janic a écrit :le pain blanc est connu comme mavais pour la santé depuis longtemps, depuis la mouture industrielle et produit une maladie vasculaire dont j'ai oublié le nom... mais ça reviendra.
C'est revenu c'est l'Hémogliase hyper alpha 2!
Comme toujours, par janic, aucune explication ou info, sur cette Hémogliase hyper alpha 2 ,
qui
doit nous tuer tous, en mangeant plein de pain blanc, et selon laquelle je devrais être mort à sucer les pissenlits par la racine depuis bellurette, vu la quantité de ce pain ordinaire que j'ai mangé depuis l'enfance, sans savoir,
ayant atteint cet age limite ultime, sans tomber du haut de mon cerisier, ni avoir des maux de tête avec mes petits problèmes du BEPC, ni diminution de mes capacités, ni de ma tension à zéro, ni de mon cerveau, ni de mes capacités à courir 200m de dénivelé, ni m'endormir ce soir devant mon ordinateur, aussi tout cela est faux, au moins pour moi, et
déraille, comme le four microonde, qui tue si on y réchauffe nos aliments.
Comme de plus cette maladie ne semble exister que dans l'esprit d'une minorité de fanatiques réduite , à presque zéro , tout cela est douteux !!
Le Docteur ... insiste sur le fait que l’hémogliase TUE PRATIQUEMENT 20 % DE L’HUMANITÉ MASCULINE AVANT 70 ANS. Il ajoute qu’elle semble plus répandue et plus dangereuse que la tuberculose par exemple.
On conçoit donc toute l’importance qu’il y a, pour les praticiens, à supprimer radicalement, chez leurs malades, toute ingestion de pain blanc, non seulement quand les symptômes de l’hémogliase sont déjà présents, mais même à titre préventif.
Les signes cliniques fondamentaux sont :
l ° Des céphalées diurnes profondes, de la nuque et de la région occipitale (depuis quelques heures par jour à la journée entière), puis survenant la nuit, aggravées par l’effort intellectuel et les repas.
2° Des somnolences post-prandiales, peu à peu aggravées d’éclipses vertigineuses brèves, sources fréquentes d’accidents de conduite automobile, de noyades et de chutes du haut d’un échafaudage.
3° D’impression de ralentissement idéatoire, dégoût de la réflexion, troubles caractériels, irritabilité, allant jusqu’à la confusion mentale, ou au suicide au cours d’un état psycho-dépressif.
4° De dyspepsie flatulente, allant jusqu’à la gastrite acide, à horaire tardif — simulant l’ulcus duodénal ou les pancréatites chroniques exocrines ; la plexite cœliaque est presque constante.
5° De diminution de l’activité sexuelle jusqu’à disparition du désir génésique.
6° De fragilité capillaire, contrôlée à l’Angio-Stéro-mètre de Parror (rupture et pétéchies) après 30 secondes de dépression à 30 cm d’eau.
7° D’hypotension à 10-4, 9-3, qui est presque de règle.
8° De signes ophtalmiques : aspect de capillarose spéciale du fond de l’œil et tension très basse de l’artère centrale de la rétine.
Les signes humoraux fondamentaux sont :
1° Une hyperviscosité du sang : elle monte de 4,8 à 7,8 dans les cas extrêmes d’hémogliase, alors que la normale se situe entre 3,8 et 4,3 au viscosimètre de HESS.
2° Un ralentissement circulatoire mesuré par le test au Dychollium.
3° Des tests électro-biochimiques, essentiellement représentés par « la fiche réticulo-endothéliale » qui permet de déceler une augmentation élective spécifique isolée du taux de précipitation de I’EUGLOBULINE ALPHA 2, allant du double au décuple du taux d’opacité photométrique habituel.
Lorsque l’hémogliase est extrême, et voisine des accidents aigus et graves, on constate une élévation du taux de potassium sanguin.
Le Docteur ... poursuit : « l’hémogliase est si répandue que chaque praticien la rencontre au moins une fois par jour, et son dépistage lui en sera facilité par l’analyse suivante de ses formes cliniques :
« LE CARDIOLOGUE va s’apercevoir rapidement que 60 % au moins des séquelles d’infarctus qu’il traite (chez l’homme de moins de 65 ans non athéroînateux) présentent les signes humoraux de l’hémogliase. Il saura dorénavant en prévenir presque à tous coups les récidives et en protéger l’immense cohorte des pléthoriques non athéromateux, non hypertendus, qui viennent le consulter pour somnolence, dyspnées ou précordialgies post-prandiales.
« LE GASTROENTEROLOGUE, souvent bien embarrassé devant les dyspepsies flatulentes, les petits angors digestifs, les somnolences post-prandiales du pléthorique hypotendu, va se trouver devant une situation analogue a celle du cardiologue, avec l’avantage supplémentaire de voir, en général, des malades qui, précisément, n’ont pas encore fait l’accident vasculaire.
« L’OPHTALMOLOGISTE leur sera à tous d’un précieux recours, car l’examen du fond d’œil est très souvent révélateur, et ce spécialiste va se trouver à un carrefour d’un exceptionnel intérêt, car il pourra aussi bien confirmer un diagnostic d’hémogliase que prévenir les médecins, chirurgiens (et surtout les neurochirurgiens) d’une hémogliase capable de simuler d’autres maladies ou de compliquer une intervention.
« LES PSYCHIATRES pourront déceler l’hémogliase chez les Presbiophrènes, lesquels sont souvent internés pour cette affection qui guérir pourtant par des procédés thérapeutiques exclusivement non psychiatriques.
« LES CHIRURGIENS connaissant l’existence de ce syndrome, comprendront immédiatement que le stress opératoire est une des causes les plus fréquentes d’accident apoplectiforme ou infarctoïde chez les hémogliasiques QUI AVAIENT POURTANT DES TESTS DE PROTHROMBINE ET HÉPARINE NORMAUX, et ils pourront prévenir ces accidents.
« D’autre part, les CONSULTANTS auront souvent a faire le débrouillage d’une hémogliase plus ou moins associée, simulant des affections hépatiques, rénales, digestives, athéromateuses, endocriniennes ».
Lorsqu’il n’est pas convenablement traité, ce syndrome d’hémogliase aboutit à des phénomènes de sénescence précoce, de vieillissement prématuré, ou bien, à l’occasion d’un stress plus ou moins sévère tel que :
variation barométrique, émotion, repas abondant, intervention chirurgicale, maladie infectieuse (une grippe banale peut suffire), intoxication (abus d’alcool par exemple), bain froid, etc..., l’affection se terminera par un accident aigu et dramatique tel que : œdème aigu du poumon, ramollissement cérébral, infarctus du myocarde, pancréatite hémorragique, hémorragie cérébrale ou intestinale, ou méningée, etc...
et je vous laisse le plaisir de trouver l'origine de ce texte étrange, rassemblant toutes les maladies en une seule, spécialité de janic.