obamot
Bein si tu étais vraiment d'accord avec ça, tu n'attribuerais pas à la légère ces 146'000 décès au système de soin! Personne ne souhaite la mort de son patient, soyons raisonnable! Parce que ça n'aurait pas de sens.
Il ne s’agit pas de souhaiter la mort de qui que ce soit où alors ce serait supposer que tous les médecins savent qu’ils empoisonnent leurs clients (en fait ils le savent puisqu’est mis en balance le bénéfice /risque sachant que tout médicament chimique est dangereux) où que Servier (ou d’autres) voulait empoisonner ses clients par toubib interposé.
Donc il ne s’agit pas de cela, mais du refus du système de s’ouvrir à d’autres voies que le leur, même si c’est au détriment des « patients » et cela pour conserver leur position dominante, doctorale.
D'un autre côté, stricto sensu, c'est 80% des décès (donc énormément plus que ton chiffre)! Qu'il faudrait faire valoir, si d'un coup de baguette magique, les gens devenaient "sages"!
Ca c’est le moins que l’on puisse dire ! Mais il ne s’agit pas des décès en soi (on doit bien mourir un jour), mais des circonstances de ces décès que ce soit par cancer, maladies vasculaires, etc… Or, effectivement, une meilleure hygiène de vie réduirait toutes ces souffrances à un minimum « presqu’acceptable » et du même coup le recours à des thérapeutiques traumatisantes physiquement et moralement.
Si il suffisait EXCLUSIVEMENT de manger des légumes et des fruits de saison pour rester en bonne santé (sans aucune autre considération de quelque nature), ça se saurait.
Pour le savoir il faut l'essayer!Sinon, cela fait longtemps qu’on ne me l’avait pas sorti celle-là. Ca me rappelle mes tous débuts où j’essayais de « convaincre » mes collègues. «
mais si c’était vrai, ça se saurait ! » «
bien sûr mais pour que cela se sache, il faut que cela soit communiqué et qui fait cette communication ? Ensuite qui la croirait?"... D'où
"si c’était vrai ça se saurait » Bel exemple du chien qui se court après la queue !
Et ça, ce n'est en rien la faute au système de soin (pour continuer la métaphore, tu accuses les pompiers d'être responsable des incendies, désolé, ce n'est pas eux: donc attaques-toi aux vrais responsables). Par exemple, parmi les autorités sanitaires, celles qui autorisent la commercialisation de produits dévitalisés, du sucre raffiné (voir du tabac etc) les lobbyistes, etc je veux bien... Mais ce n'est pas la faute du système de soin. Car le premier des coupables, c'est le législateur qui laisse se dérouler ça, et dans une belle hypocrisie, les partis politiques qui ménagent la chèvre et le choux pour ne pas ruiner l'industrie pharmaceutique! Et là encore, celle-ci n'est pas directement en cause, mais dépend de la «volonté personnelle» des individus de — à quelque part et pour certains cas — avoir une certaine propension à s'auto-détruire (consciemment ou non).
Nous ne prenons évidemment pas le problème par le même bout. Le consommateur
n’est pas OBLIGE de consommer des produits dévitalisés, bourrés de produits chimiques, de perturbateurs endocriniens, ni de boire, de fumer, de se droguer. Seulement il a pris l’habitude d’être passif, d’être un consommateur plutôt qu’un consom’acteur et donc devient victime consentante de ses choix. De là ils tombent malades et espèrent qu’en consommant d’autres drogues aussi dangereuses que celles qu’ils ont consommé passivement vont les en sortir (et là c'est le système de soins). Pour reprendre l’exemple du pompier, l’individu a mis le feu à sa maison et les pompiers l'arrosent avec de l’essence plutôt que de l’eau.
Si certains pompiers ne s’en rendent pas compte (sont-ils aveugles à ce point) d’autres ont choisi un autre mode d’extinction, mais on les prend pour des pyromanes et ils se font rayer de l’ordre des médecins pour non-conformité au standard, voire emprisonnés ou doivent d’expatrier pour être reconnus et des dizaines de malades, qui auraient pû s’en sortir, en meurent.
Donc oui, non seulement les systèmes sont responsables, mais les systèmes sans les individus qui les composent ne sont rien et malheureusement quand il y a des intérêts financiers immenses qui sont mis en jeu, la morale devient vite élastique.
Ce que je voulais dire, et qu'il n'y avait pas tant lieu de modérer. C'est que si ceux qui souhaitent faire passer un message de prévention en tenaient d'avantage compte, ils seraient bien plus efficaces dans leur approche.
Que veux-tu je ne suis pas diplomate pour deux sous et j’appelle un chou : chou, que cela plaise ou pas !
Pourtant, si tu y as prêté attention, je ne mets pas en question les individus, mais les systèmes pour en signaler les défauts et, éventuellement, j’indique d’autres voies possibles parmi celles que je connais
et surtout pratiquées, après chacun en fait ce qu’il veut.