sen no sen bonjour
janic a écrit:
Encore une fois, il ne s’agit pas de contester que la culture influence les comportements, elle n’en modifie pas pour autant la l’anatomie et la physiologie. Or la classification se fait par l’anatomie comme n’importe quel animal. Donc il ne faut pas faire un mélange entre les deux !
Erreur Janic.
L'influence culturelle favorise des comportements qui seront transmis ensuite génétiquement.
Sans cela l'être humain n'aurait pas vu le jour...
Une nouvelle fois je (une grande partie de l'humanité!) ne partage pas cette vision philosophique et culturelle évolutive de l’être humain. Donc cette théorie de l’influence culturelle sur la génétique, si elle était exacte, aurait transformé les mécanismes biologiques depuis le temps supposé de l’évolution. Or rien, que dalle, pas la moindre trace de changement. C'est cette absence qui a conduit aux théories de Gould sur les sauts, ses équilibres ponctués (une théorie invérifiée d'ailleurs).
Citation:
D’une part, c’est une constatation récente, or tu invoques la culture laquelle est largement antérieure à la découverte biologique, laquelle anthropophagie est d’ordre culturel. L’encéphalopathie est d’ordre biologique, pas culturelle!
Tu es venu tout compliqué avec ton histoire d’anthropophagie!
Non, cela ne complique pas, cela souligne que lorsqu’une théorie est émise il faut en vérifier l’application sur un large panel d’individus et de cultures. Donc le parallèle est totalement justifié car sinon il faudrait expliquer cette sélection arbitraire dans les comportements humains. L’avantage de l’anatomie comparée, c’est qu’elle est commune à
TOUS les groupes humains, malgré leurs déviations, répartis sur toute la terre.
Cette dernière peut être à la fois rituelle --donc culturelle-- mais aussi biologique, par exemple lors d'une situation de survie (de nombreux survivants ont du se livrer aux cannibalisme non pas par croyance ou par goût,mais tout simplement pour alimenter leurs corps en énergie).
Encore cette confusion entre comportement ponctuel et structure biologique adaptée à un mode alimentaire plutôt qu’un autre. Les déviations (qui peuvent être liées à quelques situations particulières bien entendu) ne se transforment pas en règle pour autant. Dans certains pays de famine, la population mange de la terre pour se caler l’estomac. Cela n’a rien de biologique puisque cela est justement antiphysiologique.
Pour rappel est considré comme réellement biologique, ce qui s'harmonisme avec les mécanismes internes avec la moindre dépense d'énergie. Les viandes sont des poisons inadaptés à la consommation normale de l'être humains (mais effectivement les cultures ont conduit à consommer des tas de cochonneries pathogènes, mais avec les conséquences que l'on peut constater)
Citation:
Absolument pas ! Même si le résultat peut être proche, l’un fait appel à la culture, l’autre à la biologie.
Comme mentionné plus haut il apparait que les êtres humains sont à la fois le produit de la nature et de la culture.
Encore une fois, c’est un discours philosophique qui s’oppose à l’anatomie et la biologie. Si on considère que les déviances construisent l’être humain, alors il faudrait y ajouter la pédosexualité, l’inceste, la prostitution, le viol, la violence conjugale, le meurtre largement pratiqués dans certaines cultures. Or ces derniers choquent NOTRE culture et nous paraissent déviantes, comme l’anthropophagie citée, mais elle est naturelle dans d’autres.
Comme je l'ai mentionné dans le premier post sur le sujet,les ancêtres des hominidés étaient végétariens,voir frugivores,pourtant on note l'apparition de la consommation de viande bien avant l'apparition d'homo sapiens.
Apparemment elle remonterait à australopithèque.
Re-belote, dans le discours de l’évolutionnisme seulement, et donc valable pour une toute petite partie de l’humanité seulement qui veut bien y croire. Cependant, dans une vision créatrice spécifique et qui se vérifie donc par l’anatomie comparée, effectivement au commencement l’être humain a été créé frugivore et continue de l'être dans certaines cultures non déviantes.
Difficile d'affirmer que l'homme est végétarien tant la diversité alimentaire est grande notamment en fonction de la répartition géographique!
Encore une fois, le végétarisme
est un état biologique et anatomique,
pas culturel. Or tu invoques en permanence les cultures déviantes. Donc effectivement, l’humanité montre des comportements alimentaires divers et (a)variés,
mais déviance n’est pas règle !
Le terme omnivore est beaucoup plus approprié.
Re-belote : si l’on considère le comportement alimentaire de certaines populations carnistes (faute d’une formulation plus précise et exacte), la formule omnivore a été adoptée, tout comme on désigne les consommateurs de viande humaine des anthropophages ce qui n’établit pas pour autant que l’humain EST anthropophage, pourtant certains le sont bien pour autant.
De même que l'on considère que les déviants sexuels sur l'enfance sont appélés pédophiles alors que c'est antinomique avec la situation réelle, ou alors c'est une façon bizarre d'aimer les enfants (dans ma culture, l'agression sexuelle n'est jamais appelée de l'amour! Comme quoi les mots ont des sens et des valeurs précises!) Toujours la même chose le français est une langue riche et précise et on ne peut confondre chèvre et chou.
toujours pour rappel:
http://www.viande.info/