Antenne Tesla

Débats philosophiques et de sociétés.
janic
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Antenne Tesla




par janic » 21/01/12, 17:05

pour les bricoleurs, le N° 76 de Nexus, indique comment se fabriquer des petites antennes Tesla. L'équipe ayant mesuré des rendements de 100% à 640%???
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dedeleco
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par dedeleco » 21/01/12, 18:38

rendements de 100% à 640%

rendement de quoi par rapport à quoi ??????
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gegyx
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par gegyx » 21/01/12, 19:10

:lol:

Présenté ainsi, c’est sur que c’est flou…

En fait ce montage de démonstration n’est pas si évident.
Il faut pas mal de patience et d’électronique : connaissances, oscilloscopes, générateur MHz de bonne puissance, LC-mètre....

Pour mettre en accord l’antenne de réception sur 2 fréquences (radioélectrique conventionnelle et scalaire).
La puissance reçue / puissance émise peut avoir un COP > 1, mais peut varier avec le temps durée et météo).
On constate un phénomène. On émet des explications scalaires, Ether..
Mais pourquoi, ne pas capter également des radiofréquences humaines, telluriques…
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dedeleco
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par dedeleco » 21/01/12, 19:56

Nexus écrit :
Une information qui aborde la connaissance et les implications multiples des découvertes actuelles ou
passées occultées par le courant de pensée majoritaire, qu'il s'agisse des civilisations disparues et
de leurs technologies, des origines de la vie sur Terre, de thérapies basées sur l'information, de
l'énergie du point zéro etc.
Une information qui tient compte de la mécanique quantique moderne, frange la plus avancée de la physique,
qui réconcilie matière et esprit par une approche phénoménologique d'un Univers fonctionnant plus comme une
gigantesque pensée que comme une simple machine inerte.


autrement dit une belle salade de quelque % de réel pour justifier plus de 90% d'imaginaire incohérent, sans preuve par des faits réels observés.

La mécanique quantique n'a rien à voir avec notre pensée, interprétation quasi délirante, égocentrique, par des cerveaux déboussolés par les faits réels de la mécanique quantique, comme une particule passant à la fois par un milliards de trous à la fois, passant par effet tunnel à travers les barrières, mêmes montagneuses, plus vite que la lumière, comme observé pour les photons et neutrinos.

Au lieu de délirer, dans le loufoque, lisez l' article fondateur de Marx Planck en 1900, au moins vous ne délirerez pas :

http://www.physik.uni-augsburg.de/annal ... 53-563.pdf
http://bourabai.kz/articles/planck/planck1901.pdf
beaucoup plus clair, que pas mal de cours écrits bien après, car on comprend comment il est parvenu à son fameux E=h.nu au lieu d'une formule ad hoc, tombant du ciel !!!

Lisez ces textes fondamentaux :
http://en.wikipedia.org/w/index.php?tit ... section=31

avant d'affirmer n'importe quoi, de loufoque, sans avoir rien lu, ni observé de la réalité quantique.

Il est certain que ces délires ne correspondent pas à la réalité, car en physique, jamais les délires de ce genre, sortis au hasard de cerveaux délirants, n'ont correspondu à ce qu'on observe.

Personne avant 1900, dans des délires similaires, n'a imaginé la mécanique quantique, et seul Fermat, en 1637, mathématicien génial, avait trouvé son principe dit de Fermat pour l'optique observée alors, qui lui est encore valable et généralisé à la mécanique quantique, avec le principe de moindre action, départ initial de toute la mécanique quantique, même du boson de Higgs :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Principe_de_Fermat
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_de_Fermat
Donc lisez la physique de base indispensable à bien comprendre avant de pérorer des absurdités :
http://en.wikipedia.org/w/index.php?tit ... section=31

Fermat n'était pas tendre envers ceux qui sortaient des raisonnements avec erreurs ou rêvaient comme vous :

« le défaut qu'il trouve en ma démonstration n'est qu'imaginaire et montre assez qu'il n'a regardé mon traité que de travers. […] et si vous aviez envie par charité de le délivrer de la peine qu'il prend de rêver encore sur cette matière… »


Récupérer l'énergie quantique du vide, dite de mouvement point zéro est aussi du délire !!

En effet, ceux qui en parlent n'ont jamais assimilé la mécanique quantique pour se rendre compte des absurdités qu'ils écrivent.

Une machine à vapeur ou en pompant avec une pompe à air, on utilise ou on stocke l'énergie de mouvement de point zéro, sans s'en rendre compte, car les interactions entre molécules d'air, dites de Van der Waals, sont identiques à cette énergie de mouvement point zéro, qui donc respecte le principe de Carnot et la conservation de l'énergie !!

Donc cette revue parle de cette énergie de point zéro sans comprendre dans un véritable gargarisme de mots loufoque, incohérent avec les bases de la physique quantique.

Vous êtes invité à les lire et à les assimiler.
http://en.wikipedia.org/w/index.php?tit ... section=31
Dernière édition par dedeleco le 21/01/12, 23:02, édité 1 fois.
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dedeleco
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par dedeleco » 21/01/12, 20:13

gegyx a écrit ::lol:

Présenté ainsi, c’est sur que c’est flou…

En fait ce montage de démonstration n’est pas si évident.
Il faut pas mal de patience et d’électronique : connaissances, oscilloscopes, générateur MHz de bonne puissance, LC-mètre....

Pour mettre en accord l’antenne de réception sur 2 fréquences (radioélectrique conventionnelle et scalaire).
La puissance reçue / puissance émise peut avoir un COP > 1, mais peut varier avec le temps durée et météo).
On constate un phénomène. On émet des explications scalaires, Ether..
Mais pourquoi, ne pas capter également des radiofréquences humaines, telluriques…


Le scalaire en radio et optique, n'a jamais été observé, délire imaginaire avec erreurs de mesures et incohérences, d'avant Maxwell et Einstein, par analogie avec les ondes acoustiques dans les solides, avec ondes transversales et longitudinales.
Ces dernières longitudinales n'existent pas en optique et radio, car le photon n'a pas de masse, prouvé par l'observation de galaxies à 12 milliards d'années lumière, et si le champ scalaire existait, le photon aurait une masse, une portée d'interaction électromagnétique courte finie et non infinie, pas du tout observée, les GPS et téléphones portables ne marcheraient pas, etc...

Donc toutes les explications par champ scalaire sont incohérentes, délirantes et trompeuses pour ceux ne connaissant pas la physique expérimentale.

Si vous voulez comprendre apprenez les bases de la mécanique quantique des champs dans les livres de ce lien :
http://en.wikipedia.org/w/index.php?tit ... section=32

Et vous comprendrez à quel point c'est loufoque, avant de les répéter en perroquet.
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gegyx
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par gegyx » 21/01/12, 21:00

Tu as parfaitement raison.


Et tu mourras avec tes certitudes.
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dedeleco
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par dedeleco » 21/01/12, 21:20

gegyx a écrit :Tu as parfaitement raison.

Et tu mourras avec tes certitudes.


Au contraire, après réflexion scientifique, elle m'ont permis de vivre déjà plus que d'autres, emportés par leurs erreurs ou pulsions.
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dedeleco
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par dedeleco » 21/01/12, 23:27

Nexus croit au miracle du gaz capable de tout faire, mieux que l'homéopathie :
ÉNERGIE LIBRE
39 NEXUS n°48 janvier-février 2007
Le gaz de Brown peut changer le monde !
Selon la théorie courante, le gaz de Browm est un mélange d’hydrogène
diatomique et monoatomique et d’oxygène. Selon ma nouvelle théorie, il s’agit
« d’eau expansée électriquement ».
C’est la conclusion à laquelle je suis parvenu après avoir travaillé sur le sujet avec
des scientifiques et des chercheurs du monde entier : le gaz de Brown serait une
forme particulière d’eau qui aurait reçu suffisamment d’énergie électrique pour
devenir un gaz qui n’est pas de la vapeur.
Nous en apprenons tous les jours davantage sur la question. Outre qu’il possède
des propriétés exceptionnelles pour le soudage, le brasage, la fusion et la découpe,
il peut être utilisé pour obtenir de l’eau parfaitement pure (littéralement
formée d’atomes), pour la vitrification ponctuelle sur la céramique, la réparation
des matériaux exotiques, l’amélioration de la combustion de carburants fossiles,
la neutralisation des résidus nucléaires, etc. Ceux qui utilisent ces « torches à
eau » vont très probablement découvrir des utilisations auxquelles nous n’avions
pas pensé. Les potentialités sont telles que cette technologie pourrait changer
notre civilisation. Voici les applications potentielles que nous avons recencées
à ce jour.
Soudage à haute température
Le GB soude :
- le verre ;
- le quartz : je n’ai rien vu de plus efficace pour fondre du quartz, malgré les très
hautes énergies nécessaires ;
- la fonte [de fer] : au chalumeau (embout n° 3), nous avons obtenu un bon coulis
et nous avons soudé la fonte sans difficulté, sans flux [décapant], avec l’apport
« L’eau sera un jour un combustible »
avait écrit Jules Verne en 1875,
dans L’Ile mystérieuse.
Un siècle plus tard, cette intuition
qu’« il y a du feu dans l’eau »
obsède le chercheur bulgare Yull Brown
qui vouera son existence à sa mise en
évidence. Résultat : le gaz de Brown,
un gaz qui pourrait changer la donne
énergétique de la planète. Aujourd’hui,
nombre de politiques et d’industriels
ont compris les enjeux économiques et
écologiques de cette technologie qui
offre une énergie propre et inépuisable.
Par George Wiseman © 2006
Illustration extraite de L’Ile mystérieuse de Jules Verne.
40
ÉNERGIE LIBRE
NEXUS n°48
janvier-février 2007
d’une tige de fonte. J’ai ensuite plongé la pièce de
fonte soudée dans l’eau à température ambiante, elle
ne s’est pas rompue. Je l’ai brisée intentionnellement
après refroidissement pour examiner la soudure ;
elle était parfaite : aucune différence de structure
cristalline entre la soudure et le métal d’origine ;
-le cuivre : il se soude sans problème avec une tige
de cuivre, sans flux ;
-l’aluminium : le GB fournit une telle énergie ponctuelle
qu’il permet de souder l’aluminium plus facilement
qu’à l’oxyacétylène.
Le GB convient également pour les soudages légers
(à moins de 427 °C). Une petite flamme suffit à faire
le même travail qu’une torche au propane. Le matériau
chauffe tellement vite que la chaleur n’a pas le
temps de se dissiper avant que la soudure soit faite,
un grand avantage pour les assemblages de tuyauterie.
La fine petite flamme, tel un laser, facilite le
travail dans des espaces exigus et en outre elle ne
pollue pas et ne consomme pas l’oxygène ambiant.
Fusion
Le GB permet de fondre du verre et de le couler
autour d’autres matériaux, ou de fusionner du fer et
de la brique, cela parce que chacun des matériaux
monte à sa température de fusion sans la dépasser.
Brasage
Se fait mieux au GB qu’à l’oxyacétylène. Je suis
même parvenu à braser de l’acier inoxydable.
Préchauffage
Voilà une des applications les plus courantes du GB,
surtout sur des matériaux dont la chauffe nécessite
beaucoup d’énergie, comme l’acier inoxydable. Le
gaz permet de chauffer de très petits points ou de
grandes surfaces ; et c’est propre, le seul sous-produit
est de l’eau. Le GB produit une flamme « froide » qui
applique l’énergie potentielle directement au matériau
; la température de celui-ci dépendra de la dimension
de la flamme et de la capacité du matériau à
dissiper ce type d’énergie. Nous avons découvert que
des matériaux différents atteignent des températures
différentes et que les mauvais conducteurs de chaleur
chauffent très vite à l’endroit d’application du GB.
Nous avons pu fondre tous les matériaux essayés
avec cette flamme. Plus la température de fusion du
matériau est élevée, plus vite il chauffe.
Vaporisation
Le paradoxe, c’est que le BG vaporise des matériaux
comme le tungstène et le diamant, mais ne chauffe
de l’eau que très lentement. Il convient donc de
prendre garde à ce que l’on veut vaporiser, puisque
les températures varient selon que les matériaux dissipent
plus ou moins la chaleur. Lorsque l’on fond de
la roche, de la céramique ou de la brique, les caractéristiques
changent, ils prennent un aspect de verre
coulé. Si l’on continue à appliquer le GB, ils fondent,
ne laissant qu’une vague forme. Le matériau qui en
résulte possède des caractéristiques absentes de
l’original, par exemple il devient beaucoup plus dur.
Si l’on continue à chauffer, il se vaporise.
Utilisations controversées
Nous les mentionnons ici pour témoigner de ce
que le GB serait utile pour tout le monde. Certaines
applications sont politiquement trop sensibles
pour être abordées aujourd’hui. Nous possédons
(chez Eagle-Research) suffisamment de preuves
pour énumérer la réalité potentielle de ces utilisations
et cherchons à obtenir des vérifications de
sources indépendantes (tant que nous n’avons pas
ces vérifications, nous déclarons décrire ce qui suit
comme étant des rumeurs).
Production d’une eau « nouvelle » pure
Nous apprenons que l’eau peut être « programmée
» pour transmettre des propriétés thérapeutiques.
Cela peut se faire avec l’eau de décharge de
Le gaz de
Brown convient
à tous types
de soudage.
À droite,
schéma
d’un générateur
de GB.
41 NEXUS n°48
janvier-février 2007
la flamme du GB. Il semble que le GB « efface » la
programmation antérieure, ce qui permet de la refaire.
À l’ingestion, cette eau donne une impression
de détente et de bien-être.
Hydratation de l’eau
Lorsque l’on fait barboter le GB à travers de l’eau
propre, l’eau absorbe l’oxygène et l’hydrogène.
Nous pensons qu’elle y gagne aussi en énergie (de
nature électrique). Boire cette eau nous rend plus
alerte, comme le café, mais sans les effets secondaires.
Tous les tests effectués sur cette eau ont révélé
une super hydratation, jusqu’à dix fois supérieure à
de l’eau ordinaire !
Assainissement de l’eau
En Amérique du Nord, l’eau est traitée au chlore
pour détruire les micro-organismes pathogènes.
Le chlore étant un poison mortel, le dosage est calculé
pour ne pas dépasser l’effet recherché. Dans
pratiquement tout le reste du monde, l’eau est purifiée
avec de l’ozone, qui est une forme d’oxygène
[NdT : oxygène allotropique = O3]. L’oxygène tue les
micro-organismes sans nuire aux personnes. Le GB
offre un excellent moyen d’oxygéner l’eau.
Humidification
Nous résidons en un lieu où l’air est extrêmement sec.
Nous consommons près de quatre litres d’eau cha-
1832 - Michael Faraday découvre les lois de
l’électrolyse et sépare l’hydrogène de l’eau en
utilisant l’électricité.
1875 - Dans L’Ile mystérieuse, Jules Verne écrit :
« L’eau est décomposée en ses éléments primitifs,
sans doute par l’électricité, qui sera devenue une
force puissante et maniable... Je pense que l’eau
sera un jour utilisée comme combustible ».
1935 - Henry Garrett fait breveter un carburateur
électrolytique qui permet à une voiture de fonctionner
à l’eau.
1962 - William Rhodes (États-Unis) est le
premier inventeur connu pour avoir fait breveter un
électrolyseur produisant le gaz simple à « conduit
unique » que nous appelons aujourd’hui le « gaz de
Brown ». Un peu plus tard, Rhodes fonde la Henes
Corporation, dont il est évincé par ses partenaires.
Grossière erreur, car ils ne connaissent pas encore
son meilleur projet. La Henes Corp décline, change
plusieurs fois de mains et est finalement rachetée par
Dennis McMurray. Rebaptisée Arizona Hydrogen,
installée à Phoenix, cette firme est aujourd’hui
prospère.
1974 - Yull Brown (1922-1998), un Bulgare dont
le vrai nom est Ilya Velbov, émigre en Australie,
dépose un brevet pour son électrolyseur à gaz de
Brown et passera le
reste de sa vie à tenter
de commercialiser
son invention. Il lui en
coûtera environ 30
millions de dollars et
trente années d’efforts.
Plusieurs compagnies
voient le jour, certaines
en coopération avec
Brown, d’autres en
concurrence.
1991 - Le Coréen Kim Sang Nam visite le
laboratoire de Yull Brown, dans les faubourgs de
Sydney. C’est le début d’une coopération de Brown
avec BEST Korea Co. Ltd. Ensemble, ils parviennent
à mettre au point une technologie innovante à partir
du GB (voir site web : www.BrownGas.com).
1994 - Au Canada, George Wiseman, de
Eagle-Research, initie un programme de recherche
indépendant sur le GB et abandonne la technologie
conventionnelle des électrolyseurs. Il s’appuie sur la
compétence de sa compagnie en matière d’énergies
alternatives et réussit un design amélioré de ce
générateur.
Parallèlement, Eagle-Research reprend le meilleur
projet de William Rhodes en le perfectionnant.
Rhodes vérifie et confirme la technologie du GB.
2006 - Teslalein Research, aux Pays-Bas,
commence une recherche sur le GB. En février
2006, le scientifique et inventeur Loek Gans
construit un générateur de GB auto-alimenté
par énergie solaire. Il produit, par jour, trois heures
de gaz grâce à un unique panneau solaire
de 1 ampère.
La technologie GB commence à être connue dans
le monde entier et à être utilisée pour diverses
applications. Des recherches sont menées un peu
partout. Quelques grandes compagnies pétrolières
y voient leur intérêt à long terme et ne se sentent
pas menacées parce que cela augmente leurs
profits. Des investisseurs s’y impliquent à grande
échelle, des personnes privées utilisent cette
technologie et les fabricants d’économiseurs de
carburant pour véhicules s’intéressent à l’hydrogène
du GB. Aujourd’hui, Eagle-Research vend les
générateurs de GB et bien d’autres solutions
énergétiques alternatives. BEST Korea et le Chinois
Norinco constituent les plus gros fournisseurs de
générateurs de GB au monde.
Le gaz de Brown en quelques dates
Yull Brown
42
ÉNERGIE LIBRE
NEXUS n°48
janvier-février 2007
que nuit dans des humidificateurs pour que l’air des
chambres soit respirable. Grâce au GB, nous obtenons le
même résultat avec une tasse d’eau (250 ml) par nuit.
Soulagement des douleurs musculaires
Appliqué directement sur la peau, le GB transmet
l’hydrogène et l’oxygène, via le sang, aux muscles
et articulations qui souffrent de déshydratation, ce
qui produit un soulagement immédiat des douleurs
dues aux crampes et gonflements. Le soulagement
perdure longtemps.
Cicatrisation des plaies
Appliqués à une blessure, l’hydrogène et l’oxygène
insufflés par le GB tuent les micro-organismes
anaérobies et favorisent la régénération cellulaire.
Germination et croissance des plantes
La croissance des plantes peut être favorisée par de
l’eau hydratée et-ou « programmée ». Les fruits et
légumes ainsi produits sont sains et possèdent des
qualités nutritives supérieures.
Neutralisation des déchets nucléaires
La preuve a été faite (au Canada) que le GB neutralise
les déchets nucléaires en quelques secondes, facilement
et à moindres frais. Le procédé peut être appliqué
directement au réacteur, ce qui évite le transport
et le stockage des déchets. Cette utilisation est
tellement « politiquement sensible » que nous nous
abstenons de la promouvoir. La technologie du GB
n’est pas encore suffisamment installée dans l’usage
courant pour être à l’abri d’une suppression par des
« droits acquis ». Cette application à elle seule vaut
des milliards de dollars et pourrait révolutionner
l’industrie productrice d’énergie nucléaire.
Création de nouveaux matériaux industriels
Le GB est capable de fabriquer des rubis et de les
souder, ainsi que des saphirs. La roche cuite est transformée
en pierre semi-précieuse ; p. ex. le feldspath
(30 % de la croûte terrestre) se mute en une forme
transparente de pierre de lune utilisable comme
matériau de construction quasi indestructible.
Transmutation d’éléments
Nous avons découvert deux manières d’utiliser le
GB pour fabriquer des matières qui n’existent pas
dans les échantillons d’origine ; nous pouvons créer
du métal à partir de l’eau.
Destruction de déchets toxiques
La flamme implosive du GB réduit pratiquement
tous les matériaux à leurs composants de base
(pour la plupart non toxiques). On pourrait, dans
des chambres étanches, vaporiser les déchets toxiques,
y compris les PCB (polychlorobiphényles).
Augmentation du rendement du minerai
Lors d’essais effectués dans des mines, le GB a
permis de tripler la production de minerai par
masse d’extraction. Il serait donc possible de traiter
au GB les terrils de rejets d’anciennes mines pour
en extraire plus de minerais que la production
d’origine. Voilà encore une application qui vaut des
milliards de dollars.
Amélioration de la respiration sous l’eau
Le GB est non toxique et respirable. Utilisé comme
gaz de plongée, il permet une immersion prolongée
et une remontée plus rapide parce que l’hydrogène
est beaucoup moins générateur d’embolie gazeuse
que l’azote ou l’hélium. Cela ouvre la voie à une
meilleure exploitation des ressources océaniques.
Chauffage domestique
En général, le GB est peu propice au chauffage des
espaces parce que la flamme émet très peu d’énergie
radiante infrarouge. Il semble cependant qu’en
utilisant un radiateur en matériau catalytique
chauffé au GB, la chaleur dégagée serait énorme et
ne nécessiterait pas de ventilation particulière de la
pièce. On envisage un rendement de 400 %. Autrement
dit, un apport d’énergie de GB de 400 watts
produirait une émission calorifique de 16 000 watts.
Ceci n’a pas encore été vérifié par Eagle-Research,
mais nous avons suffisamment d’indices pour
pouvoir le mentionner ici.
Traitement des surfaces
Passées à la flamme de GB, les surfaces des matériaux
acquièrent des qualités supérieures. La surface
du fer est durcie, ce qui le rend résistant à la
rouille et à l’usure. La brique et le mortier deviennent
indégradables et étanches à l’eau.
Amélioration de la combustion
Il a été démontré qu’à l’aide du BG il est possible
de brûler des mélanges eau/combustible fossile
dans une proportion de 90 % d’eau. Cela fonctionne
tant en combustion interne qu’externe, c’est-à-dire
pour des véhicules, du chauffage domestique ou des
centrales électriques.
Traduction : André Dufour
Contacts
Fondée en 1984, Eagle-Research développe et distribue des appareils
et propose des méthodes pratiques pour économiser l’énergie. Son
adresse : 1306 Main Street, Oroville, WA 98844 USA ; fax +1 (250)
492 7480. Pour plus d’information sur le gaz de Brown, visitez http://
www.eagle-research.com. Pour des questions techniques, vous .
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gegyx
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par gegyx » 22/01/12, 01:16

(gaz de Brown=hors sujet)

Il y a du progrès.
Tu prends maintenant plaisir à dévorer les éditoriaux de Nexus ?
Pas nécessaire d’en rajouter et d’en faire la pub…

Nexus reprend sur Internet les articles « subversifs » contre un monde établi des donneurs d’ordres, des poseurs et de certains chiantifiques dogmatiques.
Il a même été puni par une non-ristourne-presse, pour l’affranchissement postal de sa revue (fait exceptionnel en France), conséquence de sa position contre les vaccins...


http://www.meyl.eu/go/index.php?dir=45_ ... sublevel=0

http://video.google.com/googleplayer.sw ... 6714&hl=de

La recette pour la salade :
http://freeenergynews.com/Directory/Wir ... 1-2011.pdf
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dedeleco
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par dedeleco » 22/01/12, 02:00

Nexus est une vague copie du vrai Nexus australien encore mieux pour le loufoque avec plus 1000 liens tous plus loufoques les uns que les autres !!

A croire, à de pareil trucs, janic est complétement manipulé, sous influence, sous hypnose.

Le Gaz de Brown est mieux que l'homéopathie selon nexus !!!!
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