Un monde nouveau sans règles, bien ou mal?
Oui , ce qu'il faut contester c'est que ce soit les puissants qui fassent les règles.....la vraie équité , on y est pas encore
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La Raison c'est la folie du plus fort. La raison du moins fort c'est de la folie.
[Eugène Ionesco]
http://www.editions-harmattan.fr/index. ... te&no=4132
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La principale chose qui doive être contestée, c'est la puissance...
Changer la puissance de camp d'amènera pas l'équité.
Le paradoxe de la puissance, c'est qu'elle réside surtout dans la croyance de ceux qui y sont soumis et leur servitude volontaire...
Changer la puissance de camp d'amènera pas l'équité.
Le paradoxe de la puissance, c'est qu'elle réside surtout dans la croyance de ceux qui y sont soumis et leur servitude volontaire...
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"Ne croyez surtout pas ce que je vous dis."
Ahmed a écrit :La principale chose qui doive être contestée, c'est la puissance...
Changer la puissance de camp d'amènera pas l'équité.
Je vois ce que tu veux dire, mais ça se mort la queue...sans donner de solution.
Le paradoxe de la puissance, c'est qu'elle réside surtout dans la croyance de ceux qui y sont soumis et leur servitude volontaire...
Étrange paradoxe en effet , mais la puissance fait surtout des servitudes volontaires à l'insu de leur plein grès.
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L'idée que j'approuve, c'est qu'il faut des règles applicables et appliquées (selon Chatelot qui force le trait là-dessus mais qui a raison)... Je m'en fait d'ailleurs souvent l'avocat.
Seulement il faut des règles à bon escient et humaines et non pas un système manichéen qui va tout nettoyer au karcher...
Je vois ça environ comme ça:
La principale cible, devrait-être amenée progressivement autour de la pénalisation des actes de prédation économique. Et là ça sera difficile de placer le curseur dans un monde où l'on encourage la compétition à tout crin.
Il faut aussi appliquer des variables d'ajustement à l'économie réelle (et pas seulement au monde économique très virtuel). Une sorte de droit opposable aux pratiques économiques démagogiques.
Un droit qui dans son application, mettrait en évidence qu'un secteur éventuellement plus rentable à moyen terme, pourrait le redevenir plus tard. Notamment pour des question de coût de M.O. ou autre type de dumping sur les matières premières.
Il faudrait donc des règles du jeu capable de fluctuer avec les indices. Tenant notamment compte de la vraie problématique du coût des transports (qui sont sous estimés eu égard a un prix du pétrole fantaisiste). Idem pour l'énergie. J'ignore si de tels mécanismes existent (il doit y en avoir quelques uns), mais en tout cas je ne les vois pas s'appliquer.
Et évidemment, la principale difficulté serait de faire en sorte que ces variables échappent à tout mécanisme de spéculation. C'est pourquoi je le dis depuis longtemps: il faudrait trouver le moyen via le droit, de découpler l'économie réelle de l'économie virtuelle (et ça passerait par une redéfinition de ce qu'est la «matière première», ainsi que de son coût et son paiement au juste prix eu égard à une sorte «d'indice de renouvelabilité»).
Les possiblités seraient alors grande de rétablir une trame de fonctionnement plus réaliste de l'activité humaine...
Tout ce qu'on voit «d'innovant» depuis une bonne dizaine d'années, ce ne sont que des regroupements à n'en plus finir (même les communes finissent par se regrouper... alors que leur destination première est la décentralisation du pouvoir... c.f. => puissance) c'est à celui qui sera le plus gros, pour ne pas se faire bouffer et/ou absorber les autres. Et on a vu ça dans les secteurs hyper-rentables comme les banques, l'assurance ou la chimie! Ça fait froid dans le dos.
Nous sommes entrés dans une sorte de spirale infernale (en fait nous y sommes rentrés depuis la deuxième guerre mondiale, dont on ne fini pas de payer l'addition). Et il est vrai, comme beaucoup d'entre-vous le martèlent, que la fuite en avant est une voie sans issue.
L'abus de puissance conduit à l'impuissance!
En l'état, la marge de progrès devrait se faire dans toute optimisation de l'existant (puisque seule la maîtrise des cycles environnementaux par respect de la nature ont une perspective de croissance intrinsèque. C'est un idéal réaliste amha. Et non la croissance exponentielle et sans limite, mirage de la civilisation industrielle. C'est la où les enjeux de l'éconologie deviennent logiques aussi bien qu'économiques au meilleur sens du terme.
Seulement il faut des règles à bon escient et humaines et non pas un système manichéen qui va tout nettoyer au karcher...
Je vois ça environ comme ça:
La principale cible, devrait-être amenée progressivement autour de la pénalisation des actes de prédation économique. Et là ça sera difficile de placer le curseur dans un monde où l'on encourage la compétition à tout crin.
Il faut aussi appliquer des variables d'ajustement à l'économie réelle (et pas seulement au monde économique très virtuel). Une sorte de droit opposable aux pratiques économiques démagogiques.
Un droit qui dans son application, mettrait en évidence qu'un secteur éventuellement plus rentable à moyen terme, pourrait le redevenir plus tard. Notamment pour des question de coût de M.O. ou autre type de dumping sur les matières premières.
Il faudrait donc des règles du jeu capable de fluctuer avec les indices. Tenant notamment compte de la vraie problématique du coût des transports (qui sont sous estimés eu égard a un prix du pétrole fantaisiste). Idem pour l'énergie. J'ignore si de tels mécanismes existent (il doit y en avoir quelques uns), mais en tout cas je ne les vois pas s'appliquer.
Et évidemment, la principale difficulté serait de faire en sorte que ces variables échappent à tout mécanisme de spéculation. C'est pourquoi je le dis depuis longtemps: il faudrait trouver le moyen via le droit, de découpler l'économie réelle de l'économie virtuelle (et ça passerait par une redéfinition de ce qu'est la «matière première», ainsi que de son coût et son paiement au juste prix eu égard à une sorte «d'indice de renouvelabilité»).
Les possiblités seraient alors grande de rétablir une trame de fonctionnement plus réaliste de l'activité humaine...
Tout ce qu'on voit «d'innovant» depuis une bonne dizaine d'années, ce ne sont que des regroupements à n'en plus finir (même les communes finissent par se regrouper... alors que leur destination première est la décentralisation du pouvoir... c.f. => puissance) c'est à celui qui sera le plus gros, pour ne pas se faire bouffer et/ou absorber les autres. Et on a vu ça dans les secteurs hyper-rentables comme les banques, l'assurance ou la chimie! Ça fait froid dans le dos.
Nous sommes entrés dans une sorte de spirale infernale (en fait nous y sommes rentrés depuis la deuxième guerre mondiale, dont on ne fini pas de payer l'addition). Et il est vrai, comme beaucoup d'entre-vous le martèlent, que la fuite en avant est une voie sans issue.
L'abus de puissance conduit à l'impuissance!
En l'état, la marge de progrès devrait se faire dans toute optimisation de l'existant (puisque seule la maîtrise des cycles environnementaux par respect de la nature ont une perspective de croissance intrinsèque. C'est un idéal réaliste amha. Et non la croissance exponentielle et sans limite, mirage de la civilisation industrielle. C'est la où les enjeux de l'éconologie deviennent logiques aussi bien qu'économiques au meilleur sens du terme.
Dernière édition par Obamot le 13/07/12, 22:02, édité 1 fois.
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Flytox tu écris:
On approche d'une solution lorsque l'on renonce à un combat illusoire.
Une image: deux cerfs qui ont encastrés leurs bois l'un dans l'autre et sont morts ensemble car ils n'ont pu se séparer...
Je vois ce que tu veux dire, mais ça se mord la queue...sans donner de solution.
On approche d'une solution lorsque l'on renonce à un combat illusoire.
Une image: deux cerfs qui ont encastrés leurs bois l'un dans l'autre et sont morts ensemble car ils n'ont pu se séparer...
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@ Obamot: pour faire écho à tes souhaits, voici une analyse (pessimiste) de la spécificité de l'économie allemande, par Wolfgang Streek.
http://www.mpifg.de/pu/mpifg_dp/dp95-5.pdf
http://www.mpifg.de/pu/mpifg_dp/dp95-5.pdf
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Aïe ... de la real-ökonologik Encore un Planké ?
Je vais bien avoir besoin du week-end pour tirer quelques modestes enseignements de cette approche qui me semble à priori bien observée, que je trouve relativement fondée autour du similaire «compromis helvétique» (mais de la théorie à la pratique, y'a un sacré gouffre, on a aussi nos pourris chez les "cousins germains"). J'ai envie de dire: et Décartes dans tout ça?! Pour remuer un peu plus, parce que là on est loin de toucher aux fondamentaux en espérant qu'on ne fasse pas simplement retourner le couteau dans la plaie en se faisant le moins mal possible...
Ça me fait penser d'emblée à ça, dans le concept socioéconomique:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Banque_WIR
http://www.wir.ch/index.html
Du style, "on ne met pas tous les œufs dans le même panier..."
Ça fait très fouillé, à côté de ma "petite logorrhée" hihihihihi...
Curieusement j'attendais de tomber sur un tel document sans trop oser espérer mettre la main dessus un jour! Alors mille merci.
Je vais bien avoir besoin du week-end pour tirer quelques modestes enseignements de cette approche qui me semble à priori bien observée, que je trouve relativement fondée autour du similaire «compromis helvétique» (mais de la théorie à la pratique, y'a un sacré gouffre, on a aussi nos pourris chez les "cousins germains"). J'ai envie de dire: et Décartes dans tout ça?! Pour remuer un peu plus, parce que là on est loin de toucher aux fondamentaux en espérant qu'on ne fasse pas simplement retourner le couteau dans la plaie en se faisant le moins mal possible...
Ça me fait penser d'emblée à ça, dans le concept socioéconomique:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Banque_WIR
http://www.wir.ch/index.html
Du style, "on ne met pas tous les œufs dans le même panier..."
Ça fait très fouillé, à côté de ma "petite logorrhée" hihihihihi...
Curieusement j'attendais de tomber sur un tel document sans trop oser espérer mettre la main dessus un jour! Alors mille merci.
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Si vous me permettez, je pense que l'équité est tout simplement contre nature! Il me semble évident que c'est la nature elle même qui impose les hiérarchies! Il y a ceux qui mange et ceux qui se font manger, ce n'est pas plus compliqué que ça. Le règne animal est ainsi fait et nous faisons partie de ce règne animal...
Beaucoup ont essayé d'élaborer des doctrines utopistes où tous les hommes seraient égaux. Ils se sont tous cassé les dents!
La planète elle-même n'est pas prévue pour l'équité. Suivant où l'on se trouve sous le globe, c'est soit l'abondance soit le désert.
Certains puissants choisiront d'aider les plus faibles et c'est tout à fait normal. Mais dès l'instant où ils seront eux-mêmes en péril, ils ne penseront qu'à eux et ça aussi c'est tout à fait normal! Ca s'appelle l'instinct de survie et cet instinct a été créé par la nature pour la survie des espèces!
En bref, il y a des forts et des faibles ce qui donne la sélection naturelle!
Nous ne sommes que des animaux avec un ego assez démesuré pour croire que nous n'en sommes pas...
p.s.: je vous laisse mettre de l'ordre dans tout ce que je dis, il est un peu tôt pour la prose...
Beaucoup ont essayé d'élaborer des doctrines utopistes où tous les hommes seraient égaux. Ils se sont tous cassé les dents!
La planète elle-même n'est pas prévue pour l'équité. Suivant où l'on se trouve sous le globe, c'est soit l'abondance soit le désert.
Certains puissants choisiront d'aider les plus faibles et c'est tout à fait normal. Mais dès l'instant où ils seront eux-mêmes en péril, ils ne penseront qu'à eux et ça aussi c'est tout à fait normal! Ca s'appelle l'instinct de survie et cet instinct a été créé par la nature pour la survie des espèces!
En bref, il y a des forts et des faibles ce qui donne la sélection naturelle!
Nous ne sommes que des animaux avec un ego assez démesuré pour croire que nous n'en sommes pas...
p.s.: je vous laisse mettre de l'ordre dans tout ce que je dis, il est un peu tôt pour la prose...
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(Anciennement connu sous le pseudo de Gregconstruct) Parce que chaque geste compte... Je vous sers une petite 10???
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— «l'équité est tout simplement contre nature!»
Pas tant que ça, il y a sûrement des tiraillements avec le contraire de cette idée
L'homme est plutôt un être social ! (notes sur Wolfgang Streek I préambule)
D'abord dire que c'est la nature qui impose les hiérarchies est à la fois vrai et faux. Parce que l'homme fait lui aussi partie de ladite nature! Et ce qui fait sa différence est justement qu'il cherche à se différencier du règne animal. Donc l'homme est à même de faire des «aménagements» (doctrines +/- utopistes, etc comme voulvoul, mais en fonction de ses besoins). Après je lâche, parce que ça devient trop manichéen (pour quelqu'un qui reprend l'idée de l'égo à son compte... hé héé), parce qu'on ferait alors fi de l'engagement de chacun. C'est aussi prendre ça en compte, qui est de l'éthique.
Pré en bulles (avec un peu d'humour ça passe mieux)
Quelques constats et simplifications (liste non exhaustive). Parlons d'abord du CORDON OMBILICAL car il est autant une belle métaphore qu'une symbolique forte pour dire que l'humain est un être profondément social et ...mamifère!
Si on a physiquement coupé le cordon à la naissance
=> on tente de faire quelque aménagement toute sa vie (tellement vrai que l'enfant continue de croire qu'il fait partie de sa mère pendant un temps certain...).
=> => dans l'esprit est fortement ancré à titre de référence/s l'image du père et de la mère.
=> => => schématiquement: la mère porte l'enfant vers la vie, et le père vers la société.
(Rôles interchangeables sauf pour le rôle de la mère ).
A partir de là, et c'est pourquoi la société est très compliquée, ce n'est qu'imbrication de cycles et de systèmes, fonctionnant plus ou moins harmonieusement entre eux.
Mais on ne fait bien souvent que répéter un modèle, l'homme a déjà essayé le clonage sur lui même depuis bien longtemps, ça devrait s'appeler le clown_âge
– Ça commencerait dès la naissance, généralement avec "l'acceptation sociale du nouvel être humain venu" (ou non!) symbolisée par le baptême ou tout autre acte symbolique (et même avant selon le conformisme culturel de chacun imbriqué ou non dans un moule religieux, de façon directe ou indirecte);
– puis à chaque fois de près ou de loin... l'humain se détache pour mieux s'attacher => avec la vie associative;
– l'école et les formations et toutes les institutions de la société civile;
– avec en permanence et en toile de fond, l'autorité représentée par les administrations de toute nature, les "contributions", les lois, la police et même quelques fois déjà les banques ou le cochon/tirelire;
– puis vient la période de l'armée, des diplômes et le grand saut dans le monde professionnel et patronal...
– Tout le processus est un enchaînement de "ruptures de cordon", de prise de possession de territoire, d'aménagements autour de prise de responsabilité et de développement de l'autonomie tout autant que de l'intégration sociale (si tant est que tout ça soit possible avec chacun).
Puis le cycle recommence avec éclosion de nouvelles familles, avec nouvelles naissances etc... [to be continued]
Pas tant que ça, il y a sûrement des tiraillements avec le contraire de cette idée
L'homme est plutôt un être social ! (notes sur Wolfgang Streek I préambule)
D'abord dire que c'est la nature qui impose les hiérarchies est à la fois vrai et faux. Parce que l'homme fait lui aussi partie de ladite nature! Et ce qui fait sa différence est justement qu'il cherche à se différencier du règne animal. Donc l'homme est à même de faire des «aménagements» (doctrines +/- utopistes, etc comme voulvoul, mais en fonction de ses besoins). Après je lâche, parce que ça devient trop manichéen (pour quelqu'un qui reprend l'idée de l'égo à son compte... hé héé), parce qu'on ferait alors fi de l'engagement de chacun. C'est aussi prendre ça en compte, qui est de l'éthique.
Pré en bulles (avec un peu d'humour ça passe mieux)
Quelques constats et simplifications (liste non exhaustive). Parlons d'abord du CORDON OMBILICAL car il est autant une belle métaphore qu'une symbolique forte pour dire que l'humain est un être profondément social et ...mamifère!
Si on a physiquement coupé le cordon à la naissance
=> on tente de faire quelque aménagement toute sa vie (tellement vrai que l'enfant continue de croire qu'il fait partie de sa mère pendant un temps certain...).
=> => dans l'esprit est fortement ancré à titre de référence/s l'image du père et de la mère.
=> => => schématiquement: la mère porte l'enfant vers la vie, et le père vers la société.
(Rôles interchangeables sauf pour le rôle de la mère ).
A partir de là, et c'est pourquoi la société est très compliquée, ce n'est qu'imbrication de cycles et de systèmes, fonctionnant plus ou moins harmonieusement entre eux.
Mais on ne fait bien souvent que répéter un modèle, l'homme a déjà essayé le clonage sur lui même depuis bien longtemps, ça devrait s'appeler le clown_âge
– Ça commencerait dès la naissance, généralement avec "l'acceptation sociale du nouvel être humain venu" (ou non!) symbolisée par le baptême ou tout autre acte symbolique (et même avant selon le conformisme culturel de chacun imbriqué ou non dans un moule religieux, de façon directe ou indirecte);
– puis à chaque fois de près ou de loin... l'humain se détache pour mieux s'attacher => avec la vie associative;
– l'école et les formations et toutes les institutions de la société civile;
– avec en permanence et en toile de fond, l'autorité représentée par les administrations de toute nature, les "contributions", les lois, la police et même quelques fois déjà les banques ou le cochon/tirelire;
– puis vient la période de l'armée, des diplômes et le grand saut dans le monde professionnel et patronal...
– Tout le processus est un enchaînement de "ruptures de cordon", de prise de possession de territoire, d'aménagements autour de prise de responsabilité et de développement de l'autonomie tout autant que de l'intégration sociale (si tant est que tout ça soit possible avec chacun).
Puis le cycle recommence avec éclosion de nouvelles familles, avec nouvelles naissances etc... [to be continued]
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Greg T, tu écris:
Je permets!
Le concept d'équité est une construction humaine, donc culturelle.
Or, c'est la culture qui nous différencie* de la nature et nous constitue en tant qu'être humain et pas seulement en animal "avec un ego assez démesuré".
Si la hiérarchie à l'intérieur des sociétés animales est une nécessité fonctionnelle, les sociétés humaines gagneraient à s'en dispenser puisqu'elles ont des aptitudes supérieures le permettant.
Nietzsche disait: "L'homme est quelque chose qui doit être surmonté".
*je n'ai pas écrit "oppose"...
Si vous me permettez, je pense que l'équité est tout simplement contre nature!
Je permets!
Le concept d'équité est une construction humaine, donc culturelle.
Or, c'est la culture qui nous différencie* de la nature et nous constitue en tant qu'être humain et pas seulement en animal "avec un ego assez démesuré".
Si la hiérarchie à l'intérieur des sociétés animales est une nécessité fonctionnelle, les sociétés humaines gagneraient à s'en dispenser puisqu'elles ont des aptitudes supérieures le permettant.
Nietzsche disait: "L'homme est quelque chose qui doit être surmonté".
*je n'ai pas écrit "oppose"...
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