flotteur a écrit :NCSH a écrit :Désolé pour cette lapalissade, les Romains et les Grecs avaient déjà découvert cela il y a bien longtemps !
Je ne comprends pas ce que veux tu dire ?
J'ai vu ton site. Le plus efficace reste de récupérer le CO2 en sortie d’émission, même si rien n'est prévu pour actuellement.
Et sinon pourquoi ne pas prélever le co2 de la mer ?
et pour la production d’hydrogène , ce serait a partir d'eau de mer ou d'eau douce ? car la disponibilité de l'eau douce peut etre un problème sur le lieu de production.
Creuser des galeries en lignes droites remonte même aux Egyptiens.
La récupération de CO
2 fossile issu de la combustion des énergies fossiles ne peut pas prendre de l'importance, car il faut diminuer celles-ci drastiquement dans les décennies à venir pour pouvoir respecter les engagements climatiques : Neutralté Carbone en 2050 pour l'Europe, les USA, le Japon et la Corée, 2060 pour la Chine et l'Inde, 2070 pour les pays émergents ...
On ne peut donc miser que marginalement sur cette possibilité qui conduit à un double usage d'énergie fossile, mais à toujours autant de CO
2 fossile rejeté dans l'atmosphère.
Reste donc DAC et DOC, CO
2 non fossile issus respectivement issus de l'atmosphère et des océans. Toutefois, seule la capture de CO
2 atmosphérique fait actuellement l'objet de multiples développements industriels d'ici 2030.
Pour produire de l'hydrogène tropical et donc des hydrocarbures de synthèses non fossile à faible coût, quels qu'ils soient, la disponibilité d'eau sera cruciale, à raison de 10 litres par kg H
2 ou encore 3 à 4 litre par litre de gazole/kérozène. Or le coût du m
3 d'eau de mer déssallé en grande quantité ne dépasse pas 0.5 €/m
3, ce qui est presque négligeable : 2 € pour environ 1 000 € par tonne.