gegyx a écrit :Il a bien des impôts sur ses biens.
Ce qu’a[urait] dit DSK à la femme de chambre pendant le viol
« Tu ne sais pas qui je suis ! Tu sais qui je suis ! », aurait déclaré Dominique Strauss-Kahn à la femme de chambre qu’il tentait de violer, au moment où il l’aurait mise au sol, a annoncé Fox News.
Selon le témoignage de Nafissatou Diallo, repris par la chaîne américaine, DSK lui aurait fait cette déclaration à deux reprises tandis qu’il la mettait au sol pour tenter de l’agresser sexuellement.
La femme de chambre l’aurait alors supplié : « Arrêtez s’il vous plait, j’ai besoin de garder mon travail ! » Ce à quoi DSK aurait répondu : « Ne t’inquiète pas bébé, tu ne perdras pas ton travail. S’il te plait, ne t’inquiète pas ! »
Nafissatou Diallo aurait alors réussi à se dégager, mais aurait glissé sur un journal et serait tombée. Alors qu’elle était à terre, Dominique Strauss-Kahn l’aurait contrainte à pratiquer une fellation.
« Tu ne sais pas qui je suis ! Tu sais qui je suis ! »
Lundi 23 mai - 20:35
De l'ADN de Dominique Strauss-Kahn a été retrouvé sur les vêtements de la femme de chambre, selon NBC
A un collègue du FMI, DSK a écrit :«je viens d'un milieu où l'on est douloureusement conscient des réalités comme les dommages économiques aux luttes politiques de la guerre, la destruction et la misère humaine.».
Le Matin, Laszlo Molnar - le 23 mai 2011, 23h21 a écrit :Dominique Strauss-Kahn aurait invité deux réceptionnistes du Sofitel dans sa chambre, selon les médias américains.
Dominique Strauss-Kahn a beau se dire persuadé [que la vérité sur son innocence «éclatera»] - il a envoyé dimanche une lettre à ses anciens subordonnés du Fonds monétaire international (FMI) pour démentir «de la manière la plus forte» les accusations d'abus sexuel à son encontre -, son image s'est encore dégradée aux Etats-Unis. La presse américaine rapporte en effet qu'il aurait ouvertement demandé à deux autres employées de l'hôtel de luxe Sofitel de lui tenir compagnie dans sa chambre, peu avant d'agresser sexuellement la jeune femme de chambre d'origine africaine à l'origine de ses ennuis judiciaires.
Ces invitations ont été jugées «inappropriées» par les jeunes femmes interrogées par le New York Post et CNN. Selon ces médias, il a d'abord invité l'employée en charge des clients VIP de venir manger en sa compagnie. Celle-ci a refusé, mais quelques minutes plus tard, DSK l'a rappelée au téléphone pour lui proposer de le rejoindre dans sa chambre. Devant son nouveau refus, le politicien a tenté sa chance avec une autre réceptionniste en l'invitant également à partager avec lui une bouteille de champagne dans son salon privé. DSK devait donc se sentir particulièrement frustré quand il s'est retrouvé face à la femme de chambre, selon des spéculations des médias. Il pouvait être furieux d'avoir été éconduit deux fois et prêt à tout pour satisfaire ses envies sexuelles. Ce qui expliquerait la violence des faits. Le Centre pour l'intégrité publique, un organisme américain destiné au journalisme d'investigation, écrit en effet que la femme de chambre est sortie de la suite du Sofitel «traumatisée» après l'agression présumée qui aurait eu lieu avant 12h30, le 14 mai dernier.
Son ADN sur les habits de la plaignante
Selon le procureur en charge de l'affaire, DSK aurait fermé la porte pour l'empêcher de quitter les lieux. Il aurait agrippé ses seins et essayé de lui arracher son collant. N'y arrivant pas, il aurait forcé la jeune femme à lui prodiguer une fellation. La jeune femme de chambre était, selon le Centre, en état de choc, mais son superviseur s'est contenté d'avertir sa hiérarchie. Le chef de la sécurité de l'hôtel n'a par conséquent appelé la police qu'une heure après le prétendu viol, écrit le Centre. M. Strauss-Kahn avait à ce moment-là déjà quitté l'hôtel pour l'aéroport JFK, où il a été finalement arrêté à bord d'un appareil d'Air France.
Pour démontrer le soi-disant mépris du politicien français pour les femmes, des journaux racontent que son arrivée dans l'avion ne serait par ailleurs pas passée inaperçue. Il aurait commenté à haute voix, en des termes crus, la silhouette d'une hôtesse de l'air: «quel beau cul», aurait-il dit en la regardant passer, selon un témoin.
Les avocats de Dominique Strauss-Kahn contestent ces témoignages et préviennent que leur client plaidera non coupable. Ces ténors du barreau américain ne dévoilent toutefois pas le détail de leur stratégie. On sait seulement qu'ils enquêtent sur le passé de la victime présumée. On évoque aussi la possibilité d'une «relation sexuelle consentie» avec la jeune immigrée, ou la présence d'une autre femme, une prostituée, pour expliquer la découverte éventuelle du sperme du patron de l'FMI sur le tapis de la suite du Sofitel.
Tard hier soir, on apprenait encore que l'ADN de DSK avait été retrouvé sur les vêtements de la femme de chambre, selon la chaîne NBC. Du sperme de l'ancien patron du FMI aurait été découvert sur le col du chemisier de la victime présumée.
Extrait de ce que DSK aurait dit et rapporté, mais qui n'a pas forcément été reporté dans son intégralité par le milieu de l'enquête qui a écrit :« Tu ne sais pas qui je suis ! Tu sais qui je suis ! »
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