GuyGadebois a écrit :
Plus trivialement, si on parle trois ou quatre langues en présence un nouveau-né, en parties égales, indifféremment (à savoir que les quatre langues sont parlées par les quatre adultes alternativement), la résultante ne sera pas que l'enfant va faire des phrases contenant les quatre langues, mais qu'il parlera effectivement les quatre correctement, de manière différenciée. Ton truc de la mémétique, c'est juste un tout petit aspect des choses et presque une lapalissade, vu qu'un enfant n'est pas viable à la naissance et qu'il est obligé d'être soumis à des "modèles", modèles qu'il imitera dans une certaine mesure, mais pas plus, sinon nous serions tous des clones.
Imitation n'est pas synonyme de robot ou de perroquet,imitation est à comprendre dans le sens de réplication d'informations brut,l'apprentissage s'inscrit dans un cadre plus large qui est la coordination des idées entre elles ce qui favorise la créativité.
Ton truc de la mémétique, c'est juste un tout petit aspect des choses et presque une lapalissade, vu qu'un enfant n'est pas viable à la naissance et qu'il est obligé d'être soumis à des "modèles", modèles qu'il imitera dans une certaine mesure, mais pas plus, sinon nous serions tous des clones
Comme je l'ai mentionné ça n'est pas Mon truc,c'est un concept qui à été développé par des gens beaucoup plus intelligent que nous.Tu as l'air d'en faire une affaire personnel?
Pour le reste si nous n'étions pas capable de copier fidèlement les éléments du langage il serait bien difficile de communiquer,le clonage d'idée est assez pratique dans la vie de tout les jours notamment pour conduire,ouvrir une porte ou un robinet.
Et pour en revenir au sujet initial,la reproduction d'idée est assez pratique pour dissiper les mèmes d'une religion et c'est pour cette raison que l'on trouve une église dans chaque ville et chaque village.
J'ajouterai que votre recours systématique à votre sésame (miraculeux!) ne fait aucunement avancer les choses car c'est comme si d'un revers de la main je balayais les problématiques inhérentes à l'état amoureux en définissant celui-ci par "un déferlement hormonal", sans aller plus loin.
C'est une inférence manifeste!