[...] drôle d'oiseau! ...>
...aussi, ce père plex
gegyx a écrit :D’ailleurs Obamot a tilté à la deuxième citation.
gegyx a écrit :Oh les gars !
Je suis déçu.
D’abord il faut répéter 2 fois. Après faut faire l’explication de texte, et c’est pas suffisant…
Donc je reprécise.
Le ton monte. Gongormatz s'empare du soufflet avec lequel Dodièze attise la braise de ses brochettes, et lui en donne un coup. Dodièze brandit une de ses espadrilles, mais laisse retomber son bras. De l'avis de tous, le monologue dans lequel Dodièze laisse éclater sa rabia est le sommet de la pièce :
Dodièze, l'espadrille à la main :
Qué rabia ! qué malheur ! Pourquoi qu'on devient vieux ?
Mieux qu'on m'aurait levé d'un coup la vue des yeux !
…
Ce bras qu'il a tant fait le salut militaire
Ce bras qu'il a porté des sacs de pommes de terre
Ce bras qu'il a gagné des tas de baroufas
Ce bras, ce bras d'honneur, voilà qu'y fait chouffa !
Moi, me manger des coups ? Alors ça, c'est terribe !
Suila qui me connait, y dit : "C'est pas possibe !
Gongormatz à Dodièze il a mis un taquet ?
Allez, va ! va de là ! T'as lu ça dans Mickey !"
He ben ouais ! Gongormatz, il a drobzé Dodièze
Ilia levé l'honneur, que c'est plus que le pèze !
Ah ! où qu'il est le temps de quand j'étais costaud ?
Oh ! Fernand ! je te rends ça qu'tu m'as fait cadeau :
(Il arrache sa décoration.)
...
(il s'en prend à son espadrille) :
Et toi que t'as rien fait, calamar de savate,
Au plus je t'arrégade, au plus je ois pas bien
Si ma main, c'est mon pied, ou mon pied c'est ma main !
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