Ma lecture du Soir.be s’était arrêtée dimanche à 18h...
Cela promet, les pinaillages.
En fait je tiens un scoop qui va te plaire.
C’est lui même qui a payé l’avion des journalistes, le sien, et le rapatriement du GIGN…
En effet c’était pour assécher son compte bancaire, afin que sa récente déclaration de patrimoine avant intronisation, adressée au Conseil Constitutionnel, soit juste en dessous de l’ISF.
Hollande VS Sarkozy: qui sortira vainqueur de ce duel ?
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Ce qui suit va lui faire moins plaisir: ( )
ahahahaha... 800 milliards de dette supplémentaire accumulée par Ali Baba et les (plus de quarante) voleurs sarkozistes!
Et Môssieur viendrait encore pleurer pour un petit trajet en ‘navion’, dont la facture n'ira même pas au débit des caisses de l'État...! bambou est trop fortiche en «honnêteté»!
Je publie les chiffres, ils ne sont que ce qu'ils sont. Rien d'autre!?
Par, contre ton interprétation... Pfff... tu ne sais visiblement pas lire des courbes...!
On ne cherche pas tant de savoir où se situe la dette ponctuellement (vu que la dette souveraine, c'est un serpent qui se mord la queue....)! Mais plutôt de:
1) savoir si elle se situe dans (ou hors...) les «variables d'ajustement» par rapport au PIB, à la croissance etc...
2) faire la moyenne de "l'écart type" sur la totalité de la période électorale... (eu égard à ces variables... et si on cherche à faire une comparaison "encore plus juste")
Tu vois, c'est déjà plus par là qu'on trouvera «l'honnêteté» (si tant est qu'on puisse utiliser ce mot par rapport à «l'économie» actuelle)! Donc dans ce contexte, on s'apperçoit immédiatement que la dette a été en tendance baissière pour rejoindre les variables d'ajustement (sous Jospin) et à été maîtrisée par rapport à la progression du PIB sous les deux législatures «socialistes» telles que représentées par le graphique... et autant qu'il était possible de le faire (source: wiki) Bien sûr, on peut toujours faire «mieux»... Mais alors, mon petit doigt me dit qu'on prend le risque de stoper la croissance (selon le paradigme actuel... parraît-il...)
Alors qu'elle explose sous les gouvernements de droite!
Finalement tu utilises les mêmes méthodes honteuses que les ronds de flanc de Sarkozy (tout comme lui-même) qui font dire aux chiffres ce qu'ils veulent bien leur faire dire...
Et tu vas encore nous donner des leçon «d'honnêteté»...!
C'est comme quand Sarkozy s'érige en victime dès 2010 en reportant la faute de son mauvais bilan sur "la crise" (qui a bon dos... puisque la droite est alors au commandes depuis... quinze ans!!!)
Heureusement qu'il y a la droite qui a tout fait «pour»...
Pour le reste, Jospin, Attali, Fabius et Delors, devraient être content si ils te lisaient !
ahahahaha... 800 milliards de dette supplémentaire accumulée par Ali Baba et les (plus de quarante) voleurs sarkozistes!
Et Môssieur viendrait encore pleurer pour un petit trajet en ‘navion’, dont la facture n'ira même pas au débit des caisses de l'État...! bambou est trop fortiche en «honnêteté»!
Tu fais exprès de pas voir les remontées de dettes à chaque fin de période rose ?
Tu peux parler d'honnêteté !!
Je publie les chiffres, ils ne sont que ce qu'ils sont. Rien d'autre!?
Par, contre ton interprétation... Pfff... tu ne sais visiblement pas lire des courbes...!
On ne cherche pas tant de savoir où se situe la dette ponctuellement (vu que la dette souveraine, c'est un serpent qui se mord la queue....)! Mais plutôt de:
1) savoir si elle se situe dans (ou hors...) les «variables d'ajustement» par rapport au PIB, à la croissance etc...
2) faire la moyenne de "l'écart type" sur la totalité de la période électorale... (eu égard à ces variables... et si on cherche à faire une comparaison "encore plus juste")
Tu vois, c'est déjà plus par là qu'on trouvera «l'honnêteté» (si tant est qu'on puisse utiliser ce mot par rapport à «l'économie» actuelle)! Donc dans ce contexte, on s'apperçoit immédiatement que la dette a été en tendance baissière pour rejoindre les variables d'ajustement (sous Jospin) et à été maîtrisée par rapport à la progression du PIB sous les deux législatures «socialistes» telles que représentées par le graphique... et autant qu'il était possible de le faire (source: wiki) Bien sûr, on peut toujours faire «mieux»... Mais alors, mon petit doigt me dit qu'on prend le risque de stoper la croissance (selon le paradigme actuel... parraît-il...)
Alors qu'elle explose sous les gouvernements de droite!
Finalement tu utilises les mêmes méthodes honteuses que les ronds de flanc de Sarkozy (tout comme lui-même) qui font dire aux chiffres ce qu'ils veulent bien leur faire dire...
Et tu vas encore nous donner des leçon «d'honnêteté»...!
C'est comme quand Sarkozy s'érige en victime dès 2010 en reportant la faute de son mauvais bilan sur "la crise" (qui a bon dos... puisque la droite est alors au commandes depuis... quinze ans!!!)
Aucun gouvernement n'a jamais rien fait contre la dette !
Heureusement qu'il y a la droite qui a tout fait «pour»...
Pour le reste, Jospin, Attali, Fabius et Delors, devraient être content si ils te lisaient !
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Visiblement tu t'y connais autant en Français qu'en Math ou en stats.
- "Aucun", ça veut dire aucun.
- Non, ce qui compte en dette ce n'est pas la moyenne. Il serait trop facile de profiter de la tendance amenée par le gouvernement précédent. Ce qui compte, c'est juste comment évolue la dette _après_ l'action d'un gouvernement.
Attali sous quel gouvernement ?
Car il n'a pas prôné la même chose sous Sarko que sous les autres gouvernements.
Jospin, a quitté le gouvernement en 2002 alors que la dette a commencé à exploser fin 2000 !
Fabius est l'une des antiquaires les plus riches de France, et il a sorti les oeuvres d'art de l'ISF !
Delors, oui, il aurait pu être utile si le PS l'avait écouté. Malheureusement ce parti a toujours fait l'opposé de ses préconisations.
- "Aucun", ça veut dire aucun.
- Non, ce qui compte en dette ce n'est pas la moyenne. Il serait trop facile de profiter de la tendance amenée par le gouvernement précédent. Ce qui compte, c'est juste comment évolue la dette _après_ l'action d'un gouvernement.
Obamot a écrit :Aucun gouvernement n'a jamais rien fait contre la dette !
Heureusement qu'il y a la droite qui a tout fait «pour»...
Pour le reste, Jospin, Attali, Fabius et Delors, devraient être content si ils te lisaient !
Attali sous quel gouvernement ?
Car il n'a pas prôné la même chose sous Sarko que sous les autres gouvernements.
Jospin, a quitté le gouvernement en 2002 alors que la dette a commencé à exploser fin 2000 !
Fabius est l'une des antiquaires les plus riches de France, et il a sorti les oeuvres d'art de l'ISF !
Delors, oui, il aurait pu être utile si le PS l'avait écouté. Malheureusement ce parti a toujours fait l'opposé de ses préconisations.
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Pour ceux qui ont le temps: suivi en direct (vidéo et texte) de la passation de pouvoir: http://tempsreel.nouvelobs.com/election ... our-j.html
Là il vient de recevoir la Légion d'Honneur...
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Et dans pas longtemps il va nommer un premier ministre qui a été condamné pour favoritisme, contrairement à ses promesses électorales.
Mais bon il parait que les promesses n'engagent que ceux qui y croient, et que le sieur en question était dans une mauvaise passe. Depuis vous imaginez bien qu'il s'est repenti.
Donc on va pas chipoter... Puis c'est son pote depuis longtemps c'est l'essentiel, qu'il soit compétent ou pas on s'en fout...
Bref, cela est dans la digne lignée de nos présidents successifs.
Mais bon il parait que les promesses n'engagent que ceux qui y croient, et que le sieur en question était dans une mauvaise passe. Depuis vous imaginez bien qu'il s'est repenti.
Donc on va pas chipoter... Puis c'est son pote depuis longtemps c'est l'essentiel, qu'il soit compétent ou pas on s'en fout...
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Ca ne sert à rien de réussir sa vie, ce qu'il faut c'est rater sa mort.
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Qui préférerait Martine Aubry...?
Selon le paradigme ambiant, le vrai problème c'est ça:
Source: ...>
Une croissance quasi nulle en 2008 sous la droite, alors que la crise n'avait pas encore produit d'effet(!), et que l'économie était pourtant en plein boum — et que dans le même temps, les français se serraient déjà la ceinture à mort, parce qu'on leur faisait déjà croire que «ça allait très mal» => ça n'a pas empêché les banques nationales de sortir des milliers de milliards des coffres, pour venir au secours du secteur banquier privé! — Une croissance quasi nulle en 2008 et ce après 12 ans de droite... Et quasi re-nulle au bilan du quinquénnat après 17 ans de droite (mais selon Bambou : «ce serait la faute de la gauche qui était là juste avant», wi, wi, wi....)
Ces cinq dernières années, c'est la montée à l'échaffaud du «roi» Sarkozy, encore cinq ans à ce rythme et la France aurait rejoint l'Espagne...! Mais Bambou vous expliquera selon ses raisonnements fantasques «que si la gauche échoue, ce sera la faute à la droite» quel fin nana-liste...
La vérité, c'est que dans se système de crises systémiques (qui ne peut fonctionner sans), le système de prédation économique ne pourra que fonctionner ainsi. Et ce tant que le porte-monnaie des spéculateurs passera avant le traitement équittable des échanges, l'arrêt du déni autour des «ressources inépuisables», et donc d'accepter le traitement des vraies causes des problèmes (et bien sûr le bannissement de certaines pratiques comme celle de l'obsolescence programmée: qui trahit la confiance des challands ou comme le viol de la propriété intellectuelle sans quasiment aucune sanction et tant d'autres pratiques infâmes et déloyales, mais généralement «bien acceptées»...).
Donc si on est malgré tout pour «de l'acharnement thérapeuthique» et que l'on croit dur comme fer dans le paradigme ambiant, l'important, c'est 1) que la confiance revienne 2) qu'il y ait cohésion entre le parlement, le premier ministre et le Président: sinon le remède est pire que le mal... (je pense à la priorité des législatives) 3) que le gouvernement ait le courage d'aller chercher le fric là où il est, pour le mettre en circulation là où il doit...
Selon le paradigme ambiant, le vrai problème c'est ça:
AFP - Publié par le Point, le 15/05/2012 à 12:26 a écrit :Croissance française nulle au 1e trimestre, dans la continuité de la fin 2011
La croissance en France
L'Insee a révisé en baisse la hausse du Produit intérieur brut (PIB) au quatrième trimestre 2011, à 0,1%, au lieu de 0,2% annoncé auparavant. L'institut a maintenu en revanche à 1,7% le chiffre de la croissance pour l'ensemble de 2011.
Source: ...>
Une croissance quasi nulle en 2008 sous la droite, alors que la crise n'avait pas encore produit d'effet(!), et que l'économie était pourtant en plein boum — et que dans le même temps, les français se serraient déjà la ceinture à mort, parce qu'on leur faisait déjà croire que «ça allait très mal» => ça n'a pas empêché les banques nationales de sortir des milliers de milliards des coffres, pour venir au secours du secteur banquier privé! — Une croissance quasi nulle en 2008 et ce après 12 ans de droite... Et quasi re-nulle au bilan du quinquénnat après 17 ans de droite (mais selon Bambou : «ce serait la faute de la gauche qui était là juste avant», wi, wi, wi....)
Ces cinq dernières années, c'est la montée à l'échaffaud du «roi» Sarkozy, encore cinq ans à ce rythme et la France aurait rejoint l'Espagne...! Mais Bambou vous expliquera selon ses raisonnements fantasques «que si la gauche échoue, ce sera la faute à la droite» quel fin nana-liste...
La vérité, c'est que dans se système de crises systémiques (qui ne peut fonctionner sans), le système de prédation économique ne pourra que fonctionner ainsi. Et ce tant que le porte-monnaie des spéculateurs passera avant le traitement équittable des échanges, l'arrêt du déni autour des «ressources inépuisables», et donc d'accepter le traitement des vraies causes des problèmes (et bien sûr le bannissement de certaines pratiques comme celle de l'obsolescence programmée: qui trahit la confiance des challands ou comme le viol de la propriété intellectuelle sans quasiment aucune sanction et tant d'autres pratiques infâmes et déloyales, mais généralement «bien acceptées»...).
Donc si on est malgré tout pour «de l'acharnement thérapeuthique» et que l'on croit dur comme fer dans le paradigme ambiant, l'important, c'est 1) que la confiance revienne 2) qu'il y ait cohésion entre le parlement, le premier ministre et le Président: sinon le remède est pire que le mal... (je pense à la priorité des législatives) 3) que le gouvernement ait le courage d'aller chercher le fric là où il est, pour le mettre en circulation là où il doit...
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Sauf pour la météo...capricieuse !
Hollande a inventé le concours de costard mouillé !
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