wirbelwind262 a écrit :
janic a écrit :la question n'est pas de savoir si l'on peut, ni même si l'on doit, mais est-ce adapté à la physiologie humaine. L'anthropophagie est aussi une bonne solution puisque il y a abondance de bidoche morte qui se perd pour rien. C'est gratuit, pas d'élevage spécifique, une excellente source de protéines et c'est, parait-il, une viande fine. Mangez des humains, soyons anthropophages.
"est ce adapté" ?? c'est pas les études qui manquent ..... sans parler depuis le temps que l'humanité en mange....
mangent d'autres humains?
sinon, votre débat est pas un peu hors sujet et privé ?!?
dans la mesure où il s'agit de mangeaille, ça l'est!
Bonne reflexion justement !
sans parler depuis le temps que l'humanité ...les humains se sont-ils adaptés à la guerre depuis le temps qu’ils se tapent sur la figure ? L'assassinat, le viol, sont aussi pratiqués depuis des temps immémoriaux.
D’où la bonne question entre
on peut ou
on doit ?
Moindreffort
tu as tout à fait raison, comme à son habitude Janic détourne les débats pour garder la main, effectivement,
Et Moindreffort veut garder la sienne, ce qui ne répond pas à la question entre peut et doit !
donc oui l'Homme est capable de manger des insectes et cela depuis toujours
comme il peut tuer, violer, voler, ça il en est capable aussi et cela depuis toujours, mais est-ce une référence valable?
Entre être capable et être fait pour, la question a été tranchée sur le plan scientifique, votre dada à vous qui voulez des preuves scientifiques pour tout, mais qui les méprisez lorsqu’elles ne vont pas dans votre sens.
donc suite:
MONOD Théodore André , né le 9 avril 1902 à Rouen et mort le 22 novembre 2000 à Versailles, est u
n scientifique naturaliste, explorateur, érudit et humaniste français.
« Ce qu'on peut critiquer, c'est cette prééminence exclusive donnée à l'homme, car cela implique tout le reste. Si l'homme se montrait plus modeste et davantage convaincu de l'unité des choses et des êtres, de sa responsabilité et de sa solidarité avec les autres êtres vivants, les choses seraient bien différentes.» Théodore Monod
OVIDE : en latin Publius Ovidius Naso, né le 20 mars 43 av. J.-C. à Sulmona, dans le centre de l'Italie et mort en 17 ap. J.-C., en exil à Tomis (l'actuelle Constanţa en Roumanie), est un poète latin qui vécut durant la période qui vit la naissance de l'Empire romain
« Comme il se fait d’horribles goûts, comme il se prépare à verser un jour le sang humain, celui qui égorge de sang-froid un agneau, et qui prête une oreille insensible à ses bêlements plaintifs ; celui qui peut sans pitié tuer le jeune chevreau et l’entendre vagir comme un enfant ; celui qui peut manger l’oiseau qu’il a nourri de sa main ! Y a-t-il loin de ce crime au dernier des crimes, l’homicide ? N’en ouvre-t-il pas le chemin ? Laissez le bœuf labourer, et ne mourir que de vieillesse ; laissez les brebis nous munir contre le souffle glacial de Borée, et les chèvres présenter leurs mamelles pleines à la main qui les presse. Plus de rêts et de lacs, plus d’inventions perfides ; n’attirez plus l’oiseau sur la glu, ne poussez plus le cerf épouvanté dans vos toiles, ne cachez plus, sous un appât trompeur, la pointe de l’hameçon. »
— Ovide, Les Métamorphoses, livre XV122.
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré