nico239 a écrit :Je ne sais pas trop si le choix optimiste ou pessimiste est d'actualité.
À titre collectif ET individuel l'homme est un destructeur de ses lieux de vie point barre...
Bien moins qu'un élephant...
Toute forme de vie entraine une modification de l'écosystème qui l'abrite,et le dit écosystème s'organise autour des modifications induites jusqu’à un point d'équilibre.Cela est aussi vrai pour une mouche que pour un humain.
Dans ce dernier cas c'est la maitrise et le déploiement thermodynamique qui fait la différence.Nos capacités d'actions sont dorénavant multipliés de plusieurs ordre de grandeur en fonction de notre degré d'implication dans le système économique.
Biologiquement parlant, un être humain n'a donc pas grand chose à se reprocher,par contre ça n'est pas le cas du système anthropotechnique que nous avons déployé.
Comme je le répète souvent,nous ne polluons pas la planète(vision subjective),
nous la transformons(objectivement).
Pourquoi avons nous tant de mal à changer nos comportements? Parce que nous sommes mauvais? Cupides?Fous? Non! Tout simplement parce que le système fondé sur l'économisme exponentiel est assurément le modèle qui garanti (temporairement) le mieux
nos capacités de survie.
"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.