Bonjour à tous
Petit retour sur les machines à cycloïdes...
À plus
Yves
Turbicône
- Turbi
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retour aux cycloïdes
Bonjour Raymond,
Juste une variante. Toujours avec la cycloïde de Lahire.
Ce qui est nouveau, c'est que le rayon du cercle générateur de la pièce grise n'est plus fixe. Il évolue proportionnellement avec la hauteur.
La pièce rouge est l'enveloppe de la grise. Je ne montre ici que la surface interne de cette pièce.
Comme dans les pompes de Moineau, il y a un découpage du volume situé entre les deux pièces. Mais cette fois lors du mouvement, les volumes élémentaires résultant de ce découpage, évoluent en augmentant constamment.
En bref, si l'on met provisoirement de côté les problèmes d'étanchéité et de frottement, il suffit de chauffer la pièce rouge pour que la grise se mette à tourner (en la tenant dans la main par exemple)...
non ?
Yves
Juste une variante. Toujours avec la cycloïde de Lahire.
Ce qui est nouveau, c'est que le rayon du cercle générateur de la pièce grise n'est plus fixe. Il évolue proportionnellement avec la hauteur.
La pièce rouge est l'enveloppe de la grise. Je ne montre ici que la surface interne de cette pièce.
Comme dans les pompes de Moineau, il y a un découpage du volume situé entre les deux pièces. Mais cette fois lors du mouvement, les volumes élémentaires résultant de ce découpage, évoluent en augmentant constamment.
En bref, si l'on met provisoirement de côté les problèmes d'étanchéité et de frottement, il suffit de chauffer la pièce rouge pour que la grise se mette à tourner (en la tenant dans la main par exemple)...
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Yves
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- Turbi
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retour aux cycloïdes
quelque soit le niveau de la coupe, on obtient le même mouvement découlant directement de la cycloïde de Lahire. Seul le rayon du cercle varie avec la hauteur...
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- Remundo
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Re: retour aux cycloïdes
Turbi a écrit :En bref, si l'on met provisoirement de côté les problèmes d'étanchéité et de frottement, il suffit de chauffer la pièce rouge pour que la grise se mette à tourner (en la tenant dans la main par exemple)...
non ?
Yves
Peut-être, si l'on envisage une dilatation du gaz au cours de son cheminement...
très jolies inspirations, belle respiration
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le temps du retrait est venu
- Turbi
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retour aux cycloïdes
Oui Raymond,
L'échauffement du gaz provoque sa dilatation, ou plutôt une augmentation de la pression. Pour que le gaz se dilate, il n'y a qu'une manière : l'agrandissement du volume compris entre les 2 pièces. Ceci n'est possible que par la rotation.
C'est le seul modèle que je connaisse qui avec 2 pièces seulement peut transformer de la chaleur en mouvement de rotation...
Yves
L'échauffement du gaz provoque sa dilatation, ou plutôt une augmentation de la pression. Pour que le gaz se dilate, il n'y a qu'une manière : l'agrandissement du volume compris entre les 2 pièces. Ceci n'est possible que par la rotation.
C'est le seul modèle que je connaisse qui avec 2 pièces seulement peut transformer de la chaleur en mouvement de rotation...
Yves
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retour aux cycloïdes
Bonjour,
En fait, pour obtenir un cycle complet il faut un modèle avec plusieurs tours :
La moitié du bas assure l'acheminement du gaz qui sera expansé dans la moitié du haut. Cette partie fonctionne comme une pompe de Moineau, sans expansion. Elle permet de garantir que lors de l'échauffement, le gaz sera obligatoirement poussé vers le haut, forçant ainsi la rotation.
Sur cet exemple le rapport d'expansion est de 1 à 10.
À plus
Yves
En fait, pour obtenir un cycle complet il faut un modèle avec plusieurs tours :
La moitié du bas assure l'acheminement du gaz qui sera expansé dans la moitié du haut. Cette partie fonctionne comme une pompe de Moineau, sans expansion. Elle permet de garantir que lors de l'échauffement, le gaz sera obligatoirement poussé vers le haut, forçant ainsi la rotation.
Sur cet exemple le rapport d'expansion est de 1 à 10.
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Yves
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retour aux cycloïdes
Bonjour,
Pour aider à visualiser le mouvement des 2 pièces, on peut les soumettre à une transformation qui redresse le mouvement hélicoïdal. Ces 2 pièces virtuelles "planes" séparent des espaces de mêmes volumes que ceux des pièces originales.
On peut les voir mieux encore si la pièce rouge est transparente :
On voit que les chambres montent de façon linéaire, et qu'elles prennent du volume dans la partie haute...
Note : pour fermer le cycle, il faut une 3eme partie en haut, dans laquelle le volume étendu reste constant (partie rouge cylindrique)
À bientôt
Yves
Pour aider à visualiser le mouvement des 2 pièces, on peut les soumettre à une transformation qui redresse le mouvement hélicoïdal. Ces 2 pièces virtuelles "planes" séparent des espaces de mêmes volumes que ceux des pièces originales.
On peut les voir mieux encore si la pièce rouge est transparente :
On voit que les chambres montent de façon linéaire, et qu'elles prennent du volume dans la partie haute...
Note : pour fermer le cycle, il faut une 3eme partie en haut, dans laquelle le volume étendu reste constant (partie rouge cylindrique)
À bientôt
Yves
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- Remundo
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salu Yves,
C'est intéressant tout ça,
on peut faire un cycle 4 temps...
1ère longueur en étranglement (compression)
2ème longueur en section constante (combustion isochore)
3ème longueur en évasement (détente, qui peut être longue et complète)
Et après, échappement atmosphérique.
C'est intéressant tout ça,
on peut faire un cycle 4 temps...
1ère longueur en étranglement (compression)
2ème longueur en section constante (combustion isochore)
3ème longueur en évasement (détente, qui peut être longue et complète)
Et après, échappement atmosphérique.
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- Turbi
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retour aux cycloïdes
Oui Raymond, on peut faire ça.
Mais on peut aussi continuer avec une section en resserrement qui peut être refroidie. Le gaz peut alors retourner au début pour un nouveau cycle. Il n'y alors aucun échappement atmosphérique... et toujours seulement 2 pièces...
À plus.
Yves
Mais on peut aussi continuer avec une section en resserrement qui peut être refroidie. Le gaz peut alors retourner au début pour un nouveau cycle. Il n'y alors aucun échappement atmosphérique... et toujours seulement 2 pièces...
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Yves
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