dedeleco a écrit :J'ai regardé cette analyse historique des manipulations de la réalité qui nous étaient cachée lorsque on l'a vécu!!!!
... pas mieux! En fait d'un côté on avait l'affaire ELF, et d'un autre, personne ne savait ce qui se tramait en coulisse.
... aux states il y a eu tant «d'affaires»: d'Enron à Black Waters en passant par les Fonds Vautours (dénoncés par Eva Joly et qui apparaissent dans la France Afrique) la société secrète des «Skull & Bones» qui a littéralement soufflé le pouvoir au peuple américain pendans des décennies (autant les élus démocrates que républicains en ont historiquement fait partie...), le reste n'est au fond qu'une vaste mascarade. La stratégie de cette domination est appuyées par différents «bras armés» que l'on voit apparaître dans les «Coverts Actions» dont le but occulte est, est quelque sorte, de légitimer en partie des actions illégales (prisons secrètes, assassinats politiques, suspicion très forte de complot autour de 9/11 => autant de choses inavouables), et qui ne sont qu'une caricature d'une société que l'on définit comme démocratique, mais qui au fond est largement arbitraire! (Peut-être qu'il y a pire, encore faudrait que l'on crée des outils pour qu'elle soit meilleure...).
Regardez la liste IMPRESSIONNANTE des scandales par président en fonction, qui ne cesse de s'allonger en volume et qui a sans doute atteint son apogée avec le «clan Bush»:
http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_fe ... ted_States
...des membres éminents et respectés du Congrès avaient prévenu l'équipe politique en place, que si ça continuait comme ça, il faudrait des centaines d'années pour que l'Amérique retrouve sa légitimité internationale! Ils ne s'étaient pas trompés, voyez le dollars!
...dans l'histoire récente, le soutien financier de la CIA au «Printemps arabe», les révélations d'Human Right Watch qui prouve ce qui se passe plus en amont la collaboration de l'administration Bush avec Saddam Hussein voire ...Ben Ladden, qui ne serait qu'une «fabrication maison» concoctée via une tactique habile d'instrumentalisation, autant que les Talibans ne le sont toujours... (Et tant d'autres choses que nous a révèlé WikiLeaks).
En fait, si 9/11 s'avèrait être reconnu comme un «inside job». Ce ne serait que la pointe de l'iceberg!
La période actuelle est une sorte de «signal d'alarme», notamment avec le mouvement des indignés — qui non seulement dénonce l'outrance de la manipulation de la dette des états par les milieux financiers, mais qui s'achemine vers un raz-le-bol généralisé des abus du pouvoir — tout ça ressemble étrangement à ce qui se passait dans les années soixantes, mais en plus grand en plus précis et en mieux organisé, puisqu'aujourd'hui il y a Internet... Je ne suis pas pour le chaos, mais les dirigeants actuels feraient bien de ne plus commettre d'erreurs grossières... Sont-il assez «sages» pour ça? (
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C'est entrain de pèter un peu de partout non? Ironie du truc, il n'y a plus guère que les pays émergeants «qui vont bien»...
J'ai trouvé la mise en scène d'Obama et de son cabinet, soit disant filmé entrain de regarder la scène de l'exécution sommaire de Ben Laden — fût-il déclamé comme le pire ennemi de l'Amérique — comme une scène surréaliste montrant un mépris similiaire de la dignité humaine que ce qui se produit dans n'importe quel «attentat». Et je ne compte évidemment pas par là défendre quiconque pour des actes criminels qu'il commettrait, même si c'était «sur ordre». Peu importe le dogme dont il se réclame (ou non) d'ailleurs.