janic a écrit : subtilité linguistique. Dans la mesure où ces déterminismes sont à l'œuvre et difficile (je dirais impossible) d'éviter
Le destin désigne, au moment présent, l'histoire future d'un être humain ou d'une société telle qu'elle est prédéfinie par une instance qui est soit considérée comme supérieure aux hommes (éventuellement divine) dans les conceptions finalistes du Monde, soit comme immanente à l'univers (éventuellement la Philosophie de l'histoire ou la nature) dans les conceptions déterministes.
Sauf que le destin ne réponds pas aux critères de réfutabilités.
Soi il est déterminé [i]a posteriori et il est donc impossible d'en démontrer l'inverse,soi
a priori et alors il préfigure une prophète auto-réalisatrice...
Il est plus juste de parler de déterminismes,car une fois ceux là compris il est alors possible d'agir*,mais comme tu le note et à juste titre, cela est très difficile.
*C'est le cas dans le domaine de l'accidentologie,plus de véhicules en circulations=plus d'accidents,mais la compréhension de ses derniers permet de réduire leurs fréquences.
"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.