MYRTE Corse, stocker de l'électricité solaire en hydrogène
Il est certain qu'il y a énormément de possibilités (voir wikipedia accus et piles et autres liens) , mais le prix est essentiel, et stocker l'électricité photovoltaïque à faible rendement est absurde.
Autant stocker le thermique solaire avant conversion ou faire des algues ou végétaux (trainant partout) pour faire du pétrole, est bien meilleur.
Sinon, je répéte, la terre est gratuite, plus de mille fois moins chère que tout autre produit sels, accus, à produits chimiques stockés, etc..
Le m3 de terre vaut le kg de n'importe quoi de plus malin et efficace pour stocker (et il y a des milliers de solutions possibles)
Autant stocker le thermique solaire avant conversion ou faire des algues ou végétaux (trainant partout) pour faire du pétrole, est bien meilleur.
Sinon, je répéte, la terre est gratuite, plus de mille fois moins chère que tout autre produit sels, accus, à produits chimiques stockés, etc..
Le m3 de terre vaut le kg de n'importe quoi de plus malin et efficace pour stocker (et il y a des milliers de solutions possibles)
0 x
-
- Econologue expert
- Messages : 29945
- Inscription : 22/08/09, 22:38
- Localisation : regio genevesis
- x 5952
D'où Dédéleco tient-il cette estimation?
Je me vois bien avec ma tire, atteler une remorque pour y mettre la terre 65 m3 ça pèse combien?
Je me vois bien avec ma tire, atteler une remorque pour y mettre la terre 65 m3 ça pèse combien?
0 x
“Le “mal” porte en lui-même sa propre condamnation”
Liste de vrai second-nez potentiels suspectés: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
Liste de vrai second-nez potentiels suspectés: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
Sur le même sujet : http://www.habiter-autrement.org/12.ene ... 9_ener.htm
"Une équipe d'ingénieurs australiens de l'université de Nouvelle-Galles du Sud, à Sydney, a trouvé le moyen de stocker l'électricité dans des cuves, sous forme liquide. La centrale éolienne de King Island, une île du sud de l'Australie, expérimente ainsi depuis 2003 un accumulateur à circulation qui emmagasine l'excédent d'électricité produit lorsque le vent souffle fort pour le restituer lorsqu'il faiblit.
Ce système pourrait lever l'un des obstacles qui freinent le développement des énergies renouvelables, en leur permettant d'alimenter le réseau en l'absence de vent ou de soleil. A King Island, le générateur thermique qui prend le relais des éoliennes quand il n'y a pas de vent a vu sa consommation de fioul diminuer de moitié. "Le principe de ces batteries est connu depuis longtemps, mais personne n'était parvenu à le mener au stade de la commercialisation", dit Maria Skyllas-Kazacos, l'ingénieur chimiste qui dirige depuis vingt ans les recherches de l'université de Nouvelle-Galles du Sud sur ces accumulateurs.
Contrairement aux batteries classiques au plomb, ces derniers utilisent des électrolytes (liquides dans lesquels baignent les plaques de l'accumulateur) qui ne sont pas stockés à l'intérieur, mais dans deux réservoirs externes. C'est leur mise en contact, dans une cuve centrale, qui produit de l'électricité. Pour la recharge, l'apport de courant provenant des éoliennes assure la séparation des deux électrolytes, qui sont à nouveau stockés dans leurs réservoirs. L'avantage du système à circulation sur les batteries classiques réside dans sa capacité à fournir aussi bien un kilowattheure que plusieurs centaines de mégawattheures.
L'accumulateur de King Island peut ainsi restituer 200 kilowatts d'électricité pendant quatre heures. "Théoriquement, les capacités de stockage sont illimitées : il suffit d'augmenter la capacité des cuves d'électrolytes", confirme Mme Skyllas-Kazacos. Les quatre réservoirs de King Island contiennent 55 000 litres. Pour gagner de la place, il est possible de les entreposer sous terre. Une poignée de centrales éoliennes testent déjà le système, sur l'île japonaise d'Hokkaido ou encore aux Etats-Unis."
"Une équipe d'ingénieurs australiens de l'université de Nouvelle-Galles du Sud, à Sydney, a trouvé le moyen de stocker l'électricité dans des cuves, sous forme liquide. La centrale éolienne de King Island, une île du sud de l'Australie, expérimente ainsi depuis 2003 un accumulateur à circulation qui emmagasine l'excédent d'électricité produit lorsque le vent souffle fort pour le restituer lorsqu'il faiblit.
Ce système pourrait lever l'un des obstacles qui freinent le développement des énergies renouvelables, en leur permettant d'alimenter le réseau en l'absence de vent ou de soleil. A King Island, le générateur thermique qui prend le relais des éoliennes quand il n'y a pas de vent a vu sa consommation de fioul diminuer de moitié. "Le principe de ces batteries est connu depuis longtemps, mais personne n'était parvenu à le mener au stade de la commercialisation", dit Maria Skyllas-Kazacos, l'ingénieur chimiste qui dirige depuis vingt ans les recherches de l'université de Nouvelle-Galles du Sud sur ces accumulateurs.
Contrairement aux batteries classiques au plomb, ces derniers utilisent des électrolytes (liquides dans lesquels baignent les plaques de l'accumulateur) qui ne sont pas stockés à l'intérieur, mais dans deux réservoirs externes. C'est leur mise en contact, dans une cuve centrale, qui produit de l'électricité. Pour la recharge, l'apport de courant provenant des éoliennes assure la séparation des deux électrolytes, qui sont à nouveau stockés dans leurs réservoirs. L'avantage du système à circulation sur les batteries classiques réside dans sa capacité à fournir aussi bien un kilowattheure que plusieurs centaines de mégawattheures.
L'accumulateur de King Island peut ainsi restituer 200 kilowatts d'électricité pendant quatre heures. "Théoriquement, les capacités de stockage sont illimitées : il suffit d'augmenter la capacité des cuves d'électrolytes", confirme Mme Skyllas-Kazacos. Les quatre réservoirs de King Island contiennent 55 000 litres. Pour gagner de la place, il est possible de les entreposer sous terre. Une poignée de centrales éoliennes testent déjà le système, sur l'île japonaise d'Hokkaido ou encore aux Etats-Unis."
Dernière édition par Cuicui le 15/01/12, 23:01, édité 2 fois.
0 x
L'huile de palme ou un sel basique à fondre ou toute autre produit industriel original, coûte combien ???
Environ autour du € le litre ou le Kg, ! !
Le m3 sous terre chauffé par perçage de 20mm de diamètre tous les 2m de distance, à 4m2 de surface utile soit 4m3/m par perçage coûte combien, aussi quelques €/m, un peu variables suivant la dureté de la terre, mais si molle aussi 4€/m.
Donc facteur environ mille entre les deux !!
Pour les batteries à stockage de l'électrolyte et autres variées, il y en a déjà plein, voir wikipedia qui en dresse la liste !!
Mais quel prix réel ?? et durée de vie à vérifier, les batteries depuis 1860, sont loin d'être encore parfaites.
Il est certain qu'il y a plein de possibilités de toutes sortes pour le renouvelable.
La difficulté est quel est le meilleur choix, quelles sont celles à grand potentiel de progrès ou de bas prix?.
Environ autour du € le litre ou le Kg, ! !
Le m3 sous terre chauffé par perçage de 20mm de diamètre tous les 2m de distance, à 4m2 de surface utile soit 4m3/m par perçage coûte combien, aussi quelques €/m, un peu variables suivant la dureté de la terre, mais si molle aussi 4€/m.
Donc facteur environ mille entre les deux !!
Pour les batteries à stockage de l'électrolyte et autres variées, il y en a déjà plein, voir wikipedia qui en dresse la liste !!
Mais quel prix réel ?? et durée de vie à vérifier, les batteries depuis 1860, sont loin d'être encore parfaites.
Il est certain qu'il y a plein de possibilités de toutes sortes pour le renouvelable.
La difficulté est quel est le meilleur choix, quelles sont celles à grand potentiel de progrès ou de bas prix?.
Dernière édition par dedeleco le 15/01/12, 19:15, édité 1 fois.
0 x
-
- Econologue expert
- Messages : 29945
- Inscription : 22/08/09, 22:38
- Localisation : regio genevesis
- x 5952
Cuicui a écrit :Sur le même sujet : http://www.habiter-autrement.org/12.ene ... 9_ener.htm
[i]"Une équipe d'ingénieurs australiens de l'université de Nouvelle-Galles du Sud, à Sydney, a trouvé le moyen de stocker l'électricité dans des cuves, sous forme liquide. La centrale éolienne de King Island, une île du sud de l'Australie, expérimente ainsi depuis 2003 un accumulateur à circulation qui emmagasine l'excédent d'électricité produit lorsque le vent souffle fort pour le restituer lorsqu'il faiblit.
Ce système pourrait lever l'un des obstacles qui freinent le développement des énergies renouvelables, en leur permettant d'alimenter le réseau en l'absence de vent ou de soleil. A King Island, le générateur thermique qui prend le relais des éoliennes quand il n'y a pas de vent a vu sa consommation de fioul diminuer de moitié. "Le principe de ces batteries est connu depuis longtemps, mais personne n'était parvenu à le mener au stade de la commercialisation", dit Maria Skyllas-Kazacos, l'ingénieur chimiste qui dirige depuis vingt ans les recherches de l'université de Nouvelle-Galles du Sud sur ces accumulateurs.
Contrairement aux batteries classiques au plomb, ces derniers utilisent des électrolytes (liquides dans lesquels baignent les plaques de l'accumulateur) qui ne sont pas stockés à l'intérieur, mais dans deux réservoirs externes. C'est leur mise en contact, dans une cuve centrale, qui produit de l'électricité. Pour la recharge, l'apport de courant provenant des éoliennes assure la séparation des deux électrolytes, qui sont à nouveau stockés dans leurs réservoirs. L'avantage du système à circulation sur les batteries classiques réside dans sa capacité à fournir aussi bien un kilowattheure que plusieurs centaines de mégawattheures.
L'accumulateur de King Island peut ainsi restituer 200 kilowatts d'électricité pendant quatre heures. "Théoriquement, les capacités de stockage sont illimitées : il suffit d'augmenter la capacité des cuves d'électrolytes", confirme Mme Skyllas-Kazacos. Les quatre réservoirs de King Island contiennent 55 000 litres. Pour gagner de la place, il est possible de les entreposer sous terre. Une poignée de centrales éoliennes testent déjà le système, sur l'île japonaise d'Hokkaido ou encore aux Etats-Unis."[/i]
Manque l'information sur la maintenance: remplacement éventuel des plaques-électrodes+[électrolyte], corrosion éventuelle, coût des composants + coût initial et amortissement etc... Mais ça m'a l'air excellent. Même révolutionnaire à cette échelle industrielle!
Dernière édition par Obamot le 15/01/12, 19:27, édité 1 fois.
0 x
“Le “mal” porte en lui-même sa propre condamnation”
Liste de vrai second-nez potentiels suspectés: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
Liste de vrai second-nez potentiels suspectés: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
- sherkanner
- Bon éconologue!
- Messages : 386
- Inscription : 18/02/10, 15:47
- Localisation : Autriche
- x 1
Ah oui j'en avais entendu parler, c'est l'une des pistes envisagées pour enlever la limitation des véhicules électriques. Les remplacer par des batteries a électrolyte liquide. Refaire le plein reviendrais a échanger les électrolyte. Bon j'ai pas plus de données que ca. Mais la au moins ca a un peu plus de sens pour moi que la production d'hydrogene. (bon a voire la perte de charge avec le temps)
0 x
Quand on travail, il faut toujours se donner à 100%: 12% le lundi; 25% le mardi; 32% le mercredi; 23% le jeudi; et 8% le vendredi
dedeleco a écrit :Il est certain qu'il y a plein de possibilités de toutes sortes pour le renouvelable. La difficulté est quel est le meilleur choix, quelles sont celles à grand potentiel de progrès ou de bas prix?.
+1
Pour les cuves à électrolytes, le challenge actuel consiste à trouver les produits permettant de baisser les coûts, d'augmenter la fiablilité, de diminuer voire supprimer l'éventuelle toxicité des produits et la corrosion de l'installation.
0 x
sherkanner a écrit :Ah oui j'en avais entendu parler, c'est l'une des pistes envisagées pour enlever la limitation des véhicules électriques. Les remplacer par des batteries a électrolyte liquide. Refaire le plein reviendrais a échanger les électrolyte. Bon j'ai pas plus de données que ca. Mais la au moins ca a un peu plus de sens pour moi que la production d'hydrogene. (bon a voire la perte de charge avec le temps)
Des essais ont été fait avec des voiturettes de golf. Mais en pratique, avec la technologie actuelle, les électrolytes en cuve sont encore trop volumineuses pour une voiture. Pour l'instant, l'acide formique est peut-être une meilleure solution.
0 x
Il y en a une qui marche à prix du pétrole typique avant sa flambée de prix, c'est Kaplan, qui a été réalisé et mis au point sur algues bretonnes en quantités excessives pour fabriquer du pétrole avec des réaction biochimique basques des années 1800 :
https://www.econologie.com/forums/4kg-d-herb ... 11431.html
https://www.econologie.com/forums/post222194.html#222194
https://www.econologie.com/forums/post222228.html#222228
https://www.econologie.com/forums/4kg-d-herb ... 11431.html
https://www.econologie.com/forums/post222194.html#222194
https://www.econologie.com/forums/post222228.html#222228
0 x
Revenir vers « Hydraulique, éoliennes, géothermie, énergies marines, biogaz... »
Qui est en ligne ?
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 193 invités