épidémie Gai
Liam Scheff, 2003
liamscheff@yahoo.com
Les médicaments SIDA - l'épidémie Gai
Par Liam Scheff. 2ème partie

Prologue
En 1984, Robert Gallo a annoncé qu’un rétrovirus appelé VIH était la « cause probable » du SIDA.
Dans la première partie de « Débat sur le SIDA », des chercheurs spécialisés dans le SIDA ont fourni des données montrant avec certitude que les rétrovirus ne sont, en fait, pas dangereux pour les cellules, et qu’ils ne sont pas suffisamment actifs sur le plan biochimique pour induire une quelconque maladie, et encore moins les 29 maladies différentes listées par le Centers for Disease Control (CDC) comme définition du SIDA. Ces chercheurs affirment que le SIDA avait été correctement diagnostiqué au début des années 80 comme étant une maladie liée à un mode de vie, qui se caractérisait par des troubles immunitaires induits par l’utilisation massive de drogues, et par la malnutrition.
Dix ans après sa première annonce, Robert Gallo a tranquillement admis, à l’occasion d’une conférence du National Institute on Drug Abuse (NIDA) en 1994, que la première maladie définie comme étant spécifique du SIDA chez les homosexuels masculins, le sarcome de Kaposi, ne pouvait pas être causé par le VIH, mais que les dérivés nitrés appelés « poppers » devaient en être la principale cause. Les poppers étaient une drogue populaire, légale, et largement utilisée dans la communauté homosexuelle dans les années 70. Dans les années 70, les homosexuels masculins utilisaient couramment les poppers, ainsi que d’autres drogues mutagènes, et ce en quantité massive, juste avant l’apparition de la première épidémie de maladies liées au SIDA. Mais le spectre du SIDA n’a pas arrêté l’utilisation de ces mêmes drogues. De nombreux homosexuels masculins continuent à les utiliser à l’occasion de leurs rapports sexuels, y compris les poppers aux nitrites.
Maintenant, ils ajoutent à ce cocktail dangereux les médicaments toxiques contre le SIDA, et cela leur coûte la vie. Une étude nationale menée par le Dr Amy Justice, une spécialiste du SIDA de l’Université de Pittsburgh, a montré que l’insuffisance hépatique était maintenant la principale cause de décès chez les personnes séropositives pour le VIH qui prenaient des médicaments contre le SIDA. Alors que l’insuffisance hépatique n’a jamais été une maladie liée au SIDA, c’est le principal effet secondaire des nouveaux médicaments contre le SIDA, et le mieux connu.
A la conférence du NIDA en 1994, le Dr Gallo a dit que la thèse du Dr Peter Duesberg sur le SIDA en tant que maladie induite par les drogues devrait être prise en compte et étudiée. J’ai tenu compte de ce conseil de Gallo, et j’ai discuté avec Duesberg et avec deux autres personnes spécialisées dans le domaine de la santé, au sujet des premières personnes atteintes de SIDA, de la toxicomanie, et des nouveaux médicaments qui tuent aujourd’hui les personnes atteintes de SIDA.
Peter Duesberg est professeur de biologie moléculaire à l’UC de Berkeley. C’est un expert dans le domaine des recherches sur le VIH et de la rétrovirologie.
John Lauritsen est un journaliste et un historien homosexuel, qui enquête et écrit sur le SIDA depuis plus de 20 ans. En 1992, il a découvert, par le biais de Freedom of Information Act, des documents qui révélaient qu’un médicament toxique contre le SIDA, l’azydothymidine (AZT), avait été approuvé sur la base d’études médicales frauduleuses. Il a publié entre autres les livres « The AIDS war » (La guerre du SIDA), et « The early homosexual rights movement – 1864 to 1935 » (Le mouvement pour les droits des homosexuels – de 1864 à 1935).
Darren Main est un écrivain, un praticien de santé spécialisé dans la médecine holistique, et un éducateur en matière de SIDA. D’après la redéfinition du SIDA par le CDC en 1993, Main a le SIDA bien qu’il ne soit pas malade. Le mouvement pour les droits des homosexuels est devenu une force puissante au début des années 70, après des décades de répression et de violences vis-à-vis des homosexuels des deux sexes.
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Liam Scheff : A quoi ressemblait la vie des homosexuels dans les années 70 ?
John Lauritsen : Les homosexuels masculins bénéficiaient d’un merveilleux sentiment de liberté au début des années 70. Après Stonewall (un tournant majeur dans la lutte pour les droits des homosexuels), le mouvement de libération des homosexuels a permis à des hommes, qui avaient été obligés de se cacher en raison des tabous culturels, de se montrer dans un nombre croissant de lieux gays. Nous avions là des hommes jeunes et en bonne santé qui se voyaient brusquement offrir cette fabuleuse liberté. Utiliser des tas de drogues et avoir de nombreux rapports sexuels faisait partie de cette liberté.
J’ai habité à New York de 1963 à 1995. J’y étais, en plein dedans. J’habitais à deux pas d’un club gay très populaire appelé The Saint. Certaines nuits, il pouvait y avoir jusqu’à 2000 hommes. La principale activité était la consommation de drogues variées : ecstasy, poppers, marijuana, quaaludes, MDA, cristal meth, LSD, cocaïne et autres drogues de synthèse. Certaines de ces drogues ne pouvaient être trouvées que là, comme celles qu’ils fabriquaient spécialement pour les nuits d’ouverture du club.
Dans des clubs tels que The Saint, il y avait un horaire pour les drogues. Quelqu’un disait : « Maintenant c’est l’heure de l’ecstasy, maintenant c’est l’heure du cristal, maintenant c’est l’heure du Spécial K », et des centaines de couples d’homosexuels prenaient tous la même drogue en même temps. C’était comme ça toutes les nuits. Ils mélangeaient ça avec de l’alcool, pendant toute une longue, longue nuit. Une drogue appelée « poppers » était constamment consommée, parce qu’elle était légale et bon marché.
L.S.: Qu’est-ce que c’est que les poppers ?
Lauritsen : Les poppers sont des nitrites à inhaler. Ces nitrites (amyl-, butyl- et isobutyl-) avaient divers effets qui les rendaient intéressants pour les jeunes homosexuels masculins. Utilisés pendant l’acte sexuels, ils prolongeaient l’orgasme et le rendaient plus intense. Certains hommes sont devenus incapables d’avoir des rapports sexuels ou même de se masturber sans en utiliser. Les poppers étaient utilisés pour faciliter la pénétration anale parce qu’ils abaissent la perception de la douleur et qu’ils relâchent les muscles de l’anus.
L.S.: Comment les utilisait-on ?
Lauritsen : On les utilisait de façon ubiquitaire. Ils étaient trouvés en petites ampoules, que vous pouviez ouvrir pour en respirer le contenu. Sniffer des poppers était la première chose que certains homosexuels faisaient le matin, on les utilisait aussi sur les pistes de danse, et à chaque rapport sexuel. Dans les discothèques gay, les hommes tournaient en rond avec un air hébété, avec leur ampoule de poppers sous le nez. L’odeur âcre des poppers était synonyme de lieu de rassemblement gay.
L.S.: Quel effet avaient les poppers sur la santé ?
Lauritsen : Les poppers sont extrêmement toxiques. Ils induisent des dommages neurologiques suite à des convulsions, des brûlures cutanées et une insuffisance cardiaque. Ils sont immunosuppresseurs, et provoquent des lésions pulmonaires. Des décès ont été constatés après une seule utilisation. Ils sont tellement efficaces comme poisons qu’ils ont été utilisés pour des suicides et des crimes. Les nitrites sont de puissants mutagènes, ce qui signifie qu’ils induisent des mutations génétiques et des changements cellulaires. Les nitrites produisent des métabolites toxiques lorsqu’ils sont pris en même temps que d’autres produits courants tels que les antihistaminiques, les antalgiques ou les édulcorants. A peu près tous les antibiotiques sont rendus fortement cancérigènes par les nitrites.
L.S.: Pourquoi étaient-ils légaux ?
Lauritsen : Les poppers étaient au départ fabriqués par Burroughs-Welcome Corp, et utilisés pour le traitement d’urgence de la crise d’angine de poitrine. Ils ont été remplacés par la nitroglycérine. Dans les années 60, seulement quelques homosexuels utilisaient les poppers comme drogue. Cet usage s’est répandu à l’occasion de la guerre du Vietnam, ils étaient vendus au marché noir aux soldats partis à l’étranger. Lorsqu’ils sont rentrés aux USA, ces soldats en ont gardé l’habitude. La constatation de pertes de connaissance, de céphalées, d’anomalies sanguines et de graves brûlures cutanées ont amené à reclasser ce produit.
Dans les années 70 et 80, la FDA a autorisé la vente libre des poppers sous le prétexte ridicule qu’ils étaient « des désodorisants ménagers ». A cette même époque, l’industrie du sexe gay en a fait une large publicité vers la communauté gay en tant qu’aphrodisiaques, sous les noms de « Rush », « Hard Ware » et « Ram ».
Les poppers étaient peu coûteux, du genre 2,99 $ la bouteille, et ils étaient extrêmement populaires. Chaque publication gay de cette époque était remplie de pleines pages couleur de publicité pour cette drogue. Dans les années 70, les poppers étaient une entreprise de 50 millions de dollars par an. Des revues gay comme « The Advocate » dépendaient en grande partie de la publicité pour les poppers pour leurs revenus ; certaines revues devaient leur existence à cette drogue. Les poppers étaient tellement populaires qu’il y a même eu une BD « Poppers ».
A la fin des années 70, certains de ces hommes jeunes et en bonne santé avaient l’air beaucoup moins jeunes et en bonne santé. Ils avaient l’air au bout du rouleau. Leur visage était gris. Ils avaient l’air de petits vieux. Je me rappelle avoir été à un festival à la fin des années 70, et avoir été choqué de voir à quel point nombre de ces hommes étaient sérieusement malades.
En 1983, j’ai commencé à travailler avec Hank Wilson, un activiste de Bay Area dans le domaine des droits des homosexuels, pour faire des recherches et écrire des articles sur les poppers. Nous avons commencé par écrire sur leurs dangereux effets secondaires médicaux, et nous avons été sérieusement attaqués pour l’avoir fait. La presse gay nous a traités « d’homophobes » et de « vendus » parce que nous avions critiqué un produit chimique.
Au début des années 80, les rapports médicaux sur le SIDA le considéraient comme une maladie liée à un style de vie. Le mode de vie « à 100 à l’heure » des homosexuels masculin se caractérisait par un usage intensif de drogues, et par de nombreux partenaires sexuels. Ces hommes souffraient fréquemment de maladies sexuellement transmissibles – syphilis, gonorrhée, chlamydia, infections intestinales, parasites - qu’ils traitaient avec des doses de plus en plus importantes d’antibiotiques, pris dès qu’ils pensaient avoir attrapé quelque chose. Certains médecins donnaient à leurs patients homosexuels des ordonnances renouvelables pour des antibiotiques, et leur recommandaient même parfois d’avaler quelques comprimés avant d’aller dans les bains publics. Un établissement de bains publics de New York vendait sous le manteau des antibiotiques au second étage, ainsi que toutes sortes de drogues des rues.
L’une des premières maladies reliées au SIDA a été le sarcome de Kaposi, qui consiste en une prolifération des vaisseaux sanguins, laquelle se manifeste cliniquement par l’apparition de plaques rouge foncé au niveau de la peau et du visage. Les médecins estimaient que les poppers de nitrites, qui sont des mutagènes connus, étaient la cause du sarcome de Kaposi (SK). Des scientifiques ont écrit à « The Advocate » pour prévenir des dangers des poppers, mais leurs courriers ont été rejetés ou ignorés.
La réaction de la communauté gay devant l’idée que l’utilisation chronique de drogues pouvait avoir un rapport avec la maladie a été un déni total. En 1983, The Advocate a publié une série de publicités qui défendaient les poppers. Cette série d’articles, sous le titre de « Plan pour la santé », affirmait mensongèrement que les études du gouvernement sur les poppers avaient montré qu’ils étaient sans danger, et que leur utilisation devait être considérée comme une façon saine de vivre pour les homosexuels. Cela au sujet d’une drogue pour laquelle le mode d’emploi spécifiait : « inflammable, mortel en cas d’absorption ».
Peter Duesberg : Le SIDA a été correctement diagnostiqué par le CDC entre 1981 et 1984. Ils l’ont identifié comme étant probablement une maladie liée à un mode de vie, avec utilisation abusive de drogues, et malnutrition. Le New England Journal of Medicine a publié 4 articles sur le style de vie faisant appel aux drogues de ce qu’on appelait à l’époque le GRID (Gay-Related Immune Deficiency) chez ces patients. Ce syndrome se caractérisait par des infections opportunistes, des pneumonies, et le syndrome de Kaposi.
Le facteur que toutes ces personnes avaient en commun était l’utilisation massive de drogues : amphétamines, inhalation de nitrites, cocaïne, héroïne. La théorie était simple. Ces hommes avaient passé 10 ans à détruire leur système immunitaire, et ils étaient maintenant sujets à toutes sortes de maladies infectieuses. Cette théorie était compatible avec la distribution non randomisée de la maladie.
Jusqu’à 1984, cela a été la seule hypothèse crédible. Mais quand le gouvernement a soutenu l’hypothèse du VIH, la théorie du mode de vie a été abandonnée, parce que tout l’argent a été dirigé vers la recherche rétrovirale. C’est comme ça que la science fonctionne : pas d’argent, pas de recherche.
Lauritsen : Les médias ont immédiatement soutenu l’hypothèse non démontrée de Gallo, et les services de santé ont suivi. Pendant 20 ans, virtuellement tous les fonds alloués par le gouvernement ont été attribués aux études sur l’hypothèse de Gallo selon laquelle VIH = SIDA, que rien n’avait démontré, tandis que le modèle fondé sur les drogues et la malnutrition a été ignoré.
En 1994, Robert Gallo a tranquillement admis que le SK ne pouvait pas être causé par le VIH. Mais cela n’a jamais été rapporté dans la presse grand public. A l’occasion de la conférence de 1994 du National Institute on Drug Abuse (NIDA), Gallo a dit, devant une salle de scientifiques et d’activistes, que le VIH ne pouvait pas être à l’origine du SK, qu’il ne l’avait même jamais trouvé dans les cellules T que le VIH est pourtant supposé tuer. Il a dit : « Je ne sais pas si je m’exprime clairement, mais je pense que tout le monde ici sait cela – nous n’avons jamais trouvé l’ADN du VIH dans les cellules tumorales des personnes atteintes de SK. Et en fait, nous n’avons jamais trouvé l’ADN du VIH dans les cellules T. Donc, en d’autres termes, nous n’avons jamais constaté que le VIH pouvait avoir un impact mutagène (cancérigène). »
Cela est totalement opposé à tout ce que Gallo avait jamais dit au sujet du VIH et du SIDA. Mais très peu de personnes ont prêté attention à cette rétractation. Le CDC l’a ignorée, et a continué à dire aux gens que le SK était une maladie liée au SIDA.
Quand on a demandé à Gallo ce qui, à défaut du VIH, causait le SK, il a dit : « Les nitrites (poppers) pourraient être le principal facteur » parce que « la mutagenèse » est « la chose la plus importante ». C’est une situation très embarrassante pour l’establishment du SIDA, et ils l’ont soigneusement dissimulée. L’une des deux maladies qu’on disait caractéristiques du SIDA est maintenant connue comme n’ayant absolument aucun rapport avec le SIDA ou le VIH.
Prenez n’importe quelle personne malade du SIDA – il y a de bonnes raisons pour expliquer que cette personne a attrapé cette maladie. Prenez un drogué à l’héroïne, qui présente une pneumonie ou une grave infection pulmonaire. C’est ce que la science a toujours attendu comme conséquence de la prise d’un excès d’opiacés, dans la mesure où les opiacés lèsent les poumons et abaissent l’immunité.
Si un homosexuel inhale des nitrites et développe un SK, la meilleure explication est qu’il a été affecté par les nitrites inhalés, et non par un agent infectieux. Les nitrites sont des drogues mutagènes qui affectent directement les vaisseaux sanguins. Il a été dit que les homosexuels qui présentaient un SK développaient des lésions autour des lèvres, de la bouche et du nez, les endroits les plus exposés à la drogue inhalée.
Duesberg : Les symptômes définissant le SIDA sont la diarrhée chronique, la démence, la perte de poids, et l’augmentation de la fréquence des infections virales et bactériennes. Ce sont exactement les symptômes que l’on rencontre chez les toxicomanes et en cas de malnutrition, mais personne n’a mis d’argent dans cette voie de recherche. A la place, des milliards de dollars ont été engloutis dans la bataille contre le SIDA à coup de médicaments toxiques tels que l’AZT et les inhibiteurs des protéases.
De nombreux américains prennent des amphétamines, des drogues pour maigrir, de la cocaïne, et des drogues vendues dans les dancings. Quand vous faites cela pendant des années, vous commencez à être malade. Vous allez chez le médecin, qui vous dit que la première chose à faire est un test de dépistage du VIH. Ce test est positif parce que les tests de dépistage du VIH ont des réactions croisées avec les anticorps fabriqués suite à l’utilisation des drogues. Le médecin vous met sous AZT, un terminateur de chaîne qui, à hautes doses, vous tuera en six mois. Je ne parle pas ici de la prise très occasionnelle d’une drogue récréative. Nous pouvons supporter de consommer pas mal de cochonneries, mais notre organisme n’est pas conçu pour tolérer la prise quotidienne d’un gramme de cocaïne ou d’héroïne ou de poppers, et il est encore moins capable de se débrouiller avec l’AZT.
L.S.: Qu’est-ce que c’est que l’AZT ?
Duesberg : L’AZT est un terminateur de chaîne d’ADN. L’AZT détruit l’ADN. Il détruit votre moelle osseuse, qui produit votre sang. Il tue les cellules de votre tube digestif et vous ne pouvez plus manger. L’AZT a été conçu il y a 40 ans pour la chimiothérapie anticancéreuse. Le principe d’une chimiothérapie est simple : tuer toutes les cellules. Si la chimiothérapie est efficace, les cellules cancéreuses meurent avant vous. Mais elle n’est pas souvent efficace, et les dommages collatéraux sont majeurs. Bien sûr, la chimiothérapie est un traitement à court terme. Un patient cancéreux est traité pendant une courte période, à cause de la toxicité du traitement. Mais les personnes souffrant de SIDA sont censées prendre de l’AZT tous les jours, probablement pendant le reste de leur vie.
L.S.: Comment un médicament aussi toxique a-t-il été approuvé pour le traitement de malades souffrant du SIDA ?
Lauritsen : L’AZT a été approuvé sur la base d’une étude frauduleuse. La phase 2 de l’étude sur l’AZT a été conduite par la FDA en 1986, et a été dirigée par Burroughs-Wellcome (maintenant Glaxo-Wellcome), qui fabrique ce médicament. Il est d’ailleurs intéressant de noter que Wellcome est aussi la firme qui fabrique les poppers aux nitrites pour les troubles cardiaques. Cette phase 2 était supposée démontrer que l’AZT était « efficace et sans danger ». Le rapport d’étude, publié en 1987, a affirmé que l’AZT abaissait considérablement le taux de mortalité des personnes atteintes de SIDA. Mais ces résultats étaient fondés sur une fraude.
L.S.: Quelle était cette fraude ?
L.S.: Lauritsen : Tout d’abord, l’étude n’était pas réellement en aveugle. Les médecins et les patients savaient qui recevait l’AZT et qui recevait le placebo. Dans une étude médicale, un groupe de patients reçoit le médicament, l’autre reçoit un placebo. Cela permet aux médecins d’évaluer l’effet du médicament en comparant les deux groupes. Dans une étude véritablement en double aveugle, ni les médecins ni les patients ne savent qui reçoit le médicament. Ce type d’étude est considéré comme étant la meilleure approche, celle qui présente le moins de biais, pour approuver un nouveau traitement pharmaceutique.
Dans cette étude de phase 2, tout le monde savait qui recevait de l’AZT. L’information avait été donnée aux médecins et aux patients. Les patients recevant le placebo voulaient recevoir de l’AZT parce qu’ils pensaient que cela les aiderait, alors ils en ont obtenu auprès d’autres patients, ou auprès de leur médecin traitant. Mais on les a laissés dans le groupe placebo.
Pire encore, le formulaire de rapport des cas a été falsifié. Des patients prenant de l’AZT et qui sont presque morts d’anémie ont été définis comme « n’ayant présenté aucun effet secondaire ». Ces patients ont subi de multiples transfusions sanguines pour leur sauver la vie (l’AZT induit une anémie parce qu’il détruit la moelle osseuse qui fabrique les cellules sanguines).
Un patient, qui était supposé être dans le groupe placebo, était en fait sous AZT prescrit par son médecin. Il est sorti de l’étude, mais a continué à prendre de l’AZT, et il est décédé peu après. Les auteurs de l’étude ont rentré ce décès dans le groupe placebo, comme si c’était le fait de ne pas prendre l’AZT qui l’avait tué. Si ce n’est pas de la fraude, alors on se demande ce qui peut bien l’être.
Et c’est sur la base de ces résultats qu’on a approuvé l’AZT et qu’on a commencé à le donner aux patients en 1987. Les hommes séropositifs pour le VIH sont devenus la cible d’une campagne publicitaire qui a coûté des millions de dollars à Wellcome. Des publicités en pleine page faisant la promotion de l’AZT sont parues dans le New York Times, et dans d’autres publications partout dans le monde. Les services de santé ont répandu l’idée selon laquelle l’AZT allait aider les gens à vivre plus longtemps.
Duesberg : Les médecins donnaient aux personnes séropositives pour le VIH des médicaments avant même qu’elles soient malades. A partir de 1993, les nouveaux critères du CDC avaient pour résultat qu’il n’était même plus nécessaire d’être malade pour être diagnostiqué comme ayant le SIDA. Si on était séropositif au test ELISA, qui n’est pas spécifique, et si on avait une seule fois un taux de cellules T inférieur à 200, le CDC affirmait que vous aviez les SIDA. Les médecins, sur la base de ces critères, prescrivaient des médicaments contre le SIDA à des personnes en bonne santé.
C’est ce que j’appelle le SIDA sur ordonnance. Imaginez que vous alliez voir votre médecin, et qu’on vous dit que vous êtes séropositif pour le SIDA. Vous êtes en parfaite santé, mais votre médecin vous dit que vous avez le SIDA parce que votre taux de cellules T est bas, et que vous feriez bien de prendre des médicaments pour stopper la progression de la maladie. Vous avez peur, vous ne comprenez pas bien, mais vous avez confiance en votre médecin, alors vous prenez les médicaments, qui détruisent votre tube digestif et votre système immunitaire. Vos cheveux tombent, vous devenez impuissant, et plus ou moins rapidement vous vous retrouvez avec la maladie que vous aviez essayé de prévenir. Et le médecin vous dit : « Si vous n’étiez pas venu me voir, ça vous serait juste arrivé 6 mois plus tôt. Je vous ai permis de vivre 6 mois de plus. »
Actuellement, comme il y a beaucoup de gens qui prennent de l’AZT, les médecins prescrivent des doses plus basses, ce qui retarde et rend moins visibles les dégâts faits à l’organisme.
L.S.: Qui prend de l’AZT ?
Duesberg : D’après le New York Times et Time Magazine, 45.000 américains prennent de l’AZT tous les jours de leur vie. De nombreux patients ne peuvent pas prendre les médicaments à cause de vomissements importants, mais ils essayent de suivre la prescription faite par leur médecin.
Lauritsen : 94% de tous les décès liés au SIDA sont survenus depuis que les gens ont commencé à utiliser l’AZT en 1987. Plus de personnes prenant de l’AZT sont mortes pendant la seule année 1993 que pendant les 6 premières années du SIDA.
L.S.: Est-ce que le SIDA a fait cesser l’utilisation des drogues récréatives ?
Lauritsen : Non, au début des années 90, les homosexuels masculins vivant à San Francisco et à New York en étaient revenus au taux de toxicomanie et à la promiscuité sexuelle qui sévissaient dans les années 70. En 1992, des milliers d’homosexuels ont assisté à une « morning party » (homonyme de "mourning party" - fête de la lamentation) sur Fire Island, organisée au bénéfice de la Gay Men’s Health Crisis. Au moins 95% d’entre eux en étaient à un stade avancé d’intoxication par l’ecstasy, les poppers, la cocaïne et l’alcool. L’auteur dramatique Larry Kramer a décrit la chose dans les termes suivants : « il y avait 4000 ou 5000 superbes gosses sur la plage, complètement défoncés en plein midi, qui passaient leur temps à rentrer et sortir des Sanisettes pour baiser. Tout ça au nom du GMHC. »
Darren Main : La prévalence de la toxicomanie est très élevée dans la communauté gay actuellement. Les grands festivals sont très populaires.
L.S.: Qu’est-ce que c’est que ces grands festivals ?
Main : Ce sont de grandes fêtes qui ont lieu dans des endroits spécifiques, comme la « White Party » à Palm Spring, ou la « Black and Blue » à Montréal. Des milliers de personnes y assistent. Cela représente 4 à 5 jours d’utilisation intensive de drogues dures, à un point que vous ne pouvez imaginer, cristal meth, ecstasy, spécial K, poppers, drogues maison.
L.S.: Les gens utilisent encore des poppers ?
Main : Absolument. C’est une vraie pharmacie. Ces types restent là pendant quatre à cinq jours, à prendre des drogues et en pleine orgie sexuelle. En plus de ces grands festivals, il y a d’autres fêtes régulières. De nombreux hommes passent leurs week-ends à aller dans des boîtes et à se défoncer. Pendant ces fêtes, les drogues sont fréquemment combinées avec des antibiotiques, parce que ces hommes sont constamment exposés à la syphilis, à la gonorrhée, à l’herpes, aux amibiases et aux diverses MST qui sont toutes en augmentation dans la communauté gay.
L.S.: Cela ressemble à la première crise du SIDA.
Main : En effet. Un tas de gens pensent qu’ils sont protégés vis-à-vis des infections parce qu’ils prennent les nouveaux cocktails médicamenteux contre le SIDA, baptisés HAART (highly active antiretroviral therapy – thérapie antirétrovirale hautement active). Les HAART sont une combinaison des vieux analogues des nucléosides comme l’AZT, le DDI et le 3TC, et des nouveaux inhibiteurs des protéases, comme le Saquinavir et le Crixivan. (Les analogues des nucléosides agissent en stoppant la fabrication d’ADN ; les inhibiteurs des protéases agissent en stoppant l’assemblage des protéines dans les cellules).
L.S.: Quels sont les effets secondaires courants des inhibiteurs des protéases ?
Main : Les inhibiteurs des protéases causent des lipodystrophies – des déformations graisseuses. Les graisses du corps partent du visage, des bras et des jambes, qui deviennent très maigres ; le visage devient squelettique. La graisse se collecte pour faire une « bosse de bison » sur le haut du dos. Le ventre devient distendu et bouffi. Et ça, c’est juste ce qui se voit. Ces médicaments induisent une augmentation massive du taux de cholestérol, qui est souvent à l’origine de crises cardiaques. Ils provoquent aussi souvent des troubles de la glycémie et des diabètes. Les inhibiteurs des protéases sont les produits qui ont la toxicité hépatique la plus importante. En conséquence, l’insuffisance hépatique est actuellement la principale cause de mortalité chez les personnes souffrant de SIDA dans ce pays, bien que ce ne soit pas une maladie liée au SIDA.
J’ai constaté que lorsque vous commencez à prendre ces médicaments, les premiers symptômes sont des maux d’estomac et de la diarrhée. Dans l’année, cela commencera à se voir à votre visage. Les personnes dont je sais qu’elles ont pris les médicaments pendant quelques années sont visiblement marquées. Il n’y a aucun moyen de savoir si le fait d’arrêter de prendre les médicaments pourra permettre de réparer les dégâts. A Los Angeles, Sans Francisco et South Beach, il y a des chirurgiens esthétiques qui se consacrent exclusivement à la liposuccion de ces bosses de bison, et à la pose d’implants dans les joues.
L.S.: Vous voyez en consultation des personnes chez qui on a diagnostiqué le VIH et le SIDA. Que leur disez-vous ?
Main : Je leur apprends comment reconstruire et renforcer leur système immunitaire à l’aide de choses très simples : avoir une alimentation saine, dormir suffisamment, supprimer les drogues et les stimulants, prendre des suppléments appropriés. Si une personne prend des médicaments contre le SIDA, je l’encourage à « faire une pause dans son traitement ».
De nombreuses personnes ont peur de cesser de prendre les médicaments ou de remettre en question ce que leurs disent les médecins et les laboratoires pharmaceutiques. J’ai un client que nous appellerons « Jack », dont le compagnon est décédé il y a une paire d’année suite à la toxicité des médicaments. Jack est séropositif pour le VIH et prend les médicaments. Il a présenté un effet secondaire sérieux à ces médicaments : il est devenu aveugle. Ses yeux ont cessé de fonctionner et ont commencé à s’autodétruire à cause des médicaments contre le SIDA. Les médecins qui le suivaient lui ont confirmé que sa cécité était indiscutablement provoquée par le cocktail médicamenteux, et pas par un quelconque virus ou une maladie du SIDA. Quand je l’ai rencontré, on venait juste de lui retirer les yeux. Il a maintenant des yeux en verre.
L.S.: Alors il a fini par arrêter les médicaments ?
Main : Non, il continue à les prendre. Je lui ai demandé s’il avait envisagé d’arrêter de les prendre. Il m’a répondu que non, parce qu’il ne se sent pas rassuré avec son taux de cellules T ou sa charge virale. Il préfère avoir perdu ses yeux que d’avoir arrêté les médicaments. Les inhibiteurs des protéases sont un peu moins toxiques que l’AZT, mais ils peuvent quand même être mortels. C’est juste une mort plus lente.
L.S.: Vous ne prenez pas ces médicaments alors qu’on vous a diagnostiqué comme ayant le SIDA. Comment vous portez-vous ?
Main : Parfaitement bien, je n’ai à ma connaissance aucun problème de santé. Je n’ai jamais eu d’infection opportuniste ou de maladie reliée au SIDA. On me dit que j’ai le SIDA à cause de mon taux de cellules T. Le mien est de 120. D’après le CDC, c’est la définition du SIDA : être séropositif pour le VIH et avoir un taux de cellules T inférieur à 200. Bien sûr, dans d’autres pays
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par Remundo » 30/11/15, 10:48

Christophe a écrit :N'importe quoi les gars!! Nier la réalité du changement climatique et du SIDA c'est comme nier la Shoah !

Redescendez sur Terre!!! :shock:
Et faites gaffe à vos propos sur ce forum !!

Exnihiloest a écrit :Ce serait plutôt le contraire.
Et puis le CO2 fait reverdir la planète. Dans les zones difficiles pour la végétation, un peu plus ou un peu moins de CO2 fait la différence.


N'importe quoi!!!

Le CO2 est un stimulateur de la croissance des plantes, compte tenu de l'élévation faible des ppm CO2 dans l'atmosphère, mais surtout sur les changements climatiques qui pourraient nuire à la croissances de la flore, difficile de conclure...

mais c'est aussi un gaz à effet de serre relargué dans des proportions énormes par les activités anthropiques... dont on est capable de calculer le forçage radiatif, lequel est à l'origine du réchauffement climatique.
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par Obamot » 30/11/15, 11:02

janic a écrit :ex
Attention, je ne nie pas tout l'intérêt du GIEC : c'est un formidable tremplin pour les carrières des arrivistes (du moment qu'ils prêchent dans le bon sens et en rajoutent dans le catastrophisme, histoire d'en améliorer le subventionnement)
on ne peut rejeter qu'il puisse en être ainsi puisque c'est bien ce qui se passe avec le SIDA tous ceux qui pompent le fric des subventions pour quelque chose qui n'existe pas.

Ce qui existe, c'est les "conditions", cf le terrain, qui fait que le SIDA puisse se développer chez certains individus, mais en effet c'est une conséquence, le SIDA n'existe qu'en tant que syndrome, ce n'est pas une maladie au sens propre du terme (on ne meurt pas du SIDA mais de pathologies opportunistes), c'est une étape ultime à un état pathologique déjà chronique d'affaiblissement général. Un peu comme le cancer (si je me permet ce grand écart)... Mais c'est un vaste sujet et tellement à en apprendre...
Seulement il semble laisser une trace (dans la réponse immunitaire), voilà l'astuce.

Il y a des similitudes avec ces attentats, on est en plein dans un mélange d'hypocrisie, de déni, de mensonges et d'instrumentalisation.
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par sen-no-sen » 30/11/15, 11:28

Christophe a écrit :N'importe quoi les gars!! Nier la réalité du changement climatique et du SIDA c'est comme nier la Shoah !


Certes,mais attention au comparaison.
Faire un amalgame entre doute sur la thèse anthropique du réchauffement climatique et négation de l'holocauste juif *de la seconde guerre mondiale n'est pas du tout du même niveau!
Nombre de pseudo-écologistes à la solde d'ONG douteuses utilisent à tort et à travers cet "argument traumatique".
La science avance grâce au doute,ce qui permet de renforcer les modèles,cela n'a guère à voir avec la négation de crime contre l'humanité.

Pour la question du SIDA:j'invite toute les personnes qui doute de la thèse VIH/SIDA à se rendre dans un institut (Pasteur par ex) et demander à se faire injecter le dit VIH,qui de toute façon selon leurs dires ne présente aucun danger! :lol:


*On dois bien parler d'holocauste ou de génocide juif et pas de Shoah qui est un terme politico-religieux qui n'a pas sa place dans un discours laïque.
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par janic » 30/11/15, 12:48

Pour la question du SIDA:j'invite toute les personnes qui doute de la thèse VIH/SIDA à se rendre dans un institut (Pasteur par ex) et demander à se faire injecter le dit VIH,qui de toute façon selon leurs dires ne présente aucun danger!
Tu te répètes en confondant science et superstition! A moins que tu aies peur de la vérité?
Or, tu n'as pas, ce jour, démontré que les scientifiques cités se soient trompés ou aient cherché à tromper qui que ce soit. Alors que l'inverse est vérifiable.
Donc se faire injecter quelque chose qui n'existe pas, c'est se faire injecter un placebo.
Ex avance des tas de choses sans les vérifier et tu en fais autant. Indique dans le document présenté tout ce qui est inexact, ce sera plus constructif.
Dernière édition par janic le 30/11/15, 12:59, édité 1 fois.
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par sen-no-sen » 30/11/15, 12:58

janic a écrit : Tu n'as pas, ce jour, démontré que les scientifiques cités se soient trompés ou aient cherché à tromper qui que ce soit.


Il faudra l'expliquer combien de fois:
Ce qui est affirmé sans preuve peut être réfuté sans preuve.
Ici c'est toi qui affirme la non responsabilité du VIH,pas moi,je ne possède pas les compétences nécessaire pour dire quoi que se soi...donc c'est à Janic le "grand virologue" de démontrer à la communauté scientifique que le VIH ne présente aucun risque.
Moyennant une décharge tu pourras te faire injecter du sang compatible infecté,et prouver ainsi à la terre entière l'immense supercherie VIH=SIDA.
Ton nom sera scandé dans les médias et tu sera considéré comme un héros nationale!
:lol:
Sinon,tais toi à jamais et arrête de polluer les sujets avec tes sempiternelle rengaine:VIH/SIDA,Homeopathie/allopathie,Créationniste/Évolutionnisme....
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par Obamot » 30/11/15, 13:12

sen-no-sen a écrit :Pour la question du SIDA:j'invite toute les personnes qui doute de la thèse VIH/SIDA à se rendre dans un institut (Pasteur par ex) et demander à se faire injecter le dit VIH,qui de toute façon selon leurs dires ne présente aucun danger!

Bien bien, il ne faut pas passer d'un extrême à l'autre, mais précisément un médecin l'a fait, il s'est injecté du VIH. Il y a des faisceaux convergents qui sont compatibles avec une origine chimique (empoisonnement) plutôt que métabolique. Le fait qu'il y ait au moins un marqueur signifie simplement que l'organisme a "réagit", mais rien de plus. Pendant ce temps là, d'autres médecins chercheurs ont réussi à traiter les effets du SIDA (et non le HIV lui-même qui doit se traiter en amont) il y a pas mal de sujet qui ont guérit et le plus important: sans récidive. Il existe également des sujets séro-positifs qui sont redevenus séro-négatifs. Je parle de tout ça de sources sûres.

Mais ça ne résoud pas le fond du problème, si le terrain n'est pas favorable, il n'est pas possible de garantir un succès à 100%, sinon Steve Jobs et tant d'autres seraient encore en vie! Donc non, je ne jouerais pas avec le feu.

La grippe saisonnière est responsable dans le monde jusqu'à 500 000 décès par an. Le SIDA zéro, mais les pathologies assimilées un peu plus du double que la grippe... Statistiquement au final il y a beaucoup plus de chance de mourir d'une mauvaise grippe que du SIDA, car on est exposé chaque année à ce virus! (Alors que l'exposition aux risques du SIDA pourrait se contrôler bien plus aisément...) Mais personne ne descend beaucoup dans la rue pour crier au scandale contre le Codex-Alimentarius ni contre les poisons en vente libre dans nos supermarchés (alors que pour les attentats... autour que le risque d'être touché par ce type de criminalité n'est que de 0,09% par rapport au SIDA et 0,04% par rapport à la grippe: et personne ne montre du doigt les autorités sanitaires et il y a des criminels parmi elles....)
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par janic » 30/11/15, 13:52

janic a écrit:
Tu n'as pas, ce jour, démontré que les scientifiques cités se soient trompés ou aient cherché à tromper qui que ce soit.
Il faudra l'expliquer combien de fois:
Ce qui est affirmer sans preuve peut être réfuter sans preuve.
Tu prends tes désirs pour des réalités ! Si tu es sûr de toi indiques ce qui est inexact,ce n’est pas si difficile que ça si tu en as les compétences.
Ici c'est toi qui affirme la non responsabilité du VIH,pas moi,je ne possède pas les compétences nécessaire pour dire quoi que se soi...donc c'est à Janic le "grand virologue" de démontrer à la communauté scientifique que le VIH ne présente aucun risque.

Eux sont compétents :

"Le Dr Peter Duesberg est un chimiste et un expert en rétrovirologie. Duesberg a découvert les oncogènes (gènes du cancer) et isolé le génome des rétrovirus (le VIH en est un) en 1970. Il est professeur de biologie moléculaire à l'UC de Berkeley.
Le Dr David Rasnick est un spécialiste des inhibiteurs de protéases, et travaille dans la recherche sur le SIDA depuis 20 ans. Il mène des recherches sur le cancer et le SIDA en collaboration avec Duesberg. Rasnick et Duesberg sont tous les deux conseillers au sein du comité sur le SIDA créé par le président d'Afrique du Sud, Mbeki."

Si c’était moi qui avais été l’auteur de ce document, ton accusation pourrait éventuellement être prise au sérieux, mais là tu ne fais qu’exprimer ton hypocondrie possible.
. "En 1987, Gallo et Montagnier ont été forcés par le Président Reagan et le Premier Ministre Chirac à se rencontrer dans un hôtel pour résoudre ce problème de droits sur le brevet du VIH. En 1992, Gallo a été officiellement déclaré coupable de fraude par un comité fédéral d'éthique scientifique"
Moyennant une décharge tu pourras te faire injecter du sang compatible infecté,et prouver ainsi à la terre entière l'immense supercherie VIH=SIDA.
Une décharge pour un placebo ! La terre entière n’en serait pas avancée pour autant !
"David Rasnick: Je suis chimiste spécialisé dans la recherche sur les enzymes protéases. Je conçois et je synthétise des inhibiteurs destinés à stopper la prolifération de virus et de cancers qui détruisent les tissus. Lorsque Robert Gallo a annoncé que le VIH causait le SIDA, j'ai voulu travailler sur des inhibiteurs qui pourraient agir sur ce virus. En 1985, j'étais à une rencontre scientifique lorsque le sujet du VIH a été abordé. On a demandé à un spécialiste du SIDA quelle quantité de VIH on pouvait trouver chez une personne souffrant de SIDA. On lui a demandé « Quel est le titre du VIH » ?
LS: Qu'est-ce que le titre ?
Rasnick: Le titre est le nombre de particules virales infectieuses dans un échantillon de tissu ou de sang. Il est facile d'obtenir un titre pour les virus vivants à partir d'un tissu spécifiquement infecté par un virus. Un échantillon d'un tel tissu contient des millions de particules virales infectieuses…. Vous pouvez déterminer le titre de n'importe quelle zone infectée, en mettre un fragment sous un microscope, et voir des millions de virus vivants. Donc, on a demandé au virologiste « Quel est le titre ? » Il a répondu : « Indétectable, zéro. » Je me suis demandé comment cela était possible ? Comment pouvez-vous être malade à cause de quelque chose qui n'est pas là
?"
Sinon, tais toi à jamais et arrête de polluer les sujets avec tes sempiternelle rengaine: VIH/SIDA,Homeopathie/allopathie,Créationniste/Évolutionnisme....

Qui pollue selon les dires de spécialistes ci-dessus et dessous?

(Montagnier) Il a mis ce nouveau liquide dans un gradient de densité de sucrose, et a trouvé une activité de transcriptase inverse à la densité à laquelle on sait que les virus sont purifiés. Ce qu'il n'a pas trouvé, c'est un virus. Quand il a regardé ce qu'il avait à cette densité au microscope électronique, il n 'a rien trouvé. Mais cela, il ne l'a reconnu que des années plus tard. C'est ce qu'on connaît sous le nom d'isolation du VIH.

LS: Vous dites que Gallo a utilisé une lignée de cellules T pour cultiver le VIH. Est-ce que le VIH n'est pas supposé tuer les cellules T ?
Richards: C'est ce que Gallo a affirmé au départ, mais les laboratoires Abbott cultivent le VIH sur des cellules T leucémiques humaines. On appelle même cette lignée une lignée immortelle, parce que les cellules leucémiques ne meurent pas. A l'heure actuelle, aucun chercheur n'a montré comment le VIH tuait les cellules T. C'est juste une théorie qui permet à l'argent de continuer à couler à flots pour soutenir l'approche pharmaceutique du traitement du VIH

Duesberg: Les virus sont dangereux seulement la première fois que nous les rencontrons. Lorsque nous avons fabriqué des anticorps contre un virus, nous sommes immunisés pour le restant de notre vie, et ce virus ne peut plus nous rendre malades. C'est exactement le contraire de la théorie du SIDA qui dit : Vous êtes contaminés, vous ne devenez pas malade ; vous fabriquez des anticorps, et 10 ans plus tard vous devenez malade et vous mourez

LS: Ils pensent que les protéines proviennent du VIH ; mais s'ils n'ont jamais isolé le VIH, comment peuvent-il dire que ces tests peuvent dépister une infection par le VIH ?
Rasnick: Ils ne peuvent pas et ils ne le font pas. Il n'a jamais été démontré qu'une quelconque des protéines de l'ELISA ou du Western Blot était spécifique du VIH ou d'un autre rétrovirus. Pour cette raison, la FDA n'a pas approuvé un seul des tests de dépistage du VIH.

LS: Si les tests ne sont pas spécifiques et si on ne peut pas trouver le VIH dans le sang, alors c'est quoi le SIDA ?
Richards: D'après le CDC, le SIDA est juste une définition. Si vous avez une maladie considérée comme un indicateur du SIDA, comme la salmonellose, la tuberculose, une pneumonie, de l'herpès ou une infection fongique, et que vous avez un test positif pour le VIH, alors on dit que vous avez le SIDA et on vous traite avec des médicaments toxiques contre le SIDA
LS: Que dit Luc Montagnier de tout cela ?
Rasnick: A la conférence sur le SIDA de San Francisco en 1990, Montagnier a annoncé que le VIH, après tout, ne tuait pas les cellules T, et ne pouvait pas être la cause du SIDA. Dans les heures qui ont suivi cette annonce, il a été attaqué par cette même industrie qu'il avait contribué à créer. Montagnier n'est pas un menteur. C'est juste un scientifique moyen qui est dépassé.
Etc… et Janic dans tout ça ? Nulle part !
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