oho: déni, puis peine à répondre, Manuel Vals s'emmêle les pinceaux!
Pour finalement admettre que les auteurs étaient "suivis" par les services de police!
— Si ils étaient suivi, ne se sont-ils pas aperçus qu'il préparaient quelque chose d'énorme?
— N'ont-ils pas volé la première voiture?
— Ne se sont-ils pas fournis en armes?
— Ne se sont-ils pas téléphonés?
— N'ont-ils pas obligatoirement dû aller faire des repérages sur place? (même si dans l'affolement ils se sont une première fois trompés d'entrée)
— Les services anti-chose n'ont-ils pas des moyens d'écoute extrêmement sophistiqués?
Toutes ces choses n'ont-elles laissé aucune trace?
Hypothèse parano: le gouvernement avait-il intérêt à laisser faire pour "éliminer" un journal gênant (j'espère bien que non, et pourvu qu'il continue avec un regard critique sur ce qu'il se passe en interne en France...)