sicetaitsimple a écrit :GuyGadebois a écrit :janic a écrit :Toujours à simplifier les choses selon ton pseudo.
Même ça t'as pas pigé. "Si c'était simple" ne veut pas dire que c'est simple, mais plutôt le contraire. Si c'était simple, ça se saurait.
Euh, oui, je n'ai pas souhaité relever...mais bon, restons sur le fond.
janic a écrit :J’ai ajouté SIC car cette prétention à être omnivore est pratiquée par une majorité des populations.
accordé!Euh non, c'est moi qui ai ajouté "sic"...
janic a écrit :accordé!Euh non, c'est moi qui ai ajouté "sic"...
il n'y a que les imbéciles qui ne se trompent jamais! Et comme MOI je ne suis pas un imbécile, MOI, je me trompe de temps en temps et au moins, MOI, je le reconnais; contrairement à certains qui se réfugient dans leur croyances sécurisantes et refusent d'aller au fond des choses pour ne pas se remettre en question. Dommage tu sais pourtant le faire pour le BIO, avis que je partage avec toi d'ailleurs comme quoi des opposants peuvent se rejoindre sur certains points. Comme quoi donc, ton cas n'est pas complètement désespéré.Mais non tu ne confuses pas mentalement, mais non....
tiens un avis éthique, parmi tant d'autres, et qui va plaire à eclectron!http://www.tribunal-animal.com/consciences/passees/krishnamurti-jiddu/
l’impact d’un régime 100% végane sur l’utilisation des surfaces agricoles a été quantifié par une étude menée par des chercheurs aux Pays-Bas et reprise par l’INRA. Elle démontre que le régime alimentaire le moins consommateur de surfaces agricoles contient 20 à 25 % de protéines animales, soit entre 9 et 20 grammes par jour. Au-dessus de ce seuil, les surfaces nécessaires pour l’élevage entrent en concurrence avec l’alimentation humaine. En dessous, il y a une perte de surface agricole du fait de la non-exploitation de terres incultivables mais pâturables. Par ailleurs, certaines cultures offrent des récoltes concomitantes pour l’alimentation humaine et animale, comme le tournesol dont on extrait l’huile et le tourteau, ce dernier ne pouvant être valorisé que par l’élevage (ou brulé en combustible).
En dessous, il y a une perte de surface agricole du fait de la non-exploitation de terres incultivables mais pâturables.
tout à fait! C'est la mentalité humaine que de s'accaparer TOUT, façon conquêtes de territoires appartenant à l'ennemi(celui qui ne veut pas se laisser piller) et d'en faire son bien exclusif. Les méchants loups, renards, chats et autres prédateurs de leurs moutons, poulets, aux méchants insectes qui bouffent leurs récoltes OGM en plus, aux saletés de champignons qui gâtent leurs vignes, à ces cochonneries d'herbes qui bouffent leur eau et leurs engrais artificiels et les méchants microbes qui dévastent leurs troupeaux et eux mêmes qu'ils faut aussi tuer, s'en débarrasser comme autant d'ennemis. Et on en voit maintenant les résultats dramatiques: Sols malades, plantes malades, animaux malades, humains malades. Bravo, on a bien réussi notre job!C'est à dire qu'il n'est tenu pour rien la possibilité que des animaux autres que ceux installés là au titre de l'élevage puissent paître en paix. Pourtant, il existe bien une concurrence entre les espaces accaparés par l'élevage et la faune sauvage qui est reléguée là où elle est ne gène pas trop ou encore carrément éliminée si ces endroits n'existent pas.
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