la consomation d'eau n'est pas grave , on en trouve facilement partout en france ( je precise en france , parce qu'a certain endroit il faudra eviter ce systeme )
le probleme plus genant sera l'evacuation de l'hydoxyde d'aluminium ... faible valeur , sera il recyclé ?
quel sera l'electrolyte ? pas de l'eau pure ... il y aura certainement une certaine perte du produit actif avec l'hydroxyde ? danger ou polution ?
la fabrication d'aluminium etant assez delicate sur la pureté des produit , si ce dechet n'est pas recupéré proprement il sera bon a rien
la complexité de la fabrication de l'aluminium rend impossible de refaire de l'aluminium avec des petite source d'energie
l'avantage du zinc dans cette voie c'est que son recyclage par electrolyse est possible en petite dimension ... donc on pourrait le faire chez soi
Pile à combustible Aluminium-Air de Phinergy-Alcoa
- chatelot16
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Dans ce cas, pourquoi de ne pas mettre 60 litres d'eau et d'avoir une véritable autonomie de 1600 kmPierre Langlois a écrit :On a donc besoin, en principe de 20 kg d’eau donc 20 litres d’eau pour 1600 km. Par conséquent, aux 300 km ça veut dire 4 litres d’eau minimum.
Mais, bien sûr il faudra en mettre plus pour s’assurer que l’eau circule toujours librement. Pour être conservateur nous pouvons approximer la quantité d’eau à 10 litres à tous les 300 km.
Plutôt que d'obliger à la vidange de la batterie tous les 300 km
Et où évacuer l'hydroxyde d'aluminium déjà produitPierre Langlois a écrit :Alors, si on veut faire 600 km, il devrait être pensable d’apporter avec soi un bidon de 10 litres d’eau pour faire le plein au bout de 300 km.
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La vidange c'est peut être une question de rapport volume / surface au niveau de la PAC et/ou de concentration d'hydroxyde qui nécessite de l'eau fraiche pour ne pas "empoisonner" la réaction au bout d'un moment??
Évidement on pourrait imaginer mettre 2 réservoirs d'eau de 40L: un pour l'eau "fraiche" un pour l'eau usée...Je ne sais pas pourquoi cela n'a pas été fait...
ps: ce sujet a des points similaires (bilan global...) avec le générateur d'H2 de Cornish: https://www.econologie.com/forums/generateur ... t2258.html
Évidement on pourrait imaginer mettre 2 réservoirs d'eau de 40L: un pour l'eau "fraiche" un pour l'eau usée...Je ne sais pas pourquoi cela n'a pas été fait...
ps: ce sujet a des points similaires (bilan global...) avec le générateur d'H2 de Cornish: https://www.econologie.com/forums/generateur ... t2258.html
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- chatelot16
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a mon avis si l'autonomie n'est que de 300km c'est qu'il faut plus d'eau que ça ... parce que l'evacuation de l'alumine doit faire perdre de l'eau
et j'ai peur que ça ne consomme pas que de l'eau ... que l'alumine soit rejeté avec de l'electrolyte , et qu'il faille en rajouté
j'en revient a la batterie a zinc : dans le genre electrolyte de potasse caustique
quand la batterie se decharge le zinc se bouffe et la potasse s'enrichi en zincate ... quand on est a plat on a le choix de recharger la batterie par methode electrique , ou changer le zinc et changer l'electrolyte pour tout recycler separémént
mais quelle galere de manipuler le zinc solide et la potasse caustique dangereuse
si on veut une methode plus rapide que la recharge electrique il reste toujours le changement de batterie comme si c'était des pile
et il n'y a pas a chercher autre chose : l'avenir des engin electrique c'est les batterie facile a changer , avec un type unique pour un grand nombre de vehicule , et adaptation a la puissance de l'engin uniquement par le nombre d'element
la batterie nickel zinc serait ideale pour cet usage , car pas trop couteuse en matiere premiere ... sont defaut etant une duré de vie limité sans demontage ... mais les batterie interchangable facilitent la remise en forme periodique
et j'ai peur que ça ne consomme pas que de l'eau ... que l'alumine soit rejeté avec de l'electrolyte , et qu'il faille en rajouté
j'en revient a la batterie a zinc : dans le genre electrolyte de potasse caustique
quand la batterie se decharge le zinc se bouffe et la potasse s'enrichi en zincate ... quand on est a plat on a le choix de recharger la batterie par methode electrique , ou changer le zinc et changer l'electrolyte pour tout recycler separémént
mais quelle galere de manipuler le zinc solide et la potasse caustique dangereuse
si on veut une methode plus rapide que la recharge electrique il reste toujours le changement de batterie comme si c'était des pile
et il n'y a pas a chercher autre chose : l'avenir des engin electrique c'est les batterie facile a changer , avec un type unique pour un grand nombre de vehicule , et adaptation a la puissance de l'engin uniquement par le nombre d'element
la batterie nickel zinc serait ideale pour cet usage , car pas trop couteuse en matiere premiere ... sont defaut etant une duré de vie limité sans demontage ... mais les batterie interchangable facilitent la remise en forme periodique
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Bonjour à tous
Un passionné et spécialiste Français de véhicules électriques, Olivier Daniélo, m’a fait parvenir aujourd’hui un lien à un billet sur son blogue «Objectif Terre» qui contient de l’information très pertinente sur le prolongateur d’autonomie aluminium-air (PAAA) de Phinergy. Voir
http://objectifterre.over-blog.org/2014 ... nergy.html
Dans ce billet, vous retrouverez un lien pour une vidéo Youtube de la visite de Obama en Israël dans laquelle le caméraman a capté une conversation entre le président de Phinergy, le directeur technique de la compagnie et le président Obama. Voici le lien pour la vidéo
https://www.youtube.com/watch?v=KRlxwTNnq9E
On y apprend plusieurs détails intéressants:
généralement la voiture électrique fonctionne sur sa batterie Li-ion pour les trajets quotidiens
lorsqu’elle est déchargée le PAAA de Phinergy embarque et permet à une berline intermédiaire de rouler à 90 km/h
la quantité d’eau requise à tous les 300 km est de l’ordre de 15 litres (le président de Phinergy montre une cruche contenant approximativement cette quantité dans la vidéo en disant que c’est ce qu’il faut pour 300 km)
le prix de l’aluminium lorsqu’on retourne l’hydroxyde d’aluminium (déchet du PAAA) est d’environ 0,50 $ le kilogramme
le changement des plaques d’aluminium se ferait chez le concessionnaire une fois ou deux par année et prend 30 minutes (à calculer environ 60 $ de main d’oeuvre dans le coût du plein d’Aluminium)
On en déduit que le PAAA de Phinergy a une puissance qui se situe entre 15 kw et 20 kw à cause de la limitation sur la vitesse. C’est la raison pour laquelle Phinergy mentionne une autonomie potentielle de 1600 km, qui même là doit être vue comme très optimiste. Par ailleurs, le coût d’un plein d’aluminium sera essentiellement le même que celui de l’essence, comme nous le verrons un peu plus loin.
Dans un autre billet de Olivier sur «Objectif Terre», traitant du même sujet, daté du 11 juin 2014
http://objectifterre.over-blog.org/2014 ... inium.html
il donne une autre référence très pertinente, une entrevue avec le président de Phinergy, qu’on retrouve ici
http://roelofreineman.com/blog/electric ... yinterview
En écoutant les portions d’entrevue disponibles, on apprend que:
un kg d’aluminium donne 4 kwh d’électricité [donc 25 kg vont donner 80 kwh d’énergie électrique (20 kg environ sont utilisés)]
les stations-service devraient récupérer l’eau «usée» contenant l’hydroxyde d’aluminium et faire le plein d’eau gratuitement car ils revendent l’hydroxyde d’aluminium à Alcoa (revenu)
Notons que le 80 kwh d’énergie électrique disponible est sensiblement la même quantité qu’on retrouve dans la batterie Li-ion de la Tesla Model S, qui lui donne 425 km d’autonomie selon l’EPA. Or une voiture électrique avec un PAAA va certainement être plus légère que la model S et sa vitesse est limitée à 90 km/h. On peut donc supposer une autonomie réelle de l’ordre de 800 km avec 25 kg d’aluminium. Il faudrait 50 kg d’aluminium pour atteindre 1600 km.
Le calcul du plein d’aluminium donne donc, pour 800 km, environ 12,50 $ (25 kg d’Aluminium @ 0,50 $/kg), disons 30 $ pour défrayer la collecte et la distribution dans les stations service et les concessionnaires de même qu’un profit raisonnable. À cela doit s’ajouter le 60 $ de main d’oeuvre chez le concessionnaire, d’où un plein d’environ 90 $ pour 800 km. Or, la Chevrolet Volt nécessite 50 litres d’essence pour parcourir 800 km avec son prolongateur d’autonomie (@ 6,3 litres / 100 km). Et à quel prix sera l’essence en 2017 lorsque les voitures équipées de PAAA vont sortir sur le marché? Il est présentement à 1,40 $ au Québec et on peut certainement s’attendre à 1,80 $ et plus en 2017. Ça ferait donc 90 $ pour le 50 litres requis par la Chevrolet Volt, soit le même prix que pour faire le plein d’aluminium.
Remarquons qu’avec une autonomie réelle de 800 km au lieu de 1600 km, avec 25 kg d’aluminium, la voiture avec un PAAA émettra deux fois moins de gaz à effet de serre (GES) qu’une Chevrolet Volt, et non 4 fois moins comme je l’avais calculé dans un billet précédent, en supposant une autonomie de 1 600 km. Mais rappelons-nous que le PAAA sera utilisé seulement pour 10 % du kilométrage annuel d’une voiture, et que ses émissions de GES correspondraient à une voiture consommant 3 litres/100 km pour ce 10 %. Sans compter que l’aluminium est recyclable ce qui n’est pas le cas du pétrole.
À la lueur de toutes les informations nouvelles, il apparaît que le principal point faible du prolongateur d’autonomie aluminium-air (PAAA) est sa faible puissance (15 à 20 kw) qui limite la vitesse maximale à 90 km/h. Pour ce qui est des accélérations, il est toujours possible de réserver 1 à 2 kw du PAAA pour recharger la batterie Li-ion de telle sorte qu’on puisse accélérer de façon sportive en utilisant celle-ci pour des périodes inférieures à disons 30 secondes ou une minute.
Il va donc falloir minimiser au maximum la consommation d’énergie de la voiture, ce que je vais traiter dans mon prochain courriel.
Bien cordialement
Pierre Langlois, Ph.D., physicien
ps: Olivier Daniélo, ce nom de dit vaguement quelque chose...Ah voilà: https://www.econologie.com/des-micro-alg ... -3366.html
Un passionné et spécialiste Français de véhicules électriques, Olivier Daniélo, m’a fait parvenir aujourd’hui un lien à un billet sur son blogue «Objectif Terre» qui contient de l’information très pertinente sur le prolongateur d’autonomie aluminium-air (PAAA) de Phinergy. Voir
http://objectifterre.over-blog.org/2014 ... nergy.html
Dans ce billet, vous retrouverez un lien pour une vidéo Youtube de la visite de Obama en Israël dans laquelle le caméraman a capté une conversation entre le président de Phinergy, le directeur technique de la compagnie et le président Obama. Voici le lien pour la vidéo
https://www.youtube.com/watch?v=KRlxwTNnq9E
On y apprend plusieurs détails intéressants:
généralement la voiture électrique fonctionne sur sa batterie Li-ion pour les trajets quotidiens
lorsqu’elle est déchargée le PAAA de Phinergy embarque et permet à une berline intermédiaire de rouler à 90 km/h
la quantité d’eau requise à tous les 300 km est de l’ordre de 15 litres (le président de Phinergy montre une cruche contenant approximativement cette quantité dans la vidéo en disant que c’est ce qu’il faut pour 300 km)
le prix de l’aluminium lorsqu’on retourne l’hydroxyde d’aluminium (déchet du PAAA) est d’environ 0,50 $ le kilogramme
le changement des plaques d’aluminium se ferait chez le concessionnaire une fois ou deux par année et prend 30 minutes (à calculer environ 60 $ de main d’oeuvre dans le coût du plein d’Aluminium)
On en déduit que le PAAA de Phinergy a une puissance qui se situe entre 15 kw et 20 kw à cause de la limitation sur la vitesse. C’est la raison pour laquelle Phinergy mentionne une autonomie potentielle de 1600 km, qui même là doit être vue comme très optimiste. Par ailleurs, le coût d’un plein d’aluminium sera essentiellement le même que celui de l’essence, comme nous le verrons un peu plus loin.
Dans un autre billet de Olivier sur «Objectif Terre», traitant du même sujet, daté du 11 juin 2014
http://objectifterre.over-blog.org/2014 ... inium.html
il donne une autre référence très pertinente, une entrevue avec le président de Phinergy, qu’on retrouve ici
http://roelofreineman.com/blog/electric ... yinterview
En écoutant les portions d’entrevue disponibles, on apprend que:
un kg d’aluminium donne 4 kwh d’électricité [donc 25 kg vont donner 80 kwh d’énergie électrique (20 kg environ sont utilisés)]
les stations-service devraient récupérer l’eau «usée» contenant l’hydroxyde d’aluminium et faire le plein d’eau gratuitement car ils revendent l’hydroxyde d’aluminium à Alcoa (revenu)
Notons que le 80 kwh d’énergie électrique disponible est sensiblement la même quantité qu’on retrouve dans la batterie Li-ion de la Tesla Model S, qui lui donne 425 km d’autonomie selon l’EPA. Or une voiture électrique avec un PAAA va certainement être plus légère que la model S et sa vitesse est limitée à 90 km/h. On peut donc supposer une autonomie réelle de l’ordre de 800 km avec 25 kg d’aluminium. Il faudrait 50 kg d’aluminium pour atteindre 1600 km.
Le calcul du plein d’aluminium donne donc, pour 800 km, environ 12,50 $ (25 kg d’Aluminium @ 0,50 $/kg), disons 30 $ pour défrayer la collecte et la distribution dans les stations service et les concessionnaires de même qu’un profit raisonnable. À cela doit s’ajouter le 60 $ de main d’oeuvre chez le concessionnaire, d’où un plein d’environ 90 $ pour 800 km. Or, la Chevrolet Volt nécessite 50 litres d’essence pour parcourir 800 km avec son prolongateur d’autonomie (@ 6,3 litres / 100 km). Et à quel prix sera l’essence en 2017 lorsque les voitures équipées de PAAA vont sortir sur le marché? Il est présentement à 1,40 $ au Québec et on peut certainement s’attendre à 1,80 $ et plus en 2017. Ça ferait donc 90 $ pour le 50 litres requis par la Chevrolet Volt, soit le même prix que pour faire le plein d’aluminium.
Remarquons qu’avec une autonomie réelle de 800 km au lieu de 1600 km, avec 25 kg d’aluminium, la voiture avec un PAAA émettra deux fois moins de gaz à effet de serre (GES) qu’une Chevrolet Volt, et non 4 fois moins comme je l’avais calculé dans un billet précédent, en supposant une autonomie de 1 600 km. Mais rappelons-nous que le PAAA sera utilisé seulement pour 10 % du kilométrage annuel d’une voiture, et que ses émissions de GES correspondraient à une voiture consommant 3 litres/100 km pour ce 10 %. Sans compter que l’aluminium est recyclable ce qui n’est pas le cas du pétrole.
À la lueur de toutes les informations nouvelles, il apparaît que le principal point faible du prolongateur d’autonomie aluminium-air (PAAA) est sa faible puissance (15 à 20 kw) qui limite la vitesse maximale à 90 km/h. Pour ce qui est des accélérations, il est toujours possible de réserver 1 à 2 kw du PAAA pour recharger la batterie Li-ion de telle sorte qu’on puisse accélérer de façon sportive en utilisant celle-ci pour des périodes inférieures à disons 30 secondes ou une minute.
Il va donc falloir minimiser au maximum la consommation d’énergie de la voiture, ce que je vais traiter dans mon prochain courriel.
Bien cordialement
Pierre Langlois, Ph.D., physicien
ps: Olivier Daniélo, ce nom de dit vaguement quelque chose...Ah voilà: https://www.econologie.com/des-micro-alg ... -3366.html
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0,5$/kg pour de l'alu ? même avec recuperation de l'hydroxyde d'aluminium je n'y crois pas
besoin de transport pour revenir a des grosse usines d'aluminium
pour prolonger l'autonomie c'est soit le bon vieux moteur thermique qui a l'avantage d'utiliser un carburant liquide simple soit des batterie interchangable comme des pile
une bonne voiture electrique devra accepter des batterie de type divers : plomb pour faire le moins cher possible quand une faible autonomie suffit
lithium quand on veut une grande autonomie
nickel zinc quand il reviendra a la mode : les batterie nickel zinc on été utilisé : le rendement en energie est bon : la duré de vie totale est longue : le seul inconvenient est le besoin de demontage frequent pour eviter les court circuit entre plaque
besoin de transport pour revenir a des grosse usines d'aluminium
pour prolonger l'autonomie c'est soit le bon vieux moteur thermique qui a l'avantage d'utiliser un carburant liquide simple soit des batterie interchangable comme des pile
une bonne voiture electrique devra accepter des batterie de type divers : plomb pour faire le moins cher possible quand une faible autonomie suffit
lithium quand on veut une grande autonomie
nickel zinc quand il reviendra a la mode : les batterie nickel zinc on été utilisé : le rendement en energie est bon : la duré de vie totale est longue : le seul inconvenient est le besoin de demontage frequent pour eviter les court circuit entre plaque
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