joli , rien à redire ... à méditer ...
on reconnais tout de suite le boss quand il parle !!! ;)
"chef chef , comment ont deviens chef , chef ?? " " tait toi et rame !!!"
Décodage: psychopathie (mensonges-dénigrements-manipulation)
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+1culbuto a écrit :ce sont surtout des gens dits "intelligents" car ils ont le don exacerbé pour trouver les failles d'une personne et s'y engouffrer. Ils séduisent leur proie en leur disant ce qu'elles ont envie d'entendre. Prises dans les filets, c'est foutu. Ils les isolent, les rabaissent plus bas que terre, les culpabilisent. Le problème des proies c'est de prêter à l'autre leur fonctionnement "normal". Mais ils ne fonctionnent pas comme nous. Et ne le feront jamais. N'espérez pas qu'ils changent, ça vous ferait retomber dans le piège ! Ce ne sont pas des malades, mais des gens qui fonctionnent de façon phagocitaire pour les autres. Avec eux 2 solutions :
les fuir
ou tenir tête. Mais c'est usant. Il faut rester vigilant H24, ne surtout rien laisser paraitre quand une parole vous blesse, veiller à garder une distance tout en se protégeant sans arrêt. ça bouffe toute l'énergie et c'est intenable à long terme.
Certains pensent qu'il y a deux sortes de psychopathie : la psychopathie acquise consistant à détruire les autres pour ne pas sentir qu'on a été soi-même détruit, et la psychopathie constitutionnelle caractéristiques d'êtres (humains ?) différents des êtres humains normaux. Dans les deux cas, on a intérêt à faire un large détour.
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D'abord, ce que j'ai observé n'est en tout cas pas une généralité, donc à prendre avec des pincettes (surtout pour les "qualifications" des troubles, on peut avoir des symptômes sans avoir le pathos, ou différent de ce que d'autres perçoivent, à moins que ce soit les autres qui soient atteints! Ce qui reste possible)
Donc: des gens si "intelligents"? ("Fonction mentale d'organisation du réel en pensées et en actes" selon la définition.) Là, ne peut-on pas avoir un doute lourd sur ce que représente «le réel» pour eux? Eux? D'abord «lesquels»? Car, si tant est qu'ils soient tellement recentrés sur eux-mêmes (narcissisme), alors ils ont au moins une distorsion du monde qui les entourent (distorsion devenue pathologique selon les cas). Et jusqu'à l'autre bout de la chaîne d'examen qui met en cause "l'évaluateur" lui-même (ainsi à juger les autres: ne suis-je pas moi-même perverso/narcissique et ne verrais-je pas de facto dans les autres, les reflets de mes propres défauts?)
Les narcissiques ont souvent (si tant est qu'ils "en soient"), ou toujours(?) le défaut inverse de ce qu'ils représentent (narcissisme = super-jaloux) ou au moins parfois jaloux, jusqu'à empêcher les autres de "s'accomplir", puisqu'ils ne peuvent se "réaliser" eux-mêmes. (Ce n'est pas une vérité première, c'est tel que je le vois.)
Pour les pervers et ceux qui vous font "du mal", il vous suffit d'établir la volonté de vous porter préjudice! Ci ceci est établit et manifeste, alors cela vaut la peine "d'investiguer". C'est parfois pénalement nécessaire, parce qu'il en va de votre propre équilibre et santé.
Voire pour les pire, une jalousie refoulée: ils deviennent souvent des plagiaires, des affabulateurs, voire des faussaires juste pour satisfaire l'estime qu'ils ont d'eux-mêmes (ormis la titrisation de "manipulateur", qui en fait partie et qui les conduit à encore d'autres dérives. Toujours: "si tant est qu'il soit établit que...").
Ceux que j'ai observé, laissent apparraître des carences affectives autant qu'intellectuelles, et effectivement (prenant leur carences pour des injustices) ils trouvent une "gratification" dans le fait de faire souffrir les autres, puisque (pour certains et "si tant est qu'il soit établit que...") ça constitue une sorte de revanche, leur revanche (croient-ils) alors que peut-être (c'est une hypothèse) leur problème est qu'ils ont été brimés ou refoulés dans leur enfance (ce qui n'excuse pas tout, on a tous pu l'être sans devenir ceci ou cela). Et oui, ils sont aussi potentiellement paranos voir schizos de ces faits, mais de préciser aussi: "ou peut-être bien que non" (il ne faut jamais mettre ces qualifications comme définitives ni certaines, cela prend parfois des années avant d'être devenu conscient chez ceux qui ont entamé un travail sur eux-mêmes, comme une psychanalyse).
C'est pourquoi il vaudrait mieux encourager/rassurer les gens dans son entourage, (n'est-ce pas), surtout les petits...
Christophe a écrit :2ieme fournée: [...] gide...
Donc: des gens si "intelligents"? ("Fonction mentale d'organisation du réel en pensées et en actes" selon la définition.) Là, ne peut-on pas avoir un doute lourd sur ce que représente «le réel» pour eux? Eux? D'abord «lesquels»? Car, si tant est qu'ils soient tellement recentrés sur eux-mêmes (narcissisme), alors ils ont au moins une distorsion du monde qui les entourent (distorsion devenue pathologique selon les cas). Et jusqu'à l'autre bout de la chaîne d'examen qui met en cause "l'évaluateur" lui-même (ainsi à juger les autres: ne suis-je pas moi-même perverso/narcissique et ne verrais-je pas de facto dans les autres, les reflets de mes propres défauts?)
Les narcissiques ont souvent (si tant est qu'ils "en soient"), ou toujours(?) le défaut inverse de ce qu'ils représentent (narcissisme = super-jaloux) ou au moins parfois jaloux, jusqu'à empêcher les autres de "s'accomplir", puisqu'ils ne peuvent se "réaliser" eux-mêmes. (Ce n'est pas une vérité première, c'est tel que je le vois.)
Pour les pervers et ceux qui vous font "du mal", il vous suffit d'établir la volonté de vous porter préjudice! Ci ceci est établit et manifeste, alors cela vaut la peine "d'investiguer". C'est parfois pénalement nécessaire, parce qu'il en va de votre propre équilibre et santé.
Voire pour les pire, une jalousie refoulée: ils deviennent souvent des plagiaires, des affabulateurs, voire des faussaires juste pour satisfaire l'estime qu'ils ont d'eux-mêmes (ormis la titrisation de "manipulateur", qui en fait partie et qui les conduit à encore d'autres dérives. Toujours: "si tant est qu'il soit établit que...").
Ceux que j'ai observé, laissent apparraître des carences affectives autant qu'intellectuelles, et effectivement (prenant leur carences pour des injustices) ils trouvent une "gratification" dans le fait de faire souffrir les autres, puisque (pour certains et "si tant est qu'il soit établit que...") ça constitue une sorte de revanche, leur revanche (croient-ils) alors que peut-être (c'est une hypothèse) leur problème est qu'ils ont été brimés ou refoulés dans leur enfance (ce qui n'excuse pas tout, on a tous pu l'être sans devenir ceci ou cela). Et oui, ils sont aussi potentiellement paranos voir schizos de ces faits, mais de préciser aussi: "ou peut-être bien que non" (il ne faut jamais mettre ces qualifications comme définitives ni certaines, cela prend parfois des années avant d'être devenu conscient chez ceux qui ont entamé un travail sur eux-mêmes, comme une psychanalyse).
C'est pourquoi il vaudrait mieux encourager/rassurer les gens dans son entourage, (n'est-ce pas), surtout les petits...
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“Le “mal” porte en lui-même sa propre condamnation”
Liste de faux-nez présumés en “ignorés”: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
Liste de faux-nez présumés en “ignorés”: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
à la limite, peu importent les causes, ce qui compte ce sont les actes, et leur résultat. Car devenus adultes, et capables de remettre en cause et SE remettre en cause, des gens ayant un vécu identique vont avoir un futur différent. Certains auront toutes les envies sauf celles de reproduire l'enfer vécu. D'autres n'oseront pas faire ce travail intérieur. ça devient donc une responsabilité personnelle ce qu'on décide ou non de devenir et faire subir aux autres. Y'en a marre d'entendre dire "c'est pas sa faute vu ce qu'il a vécu". Il y a un moment où l'adulte peut voler de ses propres ailes, décider une partie de son avenir (ok un gamin de banlieues n'a quasi aucune chance d'intégrer de grandes écoles je vous l'accorde) au moins celle de son comportement envers les autres. choisir de respecter l'autre ou l'écraser. Choisir de cueillir les petits bonheurs comme des trésors ou décider de faire vivre un enfer à son entourage. Le libre arbitre existe, même à petit pourcentage car si vous naissez dans un bidonville ou prince de trucmuche, ok on est loin de l'égalité.
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Oui je comprends ce point de vue! Faut-il nier les causes?
très, très joli !!!
La médecine moderne traite les effets et s'attaque peu aux causes. On éteint l'incendie et basta: on laisse le corps rétablir son équilibre. La réalité est qu'on multiplie ses chances si on ne s'attaque pas qu'aux effets. Mais cette distinction s'arrête là, puisqu'il n'est pas question d'effacer la responsabilité des effets par un déni de responsabilité éventuel sur la cause. Là je suis bien d'accord.
Or là, il ne s'agit plus tant de savoir si il y a une cause (elle existe de facto), mais de savoir si elle est "volontaire"!
C'est précisément ce que permet de savoir, le fait d'établir si il y a (ou non) volonté de porter préjudice! (Est-ce une cause volontaire ou non?)
Et loin de moi l'idée d'écarter ce que tu dis (de très loin pas.) Ni de l'excuser. Puisqu'en effet, déterminer ça permet de fixer la "proportionnalité" de la "peine" devant un tribunal.
C'est pas moi qui le dit, c'est dans la loi (ce qui caractérise/distingue le "pénal" du "civil") A titre exemplatif: si c'est une histoire de «couple», il est prudent de partir d'une "responsabilité" à 50/50 (tu peux aussi lire "irresponsabilité", au final ça se balancera quand même, pour te dire que c'est pris en compte). Ce qui provoque parfois l'ire d'une des deux parties! (Et parfois les deux). Parce que d'un autre côté, le rôle d'un juge est aussi de faire en sorte qu'il n'y ait personne "d'accusé à tort". Il peut y avoir des prédateurs (ou du pathos) dans les deux camps... Est-ce que tu exclu cette hypothèse?
culbuto a écrit :Choisir de cueillir les petits bonheurs comme des trésors
très, très joli !!!
La médecine moderne traite les effets et s'attaque peu aux causes. On éteint l'incendie et basta: on laisse le corps rétablir son équilibre. La réalité est qu'on multiplie ses chances si on ne s'attaque pas qu'aux effets. Mais cette distinction s'arrête là, puisqu'il n'est pas question d'effacer la responsabilité des effets par un déni de responsabilité éventuel sur la cause. Là je suis bien d'accord.
Or là, il ne s'agit plus tant de savoir si il y a une cause (elle existe de facto), mais de savoir si elle est "volontaire"!
C'est précisément ce que permet de savoir, le fait d'établir si il y a (ou non) volonté de porter préjudice! (Est-ce une cause volontaire ou non?)
Et loin de moi l'idée d'écarter ce que tu dis (de très loin pas.) Ni de l'excuser. Puisqu'en effet, déterminer ça permet de fixer la "proportionnalité" de la "peine" devant un tribunal.
C'est pas moi qui le dit, c'est dans la loi (ce qui caractérise/distingue le "pénal" du "civil") A titre exemplatif: si c'est une histoire de «couple», il est prudent de partir d'une "responsabilité" à 50/50 (tu peux aussi lire "irresponsabilité", au final ça se balancera quand même, pour te dire que c'est pris en compte). Ce qui provoque parfois l'ire d'une des deux parties! (Et parfois les deux). Parce que d'un autre côté, le rôle d'un juge est aussi de faire en sorte qu'il n'y ait personne "d'accusé à tort". Il peut y avoir des prédateurs (ou du pathos) dans les deux camps... Est-ce que tu exclu cette hypothèse?
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“Le “mal” porte en lui-même sa propre condamnation”
Liste de faux-nez présumés en “ignorés”: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
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je ne l'exclus pas du tout. Et c'est même ça qui me fout en rogne envers ma fille. Se faire avoir alors qu'on ne sait pas qui on a en face, je comprends. Elle s'est faite avoir en beauté . Mais on a parlé avec elle, j'ai pu lui donner des clés pour comprendre, en novembre ça avait l'air d'être bien parti. décembre l'autre c.. lui écrit et elle de plonger les 2 pieds dans le plat au premier je t'aime.......là elle devient responsable. donc 50/50........et franchement je cherche encore pourquoi une femme battue qui s'en est sortie repart chez le bourreau !
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Oui faut quand même pas se mettre en rogne pour ça hein!
Sinon les petits bonheurs sont subjugués par le grand méchant look...
Ce passage-là est particulièrement intéressant:
Il existe des cas de figure bien connus et radialement opposés: 1) la victime reste victime (et donc recherche à réintégrer son "statut") 2) la victime devient bourreau à son tour. (Ce qui n'empêche pas la dépression, ni dans un cas, ni dans l'autre...)
C'est aussi culturel, d'où la difficulté (il y a d'autres cas dans d'autres cultures qui ne sont pas aussi manichéistes que la nôtre).
Nous avons en gros 3 possibilités:
— retourner la violence contre son "agresseur" (mais c'est interdit par la loi de le faire directement, sauf cas de légitime défense avec riposte proportionnée à l'attaque...)
— supporter et ne rien faire;
— retourner la violence contre soi-même;
Donc il faut voir les enjeux et l'implication personnelle: c'est pas facile à décider! En général tant qu'on ne décide pas, on subit. Retourner vers le bourreau, est-ce peut-être une manière de "retourner la violence contre soi-même"? C'est pas facile de trancher!
La réalité montre donc une forte statistique de cas paradoxaux "entre ces deux extrêmes" où la personne longtemps lésée:
— recherche à imitier le modèle parental;
— recherche à se remettre en "situation de victime" (parce que c'est le "rapport au monde" qu'elle connaît et parfois le seul dans ces quasi-situations de séquestrations ou d'otages, affectifs, ou non, mais c'est un euphémisme de le dire....);
— se trouve piégée dans une sorte de syndrôme des Stockholm;
— y trouve – malgré tout et envers et contre tout – un ou d'autres contentement/s, voire qu'elle a développé un pathos la rendant d'épendante d'une relation sado/maso ...;
— a un "besoin de reconnaissance", supérieur au besoin de son propre développement, voire de sa propre sécurité (voir la pyramide de Masslow: c.f. «motivation fondée sur SON ESTIMÉ besoin le plus bas insatisfait»)
... ou que sais-je...
Le fait est que ces situations existent, qu'elles sont multiples et diverses, et comme tu le fais remarquer: en grande majorité, pour ceux qui ont un minimum de vigiliance, les impostures de ces gens-là (si tant est qu'ils aient le pathos que la situation suggère) finissent souvent par devenir grossières et ne passent pas inapperçues de l'entourage! Mais à quelque part les prédateurs le savent, c'est pourquoi ils se cachent: encore un indice de diagnostique sérieux permettant de "qualifier", la situation!
Sinon les petits bonheurs sont subjugués par le grand méchant look...
Ce passage-là est particulièrement intéressant:
culbuto a écrit :[...] devenus adultes, et capables de remettre en cause et SE remettre en cause, des gens ayant un vécu identique vont avoir un futur différent. Certains auront toutes les envies sauf celles de reproduire l'enfer vécu. D'autres n'oseront pas faire ce travail intérieur [...]
Il existe des cas de figure bien connus et radialement opposés: 1) la victime reste victime (et donc recherche à réintégrer son "statut") 2) la victime devient bourreau à son tour. (Ce qui n'empêche pas la dépression, ni dans un cas, ni dans l'autre...)
C'est aussi culturel, d'où la difficulté (il y a d'autres cas dans d'autres cultures qui ne sont pas aussi manichéistes que la nôtre).
Nous avons en gros 3 possibilités:
— retourner la violence contre son "agresseur" (mais c'est interdit par la loi de le faire directement, sauf cas de légitime défense avec riposte proportionnée à l'attaque...)
— supporter et ne rien faire;
— retourner la violence contre soi-même;
Donc il faut voir les enjeux et l'implication personnelle: c'est pas facile à décider! En général tant qu'on ne décide pas, on subit. Retourner vers le bourreau, est-ce peut-être une manière de "retourner la violence contre soi-même"? C'est pas facile de trancher!
La réalité montre donc une forte statistique de cas paradoxaux "entre ces deux extrêmes" où la personne longtemps lésée:
— recherche à imitier le modèle parental;
— recherche à se remettre en "situation de victime" (parce que c'est le "rapport au monde" qu'elle connaît et parfois le seul dans ces quasi-situations de séquestrations ou d'otages, affectifs, ou non, mais c'est un euphémisme de le dire....);
— se trouve piégée dans une sorte de syndrôme des Stockholm;
— y trouve – malgré tout et envers et contre tout – un ou d'autres contentement/s, voire qu'elle a développé un pathos la rendant d'épendante d'une relation sado/maso ...;
— a un "besoin de reconnaissance", supérieur au besoin de son propre développement, voire de sa propre sécurité (voir la pyramide de Masslow: c.f. «motivation fondée sur SON ESTIMÉ besoin le plus bas insatisfait»)
... ou que sais-je...
Le fait est que ces situations existent, qu'elles sont multiples et diverses, et comme tu le fais remarquer: en grande majorité, pour ceux qui ont un minimum de vigiliance, les impostures de ces gens-là (si tant est qu'ils aient le pathos que la situation suggère) finissent souvent par devenir grossières et ne passent pas inapperçues de l'entourage! Mais à quelque part les prédateurs le savent, c'est pourquoi ils se cachent: encore un indice de diagnostique sérieux permettant de "qualifier", la situation!
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“Le “mal” porte en lui-même sa propre condamnation”
Liste de faux-nez présumés en “ignorés”: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
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c'est très exactement ça. Elle s'est trouvée entre 2 chaises : d'un côté un gars qui dit "cette fois j'ai compris, je vais changer", elle a tellement envie de le croire, ça la valorise de se retrouver sauveur de ce gars en détresse ! Ou le choix de l'inconnu, un futur aux contours troubles, qui fait peur. En plus le premier, elle connait même si c'est tout sauf l'idéal.......
en novembre j'avais bien perçu cette peur, je lui avais proposé de s'inscrire à des cours d'arts martiaux ou de faire un saut à l'élastique . ce sera pour une prochaine fois ! en espérant qu'elle ne suive pas le chemin de nadine trintignant......
En outre ma connaissance du sujet c'est le résultat de beaucoup de temps, un chemin très long. Elle a sans doute besoin de tracer la route à son tour, à sa façon. En tant que parent, j'aimerais lui épargner ça, j'aimerais qu'elle profite de ce savoir pour s'épargner des moments très durs. mais malheureusement ça fait peut-être partie des choses qui ne peuvent se transmettre. Comme les chutes pour un enfant qui apprend à marcher.
en novembre j'avais bien perçu cette peur, je lui avais proposé de s'inscrire à des cours d'arts martiaux ou de faire un saut à l'élastique . ce sera pour une prochaine fois ! en espérant qu'elle ne suive pas le chemin de nadine trintignant......
En outre ma connaissance du sujet c'est le résultat de beaucoup de temps, un chemin très long. Elle a sans doute besoin de tracer la route à son tour, à sa façon. En tant que parent, j'aimerais lui épargner ça, j'aimerais qu'elle profite de ce savoir pour s'épargner des moments très durs. mais malheureusement ça fait peut-être partie des choses qui ne peuvent se transmettre. Comme les chutes pour un enfant qui apprend à marcher.
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