Non, ça ne m’agace pas, cela fait partie du jeu ! Ce qui m’agace et voir plus, ce sont les jugements de valeurs sur les individus, mais je cultive aussi mon coté zen.Ce n'est pas impossible: Mais tu vois comme ça agace!janic a écrit:
Comme quoi lorsque cela tourne à la confrontation, il y a mauvaise compréhension ou déformation.
janic a écrit:C’est aussi ce que j’ai dit concernant la prohibition américaine. La prohibition française (je ne sais pas ce qu’il en est en Suisse) est plus progressive pour épargner chèvre et chou, mais avec la même finalité : éliminer la tabagie en contournant l’obstacle et donc l’affrontement direct : mesures fiscales, interdits des lieux public,etc…Obamot a écrit:
Et je te disais que c'est un échec total (dans tous les pays qui pénalisent la consommation).
C’est effectivement une mesure au cas par cas surtout dans la consommation de drogues dites dures où je n’ai pas d’expérience vécue. Cependant, dans « notre » démarche ce n’est pas le type de drogue qui importe, mais l’individu et son désir d’arrêter.Et d'offrir dans la foulée aux "clients" consommateurs de drogues (à Genève et Zürich furent les premiers), des centres d'injection sous contrôle médical... (Après je ne porte pas de jugement sur cette mesure, c'est du cas par cas d'ailleurs, mais il a été constaté quelque résultats encourageants!)
Justement pas ! Lorsqu’une personne fume deux paquets par jour (voir plus, même si c’est plus rare) depuis quelques dizaines d’années et après maints essais infructueux d’arrêts. C’est de la vrai dépendance ! et l'étonnant c'est de voir que dès la première ou seconde journée la personne n'éprouve plus aucune envie de fumer.Je m'excuse d'insister là-dessus, mais ces mots semblent "mal compris", je comprends ce que tu dis, mais on ne peut pas "se désaccoutumer à une dépendance". On peut, (et il est souhaitable) se désaccoutumer d'une accoutumance auquel cas on n'est pas encore "dépendant".
(Étonnamment, j’ai constaté que c’étaient les petits fumeurs (2 à 5 cigarettes par jour qui avaient le plus de mal à arrêter, alors qu’au dessus d’un paquet ça passait plus facilement, ce qui peut s’expliquer d’ailleurs.)
Une anecdote parmi d'autres:
Un participant, représentant de commerce, doit le lendemain faire une tournée avec son responsable de secteur gros fumeur aussi. Donc le soir suivant, ilous raconte la journée ou, dit-il, non seulement je n'ai pas eut envie de fumer, mais la fumée de son compagnon ne l'a même pas dérangé. la particularité, c'est qu'il avait eut une extinction de voix qui a disparue le soir, et qui s'est répétée le lendemain. N'étant pas "outillés" pour expliquer le phénomène on lui conseille de voir son médecin aussi étonné que nous et qui lui conseille donc de refumer: "mais docteur je n'en ai aucune envie, je viens juste d'arrêter". Le phénomène a disparu vers le 3° ou 4° jour et ce participant se voyait mal à choisir entre reprendre le tabac ou abandonner son boulot. Pourtant nous n'avons rien fait de plus ou de moins que pour les autres et ça a aussi bien fonctionné.
Appelles cela comme tu veux ! Sauf que ce sevrage ne s’étend pas sur de longues périodes comme avec des substituts nicotiniques ou les vapomachins, mais seulement quelques jours. Après, cela demande plus longtemps pour les mécanismes habituels comme de chercher ses cigarettes, son briquet,etc…Se sortir de la dépendance tiendrait plus du "sevrage" en toxicologie, et
Non (c’est encore une question de vocabulaire peut être) mais il n’y AUCUN TRAITEMENT de quelque sorte que ce soit, ce serait de l’exercice illégal de la médecine : terrain gardé et miné !(et puisque tu parles d'un "traitement définitif").
Je ne peux rien dire sur internet, ni le reste d’ailleurs. Pour ce site, la différence (rapidement examiné) reste la prise de médicaments, mais c’est leur choix. Des milliers de participants sur de nombreuses années n'ont jamais eu besoin de ces palliatifs! sauf pathologie ce qui dépend alors du toubibExemple de site "digne de confiance" (et sans aucune prosélytisme):janic a écrit:
A l’époque, aucune organisation médicale ne se préoccupait vraiment du sort des fumeurs
http://www.stop-tabac.ch/fra/
Evidemment, on ne réunit pas des gens dans une salle pour se regarder dans le blanc des yeux en attendant que cela se fasse tout seul. Si tu considères que changer d’hygiène de vie c’est thérapeutique, où manger ou boire devient thérapeutique aussi (dixit Hippocrate) alors oui !Comprends pas ce que tu veux dire?!?! Il y a forcément un "arsenal thérapeutique", un simple coach peut en être l'un des éléments, ce n'est pas forcément que des médocs, ou de la méthadone...janic a écrit:
Enfin, AUCUN arsenal thérapeutique utilisé contrairement au système médical actuel qui maintient ses participants sous dépendance (ce qui est un comble pour des individus venus pour s’en débarrasser!)
Ca, ça se fait dans le cas d’une prise en main par des procédés médicaux comme le font les toubib addictologues avec leurs patients, c’est leur métier et leurs habitudes de soins.Ensuite c'est du cas-par-cas. Impossible de dire sans connaître le patient, la relation qu'il a avec son toubib, pour dire si il est nécessaire de lui donner un analgésique (ou non), un "substitut" (ou non) etc.
Donc étant en dehors de ce système, je n’ai pas à juger si c’est mieux ou moins bien, mais juste à signaler les différences de procédés. Aucun médicament, aucun substitut, inutiles d'ailleurs dans ce cas.
Réponse difficile car comment se définit un guru dans la mesure où bien des « charlatans » sont détenteurs du plus beau des diplômes officiels et au pinacle de la reconnaissance de leurs pairs. Exemple Gallo avec son VIH supposé ! Par contre Wakefield ayant reçu les plus hautes distinctions anglaises se verra jeté à la poubelle dès qu’il mettra en cause le vaccin ROR et donc considéré comme un guru manipulateur. (j’ai déjà cité quelques guru français rayés de l’ordre des médecins pour guérison illicite car hors des passages cloutés officiels.)A choisir son univers de dépendance, je pense que tu seras d'accord qu'il est préférable de ne pas remettre sa destinée aux mains d'un guru ou autre "manipulateur"...
Le bénévolat c’est aussi la gratuité des prestations ! (on en a été quelques fois de notre poche d’ailleurs)Par ailleurs, ce qui différencie un "réseau de soin agréé", c'est la gratuité des prestations, en principe
L’Etat français n’est plus vraiment dealer puisqu’il ne fabrique plus des cigarettes, il a abandonné la SEITA car ne pouvant critiquer d’un coté et dealer de l’autre. Disons que son rôle est plus du maquereautage en récupérant une partie du business par les taxes comme pour la prostitution. Pas facile d’être le cul entre deux chaises ou sur la branche que l'on scie!Dans ce contexte, on peut parfaitement assimiler un dealer à un guru! C'est pourquoi il demeure cette ambiguïté "d'État dealer", puisqu'il tolérerait la vente de certains stupéfiants (mais ce point disparaît dès lors que l'on admet le contexte sociologique dans lequel nous vivons, ses loi, ses coutumes, et le respect de la "volonté personnelle" qu'il suppose dans un état démocratique... Qu'on appelle aussi "liberté")
Demeter c’est du haut de gamme qu’on ne peut comparer avec le reste de l’agroalimentaire. Pas plus qu’une Rolls avec une 2CV, hormis d’être catalogués dans la même famille automobile.C'est bien pourquoi l'avais mis le mot entre guillemets. Je me réfère parfois au label Demeter (si on parle de qualité "absolue"). Mébon, c'est un autre débat...janic a écrit:
Sauf que nous n’avons pas la même notion de qualité ou bien il faudrait définir plus précisément ce que tu entends par là. En effet si les villes étaient mal approvisionnées,(les fameux rutabagas et le tout aussi fameux pain noir) les campagnes n’avaient aucun souci qualitatif et la ruralité était bien plus importante qu’actuellement.
Hormis d’en être encore à la meule de pierre ou à la faux, les outils suivent, accompagnent les désirs et besoins des fabricants (ça englobe petits et gros en même temps). Sans les rouleaux métalliques à tiroir séparant son et germe du grain ; on ne parlerait pas des carences du pain blanc générateur de maladies cardiaques entre autres. Ni de vente, à des prix exorbitants, du super aliment complémentaire qu’est le germe de blé et accessoirement le son contre la constipation engendrée par ce pain blanc. Y sont fous ces humains!!![quotejanic a écrit:Effectivement! non seulement, il n’ a pas été question de le changer ensuite, mais au contraire, il était tellement performant sur le plan quantitatif (au détriment de la qualité intrinsèque des aliments) qu’il a été augmenté (comme tout processus industriel), mais les industriels ne sont pas des philosophes, ni des philanthropes.!Obamot a écrit:
sauf que l'outil industriel était déjà là après la fin de la guerre, et que personne n'a pensé à le changer ensuite, puisque ça faisait...
J'ai pas parlé des industriels, mais de l'outil.
et c'est toi qui nous fait la leçon sur ce point...! Mais pourquoi pas après tout.[/quote]Je ne fais pas la leçon, tu fais une demande et j’y répond :janic a écrit:Pas difficile ! Elimines complètement les mises en cause des individus (c’est leur droit d’avoir des avis différents du tien comme du mien.Obamot a écrit:
Bein justement, montre l'exemple, je te suivrai volontier... ;-)
Reprends TOUTES mes interventions et tu y constateras que JAMAIS je ne mets en cause les individus sans avoir été nominativement provoqué. Alors et alors seulement je renvoie la balle en en faisant autant pour un temps très court, quelques passes d’armes et je reviens à MA philosophie de ne mettre en cause que les systèmes et non les individus qui en font partie.
Nous nous ressemblons sur ce point là !janic a écrit:
Changes tes formules désobligeantes par des « ce n’est pas mon avis », « je pense différemment que toi » etc… et plus de ismes en pagaille même si ce sont des ismes justifiés à tes yeux.Là je dois admettre que j'ai de la peine à ne pas m'exprimer à "ma façon" comme chacun essaye de le faire à la sienne.
Ce que les uns appellent outrances d’autres les considèrent comme normales, c’est une question de point de vue par rapport à ses propres références. C’est pourquoi j’évite (sauf à être provoqué) de souligner les outrances des autres, ce qui serait un comble si je n’accepte pas la même chose venant d’autrui.Plus sérieusement, lorsqu'on tombe sur certaines outrances, il n'y a pafrois pas d'autres moyens que de forcer le trait, ou y mettre une pointe de cynisme (et surtout de l'humour)!
C’est selon la sensibilité des interlocuteurs ! Tu as du caractère et des connaissances qui sont différent(e)s des autres, moi compris et quelques fois ce cynisme peut mal passer. Moi je suis brut de décoffrage (ça se perçoit facilement) et je sais que cela ne passe pas toujours non plus et les angles arrondis ce n’est pas non plus mon truc (ça a des avantages autant que d’inconvénients. Comme dit ma femme : » tu pourrais le dire autrement ! »)C'est pas interdit dans un débat.
Dur, dur !!!! C'est en refusant justement que cela devienne personnel, qu'il faut rester sur le sujet, pas sur ceux qui donnent leur point de vue.Et forcément, lorsque des réponses et prises de positions deviennent très "personnelles", les réponses alors peuvent le devenir aussi. Je ne vois pas comment l'éviter: mais je vais tenir compte de ce que tu dis!
Ok!janic a écrit:
En harmonie (autant que possible avec la faiblesse humaine) avec cette formule biblique « chacun sera mesuré avec la mesure dont il s’est servi »et ailleurs « vous qui jugerez le monde, vous ne pourriez jugerles choses de ce monde »
Plus haut, tu nous donnais des conseils sur ce qu'il vaudrait bien de faire, et il me semble bien que ça semblait aller dans le sens contraire ! ;-)janic a écrit:
Quelques fois changer, c’est perdre sa spécificité de caractère et échanger un borgne pour un aveugle.
En apparence : oui ! Quant on est homme, on ne peut (normalement) pas être femme ou l'inverse, mais on peut essayer de ne pas être macho par exemple et essayer de comprendre les mécanismes qui différencient les deux sexes comme il y a des différences entre des interlocuteurs.
(Quoi que pour les femmes, ce soit un challenge impossible. Comment c'est une réflexion macho!)
On fait la même chose ! Souvent je tape un texte (sur Word) et le relis,( selon le texte), le lendemain, afin de l’édulcorer de certaines formulations à angles vifs, avant de l’éditer. J’ai écrit trois bouquins et mes relecteurs m’ont fait raboter les angles de bien des textes incisifs aussi.PS: tu n'as pas idée du nombre de fois où —déjà— je ré-édite mes textes pour les rendre moins incisifs, enlever des smiley's etc, précisément dans le but de ne pas trop choquer certaines "sensibilités"! Tout en essayant de conserver l'intention du texte... C'est pas un exercice simple.