Poêle de tout poil adapté pile poil
Cela devrait être de la sémantique... On tout cas, s'il y a une différence, je nr lr connais pas !
Le principe est que le bois, en brulant, va en partie se gazéifier... Jusqu'à ce qu'il ne reste plus que le charbon / ou les braises plutôt.
Une partie de ces gaz ne sont pas brulés correctement dans le foyer primaire, par manque d'oxygène (on régule le feu en fermant plus ou moins le/les clapet(s) de tirage ; donc tout l'oxygène disponible est accaparé par le feu dans le foyer principal).
Avec la post-combustion, on injecte aussi de l'air derrière le foyer. Celui-ci va permettre à ces gaz de bruler.
C'est à la fois plus propre et va générer un meilleur rendement.
Le principe est que le bois, en brulant, va en partie se gazéifier... Jusqu'à ce qu'il ne reste plus que le charbon / ou les braises plutôt.
Une partie de ces gaz ne sont pas brulés correctement dans le foyer primaire, par manque d'oxygène (on régule le feu en fermant plus ou moins le/les clapet(s) de tirage ; donc tout l'oxygène disponible est accaparé par le feu dans le foyer principal).
Avec la post-combustion, on injecte aussi de l'air derrière le foyer. Celui-ci va permettre à ces gaz de bruler.
C'est à la fois plus propre et va générer un meilleur rendement.
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- highfly-addict
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Hello !
Oui, c'est la même chose, il s'agit d'amener de l'air(préchauffé en général) en aval du foyer, de façon que les gaz et particules soient totalement brûlés (ou presque, la perfection n'est pas de ce monde ...).
Résultat : rendement de combustion optimal, pas d'encrassage des conduits de fumée, plus de fumée en fait, seulement de l'"air" enrichi en CO2 et H2O.
edit : grillé par DID !
Oui, c'est la même chose, il s'agit d'amener de l'air(préchauffé en général) en aval du foyer, de façon que les gaz et particules soient totalement brûlés (ou presque, la perfection n'est pas de ce monde ...).
Résultat : rendement de combustion optimal, pas d'encrassage des conduits de fumée, plus de fumée en fait, seulement de l'"air" enrichi en CO2 et H2O.
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"Dieu se rit de ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes" BOSSUET
"On voit ce que l'on croit" Dennis MEADOWS
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Le "grillage", c'est pas voulu ! Tant qu'on est d'accord, cela ne crée pas de confusion !
Je ne suis cependant pas tout à fait d'accord avec ton "plus de fumée" : il reste des gaz de combustion nettement plus propres, mais renfermant de la vapeur d'eau (même les chaudières à gaz font un éphémère panache de "fumée" - blanche = condensation) et quelques émissions tout de même. Même les chaudières à pellets, pilotées électroniquement, encore plus propres, n'y échappent pas !
Mais c'est vrai que cela réduit considérable ces "fumées bleuâtres", qui irritent la gorge et "entourent" les maisons chauffées avec des poêles mal conduits, utilisant du bois trop humide.
En hiver, quand je descends au village, ma gorge est prise dès l'entrée du village...
Je ne suis cependant pas tout à fait d'accord avec ton "plus de fumée" : il reste des gaz de combustion nettement plus propres, mais renfermant de la vapeur d'eau (même les chaudières à gaz font un éphémère panache de "fumée" - blanche = condensation) et quelques émissions tout de même. Même les chaudières à pellets, pilotées électroniquement, encore plus propres, n'y échappent pas !
Mais c'est vrai que cela réduit considérable ces "fumées bleuâtres", qui irritent la gorge et "entourent" les maisons chauffées avec des poêles mal conduits, utilisant du bois trop humide.
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- highfly-addict
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Arf, je me référais à l'aspect visuel et olfactifs des gaz, mais on dit bien la même chose !
Quant à la condensation visible peu après la sortie, elle signe à mon sens un usage optimal de l'installation.
C'est assez banal de le constater sur une chaudière optimisée industriellement, mais ça fait plus d'effet quand on obtient ce résultat avec un poêle DIY.
Quant à la condensation visible peu après la sortie, elle signe à mon sens un usage optimal de l'installation.
C'est assez banal de le constater sur une chaudière optimisée industriellement, mais ça fait plus d'effet quand on obtient ce résultat avec un poêle DIY.
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Il s'agit d'un jargon marketing pour traduire maladroitement (d'un point de vue technique, s'entend) la difficulté à brûler correctement la composante gazeuse du bois.
L'air primaire passe à travers la grille et son oxygène se combine préférentiellement avec les braises, ce qui a pour action d'augmenter la pyrolyse, c'est à dire le dégagement de gaz pour lesquels ne reste plus suffisamment d'oxygène; de là, l'introduction d'air secondaire spécialement dédié à ces gaz (et accessoirement au balayage de la vitre); la vitesse des gaz et donc la brièveté de leur séjour dans le foyer ne permettant pas la combustion intégrale du mélange, une troisième entrée d'air chaud peut être ménagée en aval du foyer, derrière l'avaloir, pour éliminer un maximum d'imbrûlés.
Les poêles de masse à combustion rapide jouent, eux, sur la qualité du bois (normalement du bois tendre en petites sections) pour ne disposer que d'un régime de combustion, afin de le mieux maîtriser.
L'air primaire passe à travers la grille et son oxygène se combine préférentiellement avec les braises, ce qui a pour action d'augmenter la pyrolyse, c'est à dire le dégagement de gaz pour lesquels ne reste plus suffisamment d'oxygène; de là, l'introduction d'air secondaire spécialement dédié à ces gaz (et accessoirement au balayage de la vitre); la vitesse des gaz et donc la brièveté de leur séjour dans le foyer ne permettant pas la combustion intégrale du mélange, une troisième entrée d'air chaud peut être ménagée en aval du foyer, derrière l'avaloir, pour éliminer un maximum d'imbrûlés.
Les poêles de masse à combustion rapide jouent, eux, sur la qualité du bois (normalement du bois tendre en petites sections) pour ne disposer que d'un régime de combustion, afin de le mieux maîtriser.
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quand on reduit la puissance , il faut reduire la dimension du bois , et on arrive au probleme que ça reduit le temps de combustion : il faut recharger souvent et très peu a la fois ... la conduite du ffeu devient compliqué et demande trop de travail
donc pour moi je garde les buche pour faire des gros feu quand il fait très froid et prefer le bois broyé en plaquette pour alimentation automatique d'un petit feu
dommage qu'on ne trouve pas dans le commerce de poêle a alimentation automatique de plaquette
donc pour moi je garde les buche pour faire des gros feu quand il fait très froid et prefer le bois broyé en plaquette pour alimentation automatique d'un petit feu
dommage qu'on ne trouve pas dans le commerce de poêle a alimentation automatique de plaquette
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Re: Poêle de tout poil adapté pile poil
Reponse pile poil au titre
J'invente le Poêle à rendement maximum à toutes les puissances!
Le rendement d'un Poêle est calculé sur sa puissance maximale;
bref!quand on le bourre, on est sur d'avoir du tirage et donc un bon rendement
(comme tout le monde remarqué)
et ceci quelque soit le modéle ou ca complexité;
quand le tirage baisse, le rendement baisse!
le réponse est donc:
Le Poêle à foyer à taille variable, pour optimisation de l'oxygenation naturelle!
(traduction: le foyer est toujours bourré avec un rendement maximum,
même au quart de la puissance maximum) !
J'invente le Poêle à rendement maximum à toutes les puissances!
Le rendement d'un Poêle est calculé sur sa puissance maximale;
bref!quand on le bourre, on est sur d'avoir du tirage et donc un bon rendement
(comme tout le monde remarqué)
et ceci quelque soit le modéle ou ca complexité;
quand le tirage baisse, le rendement baisse!
le réponse est donc:
Le Poêle à foyer à taille variable, pour optimisation de l'oxygenation naturelle!
(traduction: le foyer est toujours bourré avec un rendement maximum,
même au quart de la puissance maximum) !
Dernière édition par Hic le 18/08/15, 12:19, édité 1 fois.
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Chatelot, tu écris:
Oui, c'est un problème insoluble pour de petites puissances: le comportement des plaquettes, comme l'encombrement du système sont rédhibitoires.
La conduite des poêles à combustion vive et à petit combustible est effectivement spéciale.
Hic, tu ne résous que la moitié du problème: il faudrait également faire varier les surfaces d'échanges...
dommage qu'on ne trouve pas dans le commerce de poêle a alimentation automatique de plaquettes
Oui, c'est un problème insoluble pour de petites puissances: le comportement des plaquettes, comme l'encombrement du système sont rédhibitoires.
La conduite des poêles à combustion vive et à petit combustible est effectivement spéciale.
Hic, tu ne résous que la moitié du problème: il faudrait également faire varier les surfaces d'échanges...
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chatelot16 a écrit :quand on reduit la puissance , il faut reduire la dimension du bois , et on arrive au probleme que ça reduit le temps de combustion : il faut recharger souvent et très peu a la fois ... la conduite du ffeu devient compliqué et demande trop de travail
donc pour moi je garde les buche pour faire des gros feu quand il fait très froid et prefer le bois broyé en plaquette pour alimentation automatique d'un petit feu
dommage qu'on ne trouve pas dans le commerce de poêle a alimentation automatique de plaquette
automatique et rendement maxi?
on met les plaquettes dans un chargeur et on les brûle une par une,
ou alors des buches de 1métre dans un chargeur que l'on brûle par l'extremité,
le tout à la manière d'un Poêle à pelets,
on obtiendrait un rendement de 85% quelques soient les puissances de chauffe intermédiaire
Dernière édition par Hic le 18/08/15, 13:03, édité 1 fois.
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Hic, tu écris:
C'est une possibilité qui s'applique au rocket stove, du moins le modèle en "J".
Je vais essayer d'expérimenter ce type de poêle cet automne/hiver et, si ça intéresse un certain nombre de personnes ici, je détaillerai la construction et les essais: il s'agirait de réaliser une sorte de synthèse de ce qui existe, en y ajoutant une "sauce" personnelle...
ou alors, une bûche de 1 métre que l'on brûle par l'extrémité
C'est une possibilité qui s'applique au rocket stove, du moins le modèle en "J".
Je vais essayer d'expérimenter ce type de poêle cet automne/hiver et, si ça intéresse un certain nombre de personnes ici, je détaillerai la construction et les essais: il s'agirait de réaliser une sorte de synthèse de ce qui existe, en y ajoutant une "sauce" personnelle...
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