D'un point de vu biologique il n'est pas impossible que le génie génétique puisse aboutir dans quelques décennies,ou siècles(?)à la possibilité d'êtres immortels.
Il n’est pas plus impossible qu’il n’y arrive pas, ce qui semble la probabilité la plus crédible. Le reste c'est du fantasme!
C'est d'ailleurs intéressant ce désir d'immortalité physique. Mais n'est-ce pas la seule espérance qui reste lorsque l'immortalité au delà de la mort n'est plus.
Cet homme commence par un graphique sur lequel je me suis largement expliqué. L’espérance de vie en question n’est qu’une moyenne arithmétique qui n’a aucun sens réel. C’est comme considérer qu’en période de guerre, de famine, d’épidémie qui décime les populations, l’espérance de vie est infiniment basse (ce qui est une évidence) mais ce n’est pas un indicateur de durée réelle de vie et donc d’âge réel de mortalité des personnes âgées qui est le seul et unique indicateur de durée de vie (dans l’espérance d’un rallongement de la vie). De même, il indique comme une espérance de pouvoir atteindre 120 ans. Rien de neuf, cela correspond à la règle de Buffon qui est une constante chez les mammifères. La question est plutôt : pourquoi les humains ont-ils du mal à atteindre cet âge en question ?
Pour l’anecdote le texte biblique rappelle que la durée de vie, post diluvien, retomberait à 120 ans, longtemps avant la règle de Buffon !Et même que plus tard dépasser 70/80 ans ne se ferait pas sans douleurs!
Citation:
Donc ce n’est pas pour demain que nos savants fous règleront cette situation.
Demain non, mais après demain peut-être...
Ni demain, ni après demain !
Que constate-t-on actuellement ? Dans leur grande majorité les individus décèdent de maladies diverses et (a)variées. Les morts dits naturels sont exception (encore faudrait-il s’entendre sur la signification et l’usage abusif de ce terme) et la plupart des vieillards sont sous « perfusion » permanente de médicaments en tous genres, pour survivre en mauvais état. Si c’est ça l’espérance de vie « promise » : bonjour les dégâts et le coût toujours plus accentué, pour la société, de la maladie des humains : qui paiera ?Le reste c’est de la fiction uniquement !
Citation:
Biologiquement la mort est une pathologie puisqu’autrement la vie cellulaire n’aurait aucune raison réelle de s’arrêter de fonctionner
La pathologie est rappelons le l'étude des maladies,
C’est juste et je n’ai utilisé ce terme que pour le sens courant qu’on lui accorde. Lorsqu’une personne est atteinte d’une maladie , le corps médical dit que c’est une pathologie, même si ce terme n’est pas vraiment celui qui devrait être utilisé.
et la mort ne serait être considérer comme une maladies de part son caractère inéluctable ainsi que sa normalité.
Sur le fond c’est exact pour son coté inéluctable. D’où l’expression, une lapalissade, selon laquelle la mort serait la cessation de la vie.
Ce qui est à considérer c’est : pourquoi cette mort a-t-elle lieu de façon précoce et la réponse est : la maladie qui accélère le processus de dégradation et donc de destruction du vivant. (dégradation du système immunitaire et de la division cellulaire)
Donc pour réduire cette dégradation, dont les causes sont pour leur majorité environnementales et d'hygiène de vie, il faudrait déjà que la société change dans ces domaines là; ce qui n'est pas gagné d'avance et même quasiment inimaginable dans la mesure où tout va dans l'autre sens.