Oh dieu! Au moins ils n'en bavent pas par de nombreuses souffrances et handicaps de la vieillesse et d'un empoisonnement lent, mais régulier et efficace, par de multiples médicaments aux effets synergiques négatifs.Quelques temps aprės l’âge de la retraite ça casse sa pipe. C’est ballot... Remarque c’est tout bénef, ils ont cotisé toute leur vie pour payer nos retraites. En étant odieux on pourrait dire “tant pis pour eux...”
thibr a écrit :j'ai hésité à mettre dans humour ou ici ?
Christophe a écrit :Et s'attaquer à un bébé c'est vraiment dégueulasse !
et ça continue chez l'adulte aussi lorsqu'il suce les tetons chez les homo hommes ou femmes aussi. Le réflexe pavlovien.oui enfin à cet âge là, c'est alimentaire, pas sexuel !
...y a pas mieux pour finir en jlanic pas ! Des viols, des agressions sexuelles, une misogynie décomplexée et couverte par l’administration et la direction : c’est le quotidien de nombreuses étudiantes dans les grandes écoles de commerce françaises que sont HEC, l’Essec et l’Edhec.
Iban Raïs, journaliste indépendant, a enquêté pendant deux ans sur les dérives de ces établissements, mais aussi sur les délits et les crimes sexuels qui y sont perpétrés chaque année. Son livre, La Fabrique des élites déraille, vient de paraître aux éditions Robert Laffont. Il décrit une véritable culture du viol et une tradition des violences sexuelles misogynes partagées à travers des fanzines, des sites Internet, des événements festifs, des vidéos et des humiliations quotidiennes.
Pour les victimes, dénoncer ces violences est impossible. La direction couvre et protège les agresseurs, quitte à les laisser obtenir des postes d’influence au sein des principales associations étudiantes. Et personne dans ces écoles n’est réellement formé à accueillir la parole des femmes victimes.
Ces écoles de commerce, elles forment aussi les patrons du CAC40, les acteurs du conseil, de la banque et de l’assurance de demain. Elles influencent également nos politiques : actuellement, 46 députés sont diplômés d’une grande école de commerce, et 8 ministres et secrétaires d’État du gouvernement Castex sont passés par leurs bancs.
En librairie, dans les magazines et même au gouvernement… « Les sorcières » sont partout. Ce courant issu du New Age et qui mélange différentes pratiques et spiritualités ésotériques se revendique du féminisme. Il en dessert pourtant la cause : loin d'émanciper les femmes, il les cantonne à une identité stéréotypée pour leur vendre des remèdes inefficaces.
Saviez-vous que la « déesse Isis » peut « illuminer toutes vos cellules et les nourrir de son amour inconditionnel » ? Ou que « l’intimité (...) se crée d’abord en votre Sanctuaire Intérieur » ? Ces déclarations ésotériques au son creux se multiplient sur internet depuis qu'un certain féminisme s'est entiché de nouveaux parasites : « les sorcières ».
Comme les antivax et les pro-raoultsOn peut dire que c'est un syncrétisme qui fait souvent référence à l’intuition comme étant la source la plus fiable de connaissance du monde, aux dépens d'un raisonnement analytique, plus fiable
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