janic a écrit :C’est beau ! C’est poétique ! C’est…philosophique et hypothétique comme le souligne ce probablement comme qu’il serait probablement possible de mettre Paris en bouteille. Or, ainsi qu’appris à l’école lorsque l’on enlève tout et qu’il reste quelque chose, c’est que l’on n’a pas TOUT enlevé. C’est du Devos pur et dur : « Rien c’est rien, trois fois rien, c’est pas grand-chose, mais c’est déjà quelque chose ! » non physicien des particules.
Janic tu devrais éviter de parler de sujet que tu découvre à peine et que tu ne maitrise pas.
Le philosophe Leibniz posait la question suivante:pourquoi y a t-il quelque chose plutôt que rien".
Nombreux sont ceux à s'y être cassé les dents,et visiblement ton dentier semble également attaqué!
En réalité il n'y a jamais rien,car le néant est un postulat(affirmation considéré comme vrai mais dont le préalable n'est pas démontré),postulat issu d'une déduction binaire lié à notre expérience subjective du quotidien.
Lorsque que je pose mon trousseau de clé sur la table celle ci y sont,et si je les enlève elles n'y sont plus,dès lors on peut déduire deux états:
1)existe.
2)existe pas.
Soit le raisonnement de tout bon ordinateur!
Cette vision des choses perds toute sa validité lorsque l'on passe à l'échelle atomique,ou les particules sont en superpositions d'état avant d'être mesurées,elles peuvent donc Être,ne pas être,être et ne pas être,ne pas et être en même temps,notion dite tétravalente.
Hors on sait faire le vide totale dans un dispositif(chambre à vide) et on remarque qu'apparait à partir du vide des particules virtuelles qui s'auto annihilent par pair,c'est ce que l'on nomme vide quantique.
Il n'y a donc pas de néant,mais un vide plein,et quant à notre matière elle est constitué à 100% de ce vide plein,que cela te plaise ou non...
Le discours biblique (que tu n’es pas obligé de partager évidemment), ne fait pas remonter son historicité à Abraham et donc tes 1800 ans avant JC mais bien, bien plus tôt et pas jusqu’aux singes de Darwin et ses adeptes, mais à l’humain originel et donc de nombreux siècles avant, que l’on appelle historique
C'est complétement faux,sauf pour les grenouilles de Bénitier ou les télé-évangélistes Texans.
L'historicité de l'AT n'est valable(et encore) qu'a partir d'Abraham,toute la période antérieur relève du mythe,un mythe essentiellement issu de récupération de croyances passées(comme l'épopée de Gilgamesh).
C'est vraiment avoir une vision fondamentaliste que de pensée qu'une religion serait apparut exnihilo(sic! ),toutes les croyances existantes sur terre sont fondées sur des systèmes de pensées antérieur,et la Bible n'y échappe pas.
Surtout du bla bla puisque ces évolutions antérieures sont impossibles à prouver et ne sont donc que des hypothèses et une hypothèse n’est pas démonstration de faits et encore moins de preuves.
Donc tu ne lis pas la Bible...?
Plusieurs passage de l'AT font référence à Ashera (déesse mère) compagne de YHW
C’est son nom. Généreuse et belle, Ashera est, dans la lignée des Astarté, Ishtar et Inanna, une déesse adulée par une grande majorité des hébreux du VIIe et VIe siècles av. notre ère, au côté de son époux. Elle possède une image dans le ciel puisqu’elle est assimilée à la planète Vénus comme ses consœurs mésopotamiennes. Elle n'était pas inconnue. Mais il s'agissait alors d'une simple déesse... en apparence. En effet, il y a peu, des inscriptions sur des stèles ont révélé aux archéologues que les hébreux vénéraient « Yahvé et son Ashera ». Dieu a donc une femme! Voilà bien une hérésie pour ceux qui avaient mal interprété la présence de cette déesse mentionnée dans l’Ancien Testament notamment par Jérémie. Le prophète, en exil avec les juifs déportés à Babylone, reproche à ses compatriotes leur vénération pour cette déesse impure, représentée sur des statuettes comme une femme aux seins nus. L’entreprise de Jérémie reste sans succès : les juifs affirment que autant à Jérusalem qu’à Babylone, Ashera est généreuse et leur offre du pain en grande quantité. Et pour étayer leur propos, ils ne manquent pas de lui rappeler que d’autres avant lui leur avaient fait abandonner le culte d’Ashera et que le résultat fut « le glaive et la famine » (Jérémie 44, 17-19).
Dieu finira par perdre son épouse… inexplicablement dans le récit biblique. Elle disparaitra jusqu'à nos jours où l'épigraphie nous révèle qu' Ashera, plus qu'une simple déesse, est l'épouse de Yahvé. Dans les faits, Ashera s’éclipse de la vie de Yahvé au moment de la grande réforme religieuse entreprise par le roi Josias (VIe siècle) et terminée par le scribe Esdras (Ve siècle). Pendant cette période charnière de l’histoire religieuse, les juifs passent de la monolâtrie – considérant Yahvé comme leur dieu parmi tous les autres – au monothéisme – la reconnaissance d’un seul et unique Dieu sur terre. Le divorce fut sévère mais Ashera nous réapparait après 2500 ans sous les coups de pinceaux des archéologues sur l’ancienne terre de Canaan.
http://lesitedelhistoire.blogspot.fr/2012/06/ashera-lepouse-de-yahve.html
FIN DU HS!!!!!