Flytox a écrit :C'est quand qu'on fait pareil içi ?????????????
connais-tu l'adage : "doigt - cul - plop"?
c'est ppas demain.
Tchao viva...
lejustemilieu a écrit :Regardez le méchant président ou premier ministre Hongrois, il vire tous les vieux juges....
On ne dit pas que ce sont de vieux juges communistes.
Ce président Orban..ho, le méchant, le canard boiteux de l'union, il veut nationaliser les banques...comme en Islande
Grattez l'info, et n'écoutez pas le journal télévisé de Bouigues
Flytox a écrit :C'est quand qu'on fait pareil ici
Avant que les premiers Csángós prêtent serment, le Premier ministre Viktor Orbán, du haut des marches du Musée national, s’était adressé à une foule de plus de vingt mille personnes : "Nous, les Hongrois, avons juré ici même de ne plus jamais être des esclaves".
Chacun avait à l’esprit ce que signifiaient ces mots proclamés à l'occasion du 163ème anniversaire de la révolution anti-Habsbourg : le 15 mars 1848, les pères de la Révolution hongroise contraignaient le gouverneur impérial à céder aux douze exigences des révolutionnaires hongrois, parmi lesquelles la liberté de la presse et l'abolition de la censure.
"Le serment du 15 mars nous engage. Ce serment signifie que chaque Hongrois défendra chaque Hongrois, et tous ensemble nous défendrons la Hongrie." Orbán a parfaitement utilisé la symbolique de mars : "Fidèles à notre serment, nous n’avons pas accepté le diktat de Vienne de 1848, puis nous nous sommes opposés à Moscou en 1956 et en 1990. Aujourd'hui, nous ne permettrons à personne de nous dicter une conduite depuis Bruxelles."
Le chef du gouvernement fait l'objet de critiques pour avoir modifié la Constitution hongroise afin notamment d'y souligner l'importance de la religion avec une référence explicite à "Dieu" et de supprimer la mention "République de Hongrie" au profit de "Hongrie". Ses détracteurs y ont vu un tournant nationaliste.
"Peut-être sommes-nous en minorité avec cette position en Europe, mais nous avons la liberté de la représenter", a-t-il dit. Il a aussi dénoncé une "offensive politique contre la Hongrie" et dans le domaine financier, venue de l'extérieur, à un moment où le pays est en grande difficulté et demande des prêts internationaux.
A ce sujet, il a prévenu qu'il était seulement demandeur d'"aides de précaution" et n'entendait pas se laisser dicter sa conduite, contrairement à ce qui se passe à ses yeux pour la Grèce.
"Si le FMI veut nous accorder des prêts très bien, nous en serons très satisfaits", a-t-il dit au cours d'une conférence de presse, organisée après son intervention devant les eurodéputés.
"Mais une situation comme en Grèce où les Allemands disent qu'ils n'accorderont pas de prêts si les Grecs ne font pas ce qu'ils veulent, moi je ne veux pas donner cette idée" de la Hongrie, a-t-il dit.
"Nous ne voulons pas de l'argent de l'Allemagne, de l'Union européenne", a-t-il poursuivi, après avoir pourtant sollicité un prêt des Européens.
La Commission européenne menace de poursuivre le gouvernement hongrois en justice
L’Islande Se Réjouit D’avoir Abandonné Ses Banques
Au lendemain des accords conclus à Bruxelles dans la nuit de mercredi à jeudi autour de la création d’une supervision bancaire opérée par la Banque Centrale Européenne, Olafur Ragnar Grimsson, le président Islandais, s’est permis de narguer l’Union Européenne en se félicitant d’avoir laissé tomber les banques. Une décision « difficile mais décisive » pour la relance économique de son pays. Et contraire à la démarche européenne.
Faillites bancaires : la justice donne raison à l'Islande
Après la faillite de la banque Landsbanki, l'Islande a refusé de rembourser les pertes des épargnants britanniques et néerlandais. Une cour européenne lui donne raison.
L’Islande avait le droit, lorsque ses banques se sont effondrées en octobre 2008, de refuser de rembourser les épargnants étrangers, a tranché lundi la cour de l’AELE (Association européenne de libre-échange). La Cour a rejeté les arguments présentés par le Royaume-Uni et les Pays-Bas, a affirmé le tribunal dans son arrêt.
Le jugement était attendu pour savoir si l’argent public doit sauver ou non des banques en faillite. Après la faillite de la première banque privée du pays, Landsbanki, l’Islande a dû nationaliser en urgence son système bancaire, sans pouvoir répondre aux inquiétudes des déposants d’Icesave, une banque en ligne filiale de Landsbanki prisée par les épargnants britanniques et néerlandais. A l'époque du krach, Icesave comptait près de 4 milliards d’euros de dépôts.
Les gouvernements britannique et néerlandais avaient alors remboursé intégralement les épargnants d’Icesave avant de réclamer la facture à Reykjavik. Mais, en 2010 puis 2011, les Islandais ont refusé par référendum les modalités de remboursement négociées avec Londres et La Haye, en arguant qu’il n’y avait pas d’obligation légale pour qu’ils assument les pertes d’une banque privée.
La Commission européenne a poursuivi l’Islande devant le tribunal de l’AELE pour violation de la directive européenne relative sur les garantie des dépôts, qui oblige à assurer un minimum de 20 000 euros aux déposants d’une banque en faillite. Selon l’Islande, la directive oblige l’Etat à créer un fonds de garantie des dépôts mais pas à le garantir avec de l’argent public.
En vendant les actifs de Landbanski, l’Islande a déjà remboursé la moitié des sommes dues et espère régler la totalité d’ici à trois ans.
L’Islande s’est réjouie lundi de ce jugement, qui est définitif. «Icesave n’est désormais plus un obstacle à la reprise économique de l’Islande», a affirmé le gouvernement dans un communiqué. «Cette affaire a été particulièrement difficile à gérer à la fois d’un point de vue national et international, et a occasionné, entre autres choses, des retards considérables dans la mise en œuvre du programme du gouvernement», a poursuivi l’exécutif.
Le ministre des Affaires étrangères Össur Skarphedinsson s’est félicité du respect de la souveraineté de l’Islande dans cette affaire. «Nous avions une cause juste», a-t-il déclaré à la presse. «Je pense que la défense dans cette affaire, la plus grande jamais portée devant la cour de l’AELE, représentera un exemple pour les années à venir dans les annales de la loi européenne», a-t-il ajouté.
(AFP)
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