Oh la branlette de cerveau chez google.
C'est du compte-rendu de briefing de super-cadres ça (on se croirait au boulot).
On est face à un cartel, un trust, un quasi monopole d'internet.
Je dirai plutôt que leur vision à long terme est fausse.
Ils prennent trop les gens pour des moutons, mais bon... ça marche.
Vivement le "-1" de facebook (ça va le tuer de l’intérieur)
La sécurité: y en a pas, avec le cloud les malwares/spywares peuvent infecter à distance.
Et DARKNET qui explose (heureusement) face au WHITENET actuel.
Pour rappel DARKNET c'est du TOR ultra sécurisé, créé initialement pour
la liberté de la presse.
A en croire les médias, si vous y allez:
vous êtes soit , pédophile, nazi, criminel, terroriste, pervers, dealer... un voyou divergent !
PS: cette news a un an.
http://romy.tetue.net/darknet-kezako
Il y a, certes, des pédocriminels, des nazis et des dealers sur internet. Comme dans nos rues. Condamne-t-on les rues pour autant ? Il est plus facile, aux USA, d’acheter une arme au supermarché du coin que sur Silk Road, le marché noir du darknet. Mais les médias s’inquiètent excessivement de ce second cas, diabolisant internet, son côté obscur, appelé « darknet ».
Secret, anonymat et autonomie, bien avant d’être les caractéristiques décriées du darknet, sont les trois composantes de la vie privée. Le discours ambiant en fait des composantes suspectes, à l’instar du patron de Google, pour qui l’anonymat sur internet ne sert que ceux qui veulent commettre des crimes. Ceux qui râlent contre les pseudos sur le web sont-ils prêts à avoir leur nom et adresse au lieu d’un numéro d’immatriculation sur leur véhicule ? Forcés de n’avoir rien à cacher, accepteriez-vous de porter un bracelet électronique pour être localisables et identifiables à tout moment de votre vie ? C’est pourtant ce qui se passe sur internet.
La notion de vie privée est acceptée et respectée dans la vraie vie, mais remise en question en ligne, au nom de la transparence des réseaux, propre à une société de surveillance généralisée, qui s’appuie sur trois choses : l’hypercentralisation (comme Facebook), les systèmes fermés (comme Mac, PC) et la fausse sensation de sécurité. Tout le contraire d’internet, réseau à l’origine décentralisé, libre et indépendant. Ce que d’aucuns appellent darknet, c’est juste l’internet. En réalité, tout est darknet, sauf le web dominé par Google et Facebook.
Ce qui est véritablement inquiétant ce sont les journalistes qui, comme des moutons, répètent sans chercher à comprendre. Pour Jérémie Zimmermann, co-fondateur de la Quadrature du Net, le darknet est une invention de journalistes, « un spin pour servir la lutte contre l’anonymat et la vie privée, bref la facebookisation du web ». Le darknet n’existe pas, le darknet c’est l’internet.
"Ne pas voir le Mal, ne pas entendre le Mal, ne pas dire le Mal" 3 petits singes Mizaru