END:CIV vers la fin de notre civilisation?
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END:CIV vers la fin de notre civilisation?
A voir ici: https://vimeo.com/118225132
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Voir aussi les hypothèses du paradoxe de Fermi: http://fr.wikipedia.org/wiki/Paradoxe_de_Fermi
Et l'échelle de Kardashev: https://www.econologie.com/forums/echelle-de ... t8166.html
Et l'échelle de Kardashev: https://www.econologie.com/forums/echelle-de ... t8166.html
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Documentaire on ne peut plus conventionnel.
Ce film relève plus du militantisme écologique que de l’approche dialectique,scientifique, de la destruction de nos écosystèmes.
La question des origines de la destruction environnementale,je veut dire de sont origine profondes n'a pas l'air d'avoir intéressé l'auteur,dommage!
Ce film relève plus du militantisme écologique que de l’approche dialectique,scientifique, de la destruction de nos écosystèmes.
La question des origines de la destruction environnementale,je veut dire de sont origine profondes n'a pas l'air d'avoir intéressé l'auteur,dommage!
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"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.
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L'origine c'est le fric...non?
Or pourquoi l'homme veut gagner du fric?
Euh...pour le pouvoir...pouvoir dominer sa vie, son futur mais aussi les autres humains...puisque l'argent n'est que de l'équivalent travail humain...
Une autre raison du besoin de domination de l'homme sur la nature tiendrait de l'épigénétique...
Or pourquoi l'homme veut gagner du fric?
Euh...pour le pouvoir...pouvoir dominer sa vie, son futur mais aussi les autres humains...puisque l'argent n'est que de l'équivalent travail humain...
Une autre raison du besoin de domination de l'homme sur la nature tiendrait de l'épigénétique...
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Christophe a écrit :L'origine c'est le fric...non?
Or pourquoi l'homme veut gagner du fric?
Euh...pour le pouvoir...pouvoir dominer sa vie, son futur mais aussi les autres humains...puisque l'argent n'est que de l'équivalent travail humain...
Une autre raison du besoin de domination de l'homme sur la nature tiendrait de l'épigénétique...
Si tu veut un élément de réponse:
L'idée développé par S.Blackmore est révolutionnaire et fait froid dans le dos:
Si la première révolution évolutive fut le gène,l'arrivé d'un second réplicateur a permis à nos ancêtres primates de nos propulsé au stade d’hominidés,mais cette évolution n'est pas terminé.
En effet avec le développement technologique amorcé il y a plus de 5000 ans avec l'apparition des civilisations,l'espèce humaine est entré dans l'ère de l'antropocène (il y a moins de 200 ans )avec la révolution industrielle.
Celle ci a finalement "accouché" d'un nouveau réplicateur:le tème (diminutif de techno-mème).
Les tèmes sont des mèmes technologique qui se répliquent de façon exponentiel à travers l'utilisation amplifiante de la technologie.
La ou cela devient intéressant(et terrifiant!) c'est qu'en réalité,l'effondrement écologique que nous traversons n'est absolument pas un triste accident mais la suite normale(sic!) visant a éradiquer les formes de vie non-adaptée au prochain saut évolutif.
Ainsi le réchauffement climatique,la chute de la biodiversité,l'acidification des océans ne serait qu'un processus logique pour la nouvelle ère,que l'on pourrait appelé technocène.
Selon cette logique nous somme donc condamné à disparaitre...
https://www.econologie.com/forums/le-principe-de-lucifer-t13790.html
La conférence de Susan Blackmore: https://www.ted.com/talks/susan_blackmore_on_memes_and_temes?language=fr
la réponse est à 17' (sous titre dispos en français).
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"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.
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Mmmmm interessant...donc la technologie, intelligence artificielle, remplacerait donc entièrement l'homme qui serait condamné par la nature? C'est le TET d'oblivion, HAL de 2001 ou encore terminator...
Seulement en réalité...l'homme a une capacité d'adaptation (j'entends quand il s'agit de survie...) que l'IA est encore bien loin d'atteindre...cette dernière aura-t-elle le temps de dépasser l'homme sur ce point? Car le réchauffement fera aussi des dégats matériels...
Seulement en réalité...l'homme a une capacité d'adaptation (j'entends quand il s'agit de survie...) que l'IA est encore bien loin d'atteindre...cette dernière aura-t-elle le temps de dépasser l'homme sur ce point? Car le réchauffement fera aussi des dégats matériels...
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Christophe a écrit :Seulement en réalité...l'homme a une capacité d'adaptation (j'entends quand il s'agit de survie...) que l'IA est encore bien loin d'atteindre...cette dernière aura-t-elle le temps de dépasser l'homme sur ce point? Car le réchauffement fera aussi des dégats matériels...
C'est pour cette raison qu'il y aura d'ici quelques décennies des hybrides humain/machine, que l'on appel désormais le transhumanisme,porte ouverte au posthumanisme,puis à la disparition du genre humain.
Quant on voit a quel point les ados sont accros aux nouvelles technologies,on peut se poser certaines question sur notre avenir!
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"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.
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Ah oui..."beau" programme en persective...mais que fait la Police?
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En parlant de transhumanisme: http://passeurdesciences.blog.lemonde.f ... t-realite/
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Ce film, si on le compare avec les tentatives "hulotesques" ou "artusiennes", a le mérite de ne pas sombrer dans le simplisme "bisounours", ce qui n'est pas une mince qualité!
En particulier, il illustre très bien comment l'écologie, dans ses différentes composantes, s'est faite l'alliée de ceux qui détruisent les conditions de la vie sur terre.
Il aborde également le thème de la violence, malheureusement de façon peu claire et assez discutable: cela ne fait que confirmer que le cinéma n'est probablement pas le meilleur endroit pour en débattre.
D'une part il ne distingue guère entre action illégale (qui tend à passer maintenant pour de la violence du fait de l'évolution d'une législation qui s'efforce de "cadenasser" les moindres interstices des possibilités d'action contestataires), usage de la force (qui n'est pas la violence) et violence caractérisée.
Il me semble que l'usage d'une forme de violence déclarée ne serait fructueuse que si les buts poursuivis ne relevaient pas de ces illusions qui sont le lot commun de nombre d'organisations... que ces buts expriment une volonté générale... mais si ces conditions étaient remplies, la violence serait inutile!
Un argument avancé dans le film serait que la violence aurait une valeur d'efficacité. Il y a là une grande naïveté: l'efficacité (du moins dans les moyens) est justement une des grandes caractéristiques et un défaut majeur du système qui est combattu; comment envisager sereinement de recourir à un moyen qui est la cause de ce que l'on rejette?
J'ai visionné la conférence de Susan Blackmore qui expose son concept très intéressant de "tèmes". Bien que semblant très satisfaite de sa découverte (et peut-être pour cette raison!*), elle ne se donne guère le mal d'en tirer toute la substantifique moelle, ni d'en examiner les conséquences logiques...
Il existe une certaine convergence entre différentes approches sur ce sujet, comme il peut exister plusieurs chemins pour gravir un relief; pour le moment personne n'est capable de parcourir l'ensemble de ces chemins et donc de connaître l'exacte topographie du lieu.
Si la science est un outil pour y parvenir, nul doute que la superstition qui s'y attache (puisqu'elle a été chassée du religieux) ne facilite guère la tâche.
*Persiflage, je l'avoue!
En particulier, il illustre très bien comment l'écologie, dans ses différentes composantes, s'est faite l'alliée de ceux qui détruisent les conditions de la vie sur terre.
Il aborde également le thème de la violence, malheureusement de façon peu claire et assez discutable: cela ne fait que confirmer que le cinéma n'est probablement pas le meilleur endroit pour en débattre.
D'une part il ne distingue guère entre action illégale (qui tend à passer maintenant pour de la violence du fait de l'évolution d'une législation qui s'efforce de "cadenasser" les moindres interstices des possibilités d'action contestataires), usage de la force (qui n'est pas la violence) et violence caractérisée.
Il me semble que l'usage d'une forme de violence déclarée ne serait fructueuse que si les buts poursuivis ne relevaient pas de ces illusions qui sont le lot commun de nombre d'organisations... que ces buts expriment une volonté générale... mais si ces conditions étaient remplies, la violence serait inutile!
Un argument avancé dans le film serait que la violence aurait une valeur d'efficacité. Il y a là une grande naïveté: l'efficacité (du moins dans les moyens) est justement une des grandes caractéristiques et un défaut majeur du système qui est combattu; comment envisager sereinement de recourir à un moyen qui est la cause de ce que l'on rejette?
J'ai visionné la conférence de Susan Blackmore qui expose son concept très intéressant de "tèmes". Bien que semblant très satisfaite de sa découverte (et peut-être pour cette raison!*), elle ne se donne guère le mal d'en tirer toute la substantifique moelle, ni d'en examiner les conséquences logiques...
Il existe une certaine convergence entre différentes approches sur ce sujet, comme il peut exister plusieurs chemins pour gravir un relief; pour le moment personne n'est capable de parcourir l'ensemble de ces chemins et donc de connaître l'exacte topographie du lieu.
Si la science est un outil pour y parvenir, nul doute que la superstition qui s'y attache (puisqu'elle a été chassée du religieux) ne facilite guère la tâche.
*Persiflage, je l'avoue!
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