Ahmed a écrit :Rembourser la dette étatique est un non-sujet puisqu'elle constitue une sorte de solution, pourquoi l'envisager en tant que problème? Ce statut de solution exclut l'idée même d'un quelconque changement de cap.
Lier une hypothétique régression de son montant à un surcroît d'inflation est intrigant: la réduction de la masse monétaire conduit au résultat inverse...
Suis content que tu dises ça vu que la note de la France est passée à “AA-“ +
sicetaitsimple a écrit :Rien compris à ces histoires de "dévaluation de l'€". La dette française est très majoritairement libellée en €, que celui-ci monte ou descende par rapport à d'autres monnaies ne change rien au montant de la dette.
Il serait plus juste de parler de dépréciation. Mais toi qui est si prompt à chercher la petite bête sans voir la poutre arriver (juste en passant, je suis AUSSI d’accord avec toi, mais pour juger de la valeur et santé d’une monnaie, il faut bien la comparer à une valeur étalon) mais surtout, pour te répondre adresse-toi à CHAT-GPT. j’ai le droit de m’interroger… on ne fait que causer… ça fait combien 1% de 3100 milliards…? Du coup les “prévisions” du PSMT, oscillant entre -6,1% du PIB (2024) et -2,8% du PIB (2029) on arrive à tout casser à 150 mios en 2024… et en admettant que la France tienne une moyenne de 100 mios de remboursement par an, on va où si le 1% du PIB c’est >25 milliards! Je trouve ça hilarant mais j’ai sans doute rien compris?