Salut,
Ben moi, au début, je pensais, comme on en avait parlé auparavant, d'une dérivée géniale de l'application suivante
basée sur la cycloïde de Lahire (qui ne m'a pas rendu hilare!). Yves évoquait à juste titre que pour équilibrer, tant en masse qu'en variation volumique, un tel engin, il fallait doubler le système à 180° pour le piston. Cela faisait donc deux cylindres conjoints ( belles épousailles!) mais avec des chambres (4 au total) distinctes.
Donc en créant une torsade continue entre les deux positions, on pouvait obtenir un ensemble plus régulier en couple (une véritable union plutôt que de belles épousailles) et équilibré (un peu comme on le fait pour les éoliennes types savonius hélicoïdales...cf/ windside).
Mais le tout ne donnant que deux chambres et donc avec un fonctionnement de circulation des fluides assez traditionnel.
Et puis je me suis dis que ça ne marchait pas parce qu'il n'y aurait plus de variation volumique du tout (une partie d'une chambre se refermant pendant qu'à l'autre bout de la même chambre cela s'ouvrait !: déplacement interne du fluide sans variation de volume.
Mais Yves m'a aussi mis le doute, comme toi Remundo, avec cette sensation - illusion? - optique de la vis sans fin qui aurait pour effet de produire un déplacement axial linéaire du fluide. Il est tellement difficile de se représenter mentalement les contacts effectifs entre piston et chemise... Merci pourtant à Yves d'avoir un peu dénudé la mariée (rouge) pour y voir sous les jupons. Malgré tout je pédale encore dans la semoule.
Marcel