Idem, le développement ne peut pas être
«durable» si au bout du compte il devait y avoir l'absence même de perspective qu'il puisse durer (je m'excuse^^).
Et d'un autre côté, «un politique», ça pourrait être n'importe qui! Vous ou moi, si hormis certaines règles de co-optation, nous nous étions fait élire. Or si c'était le cas, ne serions-nous pas nous aussi très vite dépassés par l'ampleur du problème?
Pour les green-tech, il semble que ce soit le même raisonnement que pour Désertec... Or elles ont quand même le mérite de faire réfléchir et d'ouvrir de nouvelles perspectives. Parce qu'autrement qu'y a-t-il?! L'éco-bilan qui n'a pas fait avancer le schmilblick^^
Mais là on s'égare, on s'égare... On parle de quelque chose autour de l'éco-impact relatif au consumérisme, alors que la question du fil était autour du
sens civique et de l'écologie? Et là... il faudrait prier très très fort
pour qu'il se passe quelque chose allant dans la bonne direction par ce biais ...
Bref, certains sont un peu durs avec Désertec en brandissant l'épouvantail d'une sorte de
«pillage solaire». Parce qu'en attendant, ceux d'en face avec leur nuke, ils se frottent les mains... Au final le solaire thermique a un meilleur rendement que les panneaux photo-voltaiques, alors que faut-il en penser? Et puis quoi qu'il arrive, avec le solaire, on a beau piller tout ce qu'on veut, il y en aura toujours...
Il faut aussi rappeler que Désertec sera un élément de stabilité régionale non négligeable, qu'il apportera des devises à des pays qui n'ont pas des ressources énormes et que seul le surplus de production, une fois les besoins locaux satisfaits, seraexporté! En attendant ils continuent à brûler du bois ou du pétrole pour se chauffer et chez nous ce n'est pas franchement mieux... ^^
Un choix entre la peste et le choléra... c'est un peu ça que nous avons, non?
