Si, si, d'abord de facto il n'est plus, et ensuite tu mets son cas en exergue en employant deux fois le terme d'"issue fatale", et ce bien entendu à dessein parce qu'il était toubib ET végétarien. CQFD
J’utilise le terme d’issue fatale lorsqu’une personne après avoir été traitée de façon « classique » se trouve en fin de possibilité de ces thérapies et se tourne donc vers une issue de secours possible. Pour les autres ou ils s’en sont tirés ou ils sont morts.
Pour Schreiber le cas est particulier vu sa formation médicale effectivement et ne peut être utilisé comme une référence, vu l’échec final de sa démarche. (il ne se dit pas végétarien non plus, il conseille simplement la diminution de consommation de viande qu'il appelle optionnel)
D’ailleurs la formulation de son ouvrage est symptomatique : « ANTICANCER Prévenir et lutter grâce à nos défenses naturelles ». Il situe d’emblée son discours sur la prévention et la lutte. Pas un indice pour une guérison réelle et définitive, ce qui était normal vu son état physiologique ou mental. (il souligne fréquemment ce conflit intérieur)
Le fait que "d'autres médecins ne soient pas formés" à ceci ou à cela n'a strictement rien à voir dans ce contexte de "conflit intérieur". Je note donc absolument, qu'il y a là une sorte de déni. Et finalement, le fait que tu te rebiffes de cette façon sans trouver d'argument pertinent ne me dérange guère, dès lors que ça en fait une sorte de lapsus
Parce que tu es obsédé par des conflits intérieurs comme si ceux si étaient obligatoires et systématiques. Je ne nie pas que cela puisse se produire chez certains en recherche, mais plus chez les personnes qui pratiquent depuis longtemps, et ne se posent même plus la question.
Au fond, tu es relativement d'accord avec ça mais tu n'oses pas l'avouer!
Quand je partage un avis je l’exprime clairement, mais c’est un point qui nous différencie puisque tu soupçonnes automatiquement l’autre d’être de mauvaise foi ou ignorant de sa propre réflexion.
janic a écrit:
[...] Ce ne sont pas les individus concernés qui réclament des études [...]
Encore une fois, tu t'écartes du fond pour ne pas répondre. Le point ici, est que tu n'as pas les moyens de le contredire (fait-le en médecine orthomoléculaire et on en reparle). D'où l'esquive.
Non ! poses la question autrement : qui souhaite des études ? Les personnes concernées ou ceux qui se posent des questions sur la validité de leur démarche?
Je n’esquive donc pas, mais on ne peut me faire dire ce que mon auditeur souhaite entendre
et comme il veut que cela soit dit.
janic a écrit:
Quand la mort frappe à ta porte, les idéologies tu t’assoies dessus [...]
Ça n'a strictement rien à voir avec mes propos, vu que lorsque tu en arrives là, c'est déjà bien (trop?) tard. Et comme nous serons d'accord sur ce point...
C’est bien de cela que JE parle depuis le début, de ceux qui sont arrivés au bout du rouleau, pas de ceux qui se font traiter de façon officielle et qui s’en satisfont (sauf les 146.000 morts chaque année). Donc je me répète, ceux qui ont été laissés pour compte par la médecine officielle et qui se tournent tardivement vers d’autres méthodes moins agressives avec l’espoir (et pour les familles
l’exigence) que ce que le système a raté, une méthode douce
rattrapera toutes les erreurs commises et souvent sans s’investir tant les individus sont habitués à une participation passive, c'est-à-dire subir.