En plus conflit d'intérêt avec celui qui autorise à la santé venant directement du fabricant et retardant l'interdiction obtenue grâce à l'acharnement héroïque d'une médecin !!
Autrement on continuerait à le prescrire !!
La puissance des lobbys tue, à la santé et ailleurs !
En plus la justice a interdit le titre du livre : médiator: combien de morts , sur demande du fabricant !!
http://www.enviro2b.com/2010/10/21/medi ... ou-%C2%BB/
http://www.eugenol.com/sujets/390491-me ... nce-mortel
Dés 1998 on savait !!
Combien d'autres médicaments et produits dangereux sous silence !!
Les lanceurs d'alerte ne pullulent pas contre les lobbys !!
Effarant :
Irène Frachon, pneumologue au CHU de Brest, est l’auteur de « Mediator 150 mg, sous-titre censuré » aux éditions Dialogues. Dénonçant dans ce livre les dégâts de ce médicament sur des milliers de victimes qui s’ignorent encore, le médecin breton évoque une véritable bombe sanitaire à retardement,...
C’est officiellement un antidiabétique et officieusement un coupe-faim...
l a massivement été utilisé comme coupe-faim chez des personnes non diabétiques...
l a donc été mis sur le marché en 1976 et interdit en 2009, c’est pour cela qu’il a fait autant de dégâts ! Plus de deux millions de personnes ont consommé du Mediator...
La preuve scientifique a alors été apportée que ce médicament expose à un risque assez rare mais pas si exceptionnel, de l’ordre de 0,5/1000 personnes en ayant consommé, de destruction des valves du cœur, provoquant une insuffisance valvulaire souvent multiple. En 1997, l’Isoméride, un proche cousin du Mediator, commercialisé par le même laboratoire Servier, a été retiré du marché parce qu’il pouvait détruire les valves du cœur. Une fois absorbé, on a constaté que l’Isoméride se transformait en une sorte de petit « poison », la norfenfluramine, qui détruit petit à petit les valves cardiaques.
Or, lors de son absorption, le Mediator se transforme en ce même « poison ». Ce n’est donc pas tout à fait la même molécule mais c’est toutefois la même famille, et, que l’on consomme l’un ou l’autre, on est sans doute exposé de la même façon à un risque cardiaque. Or, l’Isoméride a été interdit en 1997 et le Médiator seulement en 2009. Aujourd’hui je n’en comprends toujours pas la raison.
Un rapprochement avait été fait puisqu’il existe des comptes-rendus de commissions de l’Afssaps datant de 1998 qui mentionnent le risque lié à la présence de norfenfluramine, après absorption de Mediator. L’Afssaps a alors décidé de surveiller ce risque, mais sans prévenir personne, ni les prescripteurs, ni les consommateurs. De plus, des valvulopathies ont été régulièrement notifiées à l’Afssaps à partir de 1999. Les médecins n’ont donc pourtant reçu aucune recommandation au sujet du Mediator jusqu’à son interdiction en 2009.
Par ailleurs, les petits curieux qui voulaient en savoir plus sur le Mediator, parce qu’ils avaient entendu parler d’un problème, appelaient le laboratoire qui commercialise ce médicament pour obtenir des informations. Or les réponses du laboratoire auxquelles j’ai eu accès étaient que ce médicament n’a aucune relation avec l’Isoméride.