Ce sont des soignants, certes, mais ils représentent indirectement l'autorité, puisque titulaires de diplôme d'état et garants de la formalisation d'une certaine "normalité"... par ailleurs, même si leur possibilité d'action réelle est très faible, leur simple présence suffit à officialiser une prise en charge.
Obamot parle de pathologie, pas de folie...
Les patrons sont des psychopathes !
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Oui, là Ahmed fait bien de préciser la terminologie. Mais développons.
Soingnants? Vraiment? Je croyais que c'était un domaine où seuls les sujets étaient habilités à se soigner eux-mêmes!?
Mais soit, admettons cette façon de voir. Ainsi avec un peu de chance ils «soignent» éventuellement quelques sujets... (A ce stade, je pense que personne n'y croit, même pas vous... ça peut d'ailleurs durer des dizaines d'années... la résillience aura fait son œuvre dans l'intervalle ou au pire des cas les sujets aura disparu... mais je continue!) Ainsi dans le contexte que je relevais, il ne faudrait quand même pas oublier si vite que ceux qui ne se soumettent pas à ces «soins» (notez les guillemets) sont légalement considérés comme «ayant refusé de se soigner» et perdent alors toute prérogative devant les tribunaux. On appelle ça comment?
Les victimes sont donc bien obligées de plier face à cette représentation de... [ l'autorité ? ] (c.f. à la loi, appelez ça comme vous le voul-voul...) elles n'ont pas d'autre choix. Alors si vous n'appelez pas ça comme ça, va falloir innover...
Il ne suffit pas de nier... Quand on voit comment ça se passe en pratique, ça fait souvent froid dans le dos. Je pense que derrière le législateur, il y a clairement une volonté de tuer dans l'œuf toute velléité de terrain de défi (ici l'intention est bien de «protéger» la société) et on ne peut qu'approuver, c'est tellement .........pédagogique.
Alors que par ailleurs les psychiatres, lorsqu'ils sont désignés comme experts, ne sont pas tenus de procéder à l'expertise si ils ne la jugent pas «pertinente». Les «soins» dont on parle ici échappent totalement à la volonté des «soignés» et cette situation peut de facto devenir vecteur d'aggravation des cas. CQFD.
Raison pour laquelle je ne parlais qu'exclusivement des «bien portants».
Alors que si on approfondit: tout d'abord, il est un fait établit que les victimes – puisque renvoyés à leur humaine condition sans aucun ménagement (la plupart du temps) – deviennent quasiment instantanément des sortes de coupables d'être dans l'état dans lequel ils se trouvent (je ne fais pas dans la «victimisation» je précise d'emblée).
C'est une situation de fait, puisqu'ils sont conditionnés «comme si ils avaient un problème à régler». Alors qu'un choc traumatique d'une victime d'un attentat (par exemple) fait que le malheureux qui a vécu ça, n'y est visiblement pour rien. Mais non, les gens sont placés en tant que «demandeurs de soins» – et impossible d'y échapper – ils sont «traités», absolument de la même manière que si ils avaient eux-même développés leurs angoisses suite à un mécanisme d'auto-suggestion, alors que bien évidemment c'est faux. Cette situation est hautement iatrogène et peut conduire à une déchéance physique, psychique, à la dépression puis éventuellement à la maladie, au suicide et à la mort. J'estime que cette situation est une sorte de crime contre l'humanité du 21e siècle, et qui est devenu monnaie courante. Même dans les pays présentés comme les plus civilisés.
Ce qui manque de façon flagrante, c'est de la bienveillance. C'est le type de «soins» dont les victimes sont demandeuses et qui leur est souvent refusé: «à eux de faire ce qu'il faut pour se prendre en charge» entend-t-on dire...
Est-il possible de donner comme exemple extrême la Norvège, et la tuerie qui s'y est déroulée? Je pense que nous sommes entrain d'assister à la faillite de tout un système.
Et face à tout ce marasme, effectivement, il y a quelques courageux qui vont à contre-courant! Mais cela fait bien près de quarante ans que ces dérives existent! Quelles sont légions, notamment dans la lutte contre l'alcoolisme (je précise que je ne suis pas concerné, par an: à peine une bouteille de champagne quelques bières qui se comptent sur les doigts de la main et pas plus de verres de vin...)
Pour les autres – exceptés les miraculés qui passent entre les gouttes – le système judiciaire complètement débordé (évidemment, tant qu'on ne s'attaque pas aux causes...) fait que les non résolutions de cas, les injustices, les artifices légaux pour classer les dossiers etc, sont autant de situations de frustrations et donc potentiellement iatrogènes, qui se multiplient de plus en plus. Ce qui fait que des traumatisés, polytraumatisés ou post-traumatisés finissent tôt ou tard par développer des pathologies dans les circonstances décrites. Le système judiciaire est clairement autoritaire, et les psychiatres en sont l'un des instruments. Le paradoxe de cette situation, c'est que le même système judiciaire estime que tout citoyen doit-être à même de «gérer ses frustrations». C'est un moteur essentiel du droit. Le législateur a tout simplement oublié que ces frustrations font de gros dégâts colatéraux, notamment parce que ce sont des situations artificielles et que le cerveau humain à énormément de peine à appréhender cela lorsque la situation est totalement hors de son contrôle et que la référence directe à l'autorité provoque une stigmatisation centrale.
Je relève encore dans les réponses ci-dessus, qu'il y a méconnaissance de l'architecture de l'outil de prévention dans lequel les psy interviennent.
raymon a écrit :Certes, il n'échappe pas au lecteurs attentifs, que les psychiatres représentent à quelque part l'autorité, et que de ce fait ils sont perçus comme complices, autant qu'ils le sont de facto (tout comme les «éducateurs»), n'ont pas la tâche facile
Les psychiatre ne représetnet pas l'autorité ce sont des soignants.
Soingnants? Vraiment? Je croyais que c'était un domaine où seuls les sujets étaient habilités à se soigner eux-mêmes!?
Mais soit, admettons cette façon de voir. Ainsi avec un peu de chance ils «soignent» éventuellement quelques sujets... (A ce stade, je pense que personne n'y croit, même pas vous... ça peut d'ailleurs durer des dizaines d'années... la résillience aura fait son œuvre dans l'intervalle ou au pire des cas les sujets aura disparu... mais je continue!) Ainsi dans le contexte que je relevais, il ne faudrait quand même pas oublier si vite que ceux qui ne se soumettent pas à ces «soins» (notez les guillemets) sont légalement considérés comme «ayant refusé de se soigner» et perdent alors toute prérogative devant les tribunaux. On appelle ça comment?
Les victimes sont donc bien obligées de plier face à cette représentation de... [ l'autorité ? ] (c.f. à la loi, appelez ça comme vous le voul-voul...) elles n'ont pas d'autre choix. Alors si vous n'appelez pas ça comme ça, va falloir innover...
Il ne suffit pas de nier... Quand on voit comment ça se passe en pratique, ça fait souvent froid dans le dos. Je pense que derrière le législateur, il y a clairement une volonté de tuer dans l'œuf toute velléité de terrain de défi (ici l'intention est bien de «protéger» la société) et on ne peut qu'approuver, c'est tellement .........pédagogique.
Alors que par ailleurs les psychiatres, lorsqu'ils sont désignés comme experts, ne sont pas tenus de procéder à l'expertise si ils ne la jugent pas «pertinente». Les «soins» dont on parle ici échappent totalement à la volonté des «soignés» et cette situation peut de facto devenir vecteur d'aggravation des cas. CQFD.
raymon a écrit :Car oui! Avec 50% de pathologies: le mal est très profond.
Cela ne veux pas dire fous simplement malades,déprimés...
Raison pour laquelle je ne parlais qu'exclusivement des «bien portants».
Alors que si on approfondit: tout d'abord, il est un fait établit que les victimes – puisque renvoyés à leur humaine condition sans aucun ménagement (la plupart du temps) – deviennent quasiment instantanément des sortes de coupables d'être dans l'état dans lequel ils se trouvent (je ne fais pas dans la «victimisation» je précise d'emblée).
C'est une situation de fait, puisqu'ils sont conditionnés «comme si ils avaient un problème à régler». Alors qu'un choc traumatique d'une victime d'un attentat (par exemple) fait que le malheureux qui a vécu ça, n'y est visiblement pour rien. Mais non, les gens sont placés en tant que «demandeurs de soins» – et impossible d'y échapper – ils sont «traités», absolument de la même manière que si ils avaient eux-même développés leurs angoisses suite à un mécanisme d'auto-suggestion, alors que bien évidemment c'est faux. Cette situation est hautement iatrogène et peut conduire à une déchéance physique, psychique, à la dépression puis éventuellement à la maladie, au suicide et à la mort. J'estime que cette situation est une sorte de crime contre l'humanité du 21e siècle, et qui est devenu monnaie courante. Même dans les pays présentés comme les plus civilisés.
Ce qui manque de façon flagrante, c'est de la bienveillance. C'est le type de «soins» dont les victimes sont demandeuses et qui leur est souvent refusé: «à eux de faire ce qu'il faut pour se prendre en charge» entend-t-on dire...
Est-il possible de donner comme exemple extrême la Norvège, et la tuerie qui s'y est déroulée? Je pense que nous sommes entrain d'assister à la faillite de tout un système.
Et face à tout ce marasme, effectivement, il y a quelques courageux qui vont à contre-courant! Mais cela fait bien près de quarante ans que ces dérives existent! Quelles sont légions, notamment dans la lutte contre l'alcoolisme (je précise que je ne suis pas concerné, par an: à peine une bouteille de champagne quelques bières qui se comptent sur les doigts de la main et pas plus de verres de vin...)
Pour les autres – exceptés les miraculés qui passent entre les gouttes – le système judiciaire complètement débordé (évidemment, tant qu'on ne s'attaque pas aux causes...) fait que les non résolutions de cas, les injustices, les artifices légaux pour classer les dossiers etc, sont autant de situations de frustrations et donc potentiellement iatrogènes, qui se multiplient de plus en plus. Ce qui fait que des traumatisés, polytraumatisés ou post-traumatisés finissent tôt ou tard par développer des pathologies dans les circonstances décrites. Le système judiciaire est clairement autoritaire, et les psychiatres en sont l'un des instruments. Le paradoxe de cette situation, c'est que le même système judiciaire estime que tout citoyen doit-être à même de «gérer ses frustrations». C'est un moteur essentiel du droit. Le législateur a tout simplement oublié que ces frustrations font de gros dégâts colatéraux, notamment parce que ce sont des situations artificielles et que le cerveau humain à énormément de peine à appréhender cela lorsque la situation est totalement hors de son contrôle et que la référence directe à l'autorité provoque une stigmatisation centrale.
Je relève encore dans les réponses ci-dessus, qu'il y a méconnaissance de l'architecture de l'outil de prévention dans lequel les psy interviennent.
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raymon a écrit :Je trouve que vous êtes un peu dur avec les psy officiel ou alternatif . C'est un métier difficile (j'ai travaillé 13 ans comme éducateur) j'en ai pas mal côtoyé. Généraliser sur cette profession est impossible. Comme partout il y a des bons et des mauvais. L'échec du soin est souvent lié au fait que les gens n'ont pas confiance dans le soignant. On n'accepte pas sa maladie et les médocs souvent nécessaire et c'est l'échec. Oui le prozac est un meilleur antidépresseur que l'alcool ou le shit. Les neuroleptiques ont permis de supprimer la camisole de force et permis de sortir beaucoup de gens de l'HP.
J'ai 3 connaissances qui avait des problèmes d'alcool, drogues et faisaient des conneries 2 sont passés a l'HP à plusieurs reprises sortie plein de médocs ils sont sur la bonne pente pour en sortir je croise les doigts le 3 eme est passé par la taule et malheureusement il continue les conneries.
Oui il y a aussi de mauvais psychiatre.
le pire probleme est de vouloir soigner comme une maladie ce qui n'en est pas : dans beaucoup de situation pourrie qui existent être déprimé est bien normal : etre content serait plutot un signe d'inconscience ...
il y a quelque chose de bien pourri dans le monde actuel qui donne plus de chance a un certain type de psychopathe de devenir patron
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Ou pas?
Car je pense hélas que nous sommes tous logés à la même enseigne! Sans distinction aucune.
Brodé autour du paradigme du "très fameux" «il faut s'assumer» en guise de tarte à la crème, ça pose une vraie question autour de ce système qui essaye de traiter les effets à coups de médocs sans s'attaquer aux causes profondes: ainsi la psychiatrie voudrait-elle voir ses usagers «guéris» comme des coqs entrain de chanter les pattes dans le fumier? Une sorte de méthode coué pour de la volaille...
Car je pense hélas que nous sommes tous logés à la même enseigne! Sans distinction aucune.
Brodé autour du paradigme du "très fameux" «il faut s'assumer» en guise de tarte à la crème, ça pose une vraie question autour de ce système qui essaye de traiter les effets à coups de médocs sans s'attaquer aux causes profondes: ainsi la psychiatrie voudrait-elle voir ses usagers «guéris» comme des coqs entrain de chanter les pattes dans le fumier? Une sorte de méthode coué pour de la volaille...
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dans beaucoup de situation pourrie qui existent être déprimé est bien normal : etre content serait plutot un signe d'inconscience ...
En effet je me suis apercu depuis longtemps qu' il existe une espece de drôle de mentalité qui fait que pour être performant au travail il faut absolument être triste et malheureux, c'est comme si être heureux et souriant a son travail serait vu comme une sorte de propension a la faineantise ou autre idée dans le genre.
A moins que ces patrons ne supportent pas les gens heureux puisqu' ils ne le sont pas eux mêmes, étant incapables de ressentir quoique ce soit.
Ils percoivent sûrement cela comme une sorte d' affront innommable envers leur personne :ce sont des Talibans du travail.
Comme tous les psychorigides refoules, ils ont une vision du monde qui est automatisee comme un gigantesque mecanisme bien huile ou chaque humain est un rouage participant au fonctionnement de la machine economique.
Vision , certes idyllique ( si rêver est a leur portee ), mais ô combien erronee de la realite qui est bien plus imprevisible.
Autant dire que , vu que le cerveau est toujours celui d' il y a 50000 ans , celui du chasseur - cueilleur la machine risque fortement d' être grippée...
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Eh là Netshaman: on parlait des psys, pas des patrons là...!
Et si on devait parler des chefs d'entreprises, ce serait sur le plan de leurs éventuelles pathologies respectives pour ne pas être HS (tu peux faire un autre fil pour parler des «psychopathologies» des collaborateurs, si tu veux! )
J'ai mis un smiley pour dédramatiser, et parce qu'il faut dire qu'il faut être TRÈS prudent avec le cataloguage (qui lui aussi est iatrogène...). Donc pour ne pas tomber dans les catégorisations hâtives, il faut faire extrêmement gaffe.
Mébon, ce que tu dis a du sens, même si il ne faut pas généraliser. D'ailleurs c'est bien dommage, parce qu'être épanoui dans son travail devrait être la règle (autant que faire se peut) c'est ça qu'il serait bien de généraliser comme tu dis.
Et si on devait parler des chefs d'entreprises, ce serait sur le plan de leurs éventuelles pathologies respectives pour ne pas être HS (tu peux faire un autre fil pour parler des «psychopathologies» des collaborateurs, si tu veux! )
J'ai mis un smiley pour dédramatiser, et parce qu'il faut dire qu'il faut être TRÈS prudent avec le cataloguage (qui lui aussi est iatrogène...). Donc pour ne pas tomber dans les catégorisations hâtives, il faut faire extrêmement gaffe.
Mébon, ce que tu dis a du sens, même si il ne faut pas généraliser. D'ailleurs c'est bien dommage, parce qu'être épanoui dans son travail devrait être la règle (autant que faire se peut) c'est ça qu'il serait bien de généraliser comme tu dis.
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Netshaman a écrit:
Peut-être vaudrait-il mieux parler carrément du cerveau reptilien ou celui de mammifère...
@ Obamot: Pour être épanoui dans son travail, encore faudrait-il que cela en fût encore un, et non un simple "job"...
Autant dire que , vu que le cerveau est toujours celui d' il y a 50000 ans , celui du chasseur-cueilleur,...
Peut-être vaudrait-il mieux parler carrément du cerveau reptilien ou celui de mammifère...
@ Obamot: Pour être épanoui dans son travail, encore faudrait-il que cela en fût encore un, et non un simple "job"...
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"Ne croyez surtout pas ce que je vous dis."
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Ahmed a écrit :@ Obamot: Pour être épanoui dans son travail, encore faudrait-il que cela en fût encore un, et non un simple "job"...
Faute d'argument, notre «éducateur» a baissé les bras! Avait-il un «simple job»?
Refuser à ce point le débat de la part d'un représentant du monde éducatif est assez symptomatique de notre époque pleine de démissions.
Finalement il a défendu les psy, sans leur trouver la moindre épine dans le pied, ou alors du bout des lèvres! Le modèle théorique est décidément de plus en plus ancré dans les mentalités!
Quand je pense que dans les années 80, les éducateurs étaient les premiers à monter au créneau contre ces psychiatres qui favorisaient «l'auto-entretien des pathologies», et étaient les premiers à encourager les motivations de toute nature sans renier les débats intellectuels chez leurs "protégés": tout fout l'camps...
Aujourd'hui, dans la rue, il n'y a guère de confrontation d'idées, le débat intellectuel [si tant est qu'il eût existé] est remplacé par un nez collé dans un smartphone, le pouce effectuant des mouvement de "slide" pour faire défiler et avancer des centaines de pages afin de défier votre regard...! Y'a plus besoin de réfléchir, le net est là pour apporter toutes les réponses...
Réfléchir? Faudrait vraiment être con !
Quelques locutions intéressantes sont apparues dans ces milieu du culte de l'instantané et surtout de la personalité! Je ne sais pas si vous avez remarqué... Parmi elles c'est le fameux «je tweete» (qui évite par une action de repli sur soi toute entrée en matière directe avec les autres) et surtout le placement du mot «voilà» à brûle pourpoint et à toutes les sauces – dès lors qu'une personne se trouve en difficulté dans la conversation:
Les nigauds concernées, zappant sur toute explication, commencent ou finissent leurs explications par:
[...] "voilà" [c'est ceci ou cela!]
[...] "voilà" [c'est ainsi!]
[...] alors "voilà" [etc]
Arme redoutable qui permet de «couper cours» et surtout de couper court!
Comme si le placement de ce mot dans une phrase, se suffisait à lui-même et dédouanait de tout autre effort de compréhension ou d'explication...
D'ailleurs désormais je les appelle «Les voilà»...
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