Ce texte propose une séries d’alternatives concrètes à la crise que traverse l’Europe. Il contient dix-neuf mesures immédiates à prendre au niveau de la finance en général et de la banque en particulier. Au-delà de ces mesures, il propose la socialisation du secteur des banques et des assurances sous contrôle citoyen. Ensuite, il aborde les autres mesures à prendre pour une sortie de crise favorable à l’écrasante majorité de la population : stopper les plans d’austérité ; annuler la dette publique illégitime, insoutenable, odieuse ou/et illégale ; annuler les dettes privées illégitimes ou/et illégales ; augmenter les ressources des pouvoirs publics et réduire les inégalités par l’instauration de la justice fiscale ; réaliser des emprunts publics légitimes ; développer et étendre les services publics ; renforcer le système des retraites par répartition ; réduire radicalement le temps de travail pour garantir le plein emploi et adopter une politique des revenus pour réaliser la justice sociale ; questionner l’euro et agir pour une autre Europe ce qui implique de remplacer les traités actuels via un véritable processus constituant des peuples. Il s’agit de propositions soumises au débat.
par Eric Toussaint
Lire: http://www.legrandsoir.info/europe-alte ... crise.html
En espérant que cela ne soit pas un poisson...
19 mesures contre la CRISE !!!
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19 mesures contre la CRISE !!!
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- chatelot16
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réduire radicalement le temps de travail pour garantir le plein emploi
non ! c'est absurde !
la reduction du temps de travail est le resultat d'une amelioration de l'efficacité de la société
la reduction du temps de travail a été un resultat de l'utilisation de machine plus performante , resultat d'une meilleure organisation du travail dans les entreprise
maintenant il y a une augmentation de l'argent gaspillé par l'etat , une augmentation de l'argent gaspillé dans les entreprise pour respecter des normes et des reglement discutable
resultat l'efficaccité generale diminue , donc il faudra que le temps de travail augmente ! jusqu'a ce que l'on corrige les erreurs qui degradent cette efficacité
en refusant cette augmentation du temps de travail on provoque une absurdité pire ! le chomage ! on gaspille la force de travail des chomeurs et on les paye quand même
quand une entreprise licencie du personel elle croit faire une economie ... mais comme toutes les entreprise licencient , les charges sociales pour le chomage augmentent , et les entreprise continuent a payer indirectement les chomeurs !
même quand les chomeurs ne sont plus indemnisé il reste indirectement a la charge de l'ensemble de la société , souvent par l'indermediaire de leur famille ...
c'est une lamentable source d'ineficacité , pire que seulement financiere , mais lamentablement demotivante ...
esperer resoudre le probleme du chomage par reduction du temps de travail , c'est comme vouloir faire avancer une voiture plus vite en poussant l'aiguille du compteur de vitesse
oui quand ça va plus vite l'aiguille du compteur monte ... mais si on fait monter l'aiguille ça ne fait pas avancer la voiture
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- elephant
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Cessons d'utiliser le mot " CRISE "
Nous ne sommes pas en crise, mais carrément en CHANGEMENT DE STRUCTURE.
Les choses ne se décident plus chez nous, mais à Pékin, Kuala Lumpur, Bahrein, New York.
Nous n'avons plus de ressources naturelles, de colonies, d'industrie: nous ne sommes même pas en mesure de produire de la haute technologie, tellement nos écoliers sont bêtes et paresseux.
Faut dire: au lieu de 2 milliards de concurrents potentiels en 1960, nous avons maintenant 7 milliards de concurrents actifs et comme des cons, c'est nous qui les avons équipés.
Nous ne sommes pas en crise, mais carrément en CHANGEMENT DE STRUCTURE.
Les choses ne se décident plus chez nous, mais à Pékin, Kuala Lumpur, Bahrein, New York.
Nous n'avons plus de ressources naturelles, de colonies, d'industrie: nous ne sommes même pas en mesure de produire de la haute technologie, tellement nos écoliers sont bêtes et paresseux.
Faut dire: au lieu de 2 milliards de concurrents potentiels en 1960, nous avons maintenant 7 milliards de concurrents actifs et comme des cons, c'est nous qui les avons équipés.
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éléphant: suprême éconologue honoraire..... pcq je suis trop frileux, pas assez riche et trop paresseux pour économiser vraiment le CO2 ! http://www.caroloo.be
- chatelot16
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ce n'est pas pekin qui decide des charges sociale et des impots en france
tant que l'etat francais continue a dissuader les entreprise de faire travailler des francais avec des charge sociales trop lourde la decadence continuera ... inverssement on laisse les grosses entreprise faire toute sorte de montage financier pour ne pas payer les impots qu'elle devraient payer
je suis d'accord que ce n'est pas une crise ( le mot crise designe un probleme brutal et de courte duré ) : c'est bien une decadence progressive qui a commencé il y a longtemps , et qui continuera tant qu'on ne change pas ce qui la provoque
il est indispensable de modifier les impots et charge ... la france ne peut pas reduire les impot , mais doit les deplacer lourdement : reduire franchement les charge sociale directement liée au travail en france , et compenser par une hausse massive d'autre impot non lié directement au travail
en gros exonerer ceux qui crée de l'emploi , et taxer ceux qui brassent de l'argent au 4 coin du monde
ça ferait peut etre fuir certaine société ... peu importe ça ferai fuir justement les plus mauvaise
je n'ai rien contre les multinationnale : certaine sont même très bonne pour l'emploi en france : certaine s'organise pour vendre en france ce qui est fabriquer en france au prix qu'il faut , et farique dans des pays a bas cout la même chose en evitant de la vendre en france pour ne pas faire couler l'usine francaise ... et c'est des petit malin de la grande distribution qui court circuite ce systeme , pour gagner quelques centime et faire couler l'usine francaise : c'est un comble ! c'est l'entreprise etranger qui fait un espece de protectionisme pour defendre une usine
le probleme est plutot l'europe qui bloque les grosse reforme fiscale , avec la TVA par exemple
il n' s'agit pas de sortir de l'europe , mais de faire ce qu'il faut sans laisser l'europe l'interdire
tant que l'etat francais continue a dissuader les entreprise de faire travailler des francais avec des charge sociales trop lourde la decadence continuera ... inverssement on laisse les grosses entreprise faire toute sorte de montage financier pour ne pas payer les impots qu'elle devraient payer
je suis d'accord que ce n'est pas une crise ( le mot crise designe un probleme brutal et de courte duré ) : c'est bien une decadence progressive qui a commencé il y a longtemps , et qui continuera tant qu'on ne change pas ce qui la provoque
il est indispensable de modifier les impots et charge ... la france ne peut pas reduire les impot , mais doit les deplacer lourdement : reduire franchement les charge sociale directement liée au travail en france , et compenser par une hausse massive d'autre impot non lié directement au travail
en gros exonerer ceux qui crée de l'emploi , et taxer ceux qui brassent de l'argent au 4 coin du monde
ça ferait peut etre fuir certaine société ... peu importe ça ferai fuir justement les plus mauvaise
je n'ai rien contre les multinationnale : certaine sont même très bonne pour l'emploi en france : certaine s'organise pour vendre en france ce qui est fabriquer en france au prix qu'il faut , et farique dans des pays a bas cout la même chose en evitant de la vendre en france pour ne pas faire couler l'usine francaise ... et c'est des petit malin de la grande distribution qui court circuite ce systeme , pour gagner quelques centime et faire couler l'usine francaise : c'est un comble ! c'est l'entreprise etranger qui fait un espece de protectionisme pour defendre une usine
le probleme est plutot l'europe qui bloque les grosse reforme fiscale , avec la TVA par exemple
il n' s'agit pas de sortir de l'europe , mais de faire ce qu'il faut sans laisser l'europe l'interdire
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- elephant
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Bien sûr que les décisions qui nous concernent directement ne sont pas prise à Pékin ou à Shangaï.
je dirais plutôt les décisions qui nous affectent.
Exemple: tant que les belges vendront leur tabac moins cher, les français franchiront la frontière pour y acheter leur tabac.
Tant que le Yuan sera bon marché, le monde achètera en chine...
etc...
On est " hors jeu ", voila tout
je dirais plutôt les décisions qui nous affectent.
Exemple: tant que les belges vendront leur tabac moins cher, les français franchiront la frontière pour y acheter leur tabac.
Tant que le Yuan sera bon marché, le monde achètera en chine...
etc...
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Réduire le temps de travail est primordial mais insuffisant s'il ne permet pas une plus grande autonomie individuelle et collective.
Chatelot, le début de ton analyse est bonne, c'est bien la productivité qui permet d'imaginer la possibilité d'une réduction du temps de travail (mais pas seulement, je simplifie), en même temps, ces progrès de productivité ont déséquilibrés le fonctionnement théorique du modèle.
En clair, cela signifie que le travail de production a pu baisser significativement tant que le travail de consommation augmentait corrélativement (période dite de la société de consommation).
Notons que ces deux types s'opposent totalement, tout en étant parfaitement complémentaires et rétroactifs.
L'évolution suivante (qui n'est que la poursuite de la même tendance) produit un certain nombre de contradictions: l'augmentation de la productivité entraîne la baisse du profit des entreprises (en situation concurrentielle) et le chômage de masse remplace le chômage dynamique (destruction créatrice chez Schumpeter), la masse salariale fond et le système devient inopérant.
La microéconomie diverge de plus en plus de la macroéconomie, en clair et par ex. les vagues de licenciement assurent la survie particulière d'une entreprise, au détriment de la collectivité (collectivisation des pertes).
Cela se traduit également par le recours à la finance comme "roue de secours" permettant au système de perdurer.
Ce que tu appelles les gaspillages* de l'état ou des réglementations, correspondent à la fois à des consommations-relais (qui se substituent aux consommations qui stagnent) et à la gestion de la complexité, toujours plus grande; deux éléments qui alimentent la survie temporaire du système en éludant ses contradictions.
* Le gaspillage est affecté d'un signe négatif dans le travail de production et d'un signe positif dans le travail de consommation.
Chatelot, le début de ton analyse est bonne, c'est bien la productivité qui permet d'imaginer la possibilité d'une réduction du temps de travail (mais pas seulement, je simplifie), en même temps, ces progrès de productivité ont déséquilibrés le fonctionnement théorique du modèle.
En clair, cela signifie que le travail de production a pu baisser significativement tant que le travail de consommation augmentait corrélativement (période dite de la société de consommation).
Notons que ces deux types s'opposent totalement, tout en étant parfaitement complémentaires et rétroactifs.
L'évolution suivante (qui n'est que la poursuite de la même tendance) produit un certain nombre de contradictions: l'augmentation de la productivité entraîne la baisse du profit des entreprises (en situation concurrentielle) et le chômage de masse remplace le chômage dynamique (destruction créatrice chez Schumpeter), la masse salariale fond et le système devient inopérant.
La microéconomie diverge de plus en plus de la macroéconomie, en clair et par ex. les vagues de licenciement assurent la survie particulière d'une entreprise, au détriment de la collectivité (collectivisation des pertes).
Cela se traduit également par le recours à la finance comme "roue de secours" permettant au système de perdurer.
Ce que tu appelles les gaspillages* de l'état ou des réglementations, correspondent à la fois à des consommations-relais (qui se substituent aux consommations qui stagnent) et à la gestion de la complexité, toujours plus grande; deux éléments qui alimentent la survie temporaire du système en éludant ses contradictions.
* Le gaspillage est affecté d'un signe négatif dans le travail de production et d'un signe positif dans le travail de consommation.
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"Ne croyez surtout pas ce que je vous dis."
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La diminution des charges serait un puits sans fond, palliatif pour les petites entreprises, elles serait un super bonus pour celles qui sont hors concurrence...d'où l'intérêt sans faille du MEDEF.
Jusqu'où ne faudrait-il aller, alors que la Chine délocalise vers des pays plus appauvris... (les légères améliorations locales aux conditions de travail commencent à entrer en contradiction avec la diminution des profits).
La "compétitivité" est un leurre grossier, puisque, pour avoir les vertus qu'on lui prête, il faudrait être seuls à le mettre en oeuvre, or c'est un thème récurrent un peu partout...
Jusqu'où ne faudrait-il aller, alors que la Chine délocalise vers des pays plus appauvris... (les légères améliorations locales aux conditions de travail commencent à entrer en contradiction avec la diminution des profits).
La "compétitivité" est un leurre grossier, puisque, pour avoir les vertus qu'on lui prête, il faudrait être seuls à le mettre en oeuvre, or c'est un thème récurrent un peu partout...
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- chatelot16
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le but n'est pas de faire un cheque en blanc au entreprise sous forme de reduction de charge : il faut bien que l'etat continue a fonctionner et il n'y a aucun moyen de reduire instantanément le budget de l'etat
mais les charge sociale sont payé par les netreprise qui on le plus de personnel en france ! c'est une façon de taxer plus les entreprise qui font le meilleur
il faut atxer autrement ! taxer tous les benefice , mais pas le travail ... taxer autant au total mais reparti autrement
ce n'est pas qu'une question de consomation : c'est une question de choix a tous les etage : je suis patron et j'ai un probleme a resoudre , faut il reparer la machine en panne , ou en acheter une neuve : actuellement la machine neuve arrive de chine sans frais ... l'investissement dans une machine chinoise passe favorablement dans la comptabilité ... si je repare la vieille ça fait travailler des employé avec beaucoup de charge , ça ne passe pas bien dans la comptabilité ce n'est pas un investissement ... si la reparation est faite par une entreprise francaise il y a encore plus de frais ... donc le choix est clair on met les francais au chomage et on achete chinois
c'est pourtant evidant : pourquoi faire payer les cotisation de chomage aux entreprise qui ont des salarié ? c'est les entreprise qui font du benefice en reduisant les salarié qui doivent payer
si les charge sociale etaient payé sur les benefice et non sur les salaire ça aurait un grand effet de relance de l'economie ! quand on calcule la rentabilité d'un projet de fabrication , si on sait qu'on payera en charge une partie du benefice , on est sur qu'il restera l'autre partie ... helas actuellement il faut payer les charge sociale mois par mois sans etre sur qu'il y ai une benefice ... donc quand on n'est pas sur on ne construit rien
la façon de faire payer des charge trop lourde directement sur les salaire est un frein qui bloque tout
hollande a reussi l'absurdité avec le CICE de prometre une redution de charge d'une complexité absolue qui coutera a l'etat aussi cher qu'une reduction de charge simple mais qui n'a aucun effet de desserage du frein puisqu'il faut continuer a payer les charges sociale tout de suite : ça donne juste l'espoir de se faire rembourser par credit d'impot l'année suivante si tout va bien ... si il ne manque pas quelque chose dans un papier
pour ce donner bonne conscience le CICE donne droit a des pret a taux zero pour compenser les charge qu'on paye tout de suite et seront remboursé en credit d'impot ... ça donne droit a un pret a la banque , mais ça n'oblige pas la banque a preter ... comme d'habitude les banque ne pretent qu'au riche ... donc le CICE n'est utilisé que par les entreprise qui n'en avait pas besoin
pour le simple artisan qui travaille seul et qui pourait employer plusieur personne si il n'y avait pas ces enorme charge a payer dès le premier mois le CICE ne desserre pas le frein
mais les charge sociale sont payé par les netreprise qui on le plus de personnel en france ! c'est une façon de taxer plus les entreprise qui font le meilleur
il faut atxer autrement ! taxer tous les benefice , mais pas le travail ... taxer autant au total mais reparti autrement
ce n'est pas qu'une question de consomation : c'est une question de choix a tous les etage : je suis patron et j'ai un probleme a resoudre , faut il reparer la machine en panne , ou en acheter une neuve : actuellement la machine neuve arrive de chine sans frais ... l'investissement dans une machine chinoise passe favorablement dans la comptabilité ... si je repare la vieille ça fait travailler des employé avec beaucoup de charge , ça ne passe pas bien dans la comptabilité ce n'est pas un investissement ... si la reparation est faite par une entreprise francaise il y a encore plus de frais ... donc le choix est clair on met les francais au chomage et on achete chinois
c'est pourtant evidant : pourquoi faire payer les cotisation de chomage aux entreprise qui ont des salarié ? c'est les entreprise qui font du benefice en reduisant les salarié qui doivent payer
si les charge sociale etaient payé sur les benefice et non sur les salaire ça aurait un grand effet de relance de l'economie ! quand on calcule la rentabilité d'un projet de fabrication , si on sait qu'on payera en charge une partie du benefice , on est sur qu'il restera l'autre partie ... helas actuellement il faut payer les charge sociale mois par mois sans etre sur qu'il y ai une benefice ... donc quand on n'est pas sur on ne construit rien
la façon de faire payer des charge trop lourde directement sur les salaire est un frein qui bloque tout
hollande a reussi l'absurdité avec le CICE de prometre une redution de charge d'une complexité absolue qui coutera a l'etat aussi cher qu'une reduction de charge simple mais qui n'a aucun effet de desserage du frein puisqu'il faut continuer a payer les charges sociale tout de suite : ça donne juste l'espoir de se faire rembourser par credit d'impot l'année suivante si tout va bien ... si il ne manque pas quelque chose dans un papier
pour ce donner bonne conscience le CICE donne droit a des pret a taux zero pour compenser les charge qu'on paye tout de suite et seront remboursé en credit d'impot ... ça donne droit a un pret a la banque , mais ça n'oblige pas la banque a preter ... comme d'habitude les banque ne pretent qu'au riche ... donc le CICE n'est utilisé que par les entreprise qui n'en avait pas besoin
pour le simple artisan qui travaille seul et qui pourait employer plusieur personne si il n'y avait pas ces enorme charge a payer dès le premier mois le CICE ne desserre pas le frein
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Une société basée sur le culte de la valeur abstraite ne peut que souhaiter développer l'emploi abstrait (abstrait, car peu importe ce que l'emploi produit [qualité], tant qu'il produit de la valeur [quantité])
Une société dans laquelle les hommes ne seraient pas au service de l'économie apprécierait tout ce qui les délivre de cette pénible obligation...
Dans l'état actuel des choses, le travail n'est plus la source principale de la production des marchandises et la course à la productivité est toujours plus stérile, puisqu'elle diminue à la fois le profit et la possibilité d'écouler un stock toujours croissant de marchandises en contractant la masse salariale), ce qui nécessite nouveaux gains de productivité...
Une société dans laquelle les hommes ne seraient pas au service de l'économie apprécierait tout ce qui les délivre de cette pénible obligation...
Dans l'état actuel des choses, le travail n'est plus la source principale de la production des marchandises et la course à la productivité est toujours plus stérile, puisqu'elle diminue à la fois le profit et la possibilité d'écouler un stock toujours croissant de marchandises en contractant la masse salariale), ce qui nécessite nouveaux gains de productivité...
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"Ne croyez surtout pas ce que je vous dis."
- Philippe Schutt
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les dettes actuelles étant essentiellement dues aux politiques d'"état providence", je propose plutôt de:
rembourser les dettes, réduire la part de l'état dans le fonctionnement de l'économie et réduire ses ressources, réduire les budgets sociaux au niveau minimal de subsistance et si possible les démonétiser, supprimer tous les services publics qui pourraient être assurés par le privé, introduire la flat-tax, supprimer la retraite par répartition et la remplacer par de la capitalisation, nationaliser la terre, supprimer toutes aides et subventions, tous les régimes spéciaux, interdire la mendicité et le vagabondage des mineurs.
Enfin, en politique étrangère, nous mêler de nos oignons, et ne rien faire sans contrepartie.
Ah et cesser de reprendre les accusations de nos lâches politiciens envers l'euro, qui se cachent derrière lui pour ne pas assumer leurs politiques clientélistes.
Enfin, dénoncer les droits de l'homme, réintroduire le travail obligatoire pour les repris de justice, la peine de mort.
Bon, ceci pour montrer que cet article est trop orienté politiquement pour être honnête.
rembourser les dettes, réduire la part de l'état dans le fonctionnement de l'économie et réduire ses ressources, réduire les budgets sociaux au niveau minimal de subsistance et si possible les démonétiser, supprimer tous les services publics qui pourraient être assurés par le privé, introduire la flat-tax, supprimer la retraite par répartition et la remplacer par de la capitalisation, nationaliser la terre, supprimer toutes aides et subventions, tous les régimes spéciaux, interdire la mendicité et le vagabondage des mineurs.
Enfin, en politique étrangère, nous mêler de nos oignons, et ne rien faire sans contrepartie.
Ah et cesser de reprendre les accusations de nos lâches politiciens envers l'euro, qui se cachent derrière lui pour ne pas assumer leurs politiques clientélistes.
Enfin, dénoncer les droits de l'homme, réintroduire le travail obligatoire pour les repris de justice, la peine de mort.
Bon, ceci pour montrer que cet article est trop orienté politiquement pour être honnête.
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