La solution suprême éternelle écologique pour le CO2 sans pompe à chaleur qui marche :
http://www.dlsc.ca/borehole.htm
On stocke la chaleur thermique solaire de l'été sous terre pour la récupérer en forte partie en hiver !!!
Kumkat, nouvel éconologue, je me présente...
autrement dit, enterrer une grosse réserve d'eau sous terre, chauffer l'été et utiliser l'hiver et jouer sur l'inertie de la masse d'eau...
en prenant ma petite cuillère tout de suite j'ai une chance d'y arriver avant la retraite :-)
le cout d'une telle installation et son entretient vallent ils le coup ?
en prenant ma petite cuillère tout de suite j'ai une chance d'y arriver avant la retraite :-)
le cout d'une telle installation et son entretient vallent ils le coup ?
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Pour le toutou...
http://www.mediapart.fr/club/blog/homme ... i-le-mange
Citation:
On arrête pas le progrès! Tout peut devenir l’objet d’étude, avec des conclusions parfois surprenantes. Ainsi cette étude publiée par le New Scientist.
«L'empreinte carbone d'un chien domestique est deux fois supérieure à celle d'un Land Cruiser qui parcourt 10.000 kilomètres par an. C'est la conclusion d'une étude menée par deux professeurs de l'université de Victoria, Brenda et Robert Vale, deux architectes spécialisés dans le développement durable.
Leur thèse, qu'ils développent dans un livre intitulé «Il est temps de manger le chien: le vrai guide pour une vie responsable», va même plus loin: il est préférable d'avoir des animaux de compagnie que l'on peut manger, comme des poules ou des lapins.
Le couple de chercheurs a étudié l'empreinte carbone des animaux domestiques les plus répandus, en prenant en compte les ingrédients de leur alimentation et l'espace nécessaire à leur fabrication. «L'impact annuel d'un berger allemand ou de chien de taille similaire est le même que celui de conduire une grosse voiture», explique Brenda Vale.
Leur étude, publiée dans le New Scientist, a ainsi trouvé qu'il fallait 0,84 hectare pour produire la nourriture annuelle moyen d'un chien de compagnie. Une Toyota Land Cruiser qui fait 10.000 km en un an utilise 55,1 gigajoules (en comptant la construction et le carburant). En estimant qu'un hectare de terre peut produire 135 gigajoules par an, l'empreinte carbone du véhicule peut se traduire par 0,41 hectares, soit la moitié de celle d'un chien.
Le New Scientist explique que les Vale ne sont pas les seuls à arriver à cette conclusion. Le magazine a demandé à un chercheur du Stockholm Environment Institute de York de refaire les calculs avec les mêmes données. Ses résultats étaient quasiment identiques à ceux des Vale, et il a fait remarquer que «posséder un chien est vraiment un luxe, notamment à cause de l'empreinte carbone de la viande.»
Selon les calculs des chercheurs, l'empreinte carbone d'un chat est sensiblement inférieure à celle d'un chien (0,15 hectare), mais représente quand même l'équivalent de celle d'une Golf. Les hamsters sont encore plus écolo avec une moyenne de 0,014 hectare (l'équivalent d'un écran plasma). Mais l'animal de compagnie le plus éco-responsable est sans conteste le poisson rouge, avec une empreinte de 0.00034 hectares (soit deux téléphones portables).»
Bon, les chiens ne produisent pas de C02. Et ils pètent et rotent moins que les vaches qui elle contribuent pour 18% aux émissions de gaz à effet de serre. Enfin, je n’ai pas encore lu d’étude sur les rots et les pets de chiens... Ni sur l'empreinte carbone de la création du chien de Giacometti (image 1. Cliquer pour agrandir les images).
Par contre, il serait intéressant de comparer le nombre d’enfants et d’adultes mordus par des chiens, au nombre de blessés par des 4x4. Même pas sûr que les 4x4 gagnent. Au fond, un Land Cruiser ça ne sert pas à grand chose. Même pour frimer, imaginez que vous alliez au bureau à dos de chien: c’est quand-même plus classe! Fini les vexations à cause de votre gros engin polluant et dangereux. Votre chien fait pire et vous serez félicité et admiré.
Mais peut-être aurait mieux valu ne pas ébruiter cette étude. Car maintenant les propriétaires de chiens vont être très, très mal vus. Alors, tant qu’à faire, allons dans le pire: le must des must de l’anti-social sera aller promener ses deux labradors en 4x4.
Par contre vous serez très bien vu si vous servez le chien en sauce à la place de la dinde de Noël.
http://www.mediapart.fr/club/blog/homme ... i-le-mange
Citation:
On arrête pas le progrès! Tout peut devenir l’objet d’étude, avec des conclusions parfois surprenantes. Ainsi cette étude publiée par le New Scientist.
«L'empreinte carbone d'un chien domestique est deux fois supérieure à celle d'un Land Cruiser qui parcourt 10.000 kilomètres par an. C'est la conclusion d'une étude menée par deux professeurs de l'université de Victoria, Brenda et Robert Vale, deux architectes spécialisés dans le développement durable.
Leur thèse, qu'ils développent dans un livre intitulé «Il est temps de manger le chien: le vrai guide pour une vie responsable», va même plus loin: il est préférable d'avoir des animaux de compagnie que l'on peut manger, comme des poules ou des lapins.
Le couple de chercheurs a étudié l'empreinte carbone des animaux domestiques les plus répandus, en prenant en compte les ingrédients de leur alimentation et l'espace nécessaire à leur fabrication. «L'impact annuel d'un berger allemand ou de chien de taille similaire est le même que celui de conduire une grosse voiture», explique Brenda Vale.
Leur étude, publiée dans le New Scientist, a ainsi trouvé qu'il fallait 0,84 hectare pour produire la nourriture annuelle moyen d'un chien de compagnie. Une Toyota Land Cruiser qui fait 10.000 km en un an utilise 55,1 gigajoules (en comptant la construction et le carburant). En estimant qu'un hectare de terre peut produire 135 gigajoules par an, l'empreinte carbone du véhicule peut se traduire par 0,41 hectares, soit la moitié de celle d'un chien.
Le New Scientist explique que les Vale ne sont pas les seuls à arriver à cette conclusion. Le magazine a demandé à un chercheur du Stockholm Environment Institute de York de refaire les calculs avec les mêmes données. Ses résultats étaient quasiment identiques à ceux des Vale, et il a fait remarquer que «posséder un chien est vraiment un luxe, notamment à cause de l'empreinte carbone de la viande.»
Selon les calculs des chercheurs, l'empreinte carbone d'un chat est sensiblement inférieure à celle d'un chien (0,15 hectare), mais représente quand même l'équivalent de celle d'une Golf. Les hamsters sont encore plus écolo avec une moyenne de 0,014 hectare (l'équivalent d'un écran plasma). Mais l'animal de compagnie le plus éco-responsable est sans conteste le poisson rouge, avec une empreinte de 0.00034 hectares (soit deux téléphones portables).»
Bon, les chiens ne produisent pas de C02. Et ils pètent et rotent moins que les vaches qui elle contribuent pour 18% aux émissions de gaz à effet de serre. Enfin, je n’ai pas encore lu d’étude sur les rots et les pets de chiens... Ni sur l'empreinte carbone de la création du chien de Giacometti (image 1. Cliquer pour agrandir les images).
Par contre, il serait intéressant de comparer le nombre d’enfants et d’adultes mordus par des chiens, au nombre de blessés par des 4x4. Même pas sûr que les 4x4 gagnent. Au fond, un Land Cruiser ça ne sert pas à grand chose. Même pour frimer, imaginez que vous alliez au bureau à dos de chien: c’est quand-même plus classe! Fini les vexations à cause de votre gros engin polluant et dangereux. Votre chien fait pire et vous serez félicité et admiré.
Mais peut-être aurait mieux valu ne pas ébruiter cette étude. Car maintenant les propriétaires de chiens vont être très, très mal vus. Alors, tant qu’à faire, allons dans le pire: le must des must de l’anti-social sera aller promener ses deux labradors en 4x4.
Par contre vous serez très bien vu si vous servez le chien en sauce à la place de la dinde de Noël.
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Merci Macro je vais mourir moins bête ce soir...
oui je vais mourir car j'ai informé mon chat de mon désir de lui faire arreter ses émissions de carbone
et il m'a fait remarquer que je serais plus efficace arretant les miennes...
c'est donc la fin programmée ! je ne verrais donc pas la fin du monde en dec 2012, arggg, je meurs... snif...
oui je vais mourir car j'ai informé mon chat de mon désir de lui faire arreter ses émissions de carbone
et il m'a fait remarquer que je serais plus efficace arretant les miennes...
c'est donc la fin programmée ! je ne verrais donc pas la fin du monde en dec 2012, arggg, je meurs... snif...
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Kumkat n'a pas lu et compris cette réalisation Canadienne qui est trop originale et qui marche et qui devrait lui plaire :
Il n' y a pas besoin d'eau, la terre d'origine inchangée suffit, avec des trous dedans 144 à 30m pour 59 pavillons !!
La terre a une capacité thermique non négligeable et sa diffusivité thermique est assez lente pour ne diffuser sa chaleur en général que sur une longueur de diffusion de 3m environ en une année.
C'est exactement comme un puits canadien correctement dimensionné où en plus on stocke la chaleur solaire en été pour la retrouver en hiver en grande partie si le volume de stockage a des dimensions bien au dessus de 2x3=6m, fixé par la longueur de diffusion de la chaleur dans la terre entre l'été et l'hiver (3m).
De plus on supprime ainsi toute pompe à chaleur et on utilise ce qui est le moins cher, la terre sous nos pieds, inchangée, non remuée, juste quelques trous pour échanger la chaleur.
Il est absurde de gaspiller la chaleur apportée par le soleil en été alors qu'elle manque en hiver.
http://www.dlsc.ca/borehole.htm
valeurs de diffusivité :
http://de.wikipedia.org/wiki/Temperatur ... %A4higkeit
Une fois réalisé, trous et tuyaux (25 sur 100m2 à 13m de profondeur), l'entretien est nul, car que des petites circulateurs, des capteurs d'été simples et des échangeurs ou radiateurs à basse température.
autrement dit, enterrer une grosse réserve d'eau sous terre, chauffer l'été et utiliser l'hiver et jouer sur l'inertie de la masse d'eau...
en prenant ma petite cuillère tout de suite j'ai une chance d'y arriver avant la retraite :-)
le cout d'une telle installation et son entretient valent ils le coup ?
Il n' y a pas besoin d'eau, la terre d'origine inchangée suffit, avec des trous dedans 144 à 30m pour 59 pavillons !!
La terre a une capacité thermique non négligeable et sa diffusivité thermique est assez lente pour ne diffuser sa chaleur en général que sur une longueur de diffusion de 3m environ en une année.
C'est exactement comme un puits canadien correctement dimensionné où en plus on stocke la chaleur solaire en été pour la retrouver en hiver en grande partie si le volume de stockage a des dimensions bien au dessus de 2x3=6m, fixé par la longueur de diffusion de la chaleur dans la terre entre l'été et l'hiver (3m).
De plus on supprime ainsi toute pompe à chaleur et on utilise ce qui est le moins cher, la terre sous nos pieds, inchangée, non remuée, juste quelques trous pour échanger la chaleur.
Il est absurde de gaspiller la chaleur apportée par le soleil en été alors qu'elle manque en hiver.
http://www.dlsc.ca/borehole.htm
valeurs de diffusivité :
http://de.wikipedia.org/wiki/Temperatur ... %A4higkeit
Une fois réalisé, trous et tuyaux (25 sur 100m2 à 13m de profondeur), l'entretien est nul, car que des petites circulateurs, des capteurs d'été simples et des échangeurs ou radiateurs à basse température.
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